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16 octobre 2024 3 16 /10 /octobre /2024 07:00

 

 

Je me permets de vous partager un petit souvenir personnel, car il m’a inspiré le texte ci-dessous. C’était en 1977, et j’en étais à mon tout premier emploi. Un collègue m’a confié une tâche urgente et complexe à remettre, ni plus ni moins, qu’au directeur du personnel.

Je n’ai rien dit, mais je trouvais que ce travail aurait dû revenir à l'autre secrétaire, bien plus expérimentée que moi. Malgré tout, je me suis mise au travail et ai respecté le délai imparti.

Quelques semaines plus tard, Monsieur Forcier, pour ne pas le nommer, m’interpella et me dit : « Le directeur a trouvé ton travail excellent. Il a même été agréablement impressionné. » Touchée, je lui ai répondu : « Vraiment ? Merci de me le dire, vous êtes vraiment gentil. » Il m’a alors rétorqué, tout simplement : « Mais Nicole, ce compliment ne m’appartient pas… »

Ce compliment m’a littéralement donné des ailes et m’a offert une leçon précieuse qui m’inspire encore aujourd’hui : « La reconnaissance est l’un des plus beaux cadeaux que l’on puisse offrir et recevoir. »

La reconnaissance est un sentiment profond et sincère qui naît lorsque nous apprécions ce que nous avons reçu, que ce soit un acte de gentillesse, une aide précieuse ou un soutien inattendu. Ressentir cette gratitude dans notre cœur est une chose merveilleuse, mais ne pas l’exprimer peut laisser cette belle émotion sans impact réel. C’est comme emballer soigneusement un cadeau, mais ne jamais le donner à la personne pour laquelle il est destiné.

Exprimer la reconnaissance est essentiel pour nourrir les relations et renforcer les liens humains. Lorsque nous partageons notre gratitude, nous faisons plus que simplement reconnaître ce que quelqu’un a fait pour nous ; nous leur montrons qu'ils ont eu un impact positif sur notre vie. Ce geste de reconnaissance est un moyen puissant de créer de la connexion et de renforcer le bien-être mutuel. Cela peut se faire par des mots, des actions ou des gestes qui montrent notre appréciation sincère.

Il est facile de se retrouver pris dans le tourbillon quotidien et de ne pas prendre le temps de dire « merci » ou de montrer notre gratitude. Pourtant, chaque fois que nous partageons notre reconnaissance, nous enrichissons notre propre vie et celle des autres. Nous transformons un sentiment intérieur en une expérience vécue qui apporte de la chaleur, de la joie et du réconfort.

En prenant le temps d’exprimer ce que nous ressentons, nous offrons un cadeau précieux, non seulement à ceux qui nous ont aidés, mais aussi à nous-mêmes, en cultivant des relations plus profondes et plus significatives.

© Nicole Charest | lapetitedouceur.org

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Ressentir de la reconnaissance sans l'exprimer est comme emballer un cadeau et ne pas le donner.

William Arthur Ward

La reconnaissance silencieuse

Voici trois questions qui vous aideront à approfondir votre réflexion sur le texte et à appliquer ses enseignements à votre vie personnelle.

1. Qui dans ma vie mérite ma reconnaissance et comment puis-je exprimer ma gratitude de manière significative ? 

2. Quelles occasions récentes de montrer ma reconnaissance ai-je manquées, et comment puis-je rectifier cela ? 

3. Comment puis-je intégrer l’expression de ma gratitude dans ma vie quotidienne pour renforcer mes relations et mon bien-être personnel ?

La reconnaissance silencieuse
OptionsMariage.com

 

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13 octobre 2024 7 13 /10 /octobre /2024 07:00
14 OCTOBRE : JOUR DE L’ACTION DE GRÂCE

Oprah Winfrey disait : « Soyez reconnaissant pour ce que vous avez ; vous finirez par en avoir davantage. Si vous vous concentrez sur ce que vous n'avez pas, vous n'en aurez jamais assez. »

 

Effectivement, plus nous reconnaissons les bénédictions dans notre vie, plus nous trouvons de raisons d’être heureux. La gratitude nous aide à dépasser le sentiment de manque en révélant l’abondance déjà présente autour de nous. En cultivant cet état d’esprit, nous attirons encore plus de bienfaits et enrichissons notre expérience de vie.

