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11 décembre 2008 4 11 /12 /décembre /2008 00:00

 

 

Maman, je suis allée à une fête. Je me suis souvenue que tu m’avais dit de ne pas boire d’alcool, alors, je n’ai bu que du cola. Les autres me disaient que je pouvais, mais moi, je n’ai pas voulu et je me sentais vraiment fière de moi.

Maman, la fête tire à sa fin et tous s’en retournent chez eux. En montant dans ma voiture, je savais que j’arriverais saine et sauve à la maison, parce que tu m’as appris à être responsable.

Je démarre doucement. Mais en m’engageant dans la rue, l’autre voiture ne m’a pas vue et m’a frappée de plein fouet. Maman, étendue sur le pavé, j’entends un policier dire : « L’autre chauffeur était ivre ».

Maman, maintenant c’est moi qui paie. Je suis étendue là, mourante. Comment est-ce possible? Ma vie vient d’éclater comme un ballon. Il y a du sang partout, et c’est le mien. J’entends le docteur dire que je vais mourir bientôt. Maman, je veux seulement te dire : Je jure que je n’ai pas bu. Maman, c’était les autres. Les autres n’ont pas réfléchi. Ils étaient probablement à la même fête que moi. La seule différence : IL a bu et je vais mourir. Maman, pourquoi les gens boivent-ils? Ça peut détruire toute une vie.

Maintenant, je ressens une vive douleur, tel un couteau. Maman, le gars qui m’a frappée, marche de long en large et je crois que c’est injuste. Je meurs et il ne peut que me dévisager. Quelqu’un aurait dû lui dire que l’alcool au volant, c’est criminel! Si seulement on le lui avait dit, je serais encore en vie.

Maman, mon souffle se fait plus court et j’ai très peur. J’aimerais tant que tu sois là…Maman, j’ai une dernière question avant de te dire au revoir : « Moi, je n’ai pas bu, alors, pourquoi suis-je celle qui va mourir? »

Source : Petites douceurs pour le cœur, p. 19

IL a bu et JE vais mourir*
IL a bu et JE vais mourir*

La blague du blog

 

4 h du matin... Gérard rentre au domicile conjugal complètement ivre.
Je vais me faire un jus de citron pour masquer l'odeur d'alcool.
Le matin, Solange l'enguirlande :
T'as encore bu comme un trou hier, hein?
Meuh non!
Ah ouais? Et le canari écrasé dans le presse-citron, il s'est suicidé tout seul peut être?

 

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4 décembre 2008 4 04 /12 /décembre /2008 00:00

 

Dans un monde où le temps s'enfuit à toute allure;
Dans un monde où l'argent impose sa culture;
Dans un monde où parfois, l'indifférence isole;

Les anges existent encore : ce sont les bénévoles. 
 

Ces gens qui, par souci du sort de leur prochain,
prennent de leur temps pour tendre la main;

Ces êtres généreux, qui s'oublient et se dévouent,
Ne les cherchez pas loin. Ils sont parmi nous. 

 

Étant fort discrets, ils ne demandent rien
Ni merci, ni argent, ni aucun bien.
Pourtant, ce qu'ils donnent n'a pas de prix.
Rien ne peut l'acheter : c'est une partie de leur vie. 

 

Et c'est bien grâce à eux si Noël, pour certains,
demeure un jour de magie plutôt que de chagrin! 
De tout cœur, nous désirons vous remercier : 

« Puissiez-vous recevoir autant que vous donnez! »
                                      
 

(Petites douceurs pour le cœur, p. 18)

Ne vous laissez jamais aller à penser : « Si j'aide les autres, j'accumulerai des actions positives. Je serai une personne vertueuse, ce qui me permettra d'être heureux à l'avenir. »

Ce n'est pas le but. Accomplissez des actions positives avec compassion, du plus profond de votre coeur, sans être guidé par la plus petite notion de récompense personnelle.

Sagesse du Dalaï-Lama

Les bénévoles*

Hommage à Mère Teresa

 

Tu t'es penchée sur la misère du monde
Vers les plus pauvres des pauvres d'entre tous.
Sans hésiter devant les plaies immondes
Tu as soigné les corps en fin de course.

Petite, frêle, sans force, avec amour
Tu as tendu le bras de la bonté
Sur l'impotent, sur l'aveugle et le sourd
Tes mains bénies sans cesse se posaient.

Oui, tu fus mère, reine de la tendresse
Auprès de ceux que la vie ignorait
Des indigents, des ignorants qui naissent
Juste le temps de mourir torturés.

Mère de l'Inde, mère du monde entier
En ta présence, on se savait aimé.
Tu prodiguais plus que de la pitié
Tu rassasiais l'âme des affamés.

En te voyant, je me sentais coupable
De ne rien faire et de ne rien donner,
Alors que toi, dans la joie inusable
Tu secourais l'enfant abandonné.

Nous te devons d'avoir fait resplendir
La guérison dérobée à la mort
Cette lumière qui brille sans rien dire
Cette bonté qui rend le faible fort.

Les bénévoles*

La blague du blog

 

Le fils : « Aujourd'hui, j'étais dans le bus avec papa. il m'a dit de laisser ma place à une dame...
La maman : — C'est très bien, fiston, tu as fait une bonne action.
Le fils : — Mais maman, j'étais sur les genoux de papa !

 

 

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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 00:00

 

 

 

Charles Plumb était pilote de chasse dans la marine américaine au Vietnam. Après 75 missions de combat, son avion fut abattu par un missile. Il s’éjecta de son appareil et atterrit sain et sauf grâce à son parachute dans une zone contrôlée par l’ennemi. Capturé par les communistes vietnamiens, il passa six ans en prison. Mais il survécut à l’épreuve et donne encore aujourd’hui des conférences sur les leçons à tirer de toutes ses expériences.

