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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 18:01

 

 

Par YVON DALLAIRE, psychologue
Auteur des excellents livres :
Qui sont ces hommes heureux?
Qui sont ces femmes heureuses?
Qui sont ces couples heureux ?

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    yvon-dallaire

 

 


 

Mesdames, il est beaucoup plus facile de garder un homme pour la vie si vous le désirez. Il faut toutefois que vous renonciez au syndrome de Cendrillon: le prince charmant, celui qui transformera radicalement votre vie, n’existe que dans vos têtes. Aucun homme ne fera de vous une reine, mais plusieurs pourraient devenir un excellent partenaire de vie.


Acceptez votre homme

D’après la célèbre féministe française, Évelyne Sullerot, la principale raison invoquée par les femmes pour demander le divorce est le désenchantement: les femmes se séparent parce qu’elles n’ont pas obtenu ce qu’elles espéraient. D’où l’importance de ce premier conseil et des autres.

Un proverbe arabe dit: «N’épouse pas l’homme que tu aimes, aime l’homme que tu as épousé». Ce proverbe s’applique aussi aux hommes, mais il est particulièrement vrai pour la femme qui, croyant l’avoir conquis une fois pour toutes, voudrait«l’améliorer» en le rendant conforme à l’homme rêvé, celui qu’on lui a décrit dans les contes de fées et les films hollywoodiens.


Lâchez prise

La pire chose qui puisse arriver à une femme qui veut contrôler son homme, c’est d’y parvenir. Elle obtient alors les pleins pouvoirs, mais sur qui? Sur quoi?

Un homme qui se laisse ainsi conduire devient ce que Charles Paquin appelle un«homme whippet».

Ce n’est plus un homme et il est évident que la femme sera déçue, qu’elle n’aura aucune admiration pour lui et finira par le quitter, parce que réellement désenchantée. Quand ce n’est pas lui qui lui fera sentir sa frustration d’être ainsi contrôlé par une agressivité passive (enfermement dans le silence, fuite dans le travail, absence d’initiative, impuissance, éjaculation précoce...).

Lâcher prise et laisser son homme agir à sa guise stimulera le côté sain de sa masculinité. Sa partenaire ne pourra alors que profiter de toutes les caractéristiques de ce qu’est un homme sain et responsable. Ne cherchant pas à le contrôler, elle obtient ainsi plus de sa relation avec son homme, car celui-ci est prêt à s’investir totalement et à long terme avec la femme dont il se sent respecté et qui, pour lui, devient une complice plutôt qu’une adversaire.


Demandez

Un grand psychologue reconnu internationalement a dit un jour : « demandez et vous recevrez! » La mission millénaire de l’homme, après avoir assuré sa propre survie et son bonheur, c’est d’assurer la survie et le bonheur des siens. Pour ce, il a besoin de savoir ce que vous voulez. Encore vous faut-il faire la différence entre besoin, désir et caprice. Rien ne valorise plus un homme que de se sentir utile et efficace.


Ne critiquez pas

En trente ans d’écoute des hommes venus me voir en thérapie, le principal reproche entendu de leur part, c’est: « Elle critique tout le temps. Elle n’est jamais satisfaite. Je ne sais plus quoi faire pour elle. » Devant une critique, l’homme se défend, contre-attaque en argumentant ou pire, fuit dans le silence ou dans l’absence; ce qui, paradoxalement, augmente les critiques de sa partenaire plutôt que de les faire taire.

Un proverbe féminin dit : « ce qui ne s’exprime pas s’imprime et nous déprime ». En fait, les neurosciences nous démontrent que c’est le contenu de ce que nous exprimons qui nous déprime ou nous enchante. Utilisez les principes de la communication non violente, à une nuance près : « soyez vraie ET positive ».

Même égaux, l’homme et la femme seront toujours quelque peu différents en tant qu’êtres sexués. Heureusement! Sinon, à quoi bon avoir deux sexes?

« Pourquoi, après avoir tout fait pendant dix ans pour que son mari perde ses vieilles habitudes, une femme se plaint-elle qu’il ne soit plus l’homme qu’elle a épousé? »

– Barbra Streisand

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 18:00

 

 

Par YVON DALLAIRE, psychologue
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Seulement 15% à 20% des couples sont véritablement heureux à long terme. Qu’ont-ils de différent des autres couples ? Que font-ils que les autres couples ne font pas ?

 

Ils préfèrent être heureux plutôt que d’avoir raison sur l’autre.

Ils se disent 5 à 10 fois plus de compliments que de reproches.

Ils ne croient pas à la toute-puissance de la communication et ne cherchent pas le consensus à tout prix.

Ils reconnaissent leurs différences et les mettent au service du couple.