 

C’est dans cet esprit que je vous présente l’allégorie de Lila, une jeune fille comblée mais souvent insatisfaite. Au fil de son parcours, elle rencontrera un vieil homme sage qui lui partagera la pratique qui a transformé sa vie.

 

VOUS AIMEZ ? MERCI DE PARTAGER !

 

© Nicole Charest | www.lapetitedouceur.org

 

 

 

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16 décembre 2016 5 16 /12 /décembre /2016 08:16

 

Chers abonnés et visiteurs, bonjour,

Je passe vous faire un petit coucou avant Noël. En septembre, je pensais être plus active sur mon blog mais force est d'admettre que ce ne fut pas le cas... Je ne vous oublie pas pour autant...

Comme le côté commercial des fêtes confrontent profondément mes valeurs, j'ai eu le goût de vous présenter deux textes susceptibles d'alimenter votre réflexion.

Le premier parle du pardon, ce qui va, bien sûr, avec le sens profond de la fête de Noël. Le deuxième parle de la consommation. Cet auteur me rejoint tellement que j'ai eu envie de vous le faire connaître. Les plus beaux cadeaux ne se trouvent pas dans les centres commerciaux...


J'en profite donc pour vous souhaiter de très joyeuses fêtes et que la vie vous soit belle et douce en 2017. Merci de faire partie de ma route virtuelle.

 

Votre webmestre, Nicole xox

Tant qu'on refuse de pardonner*

Tant qu’on refuse de pardonner, on maintient volontairement un lien très fort avec la personne qui, selon nous, nous a fait du mal.

Tant que nous ne pardonnons pas, nous rétrécissons notre capacité à aimer véritablement. Nous asséchons notre cœur en gardant rancune.

Tant que nous en voulons à l’autre, c’est à nous que nous faisons du mal. Pas à l’autre.

Pardonner ne signifie pas cautionner le geste que l’autre a commis ; cela ne veut pas dire que nous oublions ce qui a été fait ; cela ne signifie pas que ce n’était pas grave ce qui s’est passé.

Non. Pardonner, cela signifie que je m’aime assez pour me libérer des liens qui m’unissent à l’autre par mon manque de pardon. Cela signifie que je choisis de ME libérer de ce qui entrave mon bonheur. Cela signifie que dorénavant, ce qui s’est passé ne conditionnera plus mon présent pour m’empêcher d’être heureux, d’être bien.

Pardonner c’est voyager léger. C’est faire preuve de maturité. C’est prendre le dessus sur notre ego qui refuse de pardonner tant que justice n’a pas été rendue, selon lui. Si on écoute notre ego dans ces cas-là, nous signons un passeport pour le malheur pour le reste de notre vie. Car notre ego refuse de pardonner, puisqu’il est toujours dans le jugement.

Peu importe l’ampleur de la faute, peu importe son occurrence, peu importe notre douleur initiale, si nous ne pardonnons pas, nous ne nous libérons pas. Et nous restons coincés au moment où ces événements se sont produits, continuant de nous faire souffrir dans le présent pour ce qui fait déjà partie du passé, mais que nous maintenons actuel en alimentant notre rancune, en revivant inlassablement les mêmes événements, en les racontant, en nous identifiant à eux. C’est ce que vous avez envie de vivre pour le reste de vos jours ?

Vous aimerez-VOUS assez pour vous libérer de ce qui vous empêche d’être
heureux ? Ou laisserez-vous votre rancune détruire le reste de votre vie ?

Évidemment, on ne doit pas rester dans ce qui nous fait souffrir ni tolérer l’intolérable ; nous sommes mieux de nous éloigner de tout ce qui est toxique pour nous ; on est plus sage si on évite les personnes qu’on sait qui pourraient nous blesser à nouveau. On ne retourne pas se jeter dans la gueule du loup !

Et pardonner ne signifie pas renouer avec qui nous a fait mal.

Quand on pardonne, pour de vrai, avec le cœur, on se libère du poids le plus lourd que nous puissions porter dans notre vie.

Prenez une roche pour chaque personne à qui vous refusez encore de pardonner, pour chaque événement. Traînez ces roches avec vous partout durant au moins 24 heures : quand vous mangez, quand vous dormez, quand vous vous brossez les dents, quand vous allez travailler, quand vous prenez votre bain, quand vous marchez, vous traînez toujours ces roches avec vous. Au bout de la journée, vous serez épuisés de porter votre sac rempli de roches tellement lourdes qu’elles ne vous donnent plus le goût d’avancer.