 

Un jour, Charles Plumb et sa femme étaient assis dans un restaurant, lorsqu’un homme se leva d’une autre table, s’approcha de lui et lui dit : « Vous êtes Charles Plumb! Vous étiez pilote de chasse au Vietnam sur le porte-avions Kitty Hawk et votre appareil a été abattu. C'est moi qui me suis occupé de votre parachute. »

 

Charles Plumb eut le souffle coupé et lui exprima toute sa gratitude. L’homme dit : « L’important, c’est qu’il ait bien fonctionné, n’est-ce pas ? » Et M. Plumb lui assura : « Et comment! Si votre parachute n’avait pas fonctionné, je ne serais pas de ce monde aujourd’hui. »

 

Charles Plumb n’arriva pas à trouver le sommeil cette nuit-là car il pensait sans cesse à cet homme. Combien de fois avait-il pu le croiser sans même lui dire : « Bonjour, comment ça va? » ou quelque chose du genre.

 

M. Plumb pensa à toutes ces heures que le marin avait passées, au cœur du navire, à plier soigneusement des parachutes sur une longue table de bois, ayant à chaque instant entre les mains, le destin de gens qu’il ne connaissait pas.

 

Aujourd’hui, lors de ses conférences, Charles Plumb demande toujours à son auditoire : « Qui prend soin de votre parachute? Qui vous apporte ce dont vous avez besoin pour passer la journée? Prenez donc le temps de vous arrêter, de les reconnaître et, surtout, de les remercier. »

 

(Petites douceurs pour le cœur, p. 174)

 

Qui prend soin de votre parachute?*

Comment réagissez-vous face à un compliment?

 

L’acceptez-vous? Vous met-il mal à l’aise? Ressentez-vous le besoin de vous justifier, voire de vous diminuer?

Il n’y a aucun mal à recevoir des félicitations. En vous braquant, en vous dénigrant, vous mettez mal à l’aise la personne qui souhaitait vous encourager. En quelque sorte, vous discréditez sa capacité à évaluer une situation, vous la rabaissez. Et vous vous dévalorisez.
 

Le problème vient d’un manque de confiance en vous. Vous ne vous sentez pas suffisamment à la hauteur et chaque compliment résonne en vous comme une critique potentielle. Vous pouvez même avoir l’impression que votre interlocuteur pointe du doigt vos faiblesses. 

Changez d’attitude, ce n’est pas très compliqué d’apprécier les éloges. Mettez de côté les remarques négatives qui vous viendraient à l’esprit. Puis, remerciez simplement et sincèrement votre interlocuteur. Ajoutez que vous appréciez le geste et savourez cette douceur qui irradie votre esprit. 

Vous méritez que l’on parle de vous en bien. Laissez-vous apprivoiser. Collectionnez les compliments comme de petits trésors renforçant votre estime personnelle. Ce serait dommage de s’en priver. 

 

Emmanuelle VanEttinger

Qui prend soin de votre parachute?*

Les gens célèbres

 

Réfléchissez bien et essayez de répondre à ces quatre questions :

1. Nommez les 3 personnes les plus riches du monde.
2. Nommez les 3 dernières gagnantes de Miss Univers.
3. Nommez les 5 derniers gagnants des prix Nobel de la paix.
4. Nommez les 5 derniers gagnants de l'Oscar du meilleur acteur.

Vous n’y arrivez pas? C’est difficile, non? Ne vous inquiétez pas, personne ne s’en rappelle. 

Les applaudissements passent. Les trophées prennent la poussière. Les gagnants sont oubliés!

Maintenant répondez à ces questions :

1. Nommez 3 professeurs qui ont contribué à votre formation.
2. Nommez 3 amis qui vous ont aidé(e) dans les moments difficiles.
3. Pensez à 5 personnes qui vous ont fait vous sentir spécial(e).
4. Nommez 5 personnes avec qui vous aimez passer du temps.

Vous y arrivez? C’est plus facile, non?

Les personnes qui ont un sens dans votre vie ne sont pas « cotées » au maximum, avec le plus d’argent, avec les plus grands prix...

Ce sont celles qui se font du souci pour vous, qui prennent soin de vous, celles qui, en toutes circonstances, restent auprès de vous.

Pensez-y un moment. La vie est très courte!...


Texte pris sur le très beau blog Se souvenir des belles choses 

Qui prend soin de votre parachute?*

La blague du blog

 

Deux motards marchent depuis une demi-heure dans le bois.
Comme l'obscurité tombe, l'un d'eux dit : « J'aime pas trop ça. »
Et l'autre de répondre : « Moi non plus, surtout qu'il faut que je revienne tout seul... »

 

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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 00:00

 

 

 

À l'adolescent qui se plaint de la vaisselle à faire, car cela signifie qu'il est à la maison et non dans la rue;

 

Aux impôts que je paie, car cela signifie que j'ai des revenus;

 

Au ménage à faire après un party, car cela signifie que j'étais entouré d'amis;

 

À mes vêtements qui sont un peu trop serrés, car cela signifie que je mange à ma faim;

 

À la pelouse qui a besoin d'être tondue, aux fenêtres à nettoyer et aux gouttières qui ont besoin d'être fixées, car cela signifie que j'ai un toit;

 

Aux plaintes faites à nos gouvernements, car cela signifie que nous avons la liberté d'expression;

 

Au dernier stationnement que j'ai trouvé au bout de la cour, car cela signifie que je suis capable de marcher;

 

À ma grosse facture de chauffage, car cela signifie que je suis au chaud;

 

À la personne assise derrière moi à l'église et qui chante faux, car cela signifie que j'entends;

 

À ma pile de linge à nettoyer et à presser, car cela signifie que j'ai des vêtements à porter;

 

À l'épuisement et à la douleur musculaire à la fin de la journée, car cela signifie que je suis capable de travailler dur physiquement;

 

À la sonnerie de mon réveille-matin, car cela signifie que je suis vivant.

 

(Petites douceurs pour le cœur, p. 59)

Je suis reconnaissant*

Merci à la vie!
 