Ils se mettent d’accord pour vivre avec des désaccords à vie.

Ils ont appris à négocier des ententes à double gagnant.

Ils acceptent d’être influencés par l’autre.

Ils ne croient pas à l’existence de l’« âme sœur ».

Ils ne sont pas fusionnels.

Ils ne cherchent pas à se faire comprendre de l’autre : ils cherchent à comprendre l’autre.

Ils ne doutent pas de l’amour et de la bonne foi de l’autre.

Ils savent que l’engagement est une conséquence, non une prémisse.

Ils savent que l’amour est une décision, non de la passion.

Ils partagent un grand nombre d’aspirations communes.

Ils ne cherchent pas à savoir « qui a commencé ».

Les deux sont exigeants, pour eux-mêmes et pour l’autre, et ils font le moins de compromis possible.

Ils prennent chacun la responsabilité de leurs réactions émotives et acceptent de se remettre en question.

Ils sont fidèles.

Ils aiment l’autre pour ce qu’il est, pas pour ce qu’il pourrait être.

Ils s’adaptent aux « défauts » de l’autre.

Leur relation est basée sur une profonde amitié.

Ils ne sont pas exempts de conflits, mais ne se laissent pas envahir par ceux-ci.

Ils utilisent des techniques de rapprochement lors de conflits.

Ils savent qu’il y a toujours deux responsables lors de disputes.

Ils ont des contacts physiques asexués quotidiens.

Ils se rappellent leurs souvenirs heureux et ne ressassent pas leurs mauvais souvenirs.

Ils considèrent l’autre comme un invité spécial dans leur vie.

Ils développent un sentiment de solidarité contre les « ennemis » naturels du couple : les enfants, les beaux-parents, les amis, l’argent…

Ils expriment leurs besoins (sexuels et autres) de façon directe.

Ils s’entraident à réaliser leurs rêves personnels respectifs.

Ils ont appris à dire « merci ».

Ils ont des rituels familiaux.

Ils utilisent la technique « sandwich » lors d’un grief : un compliment, le grief, un compliment.

Ils ne croient pas à la critique, même dite constructive.

Ils partagent équitablement les tâches ménagères.

Ils confirment les interventions de l’autre auprès des enfants.

Ils s’informent de leur journée avant de partir le matin.

Ils planifient une discussion déstressante en fin de journée.

Ils séparent vie professionnelle et vie privée.

Ils ont un rendez-vous hebdomadaire de 2 h 30 en tête-à-tête.

Ils savent que l’amour se construit.

Leur lit est un lieu de détente et un terrain de jeux, jamais un champ de bataille.

Ils ont une bonne estime d’eux-mêmes.

Ils ne sont pas sur la défensive.

Ils ne sont pas nécessairement plus intelligents que les autres couples.

L’un ne change pas radicalement pour faire plaisir à l’autre.

Leur relation amoureuse a progressé lentement, mais sûrement.

Ils ne comparent pas ce que l’un fait et l’autre pas.

En fait, les membres des couples heureux préfèrent brasser des fleurs, car ils savent que le bonheur est une question d’odeur… et de décision.

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 18:00

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Chaque fois que nous dépassons le stade de la bienveillance et de la compassion pour vraiment essayer de régler les problèmes d’une autre personne, nous nous retrouvons en plein cœur d’une lutte d’ego. Nous nous sentons attaqués par le manque de sérénité de l’autre, sa tristesse et la réalité de ses problèmes. La personne peut se sentir attaquée par le problème, par notre tentative d’aide ou par notre incapacité à y réussir. Nous pouvons nous sentir à la fois sur la défensive et amers.

 

Nous ne pouvons pas prendre soin de nous, de notre véritable bonheur, de notre tranquillité d’esprit et de notre bien-être tout en essayant de contrôler la vie d’une autre personne, ses problèmes ou ses sentiments. Nous ne pouvons pas rendre une autre personne heureuse, et nous n’avons pas besoin de son bonheur pour trouver le nôtre. Si nous nous rappelons que le bonheur — notre bien-être suprême — provient de l’intérieur de chacun de nous, nous pouvons voir que toutes nos manipulations extérieures sont futiles.

 

Lorsque nous reconnaissons les réactions défensives de notre ego aux problèmes des autres, nous pouvons commencer à nous tourner vers notre esprit pour adopter un autre point de vue. Le point de vue de notre esprit est aimant et généreux, mais pas d’une façon obsessionnelle, contrôlante ou menée par la culpabilité. Il est également aussi aimant envers nous-mêmes qu’envers les autres. Dans certaines relations comme celles des parents et des enfants-adultes, nous sommes particulièrement exposés au point de vue de notre ego plutôt qu’à celui de notre esprit.