Et bien c’est exactement ce qui se produit au niveau spirituel : tout ce que vous refusez de pardonner, ce sont des roches que votre âme traîne continuellement, ce qui lui enlève à elle aussi le goût d’avancer, ce qui la rend lourde et l’épuise. Vous vous surprenez de stagner dans votre vie ? Vous trouvez que certains aspects de votre vie vont mal ? Alors qu’avez-vous à pardonner ? À vous ? Aux autres ?

Vous seul détenez la clé de votre bonheur : le Pardon.

Vous voulez vivre libres et heureux ? Cela se résume en un seul mot
: PARDONNEZ !

 


Auteure : Diane Gagnon

 

Tant qu'on refuse de pardonner*

Les diapos « Petites douceurs » de Noël

Désolée de ne pouvoir vous présenter un nouveau diaporama. Je compense un peu en vous joignant les fichiers d'anciennes créations mais dont le message est toujours très actuel.

Pour la mise en page, je suis incapable de faire les présentations comme avant la migration d'Over-blog vers sa nouvelle plate-forme (images avec liens intégrés). Ce qui, jadis, était un plaisir pour moi est maintenant devenu une grande source de frustration. Je dois toutefois vivre avec...

 

Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*

Livre En as-tu vraiment besoin?Extrait d'un article écrit par Pierre-Yves McSween, auteur du livre En as-tu vraiment besoin ?

On veut tous être généreux à Noël, mais la question qu’il faut se poser est : quel genre de vie voulez-vous mener ? Noël est un moment pour se retrouver, se reposer, et on a le droit de ne pas être esclave de la consommation.

Si vous dépensez à Noël de l’argent que vous n’avez pas, vous ne comprenez pas le jeu de l’argent. Et il n’y a pas juste l’argent, mais le stress que procure Noël. Ce serait un grand geste d’équité sociale que d’annuler les cadeaux de Noël et de dire aux gens : ne soyez pas gênés, venez chez nous sans cadeaux, sans même de cadeau d’hôtesse ! Il y a des gens qui n’ont pas les moyens de participer à Noël et qui sont tristes de ne pas pouvoir offrir de cadeaux. C’est aberrant.

La meilleure façon de donner accès à Noël à tout le monde, c’est d’éliminer le côté commercial de Noël. Ma famille et moi, on est affranchi de cela depuis quelques années, on ne se donne pas de cadeaux. Entre nous, on arrête de jouer à ce jeu à somme nulle. Des échanges de cadeaux avec des listes et des montants prédéterminés, c’est tellement inutile ! On met 50 $, voici la liste des cadeaux souhaités, alors tout le monde est en train de magasiner les 50 $ d’une autre personne !

Et que dire des cartes-cadeaux ? D’un point de vue purement économique, j’ai échangé de l’argent universel contre de l’argent échangeable qu’à un seul endroit, j’ai augmenté le niveau de risque de mon argent ! Déballer une carte-cadeau, c’est déballer 50 $, donne-moi donc 50 $ ! Donner de l’argent, c’est vulgaire, c’est ce qu’on va me dire ; et une carte-cadeau, ça ne l’est pas ?

Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
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6 mai 2016 5 06 /05 /mai /2016 14:01

 

 

 

C’est un remède d’un genre nouveau. Son efficacité contre de nombreuses maladies est impressionnante. Il n’a aucun effet secondaire, à part vous rendre plus heureux.

Et pourtant, il faudra des années, probablement des décennies avant de le voir prescrit par la médecine officielle et noté noir sur blanc sur une ordonnance. Car il a un énorme défaut : il ne rapporte rien à personne !

Ce remède simple et gratuit consiste simplement à dire merci...


La gratitude est précieuse car elle nous conduit à reconnaître (au sens de constater, d’admettre) qu’il y a du bien dans son existence. La vie n’est jamais parfaite et est parfois cruelle. Mais elle comporte toujours des joies, des moments dignes d’être vécus.

La gratitude nous invite à célébrer ces moments, à reconnaître ce qui va bien dans notre vie plutôt que de ruminer ce qui va mal, à se concentrer sur le positif plutôt que le négatif.