Aujourd'hui, j'ai le goût de dire Merci à la vie.
 

Merci pour tout ce qu'elle me donne en abondance : santé,  bonheur, prospérité.

Merci pour les dures leçons qui m'ont aidé à mieux me connaître et à mieux connaître les autres.

Merci pour les échecs que j'ai encaissés : cela m'a enseigné l'humilité, l'obligation de ne jamais m'asseoir sur mes lauriers et la nécessité de comprendre les échecs des autres personnes qui, elles aussi par moment, ont besoin d'être aidées.

Merci pour les occasions de cultiver la patience, la tolérance.

Merci pour les multiples découvertes de la réalité de la vérité.

Merci pour la conscience grandissante : mes guides qui veillent sur moi malgré mes erreurs, me protègent malgré mes faiblesses, m'aiment malgré mes défauts, et me trouvent les solutions malgré mon obstination.

Merci pour la joie bien simple de réaliser que je suis vivant.

Merci pour les chances que j'ai connues, les malchances que j'ai évitées, les solutions que j'ai trouvées, les talents que j'ai développés, les victoires que j'ai remportées, les bonnes journées que j'ai vécues.

Merci pour les parents que j'ai connus, les amis que j'ai rencontrés, les éducateurs que j'ai côtoyés, les livres que j'ai lus, les voyages que j'ai faits, les repas que j'ai pris.

Merci mon Dieu de m'avoir donné la sérénité d'accepter les choses que je ne puis changer, le courage de changer les choses que je peux et la sagesse d'en connaître la différence.

Texte pris sur le blog Se souvenir des belles choses 

Je suis reconnaissant*

Témoignage de mon livre d'or

 

Bravo Nicole pour ton splendide ouvrage! Il est très vivant, convivial et, ô combien, précieux de tous ces textes choisis avec amour. Je te félicite pour l'immense travail accompli afin de toucher le cœur des gens, de les amener à une réflexion saine et enrichissante, et pour ta mise en pages si rafraîchissante.

Porte haut et fort le flambeau de ta créativité et du partage des mots vrais. Les gens en ont bien besoin. Un franc succès pour toi, Nicole, tu le mérites au plus haut point. - Lise, Brossard

Je suis reconnaissant*

La blague du blog

 

C'est un représentant qui sonne à la porte d'une maison, et c'est le petit Toto, 10 ans, qui ouvre la porte, un cigare à la bouche et une canette de bière dans la main.

– Bonjour mon petit. Est-ce que ta maman est là?

Et Toto de répondre : « Devinez... »

 

 

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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 00:00

 

 

Dans le monde entier, il n'y a personne comme moi.

 

Depuis le début des temps, il n'y a jamais eu une autre personne comme moi. Personne n'a mon sourire, mes yeux, mes cheveux, mes mains, ma voix. Je suis unique. Personne n'a mes empreintes digitales, mon écriture. Je suis vraiment unique.

 

Nulle part ailleurs quelqu’un n'a mes goûts pour l'art, la musique ou la nourriture. Personne ne voit les choses comme je les vois. Depuis que le monde est monde, personne n’a ri ou pleuré comme moi. Et ce qui me fait sourire et m’attendrir ne peut jamais provoquer les mêmes chez un autre, jamais. Personne ne réagit à une situation comme je le fais. Personne n'aime et ne vibre à ma façon. Je suis unique.

 

Je suis le seul dans toute la création doté de ces capacités. Oh! bien sûr, il y aura toujours quelqu'un de meilleur que moi pour réussir mieux encore l'une ou l'autre chose que je fais déjà bien, mais personne dans tout l'univers ne possède la qualité particulière de l'ensemble de mes talents, idées, habiletés et sentiments. Comme une salle remplie d'instruments musicaux, chacun d’eux, comme tout bon musicien, peut exceller seul En revanche, aucun ne peut rivaliser de splendeur avec la beauté d'une symphonie exécutée dans un parfait ensemble et dans une belle harmonie. Je suis une symphonie.

 

De toute éternité, personne ne regardera, ne parlera, ne pensera ou ne fera comme moi. Je suis unique. Je suis rare. Et comme tout ce qui est rare, ma valeur est inestimable. Étant donné cette valeur incomparable, je n'ai pas besoin d'essayer d'imiter les autres. J'accepterai... ou plutôt, je célébrerai mes différences.

 

Je suis unique. Et je commence à réaliser que le fait d'être unique n'est pas accidentel. Je suis sur terre pour une raison très spéciale. Il doit y avoir une mission pour moi que personne d'autre ne peut faire aussi bien que moi. De tous les millions d'aspirants à ce rôle, un seul dispose des qualifications requises, un seul possède la combinaison adéquate et les qualités nécessaires pour mener à bien cette mission personnelle. (Petites douceurs pour le cœur, p. 14)

Je suis unique!*

La blague du blog

 

Un gars arrive dans un bar avec sa femme et demande :
— Une bière svp.
Il la boit et demande :
— Une autre svp avant que ça commence.
Le barman lui sert une autre bière. Il la boit encore et demande à nouveau :
— Une autre avant que ça commence.
Le même manège se répète 3 ou 4 fois.
En même temps, la femme dit à son mari :
— Chéri, ça fait 5 bières que tu bois, tu ne crois pas que tu as assez bu?
Et monsieur regarde le barman en disant :
— Et voilà, ça commence!

 

 

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30 octobre 2008 4 30 /10 /octobre /2008 00:00

 

 

 

Ceux que la vie a blessés et blesse à tout instant peuvent se demander : « Comment puis-je donner pour recevoir? Je n'ai rien. »

Or, nous pouvons donner ce que nous n'avons pas.

Vous êtes malade? Mais qui vous empêche d’envoyer des pensées créatrices de santé à tous ceux à qui vous pensez, à tous ceux que vous rencontrez ? Vous êtes pauvre ? Souhaitez l’abondance à tous les êtres. Vous êtes mal aimé ? Donnez à chacun en particulier et au monde entier de vivantes pensées d’amour. Vous vivez dans un milieu où tout n’est que querelles et mauvaise volonté ? Émettez sans arrêt des ondes de paix, des ondes harmonieuses.
 