Source : Ray, Veronica, Choisir d’être heureux, Béliveau éditeur, 1998

Au-delà du stade de la bienveillance*
Au-delà du stade de la bienveillance*

La blague du blog

 

Un soir, une adolescente amène son nouveau copain à la maison pour rencontrer ses parents. Manteau de cuir, bottes de moto, tatouages et pearcing dans le nez. Les parents amènent leur fille à l’écart et lui disent inquiets : « Il n’a pas l’air très gentil… »

La jeune fille répond : « S’il n’était pas gentil, est-ce qu’il ferait 5 000 heures de travaux communautaires? »
    

 

 

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 18:00

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L’amour est la force de guérison la plus puissante qui soit.

Envoyons des pensées de réconfort, d’acceptation, de soutien et d’amour à tous ceux que nous connaissons. Soyons conscient que lorsque nous émettons ces pensées, nous les recevons également en retour.

Enveloppons tous les membres de notre famille dans un cercle d’amour, qu’ils soient encore de ce monde ou non. Incluons nos amis, nos collègues et toutes les personnes de notre passé, ainsi que tous ceux à qui nous aimerions pardonner, même si nous ne savons pas comment nous y prendre.

Envoyons de l’amour à toutes les personnes qui souffrent dans leur corps ou dans leur âme ; à toutes celles qui désespèrent.

Envoyons de l’amour à toutes les personnes malades, ainsi qu’à toutes celles qui les accompagnent, les soignent, les protègent et les défendent.

Laissons ce cercle d’amour envelopper la planète. Envoyons de l’amour à tous les peuples de la terre : ceux qui luttent pour leur liberté, leur survie ou qui doivent rebâtir leur pays. Voyons tout le monde vivre avec dignité, dans la paix et la joie.


Envoyons de l’amour à tous nos jeunes : ceux qui noient ou gèlent leurs trop grandes souffrances ; ceux qui sont désabusés et qui n’entrevoient aucun espoir dans l’avenir.

Envoyons de l’amour à tous ceux qui nous ont fait souffrir ou qui nous ont déçus.

Plaçons-nous dans ce cercle d’amour. Pardonnons-nous. Nous sommes dignes d’amour. Nous sommes beaux. Nous sommes puissants. Qu’il en soit ainsi.

Louise Hay
      

L'amour est guérison*
L'amour est guérison*

La blague du blog

 

Un gars saoul sonne à une porte à 4 heures du matin. Un homme ouvre et lui demande : « Qu'est-ce que tu veux? L'homme saoul répond : « Viens me pousser. » L'homme répond : « Oublie ça ! »

Sa femme lui dit : « Chéri, t'aurais pu aller le pousser. Ça t'est déjà arrivé d'être en panne. » Alors le gars, pris de remords, s'habille, descend, ouvre la porte et crie : « Ok, je vais te pousser, té où ? » Le gars saoul répond : « Chu icitte man dans la balancoire ! »

 

 

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14 décembre 2011 3 14 /12 /décembre /2011 18:00
ban-noel1

 Si Noël, c’est la Paix,
la Paix doit passer par nos mains.
Donnons la paix à notre voisin.

Si Noël, c’est la Lumière,
la Lumière doit fleurir en notre vie.
Marchons vers nos frères pour illuminer leurs jours.

Si Noël, c'est la Joie,
la Joie doit briller sur nos visages.
Sourions au monde pour qu'il devienne bonheur.

Si Noël, c'est l'Espérance,
l'Espérance doit grandir en notre cœur.
Semons l'Espérance au cœur de chaque homme.

Si Noël, c'est l'Amour,
l’Amour doit inspirer chacune de nos actions.
Portons l'Amour à tous les affamés du monde.

Si Noël, c’est la Justice,
la Justice doit être notre préoccupation.
Soyons les fidèles défenseurs des malheureux.

Si Noël, c’est la compassion,
la Compassion doit nous habiter.
Comprenons et soulageons la souffrance d'autrui.

Si Noël, c’est la Liberté,
            la Liberté doit nous porter au respect.
Sachons nous respecter les uns les autres.

Si Noël, c’est la Vérité,
la Vérité doit faire partie de notre vie.
Recherchons-la, proclamons-la, défendons-la.

Adaptation d'un texte signé « Haïti »
par Nicole Charest

Si Noël, c'est...*
Si Noël, c'est...*

La blague du blog

 
Un employé demande à son patron :
- Chef, pourrais-je quitter le bureau trois heures plus tôt, pour pouvoir aller faire du shopping avec ma femme ?
- Il n’en est pas question !
- Merci, Chef. Je savais que vous ne me laisseriez pas tomber.