Ce n’est pas de la simple « pensée positive ». Il ne s’agit pas de se voiler la face et d’ignorer les difficultés ou les défis de la vie quotidienne. Il s’agit de réaliser que même les épreuves peuvent nous apporter quelque chose, et que c’est sur cela qu’il faut se concentrer.

La gratitude permet aussi de bloquer net les émotions toxiques comme l’envie et l’amertume. Plutôt que de jalouser celui qui a plus, la gratitude nous fait apprécier ce que nous avons. Elle nous invite à nous réjouir en pensant à ceux qui souffrent davantage, bloquant ainsi notre tendance naturelle à lorgner sur ce que le voisin a en plus.

Plus profondément, la reconnaissance nous détourne de nous-même pour nous ouvrir à autrui. Nous reconnaissons que nous devons à autrui au moins une partie des bienfaits qui nous arrivent.

L’ingrat est arrogant, narcissique. Tout lui est dû. Pourquoi, dès lors, devrait-il se montrer reconnaissant envers ceux qui lui rendent service ?

Être reconnaissant, au contraire, c’est ne plus considérer comme acquis les bienfaits que les autres nous apportent. Plutôt que d’être froid et sec, notre lien à autrui n’en devient que plus chaleureux.

Et plus nous lui exprimons notre gratitude, plus notre entourage se réjouit de nous faire du bien. Et plus il le fait, plus nous avons de raisons de lui être reconnaissant… C’est un cercle vertueux sans fin !


 

Source : Projet Santé Corps Esprit

 

Pour guérir, dites ces cinq lettres*
Pour guérir, dites ces cinq lettres*
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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 12:28

 

Du plus profond de moi-même, je rends grâce pour l’amour que je suis. Pour l’amour qui est dans ma vie et pour l’amour qui m’entoure, Merci!

Merci pour le miracle de vie que je suis. Pour le merveilleux cadeau de la vie qui m’habite et qui m’entoure,
Merci!

Merci pour ce corps parfait. Pour ma santé et pour mon bien-être, Merci!

Merci pour l’abondance que je suis. Merci pour l’abondance que je vois tout autour de moi. Merci pour toutes ces richesses. Pour la richesse de ma vie, Merci!

Merci pour le flot d’argent qui se dirige vers moi et qui s’écoule à travers moi.

Pour l’aventure de ma vie et les myriades de merveilleuses possibilités et probabilités qui s’offrent à moi, Merci!


Merci pour l’émerveillement, Merci pour la joie, Merci pour la beauté et l’harmonie, Merci pour la paix et la tranquillité, Merci pour les rires et Merci pour les divertissements.

Et
Merci pour le privilège de servir et de partager le cadeau que je suis, Merci! Merci! Merci!

Merci, Merci et Merci encore pour cette vie magnifique où j’ai la possibilité de me développer et de croître au plus haut degré de perfection dans la grâce et l’aisance, la paix, l’amour et la lumière. Merci la vie!

 

Source : Dr Randall Robirds (traduit par Sophie Merle)

 

Croyez-moi, les bienfaits que vous obtiendrez de la lecture de ce texte vous surprendront autant qu’ils vous raviront. Vous aurez la preuve formelle de ce qu’une dose de gratitude peut faire pour améliorer votre vie!

Sophie Merle

Action de grâces*
Action de grâces*
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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 17:00

logo-2013-2014

 

 

 

Elle était belle, la maison d’Edgar, avec ses trois lucarnes, sa porte de chêne, sa galerie blanche qui courait tout autour. Edgar s’aperçut que la galerie était endommagée. Que faire ? La réparer, attendre, la remplacer ? Puis l’eau se mit à entrer par le toit, à s’infiltrer dans les lucarnes. Edgar, toujours, hésitait ; les réparations, ça coûte cher ! Et voilà que même la porte de chêne se défraîchit et se crevassa comme une vieille peau.

 

Finalement, à force d’hésiter, de se demander s’il réparait ou non, s’il y tenait ou non, Edgar finit par n’avoir plus sur les bras qu’un taudis. Au point de départ, ce qui a fait défaut chez Edgar, c’est qu’il n’avait pas pris la décision de garder sa maison et de la sauver, au besoin, par un entretien régulier.