Chacune de vos pensées rejoindra le grand patrimoine de vie, de plénitude de tous les biens. Vous mettrez en action des forces vibrantes et pures, d’une efficacité toute-puissante, qui se propageront en ondes, et vous reviendront. Et vous constaterez, un jour, que certains éléments nouveaux se seront insinués dans votre propre existence.

Vous commencerez par vous sentir plus calme, mieux portant, plus joyeux ; vos affaires sembleront plus prospères, jusqu’au moment où les pensées de bonheur que vous aurez émises se réaliseront pour vous par des détours insoupçonnés, dont vous ne pouvez prévoir l’ampleur dans l’état où vous êtes actuellement. C’est la « loi du retour » sous sa forme la plus magnifique. Marcelle Auclair (Petites douceurs pour le cœur, p. 35)

Donner ce qu'on n'a pas*

2e loi : Loi du don

 

Où que j’aille, quelle que soit la personne que je rencontre, je lui donnerai quelque chose. Ce présent peut être un compliment, une fleur, une prière. Aujourd’hui, j’offrirai quelque chose à tous ceux avec qui j’entrerai en contact et ainsi, je mettrai en œuvre, dans ma vie et dans celle des autres, le processus de circulation de la joie, de la richesse et de l’affluence.

Aujourd’hui, je recevrai tous les dons que l’on me fait avec gratitude. J’accepterai aussi les dons de la nature : la lumière du soleil et le chant des oiseaux, une pluie de printemps ou la première neige de l’hiver. Je m’ouvrirai également aux présents des autres, que ceux-ci aient une forme matérielle, comme l’argent ou une forme spirituelle comme un compliment ou une prière.

Je prends l’engagement de protéger la circulation de la richesse dans ma vie en donnant et recevant les biens les plus précieux de l’existence : l’attention, l’affection, le respect et l’amour. Chaque fois que je rencontrerai quelqu’un, je lui souhaiterai silencieusement bonheur, joie et rires. 

Donner ce qu'on n'a pas*

La blague du blog

 

Trois tortues vont en pique-nique. Soudain, l'une d'elles s'écrie :
« Nous avons oublié la salade.
— Ça ne fait rien, dit l'aînée. Gertrude, retourne au village la chercher. Nous t'attendrons pour passer à table.
Trois ans passent. La tortue n'est pas encore revenue.
— Quand même, cette Gertrude, dit la vieille tortue, quelle lambine!
— C'est vrai, approuve l'autre.
À ce moment, on entend une voix furieuse. C'est Gertrude qui s'écrie :
— Si vous profitez du fait que j'aie les talons tournés pour dire du mal de moi, je n'irai pas la chercher votre salade! »
 

 

 

 

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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 23:00



Un sage homme vivait heureux avec son épouse admirable et deux fils chéris. Un jour, il entreprit un long voyage et durant son absence, un grave accident provoqua la mort de ses deux fils tant aimés.

 

La mère sentait son cœur lourd de douleur. Toutefois, étant une femme forte et croyante, elle surmonta le drame avec courage.

 

Elle avait cependant une grande préoccupation à l'esprit : Comment annoncer la triste nouvelle à son mari, lui qui avait le cœur si fragile? Elle pria afin d’être éclairée.

 

Son mari rentra enfin de voyage et s’empressa de prendre des nouvelles de ses deux fils. L'épouse, embarrassée, lui répondit : « Laisse les garçons. Avant je voudrais que tu m'aides à résoudre un problème très important.
 

 

— Alors, parle, lui dit le sage homme.

 

— Pendant ton absence, un ami est passé nous rendre visite et nous a laissé en garde deux bijoux d'une valeur inestimable, mais ces bijoux sont si merveilleux que je m'y suis attachée et je n'ai pas très envie de les lui rendre. Qu'en penses-tu? »

 

Le mari lui répondit : « Je ne comprends pas. Tu n'as jamais été attirée par l'apparat, et quand bien même tu le serais, ces bijoux ne t'appartiennent pas et tu dois les rendre.

 

— Mais je ne peux me résigner à les perdre, répondit l'épouse. »

 

Le mari lui rétorqua : « On ne peut pas perdre ce que l'on n'a jamais possédé. Tu vas rendre ces bijoux aujourd'hui même. »

 

Sa femme lui répondit : « Très bien, mon époux. Les deux merveilleux bijoux seront rendus à Celui qui nous les avait confiés. En vérité, c'est déjà fait, car ces bijoux inestimables étaient nos deux fils tant aimés, que Dieu a rappelés à Lui. »

 

Le sage homme comprit le message, enlaça sa femme et sans désespoir ni révolte, ils laissèrent couler leurs larmes. (Petites douceurs pour le cœur, p. 70)

Les deux fils*

L'arbre et la graine (Benoît Marchon)

 

Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent...
Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage? 


Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque...
Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages? 


Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe...
Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle? 


Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle...
Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie?

Les deux fils*

Témoignage

 

Madame Charest,

Ce sont mes amies du travail qui m'ont offert votre livre Petites douceurs pour le cœur que je lis et relis sans relâche. En effet, j'ai appris que mon fils de 15 ans avait le cancer en mai dernier et j'ai dû prendre une décision et quitter mon emploi pour prendre soin de lui. Votre livre est ma source de ressourcement. Vos pensées allègent mes douleurs, me font réfléchir quant à la vie, quant à la mort. Merci encore. — Elaine, St-Jérôme

Les deux fils*

La blague du blog

 

Un gardien demande à un condamné :
« Avez-vous un dernier souhait?
— Oui, lui répond le condamné, je voudrais manger des fraises.
— Mais ce n'est pas la saison pour manger des fraises, lui dit le gardien.
— Ce n'est pas grave, dit le condamné. J'attendrai.
 »

 

 

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15 octobre 2008 3 15 /10 /octobre /2008 23:00



 

L'école, c’est le lieu où nous acquérons de nombreuses connaissances et compétences. C'est là où nous avons appris à nous construire, à devenir des citoyens.