 

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30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 18:00

 

 

Un roi voulait à tout prix marier sa fille, mais celle-ci refusait les beaux partis qu'il lui présentait, car elle aimait en secret un petit cordonnier. Au bout de quelque temps, son père fut à bout de patience. Il l'obligea à se décider, sinon ce serait lui qui choisirait.

La princesse proposa alors un marché. Elle se marierait avec le prétendant qui lui ferait le plus beau cadeau. Son père fut très étonné. Il ne savait pas sa fille aussi attachée aux choses matérielles, mais il accepta devant toute la cour cette sage décision.

L'annonce fut alors proclamée et tous les prétendants se présentèrent au palais avec des cadeaux plus somptueux les uns que les autres : chevaux chamarrés et empanachés de rubans, rivières de diamants, soies des Indes, verres de Murano, diadèmes incrustés de pierreries, perroquets parlant latin... Bref ! Tout ce qu'on peut imaginer de plus luxueux lorsqu'on est prince, archiduc ou marquis.

Quant au petit cordonnier, il fut la risée de tous lorsqu'il lui porta de merveilleux escarpins de cuir qu'il avait fabriqués. Pourtant, ce fut lui qu'elle choisit. Et le roi eut beau tempêter, la fine mouche lui prouva que seul ce cadeau était recevable, car le cordonnier l'avait fait de ses mains. C'était cela FAIRE un cadeau, et non se contenter de sortir quelques deniers de sa bourse !

Le roi comprit que sa fille l'avait berné, mais, devant toute sa cour réunie, il ne put pas revenir sur sa parole. Alors il oublia sa colère et finit par se féliciter d'avoir mis au monde une enfant aussi pleine de sagesse. Avec un tel caractère, l'avenir de son royaume était assuré !

 


Source : Michel Piquemal, Le conteur philosophe, 2010
Trouvé sur le site
Le monde de la philo et de la poésie
         

Nous faisons plus facilement cadeau de notre bourse que de notre cœur.

Anton Tchekhov

Personne ne peut m'offrir de plus beau cadeau que celui de me sentir aimé.

Mercia Tweedale    

Les escarpins du cordonnier*
Les escarpins du cordonnier*

Témoignage de mon livre d'or

 

Je voulais vous dire que dernièrement, j’ai eu une rude épreuve à traverser dans ma vie et que mon moral était à son plus bas… jusqu'à ce que je découvre, par hasard, dans une librairie près de chez moi, votre livre.

Toutes les petites histoires et citations m’ont réellement fait du bien et mon humeur s’est vite améliorée! Vous m’avez vraiment aidé à passer par-dessus cette période de dépression et je vous remercie de tout mon cœur! Je suis certaine que votre livre a eu le même effet sur plusieurs autres personnes qui, comme moi, traversaient des phases difficiles dans leur vie.

Après avoir lu votre livre, je l’ai recommandé à tout le monde autour de moi et j’ai bien l’intention d’en parler à tous ceux qui traversent des moments difficiles. Je vous remercie et vous félicite pour ce magnifique ouvrage! - Maria
 

Les escarpins du cordonnier*

La blague du blog

On appelle l’instituteur au téléphone.

« Allô, je voulais vous dire que mon fils est malade et qu’il ne viendra pas à l’école aujourd’hui.

– Mais qui parle ?

– Mon père. »

 

 

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 18:00

C1 tome-2

 

Un homme planta une rose et prit soin de l'arroser fidèlement. Juste avant qu'elle fleurisse, il l'examina. Il vit le bouton en fleur et aussi les épines. Alors il pensa : « Comment est-il possible qu'une fleur si magnifique provienne d'une plante chargée d'autant d'épines piquantes? »

Cette pensée le rendit triste si bien qu’il négligea d'arroser la rose et comme elle était prête à fleurir, faute d’être abreuvée, elle mourut.

Il en est ainsi pour tant d’aspects de notre vie. À l'intérieur de chaque âme se trouve une rose. Les qualités divines semées en nous à la naissance grandissent parmi les épines de nos erreurs.

Nous sommes plusieurs à nous regarder et à voir seulement nos épines, nos défauts. Nous désespérons, en pensant peut-être que rien de bon ne peut sortir de nous. Nous négligeons ainsi, à l’instar de cet homme pour sa rose, d'arroser le bien qui est en nous, et finalement, il meurt. Nous ne donnons jamais libre cours à notre potentiel.

Certains ne voient pas la rose à l'intérieur d'eux-mêmes, un autre doit la leur montrer. Un des dons les plus extraordinaires est la capacité de trouver la rose à l'intérieur d’autrui malgré les épines. C'est la caractéristique de l'amour de regarder une personne et, en dépit des erreurs commises, de reconnaître la noblesse de son âme. Nous l'aiderons ainsi à comprendre qu'elle peut dépasser ses erreurs.