 

Les relations humaines, c’est comme la maison d’Edgar... Que ce soit entre conjoints, entre amis, entre compagnons de travail, on s’aperçoit un jour que la relation a été abîmée par tel mot, puis par tel geste, puis encore par tel oubli. Et si on n’y prend garde, on se trouve avec une relation complètement détériorée, brisée, irréparable.

 

L’entretien quotidien d’une relation passe nécessairement par le pardon... presque quotidien. Mais à la base du pardon, il y a une décision d’aimer : « J’estime à ce point cette relation que je suis prêt à y mettre le coût, le temps qu’il faut pour bien l’entretenir. »

 

En régime humain, aimer, c’est nécessairement pardonner. C’est entretenir et réparer les relations qu’on abîme si facilement par des mots, des maladresses, des omissions. Mais n’oublions pas surtout qu’à la base du pardon, il n’y a pas d’abord le respect d’une loi ou un calcul humain, mais un amour de l’autre et un désir intense de garder et d’intensifier notre relation avec cet autre.

 

— Texte de George Madore (Merci M. Lapointe pour l’envoi)

 

Si tu veux parler à Dieu, arrête-toi, choisis un endroit calme et parle-Lui. Si tu veux Le voir,
envoie-Lui un TEXTO en conduisant...

Le pardon qui fait vivre*
Le pardon qui fait vivre*

La blague du blog

 

Au poste de police, le Capitaine croise un jeune policier fraîchement débarqué de l'école de police.
— Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
— Yves, et vous ?
— Le capitaine, furieux, s'écrie :
— Mon petit bonhomme, je ne sais pas d'où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m'appelle Mon CAPITAINE. De même, dans ma compagnie, j'appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Yves Tartempion, je vous appellerai Tartempion, mais pas Yves. Me suis-je bien fait comprendre ?
— Oui, mon capitaine.
— Alors, c'est quoi votre nom de famille ?
— Montchéri.
— Très bien, Yves, au travail.

 

 

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 18:30

 

 

Les remerciements qui ne sont pas exprimés sont comme des joyaux ou de riches habits qui restent dans un tiroir et passent de mode. Lorsque vous ne remerciez pas du fond de votre cœur, avec tout votre être, vous perdez ce que les initiés nomment « un état de grâce ».

 

La gratitude procure cet état de grâce, vous connecte avec vous-même et avec les autres.

 

Se priver de cette émotion amène, lentement mais sûrement, à dessécher son cœur. Ceux qui s'aiment voient leur relation se dégrader lentement lorsqu'ils expriment de moins en moins leur gratitude.

 

Celui qui est ingrat pense sans doute qu'il prive seulement les autres de reconnaissance. Mais il est le plus grand perdant, car c'est comme s'il se privait de boire de l'eau pour que les autres ne puissent pas se désaltérer.

 

La solitude est la conséquence de l'ingratitude. Celui qui sait remercier n'est jamais seul. Est ingrat celui qui pense que rien ne mérite un merci.

 

L'ingrat pense toujours qu'il n'a pas assez reçu, quoi qu'on lui ait donné. L'ingratitude est la sœur de l'amertume.

— Qui, lorsque vous étiez enfant, a nourri votre corps?
Qui a payé pour vous donner un toit?
Qui, sur votre chemin de vie, a mis en vous son affection?
Qui a supporté vos défauts?
Qui vous a aidé à trouver votre voie?
Qui a réveillé votre espoir?
Qui a nourri vos ambitions?
Qui vous a donné confiance en vous?


 

Souvenez-vous des alliés ou des muses, des éveilleurs de conscience, qu'ils soient des proches ou des étrangers, qui ont, à un moment ou un autre, ouvert dans votre âme des portes donnant sur l'univers.

 

La gratitude*

La blague du blogue

Deux Anglais sont sur un green en train de taper la balle de golf. Soudain, un convoi funèbre passe. L'un des deux joueurs enlève son chapeau et attend le passage, en faisant mine de se recueillir.

« Ça alors, dit l'autre, j'ignorais qu'un homme comme vous était aussi « gentleman » !

— Que voulez-vous? Nous avons quand même été mariés 40 ans ! »

 

 

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27 novembre 2008 4 27 /11 /novembre /2008 00:00

 

 

 

Charles Plumb était pilote de chasse dans la marine américaine au Vietnam. Après 75 missions de combat, son avion fut abattu par un missile. Il s’éjecta de son appareil et atterrit sain et sauf grâce à son parachute dans une zone contrôlée par l’ennemi. Capturé par les communistes vietnamiens, il passa six ans en prison. Mais il survécut à l’épreuve et donne encore aujourd’hui des conférences sur les leçons à tirer de toutes ses expériences.