 

Et ce que nous sommes devenus aujourd'hui, nous le devons à nos professeurs. Sans eux, sans la passion qui les anime, sans cette volonté de transmettre leur savoir, nous n'aurions sans doute pas eu le même avenir.

 

Les professeurs sont bien souvent des découvreurs de talents. Ils savent voir la part d'excellence qui est en chacun de nous et nous orienter sur les chemins de la réussite.

 

Si un instituteur n'avait pas convaincu la grand-mère d'Albert Camus de l'inscrire au collège, il est peu probable que cet écrivain aurait eu les mêmes moyens de s'exprimer comme il a pu le faire.

 

On doit donc tous quelque chose à un professeur!

 

C'est pourquoi, il est important de rendre hommage à tous ces enseignants qui nous ont aidés à trouver notre voie. Il est important que notre société leur adresse un message de reconnaissance bien senti et les remercie pour le travail essentiel qu'ils accomplissent chaque jour.

 

Collectif « Vive l'école de la République » - (Petites douceurs pour le cœur, p. 152) 

On doit tous quelque chose à un professeur*
 

L'enseignement, ma mission d'ange (Lucie St-Gelais)
 

La cloche vient tout juste de sonner et déjà 15 élèves sont autour de moi. Ils ont tous et toutes quelque chose de très important à me dire. Je respire et je les écoute un à la fois et les aide à régler leur problème. Souvent, ils n'en ont pas, ils ont tout simplement le goût de partager un événement avec moi. Un enfant me donne un billet de sa mère. Je vais la rappeler pendant ma pause.

Je dois laisser mes propres problèmes à la maison mais j'apporte régulièrement ceux de l'école chez moi. Parfois j'ai de la difficulté à m'endormir parce que je n'ai pas encore trouvé de solution au problème d'un enfant.

Caroline va-t-elle avoir déjeuné demain matin ? Réussir à se concentrer lorsque les borborygmes stomacaux (gargouillis) résonnent dans son estomac est une tâche ardue pour elle. Je me fais une provision discrète de collations dans ma garde-robe de classe. 

 

Pour la suite : document PDF) 
 

On doit tous quelque chose à un professeur*

Témoignage de mon livre d'or

 

Je me régale de ton livre...  La semaine dernière, j'ai aussi suggéré ton livre à une maman d'élève en lui parlant du texte « Ce que je peux, ce que je ne peux pas » qui était vraiment approprié pour elle à ce moment !  Puis, je vais utiliser deux de tes textes avec mes élèves dans mon cours d'éthique et culture religieuse... Bref, je l'adore et il me fait du bien chaque fois que j'en lis un petit bout... Merci encore !


— Alexandra, enseignante St-Eustache 

On doit tous quelque chose à un professeur*

La blague du blog

 

La maîtresse demande à Toto :
— Pourquoi Charlemagne a-t-il inventé l'école ?
— Parce qu'il ne risquait plus rien. Il était trop vieux pour y aller !

 

Le petit Toto récite sa prière avant d'aller se coucher :
— S'il-vous plaît, Seigneur, faites que Alma soit la capitale du Québec
— Sa mère l'interrompt. Pourquoi demandes-tu que Alma soit la capitale du Québec ?
— Parce que c'est ce que j'ai répondu dans mon examen !
 

 

 

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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 23:00

 

 

Vieillir est un couronnement.

 

C’est le soir de l’existence. Mais quand on y songe bien, vieillir, c’est aussi beau que naître. C’est même plus riche que naître. Naître, ce n’est qu’une promesse tandis que vieillir, c’est un accomplissement.

 

La vieillesse est la saison des récoltes, des moissons dorées et des blés mûrs. Si bien qu’on peut dire sans se tromper que les feux du soleil couchant sont aussi beaux que ceux du soleil levant.

 

D’autant plus que ce sont eux qui éclairent nos derniers pas sur la terre. C’est dans leur lueur qu’apparaît notre dernière vérité. Les dernières lumières du soleil couchant sont les premiers rayons de l’éternité. Et quand elles se projettent sur les dernières années de notre vie, alors on devient sage et on cesse d’être acteurs...

 

Nous cessons d’être des personnages de la « comédie aux cent actes divers » qu’est la vie, pour redevenir des personnes. Des personnes responsables de la qualité de leur fin de route. Des personnes mises en face de leur devoir terminal. Des personnes dont le dernier défi sur la terre est de transformer leur déclin physique en croissance morale.

 

Vieillir, c’est voir le monde par l’autre bout de la vie. Et alors, les perspectives ne sont plus les mêmes. Car à mesure qu’on s’approche de « l’autre monde», on se détache peu à peu des intérêts terrestres pour investir dans les valeurs éternelles. Celles qui, seules, peuvent combler l’immensité de notre espérance. Doris Lussier (Petites douceurs pour le cœur, p. 94)

La sagesse du soir*

La blague du blog

 

Trois gars entrent dans un restaurant. La serveuse demande au premier s'il désire avoir la table d'hôte.

— Bien sûr, je vais prendre la table d'hôte.

Elle demande alors au deuxième : Monsieur, allez-vous prendre la table d'hôte?

— Mais oui, je vais prendre la table d'hôte.

Elle pose la même question au troisième.

— C'est sûr, je veux manger avec les autres…

 

 

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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 23:00

 

 

 

 

Dans la vie, vous êtes l'unique responsable de tout ce que vous vivez et expérimentez. Qu'il s'agisse de votre humeur, de votre caractère ou de votre situation sociale, tout ceci n'est en réalité qu'une image projetée de ce que vous pensez au plus profond de vous-même. 