Si nous lui montrons avant tout la rose splendide qu’elle est appelée à devenir, elle fera la conquête des épines et se pardonnera ses imperfections passées. Alors elle fleurira, et plus loin fleuriront trente, soixante, une centaine de plants comme celui qui lui a été donné.

Notre devoir en ce monde est d'aider les autres en leur dévoilant leurs roses et non leurs épines. Alors seulement, nous parviendrons à éprouver l'amour que nous devrions ressentir pour chacun, alors seulement nous fleurirons dans notre propre jardin.

Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 110 

La rose et les épines*
La rose et les épines*

La blague du blog

 

Une voyante prédit l’avenir à sa jeune cliente :

« Vous épouserez un homme beau, riche, jeune et intelligent !

– Ah ! Et mon fiancé, qu'est-ce qu'il va devenir ? »

 

 

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2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 18:07

logo 2012

 

On vous a heurté, on vous a blessé ou du  moins, vous avez cru l’être. Et votre amour-propre est à vif. Aussitôt vos traits se contractent, vous vous repliez sur vous-même et la muraille d’hostilité se ferme autour de vous.

 

Pour peu que vous soyez enclin à ce défaut, vous n’avez manqué de remarquer que la bouderie est une arme dangereuse dont un tranchant est tourné contre votre entourage et l’autre tranchant tourné contre vous. En boudant, vous vous retirez du milieu social ou familial, vous vous mettez délibérément en quarantaine.

 

Pour punir les autres d’un méfait souvent illusoire, vous vous punissez d’abord le premier. Dès que vous avez constaté un froissement et que vous sentez venir la vague de bouderie, ne cédez pas à ce sentiment, car il se fortifie à mesure qu’il est installé.

 

Faites taire d’office votre amour-propre irrité. Ne le laissez pas proférer une seule syllabe. En imposant d’emblée silence à l’amour-propre, vous coupez les ailes à la bouderie avant qu’elle ait pris essor. Mais si la bouderie est plus forte que vous et vous isole du monde, gardez-vous de l’alimenter par des pensées de dépit.

 

Prenez aussitôt un livre. Ou plongez-vous sans délai dans quelque travail mental. À peine votre esprit se sera-t-il détourné de l’objet de sa prévention, que molliront les fibres de la rancune. Et vous serez étonné du peu de consistance de vos griefs. Lorsque vous aurez fait cette constatation, n’hésitez pas. Allez aborder votre entourage et faites-lui la surprise d’un visage et ouvert. Les pires champs de glace fondront au contact de votre sourire.

 

– Source : Georges Barbarin, Le livre de chevet, 1984

 

Bouderie : une grève de gamins.

Jules Renard

Bouder*
Bouder*

La blague du blog

« Tiens, Robert, je t’ai acheté deux chemises pour ton anniversaire : une bleue et une verte !
– Merci, ma chérie… »
Le lendemain…
« Bonjour chérie! Bien dormi ?
– Pourquoi as-tu mis la chemise bleue, Robert, tu n’aimes pas la verte? »

 

 

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 17:00

C1 tome-2



Avez-vous remarqué qu’on parle généralement du bonheur au passé ou au futur, mais rarement au présent?

 

Il suffit que nous jetions un regard sur notre enfance, sur notre jeunesse, sur nos premières années de vie conjugale, enfin sur ce qui n’est plus, pour que nous fassions l’aveu que nous avons déjà été heureux, que nous avons même connu des moments de grand bonheur.

 

Et quand nous songeons à l’avenir, c’est généralement pour édifier l’espoir d’autres bonheurs, des bonheurs différents, mais plus grands si possible que ceux déjà goûtés. Car, au fond, nous croyons toujours ne pas avoir obtenu de la vie notre part légitime de bonheur. Nous en exigeons beaucoup plus.

 

Le présent? Il ne signifie pour nous que déboires, malheurs, fatigues, ennuis et tout ce que l’on voudra, sauf le bonheur. Il existe le bonheur, mais seulement chez les autres, chez les gens d’en face, par exemple, ou encore chez le voisin d’à côté. Un vrai paradis sur terre pour certains, tandis que nous…

 

Tandis que nous, aveuglés par notre égoïsme, nous refusons de reconnaître le bonheur qui nous échoit quotidiennement. Si seulement nous nous donnions la peine de ne pas augmenter l’importance ou la gravité des petits chagrins, des petites souffrances ou des petites contrariétés enveloppant toujours le vrai bonheur…

 

Si, un matin, nous nous croyons vraiment malheureux, allons donc jeter un coup d’œil dans les salles d’urgence ou de consultations externes des hôpitaux.