 

Un jour, Charles Plumb et sa femme étaient assis dans un restaurant, lorsqu’un homme se leva d’une autre table, s’approcha de lui et lui dit : « Vous êtes Charles Plumb! Vous étiez pilote de chasse au Vietnam sur le porte-avions Kitty Hawk et votre appareil a été abattu. C'est moi qui me suis occupé de votre parachute. »

 

Charles Plumb eut le souffle coupé et lui exprima toute sa gratitude. L’homme dit : « L’important, c’est qu’il ait bien fonctionné, n’est-ce pas ? » Et M. Plumb lui assura : « Et comment! Si votre parachute n’avait pas fonctionné, je ne serais pas de ce monde aujourd’hui. »

 

Charles Plumb n’arriva pas à trouver le sommeil cette nuit-là car il pensait sans cesse à cet homme. Combien de fois avait-il pu le croiser sans même lui dire : « Bonjour, comment ça va? » ou quelque chose du genre.

 

M. Plumb pensa à toutes ces heures que le marin avait passées, au cœur du navire, à plier soigneusement des parachutes sur une longue table de bois, ayant à chaque instant entre les mains, le destin de gens qu’il ne connaissait pas.

 

Aujourd’hui, lors de ses conférences, Charles Plumb demande toujours à son auditoire : « Qui prend soin de votre parachute? Qui vous apporte ce dont vous avez besoin pour passer la journée? Prenez donc le temps de vous arrêter, de les reconnaître et, surtout, de les remercier. »

 

(Petites douceurs pour le cœur, p. 174)

 

Qui prend soin de votre parachute?*

Comment réagissez-vous face à un compliment?

 

L’acceptez-vous? Vous met-il mal à l’aise? Ressentez-vous le besoin de vous justifier, voire de vous diminuer?

Il n’y a aucun mal à recevoir des félicitations. En vous braquant, en vous dénigrant, vous mettez mal à l’aise la personne qui souhaitait vous encourager. En quelque sorte, vous discréditez sa capacité à évaluer une situation, vous la rabaissez. Et vous vous dévalorisez.
 

Le problème vient d’un manque de confiance en vous. Vous ne vous sentez pas suffisamment à la hauteur et chaque compliment résonne en vous comme une critique potentielle. Vous pouvez même avoir l’impression que votre interlocuteur pointe du doigt vos faiblesses. 

Changez d’attitude, ce n’est pas très compliqué d’apprécier les éloges. Mettez de côté les remarques négatives qui vous viendraient à l’esprit. Puis, remerciez simplement et sincèrement votre interlocuteur. Ajoutez que vous appréciez le geste et savourez cette douceur qui irradie votre esprit. 

Vous méritez que l’on parle de vous en bien. Laissez-vous apprivoiser. Collectionnez les compliments comme de petits trésors renforçant votre estime personnelle. Ce serait dommage de s’en priver. 

 

Emmanuelle VanEttinger

Qui prend soin de votre parachute?*

Les gens célèbres

 

Réfléchissez bien et essayez de répondre à ces quatre questions :

1. Nommez les 3 personnes les plus riches du monde.
2. Nommez les 3 dernières gagnantes de Miss Univers.
3. Nommez les 5 derniers gagnants des prix Nobel de la paix.
4. Nommez les 5 derniers gagnants de l'Oscar du meilleur acteur.

Vous n’y arrivez pas? C’est difficile, non? Ne vous inquiétez pas, personne ne s’en rappelle. 

Les applaudissements passent. Les trophées prennent la poussière. Les gagnants sont oubliés!

Maintenant répondez à ces questions :

1. Nommez 3 professeurs qui ont contribué à votre formation.
2. Nommez 3 amis qui vous ont aidé(e) dans les moments difficiles.
3. Pensez à 5 personnes qui vous ont fait vous sentir spécial(e).
4. Nommez 5 personnes avec qui vous aimez passer du temps.

Vous y arrivez? C’est plus facile, non?

Les personnes qui ont un sens dans votre vie ne sont pas « cotées » au maximum, avec le plus d’argent, avec les plus grands prix...