 

Désormais, ne jetez plus le blâme sur les autres et ne vous épuisez pas à essayer de les transformer. Acquérez plutôt une attitude de confiance et d'optimisme vis-à-vis la vie, en visualisant bien fort votre succès et votre réussite avec toute la foi, la détermination, la ferveur et la persévérance dont vous êtes capable. 

 

Entrevoyez la défaite, et l'échec sera votre récompense. Pensez et imaginez le succès, et vous réussirez. C'est d'ailleurs là votre plus grande liberté, vous seul avez le pouvoir de choisir vos pensées. (Petites douceurs pour le cœur, p. 57)

Visualisez votre réussite*
La blague du blog

 

La petite Laurie était dans le jardin en train de remplir un trou lorsque le voisin l'aperçut par-dessus la clôture. « Que fais-tu là Laurie? »

Elle lui répond, sans lever la tête, que son poisson d'aquarium est mort et qu'elle l'enterre.

Le voisin était quelque peu curieux et lui dit : « C'est un très gros trou pour un petit poisson, ne crois-tu pas? »

À ce moment, Laurie terminait la dernière pelletée en la tapant délicatement et lui répondit : « C'est parce qu'il est à l'intérieur de ton chat. »

 

 

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24 septembre 2008 3 24 /09 /septembre /2008 23:00

 

 

L’amour est plus fort que tout. Même si la vie vous a parfois déçu, même si des gens vous ont blessé, même si vous croyez à tout jamais l’espoir perdu, sachez que l’amour saura tout réparer si vous le laissez entrer dans votre cœur. L’amour pardonne tout, efface tout et redonne confiance.

 

Si vous cessez de vous apitoyer sur les erreurs du passé et si vous acceptez d’abandonner les craintes de l’avenir, vous faites un premier pas pour trouver l’amour, car l’amour ne peut cohabiter avec les reproches, la colère et la peur. L’amour fait oublier les souffrances et supprime la haine.

 

L’amour est une émotion qui ne cherche pas à être comprise, mais seulement ressentie et partagée. Si vous cherchez l’amour, commencez par le donner, le répandre autour de vous, l’irradier du plus profond de votre être et c’est alors qu’il viendra vers vous, comme attiré par son semblable. (Petites douceurs pour le cœur, p. 121)

 

Rien n'est plus fort que l'amour*

Que l'amour soit ton bouclier! 

Je vous invite à lire ce merveilleux texte qui parle d'Amour!


Version PDF ou version audio

Rien n'est plus fort que l'amour*

Réflexion supplémentaire

 

L'Univers infini dans lequel je me trouve est complet et parfait, quoique ma vie évolue constamment. Il n'existe ni début ni fin, mais seulement un cycle éternel de substance et d'expériences. Rien dans la vie n'est statique, car chaque instant se manifeste par sa nouveauté et sa fraîcheur. Je suis un avec la Puissance qui m'a créé et qui m'a donné le pouvoir de créer mes propres expériences. Je me réjouis de savoir que je suis le maître de mon esprit. Chaque instant de la vie est un nouveau départ et nous démarque du passé. Ce moment même est un point de départ pour moi, ici et maintenant. Tout est bien dans le monde qui est le mien. (Louise Hay - Transformez votre vie) 

Rien n'est plus fort que l'amour*

La blague du blog

 

Toto rentre du jardin où il était en train de jouer avec son lance-pierres :
 
— Papa! Maman... Vous vous demandiez quand vous alliez faire connaissance avec les nouveaux voisins, je peux vous dire que c'est dans deux minutes.

 

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17 septembre 2008 3 17 /09 /septembre /2008 23:00

 

 

Voulez-vous faire quelque chose aujourd’hui qui non seulement ne vous coûtera rien, mais qui risque également de s’avérer extraordinaire pour vous ? Voici une suggestion.

 

Essayez de passer votre journée dans la joie toute simple d’ÊTRE, en visualisant ce que le verbe ÊTRE veut vraiment dire ici.

 

Faites d’aujourd’hui le jour « zéro » de votre vie, en quelque sorte le point de départ de votre existence. Et promettez-vous de vivre tous les autres avec la même conscience des sensations vraies. Sentez-vous bien dans tout ce que vous effectuez, que ce soit la vaisselle, le marché, le travail, vos loisirs.

 

J’ai fait cet exercice pour découvrir que le fait d’ÊTRE m’incite instinctivement à prendre conscience de ma respiration, à goûter chaque bouchée que je mange, à admirer les beautés qui m’entourent, à dire à un ami que je l’aime, gratuitement, sans rien attendre en retour, et surtout, à réaliser au fond que je suis vraiment bien sur cette terre. Vous ne pouvez savoir à quel point cet exercice améliore la vie.

 

Faites-en l’expérience !

 

(Petites douceurs pour le cœur, p. 9)

 

 

Suggestion de bonheur!*

Lecture complémentaire

 

1re loi : Loi de la pure potentialité

J’entrerai en contact avec le champ de pure potentialité en consacrant chaque jour un moment à rester silencieux, à Être. Je resterai assis, seul, dans une méditation silencieuse, au moins deux fois par jour, environ 30 minutes le matin et 30 minutes le soir. 

Je prendrai le temps, chaque jour, de communier avec la nature et de témoigner silencieusement de l’intelligence présente en toute chose vivante. Je resterai assis et regarderai un coucher de soleil, j’écouterai le bruit de l’océan ou celui d’un ruisseau ou je respirerai simplement le parfum d’une fleur. Dans l’extase de mon propre silence, et en communiant avec la nature, j’entrerai en contact avec la profonde pulsation de la vie, avec le champ de potentialité pure et de créativité illimitée. 

Je pratiquerai le non jugement. Je commencerai ma journée par cette résolution : « Aujourd’hui, je ne jugerai rien de ce qui arrivera » et tout au long de la journée, je me souviendrai de ne pas juger. 

Suggestion de bonheur!*

La blague du blog

 

Deux petits garçons, dont l'un tient une liste à la main, frappent à une porte.