 

Pour quelques instants, mettons-nous dans la peau de ceux qui attendent pour subir une intervention chirurgicale dont l’issue reste douteuse. Pour quelques instants, pensons au sort des personnes handicapées, de ceux qui ne peuvent se déplacer qu’assis dans un fauteuil roulant. Peut-être admettrons-nous alors que nous sommes heureux, que nous sommes même favorisés.

 

Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 94 

 

Heureuse est la personne qui sait quoi se rappeler du passé, quoi apprécier du présent, et quoi planifier pour l’avenir. 

Arnold H. Glasgow

Le passé plus que parfait*
Le passé plus que parfait*

Lecture complémentaire

 

Vous vous rappelez certaines situations problématiques que vous avez confiées à l'intelligence universelle? Vous aviez essayé plusieurs solutions qui ont eu plus ou moins de résultats et, un jour, vous avez admis que vous ne saviez plus quoi faire. Vous avez confié le problème à l'intelligence de l'univers. Vous avez connu une certaine paix intérieure puisque vous ne vous sentiez plus entièrement responsable de la situation. Pourtant, votre problème était toujours là.

 

Et puis, au moment où vous ne vous y attendiez plus, voilà que les événements ont pris une tournure favorable. Puisque vous lui en avez donné la chance, l'univers vous a guidé vers la solution idéale. Quand ce merveilleux moment arrive, vous rendez-vous compte à quel point votre foi dans les forces positives qui vous habitent est renforcée? Et avez-vous pensé à manifester votre gratitude pour la recette toute simple et infaillible que vous avez mise en œuvre?

 

Source : Un jour à la fois, Tome III

Le passé plus que parfait*

La blague du blog

Un instituteur fait remarquer à un de ses élèves : « C’est très curieux mais, sur ce devoir de mathématiques, il me semble reconnaître l’écriture de ton père.

– Ça ? Fait le gamin, ce n’est pas étonnant, je me suis servi de son stylo! »

 

 

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5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 17:00

 

 

Il est temps d'admettre que, non seulement l’échec n'est pas un drame, mais qu'il peut bien souvent devenir un événement positif. Son premier atout, qui est loin d'être négligeable, consiste à nous remettre dans une attitude d'humilité face à la vie. Il nous contraint à accepter la vie telle qu'elle est et non pas telle que nous la voulons ou la rêvons.

 

La vraie souffrance naît de notre résistance au changement, au mouvement de la vie, à son flux. Alors, réjouissons-nous quand il y a des hauts; et quand des bas se présentent, acceptons-les et faisons en sorte qu'ils nous servent de tremplin.

 

En ce sens, il faut considérer nos échecs comme autant de maîtres spirituels, c'est-à-dire de guides qui nous aident à rectifier notre trajectoire. Ils appartiennent à la loi de la vie, et leur présence, qui nous est naturellement désagréable sur le moment, est néanmoins indispensable à la globalité de notre parcours.

 

Pour qu'ils soient de vrais maîtres, néanmoins nous devons transformer le regard que nous portons sur eux. Plutôt que vivre chaque échec comme un drame, entendons-le comme l’occasion d’un éveil, d’une prise de conscience.

 

Essayons d’en tirer des leçons plutôt que de perdre notre énergie à ressasser ses causes et ses conséquences. Considérons d’emblée que la difficulté qui nous frappe n’est pas un drame, mais une occasion de réfléchir à notre vie, de l’appréhender autrement.

Source : Frédéric Lenoir, Petit traité de vie intérieure

La majorité des gens pensent que le succès et l'échec sont des opposés, alors qu'ils sont en fait deux ingrédients du même processus.

Patrick Leroux

L'échec n'est pas un drame*
L'échec n'est pas un drame*

La blague du blog

 

« Qu’est-ce que la légitime défense? Demande la maîtresse à Toto.

– C’est quand mes notes sont tellement mauvaises que je suis obligé de signer moi-même mon carnet. »

 

 

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21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 17:01

C1 tome-2

Un homme avait hérité d'un superbe terrain, au bout duquel se trouvait un érable magnifique.

Mais cet homme venait de la ville, et il ne connaissait rien aux arbres.

Il vint trouver l’érable vers la mi-juillet et lui dit : « Donne-moi de ta sève sucrée, que j’en fasse du sirop. »

L’érable lui répondit : « Mais je n’ai plus de sève à donner, elle est toute répartie dans mes feuilles. »

L’homme revint à la fin d’octobre et dit à l’érable : « C’est l’été des Indiens. Il fait chaud. Donne-moi de l’ombre. »

L’arbre lui répond : « Mais, je n’ai plus d’ombre à donner parce que le vent m’a pris toutes mes feuilles. »

Déçu, l’homme revint six mois plus tard, à la mi-mars.

Il dit à l’arbre : « Je suis fatigué de ne voir que le blanc de la neige. Donne-moi de tes belles couleurs d’or et de rouille. »

Mais l’érable était si occupé à pomper la vie dans ses bourgeons qu’il ne l’entendit même pas.

Furieux, l’homme le coupa et le brûla...

Source : Petites douceurs pour le coeur, tome 2, p. 102

 

Pour être heureux avec les êtres, il faut voir ce qu’ils peuvent offrir et non ce qu'ils ne peuvent donner. 

L'érable*
L'érable*

La blague du blog

 

Pour la première fois, Maurice est invité par les parents de sa petite amie. Un peu plus tard, il dit à Michèle :

« Je n’irais pas jusqu’à dire que ta mère cuisine mal, mais maintenant, je comprends pourquoi vous priez avant de vous mettre à table. »

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 17:01

logo 2012


            
J’aurais pu devenir riche si j’avais choisi l’or plutôt que mes amitiés.


 

J’aurais pu être célèbre si j’avais cherché la renommée pendant les heures où je m’appliquais à jouer.

 

Et me voici, assis à l’extrémité de ma vie, jetant un coup d’œil derrière moi pour voir tout ce que j’ai fait avec ces jours et ces années qui étaient miens et tout ce qui m’est arrivé.

 

Je n’ai pas vraiment de fortune à léguer à ceux qui porteront mon nom. Et je n’ai rien fait qui soit susceptible de m’assurer une place sur les registres de la renommée. Mais j’ai adoré le ciel et ses grands espaces bleus; j’ai vécu avec les arbres et les oiseaux; j’ai dédaigné l’or et l’argent pour partager des plaisirs comme ceux-là.

 

J’ai donné mon temps aux enfants qui sont venus; nous avons joué ensemble bruyamment. Et je n’échangerais pas les heures heureuses passées avec eux pour tout l’argent que j’aurais pu faire.

 

J’ai choisi d’être connu et aimé par quelques personnes, et j’ai fait la sourde oreille aux applaudissements des hommes; et je referais les mêmes choix si la chance m’était donnée de revivre ma vie.

 

J’ai vécu avec mes amis et j’ai partagé leurs joies, connu leurs peines avec toutes leurs larmes; j’ai fait une belle récolte avec les quelques arpents de ma vie, même si certains prétendent que j’ai gaspillé mon temps.

 

J’ai été à même de bien profiter de mes belles choses, et je crois avoir ainsi rempli ma vie de mon mieux. Et au crépuscule de ma vie, je ne regrette pas tout l’or que j’aurais pu posséder.

 

Source : Bouillon de poulet pour l'âme des aînés.

 

Les jours les plus beaux et les plus doux ne sont pas ceux où il se passe des choses particulièrement belles, merveilleuses ou passionnantes. Ce sont ceux qui apportent des plaisirs simples, qui se succèdent en douceur.

Lucy Maud Montgomery

Rétrospective*
Rétrospective*

La blague du blog

« Maman, Luc m’a invité chez lui pour le week-end !
– Il va sans doute te présenter à ses parents ?
– Mais non, ils sont en voyage ! »

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3 août 2011 3 03 /08 /août /2011 17:00

 

 

Un orchestre arriva un jour dans une ville pour tenir la parade annuelle. Malheureusement, le jeune qui jouait du trombone tomba soudainement malade.

 

Le chef d’orchestre, en désespoir de cause, s’adressa à la foule, juste avant le début de la parade. Il s’informa si quelqu’un savait jouer du trombone et pouvait venir remplacer le jeune garçon malade. Parmi la foule, un adolescent d’une douzaine d’années leva alors sa main et cria : « Oui, oui, moi je peux, moi je peux! » En toute hâte, le chef d’orchestre lui remit le trombone et les partitions de musique qu’il devait jouer.

 

Peu de temps après le commencement de la parade, le chef d’orchestre s’aperçut que le jeune garçon ne savait pas jouer du trombone du tout. Il avait même de la difficulté à tenir son instrument, il était incapable de rester dans les rangs avec les autres musiciens, mais le pire de tout, c’est qu’il effectuait toutes sortes de bruits bizarres avec son trombone. Il faisait tout, sauf jouer ses partitions.

 

Tout de suite après la fin de la parade, le chef d’orchestre s’empressa d’aller voir le jeune en question et lui demanda sur un ton assez hostile : « Pourquoi m’as-tu dit que tu savais jouer du trombone, alors que de toute évidence, tu ne sais vraiment pas en jouer? »

 

Et le jeune garçon, innocemment, répliqua : « Comment vouliez-vous que je le sache, je n’avais jamais essayé auparavant! »

 

Source : Pour le cœur et pour l'esprit - Patrick Leroux

 

 Il y a pire dans la vie que de ne pas avoir réussi, c’est de ne pas avoir essayé. 