« Bonjour, madame. Nous faisons une chasse au trésor. Pour gagner 1 $, il nous faut trois grains de blé, un os de côtelette de porc et une feuille de papier carbone usagée.

— OH la la! Et qui vous a chargé d'une telle mission?

— Le chum de notre gardienne. »

 

 

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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 23:00

 

 

1. Décider de guérir 

Pour guérir, il ne suffit pas de le désirer, il faut le décider! Si nous désirons simplement guérir, alors nous vivons dans l'espoir et l'attente. Nous ne sommes pas maître des évènements, nous les subissons. Nous sommes dans l'expectative. Pour guérir, nous devons transformer notre désir en décision. Cette décision est le début de notre guérison.

 

2. Devenir l'acteur principal de notre guérison 

Nous sommes l'acteur principal de notre maladie, nous devenons l'acteur principal de notre guérison! Par nos comportements et nos pensées erronés, nous créons nos maladies et nous préparons le terrain favorable à l'apparition de toutes sortes de dysfonctionnements. Nous faisons ensuite appel à des spécialistes — thérapeutes, médecins, guérisseurs — pour nous guérir. Nous sommes donc initialement l'acteur principal de nos maladies, mais nous demeurons spectateur de notre processus de guérison. Pour guérir, nous devons d'abord changer de rôle, et devenir l'acteur principal de notre guérison. Les thérapies, techniques ou traitements deviennent à ce moment des aides précieuses que nous pourrons utiliser pour notre guérison. 

 

3. Adopter de nouvelles attitudes 

Nos anciennes attitudes nous ont rendu malade, les nouvelles nous permettent de guérir! La guérison est un processus de transformation. Celui qui est guéri n'est plus le même que celui qui était malade. La guérison nécessite au minimum de profonds changements et, le plus souvent, une véritable transformation. Elle s'accomplit en adoptant les nouvelles attitudes nécessaires à notre guérison. Notre résistance au changement est un obstacle majeur à notre guérison. 

 

4. Cultiver des pensées positives 

C'est en devenant un optimiste incurable qu'on se guérit! On ne guérit pas dans la tristesse et le pessimisme, mais dans la joie et l'optimisme. Nous devons choisir d'être heureux, et cultiver des pensées positives qui suscitent des émotions dynamisantes. Ainsi nous créons l'environnement propice à notre guérison. Bannissez les pensées négatives, et devenez un optimiste incurable! 

 

5. Agir avec confiance et détermination 

Quand notre détermination est totale, notre guérison est inévitable! L'efficacité de notre pouvoir de guérison dépend de la confiance que nous lui prêtons et de notre détermination à toute épreuve. Quand celles-ci sont totales, notre pouvoir de guérison est sans limites. 

 

6. Utiliser son pouvoir de guérison 

Nous avons le pouvoir de nous rendre malade, mais aussi de nous guérir! Chacun a déjà fait l'expérience de son pouvoir créateur en se rendant malade par des pensées et des attitudes négatives. C'est ce même pouvoir créateur que nous pouvons utiliser consciemment pour nous guérir. 

 

7. Persévérer jusqu'à la réussite 

Notre persévérance est le gage de notre réussite! La guérison commence dès qu'on le décide réellement. Mais de même que les maladies se déclarent après une période d'incubation, la guérison devient totalement manifeste après un temps de gestation. Les effets de la guérison peuvent être immédiats dans certains cas, ou se manifester par étapes pour d'autres aspects, selon les attitudes de chacun et les causes de la maladie. Notre persévérance nous garantit une guérison totale et durable. (Petites douceurs pour le cœur, p. 142)

Les 7 piliers de la guérison*
La blague du blog

 

C'est l'anniversaire du père à Toto, et le papa dit à Toto : 

— Ce qui me ferait le plus plaisir Toto pour mon anniversaire, c'est que tu travailles bien à l'école. Toto dit :

— Trop tard je t'ai déjà acheté une cravate!

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3 septembre 2008 3 03 /09 /septembre /2008 23:00

 

 

Nous nous convainquons que la vie ira mieux une fois que nous serons mariés, aurons un bébé, puis un autre. Ensuite, nous sommes frustrés parce que nos enfants ne sont pas assez vieux et que tout ira mieux lorsqu'ils seront plus grands. Puis, nous sommes frustrés lorsqu'ils arrivent à l'adolescence et que nous devons négocier avec eux. Nous serons certainement heureux lorsqu'ils auront franchi cette étape. 

 

Nous nous disons que notre vie sera comblée lorsque notre conjoint se reprendra en main, lorsque nous aurons une plus belle voiture, lorsque nous pourrons faire un voyage, lorsque nous prendrons notre retraite. La vérité, c'est qu'il n'y a pas de meilleur moment pour être heureux que maintenant. Sinon, quand? Notre vie sera toujours remplie de défis. Il est préférable de l'admettre et de décider d'être heureux, malgré tout.

 

Voici une citation d'Alfred D. Souza. Il dit : « Pendant très longtemps, il me semblait que ma vie allait commencer, la vraie vie. Mais il y avait toujours des obstacles tout au long du chemin : une épreuve à traverser, un travail à terminer, du temps à donner, une dette à payer. Puis, la vie commencerait. J'ai enfin compris que ces obstacles étaient ma vie. » 

 

Cette perspective m'a aidé à voir qu'il n'y a pas de chemin vers le bonheur. Le bonheur est le chemin... Alors, appréciez chaque instant.  

 

Cessez donc d'attendre d'avoir fini l'école, de retourner à l'école, de perdre cinq kilos, de prendre cinq kilos, de commencer à travailler, de vous marier, d'arriver au vendredi, aux fêtes ou aux vacances, de posséder une nouvelle voiture, de finir de payer votre hypothèque, de voir revenir le printemps, l'été, l'automne, l'hiver, avant de décider qu'il n'y a pas de meilleur moment que maintenant pour être heureux...