Le petit garçon et le chef d'orchestre*
Le petit garçon et le chef d'orchestre*

La blague du blogue
           
 

« Rémi, je t’ai déjà dit que, quand tu tousses, tu dois mettre la main devant ta bouche !

Oui, je sais mais j’ai essayé plusieurs fois et ça ne m’a jamais empêché de tousser ! »

 

 

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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 17:00

bonété 2a

 

Chaque existence a sa propre histoire. Nous donnons tous une signification aux événements qui marquent notre vie, et nous décidons ensuite d’être heureux ou malheureux selon le sens positif ou négatif donné à ces expériences. Ce que beaucoup de gens ignorent, pourtant, c’est qu’ils sont libres de choisir le sens sous lequel ils interprètent chacune des expériences de leur vie.

 

Vous conférez constamment un sens aux événements que vous vivez, alors pourquoi ne pas choisir une signification positive et fortifiante, un sens qui n’engendre pas de stress ou d’angoisse?

 

Supposons que quelqu’un klaxonne et vous coupe la voie dans le trafic, vous pouvez penser que ce conducteur est un rustre égoïste ou que vous avez fait une fausse manœuvre. Mais vous pouvez aussi croire qu’aucune raison ne justifie son comportement ou encore imaginer qu’il vient d’apprendre que sa femme se prépare à accoucher et qu’il veut se rendre à l’hôpital à temps. Vous pouvez être mécontent et en colère ou bien éprouver de la compassion pour cet homme.

 

Puisqu’il vous est impossible d’interpréter ses motivations réelles, attribuez donc à ses gestes une signification qui ne vous portera aucun préjudice. Et donnez des significations à votre vie qui ne vous aliéneront pas!

– Source : Le coaching de l'âme - Denise Linn, p. 102

 

Si nous ne pouvons rien sur les événements, nous pouvons les modifier par la manière dont nous les acceptons.

Alfred Capus

Interpréter les événements*
Interpréter les événements*

La blague du blogue 
           
« Théo, tu as mangé tous les gâteaux sans penser à nous ! Tu aurais pu nous en laisser!

– Oh, au contraire, je n’ai cessé de penser à vous en les mangeant : j’avais trop peur de vous voir arriver ! »

 

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6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 17:00

bonété4

 

À l’intérieur de votre « home », vous ne passez pas vos journées près de l’évier, ni dans l’ombre de la cave. Vous faites en ces lieux les gestes strictement indispensables, puis, le reste du temps, vous en oubliez jusqu’au souvenir.

 

Par contre, vous recherchez dans votre maison les pièces dont le séjour est le plus agréable, c’est-à-dire où règnent une disposition heureuse, le plus confortable ameublement, la meilleure vue, le soleil.

 

Alors pourquoi restez-vous continuellement penché sur les coins d’obscurité et les sentines qui sont au fond de vous-même et ruminez-vous dans votre pensée uniquement les peines, les échecs, les rancœurs, le désespoir ?

 

N’y a-t-il pas dans votre esprit d’autres endroits d’élection ornés de vos espérances, meublés de vos joies, tapissés de vos réussites ? Que n’êtes-vous constamment à celles des fenêtres de votre âme qui donnent sur la lumière et sur le ciel ?

 

– Barbarin, Georges, Le livre de chevet, p. 82 

Choisissez vos pensées*
Choisissez vos pensées*

Le bonheur! Tout le monde le cherche et le recherche. Laissons Deepak Chopra, auteur internationalement connu et reconnu, nous livrer 5 importantes clés. Voici la deuxième.

 

2) Restez conscient que le monde extérieur reflète votre réalité intérieure. Les gens qui suscitent en vous des réactions intenses, qu’elles soient d’amour ou de colère, sont des projections de votre monde intérieur. Ce que vous détestez le plus reflète ce que vous niez le plus en vous-même. Ce qui vous aimez le plus reflète ce que vous voulez le plus pour vous-même. Servez-vous du miroir de vos relations comme d’un guide pour votre évolution, afin d’apprendre à vous connaître parfaitement. Une fois que vous y serez parvenu, vous aurez acquis ce que vous voulez le plus, et ce que vous aimez le moins disparaîtra.

 

Source : Les secrets de la sagesse, Éditions AdA Inc., p. 121

Choisissez vos pensées*

La blague du blogue

Un facteur arrive devant une maison. Il est accueilli par un énorme chien qui n’arrête pas d’aboyer.

« N’ayez pas peur, dit sa maîtresse, vous connaissez le proverbe : "Chien qui aboie ne mord pas".

– Oui, répond le facteur. Moi je connais le proverbe, mais lui, est-ce qu’il le connaît? »

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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