 

(Petites douceurs pour le cœur, p. 126)

 

Le bonheur à votre portée*

Témoignage

 

Bonsoir Nicole,

Je t'ai lu la première fois dans un moment difficile de ma vie. Tu as, sans le savoir, mis un baume sur mon cœur blessé. La douceur de ta plume m'a permis d'apprivoiser la mort et surtout donné l'envie de continuer à avancer. Merci d'avoir traversé ma vie à ce moment bien précis. Comme tu le dis si bien le hasard n'existe pas...

Lorsque ton frère m'a informé de la sortie de ton livre, je n'ai pu que m'en procurer un. Encore une fois, tu traverses ma vie comme un parfum de bonheur. Et ce parfum, je le partage avec mes enfants. Quotidiennement, chacun de nous puisons dans tes écrits une douceur, une caresse, un bonheur pour l'âme. Merci de partager avec  nous  ces « petites douceurs pour le cœur », c'est tellement bon.
Geneviève, Trois-Rivières

Le bonheur à votre portée*

La blague du blog

 

Un facteur vient déposer une lettre recommandée dans un pavillon. Après avoir sonné en vain, il s'apprête à ouvrir la grille, quand il voit sur la porte un écriteau où l'on peut lire : ATTENTION PERROQUET MÉCHANT!

Le facteur se dit qu'un perroquet ne peut pas être bien dangereux... Il ouvre la grille et entre. À ce moment-là, le perroquet, du haut de son perchoir, crie :

— Rex! Attaque!

 

 

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2 septembre 2008 2 02 /09 /septembre /2008 23:00

 

 

Votre vie est truffée de combats à mener, de défis à relever et d'efforts à déployer. Chaque jour, même si vous ne vous en rendez pas compte, vous vous rapprochez de vos objectifs. Mais attention! Vous pouvez avoir un ennemi capable de détruire sans pitié TOUT ce que vous avez construit au fil des années avec tant de soin et d’application. Je veux parler du ressentiment.

 

Avoir du ressentiment, c'est comme de boire soi-même un poison pour essayer d'empoisonner l'autre. Au moment où la douleur la plus vive s'estompe, la rancœur s'installe. Elle s'envenime, comme une plaie ouverte qui ne veut pas guérir.

 

Le ressentiment est un monstre. Il peut prendre les proportions que vous lui donnez : vous pouvez l'alimenter de vos pensées et de votre apitoiement sur vous-même. Plus il se développe, plus votre vie en est affectée.

 

Et pourtant, l'énergie que vous investissez dans ce fantôme de votre esprit est la même que celle que vous pourriez utiliser pour réaliser vos rêves et vivre la vie pleine et entière que vous méritez.

 

Celui qui ne pardonne pas s'isole de plus en plus, sa rancœur l'empêche de goûter pleinement aux fruits de la vie. Avec la rancœur, tout devient négatif, et se retrouve comme embrumé par les vapeurs du tourment de l'amertume.

 

Est-ce celui qui souffre de rancœur qui mérite le plus notre admiration? Ne serait-ce pas plutôt CELUI QUI PARDONNE? Tout ce qu'obtient celui qui se venge, c'est de fixer à jamais sa douleur impitoyable dans son inconscient.

 

La meilleure vengeance, c'est en somme de prendre sa revanche. Elle consiste à « laisser tomber », à lâcher prise, à renoncer à cette aigreur qui intoxique le cœur afin de poursuivre sa route, débarrassé du poids de la rancune et de choisir de construire plein d’espoir plutôt que de se laisser détruire par la désespérance.

 

Le pardon est un cadeau que vous vous faites à vous-même. C'est une offrande de paix, un soulagement. C'est de prendre la décision d’ouvrir les yeux sur la lumière au lieu de rester cantonné dans l'obscurité, de marcher allégrement et avec confiance vers cette lumière bienfaisante, vers le meilleur de votre vie et de vous-même.

 

N’accordez pas votre pardon à quelqu’un dans l’espoir secret de le voir changer. Votre démarche serait alors beaucoup moins altruiste. Acceptez le fait qu'il ne sera jamais comme vous le souhaitez, cela ne dépend pas de vous. Vous avez donné à un autre le pouvoir de vous rendre malheureux. Reprenez-lui ce pouvoir. Pardonnez-lui, et vous reviendra en force votre immense capacité d’édifier en vous les assises de votre propre tranquillité d’esprit.

 

(Petites douceurs pour le coeur, p. 56)

 

Nombre d'entre nous sont esclaves du passé. Les situations se produisent, elles cessent d'exister, cependant elles se prolongent dans notre esprit. Ouvrez votre coeur et soyez généreux : Libérez-vous de la peine, pardonnez et oubliez, et vous vivrez chaque moment dans la paix.

Sagesse du Raja Yoga

Pardonner?*

Le sac de pommes de terre 

 

Un professeur d'Institut qui devait enseigner sur le thème du pardon, demanda à chacun de ses étudiants d'apporter un sac de pommes de terre lors du prochain cours.

Il leur demanda ensuite d'inscrire sur une pomme de terre le nom de chaque personne à laquelle ils refusaient de pardonner et à côté, la date. Puis ils devaient porter sur leur dos, partout où ils iraient, pendant le mois suivant, le sac de pommes de terre. Ce fardeau leur parut vite insupportable.

Ils se rendirent alors compte du poids spirituel de rancœur qu'ils portaient tous en eux. Ils comprirent aussi le degré d'énergie qu'ils gaspillaient en portant leur fardeau et le danger qu'ils couraient de laisser ce fardeau au mauvais endroit. Puis, à mesure que les pommes de terre commençaient à pourrir, chaque étudiant comprit qu'il devait se débarrasser du sac au plus vite.

Pardonner?*
Pardonner?*

La blague du blog

 

Savez-vous pourquoi le Père Noël rit tout le temps?

Parce que ce n'est pas lui qui paye les cadeaux...

 

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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