Ce sont celles qui se font du souci pour vous, qui prennent soin de vous, celles qui, en toutes circonstances, restent auprès de vous.

Pensez-y un moment. La vie est très courte!...


Texte pris sur le très beau blog Se souvenir des belles choses 

Qui prend soin de votre parachute?*

La blague du blog

 

Deux motards marchent depuis une demi-heure dans le bois.
Comme l'obscurité tombe, l'un d'eux dit : « J'aime pas trop ça. »
Et l'autre de répondre : « Moi non plus, surtout qu'il faut que je revienne tout seul... »

 

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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 00:00

 

 

 

À l'adolescent qui se plaint de la vaisselle à faire, car cela signifie qu'il est à la maison et non dans la rue;

 

Aux impôts que je paie, car cela signifie que j'ai des revenus;

 

Au ménage à faire après un party, car cela signifie que j'étais entouré d'amis;

 

À mes vêtements qui sont un peu trop serrés, car cela signifie que je mange à ma faim;

 

À la pelouse qui a besoin d'être tondue, aux fenêtres à nettoyer et aux gouttières qui ont besoin d'être fixées, car cela signifie que j'ai un toit;

 

Aux plaintes faites à nos gouvernements, car cela signifie que nous avons la liberté d'expression;

 

Au dernier stationnement que j'ai trouvé au bout de la cour, car cela signifie que je suis capable de marcher;

 

À ma grosse facture de chauffage, car cela signifie que je suis au chaud;

 

À la personne assise derrière moi à l'église et qui chante faux, car cela signifie que j'entends;

 

À ma pile de linge à nettoyer et à presser, car cela signifie que j'ai des vêtements à porter;

 

À l'épuisement et à la douleur musculaire à la fin de la journée, car cela signifie que je suis capable de travailler dur physiquement;

 

À la sonnerie de mon réveille-matin, car cela signifie que je suis vivant.

 

(Petites douceurs pour le cœur, p. 59)

Je suis reconnaissant*

Merci à la vie!
 

Aujourd'hui, j'ai le goût de dire Merci à la vie.
 

Merci pour tout ce qu'elle me donne en abondance : santé,  bonheur, prospérité.

Merci pour les dures leçons qui m'ont aidé à mieux me connaître et à mieux connaître les autres.

Merci pour les échecs que j'ai encaissés : cela m'a enseigné l'humilité, l'obligation de ne jamais m'asseoir sur mes lauriers et la nécessité de comprendre les échecs des autres personnes qui, elles aussi par moment, ont besoin d'être aidées.

Merci pour les occasions de cultiver la patience, la tolérance.

Merci pour les multiples découvertes de la réalité de la vérité.

Merci pour la conscience grandissante : mes guides qui veillent sur moi malgré mes erreurs, me protègent malgré mes faiblesses, m'aiment malgré mes défauts, et me trouvent les solutions malgré mon obstination.

Merci pour la joie bien simple de réaliser que je suis vivant.

Merci pour les chances que j'ai connues, les malchances que j'ai évitées, les solutions que j'ai trouvées, les talents que j'ai développés, les victoires que j'ai remportées, les bonnes journées que j'ai vécues.

Merci pour les parents que j'ai connus, les amis que j'ai rencontrés, les éducateurs que j'ai côtoyés, les livres que j'ai lus, les voyages que j'ai faits, les repas que j'ai pris.

Merci mon Dieu de m'avoir donné la sérénité d'accepter les choses que je ne puis changer, le courage de changer les choses que je peux et la sagesse d'en connaître la différence.

Texte pris sur le blog Se souvenir des belles choses 

Je suis reconnaissant*

Témoignage de mon livre d'or

 

Bravo Nicole pour ton splendide ouvrage! Il est très vivant, convivial et, ô combien, précieux de tous ces textes choisis avec amour. Je te félicite pour l'immense travail accompli afin de toucher le cœur des gens, de les amener à une réflexion saine et enrichissante, et pour ta mise en pages si rafraîchissante.

Porte haut et fort le flambeau de ta créativité et du partage des mots vrais. Les gens en ont bien besoin. Un franc succès pour toi, Nicole, tu le mérites au plus haut point. - Lise, Brossard

Je suis reconnaissant*

La blague du blog

 

C'est un représentant qui sonne à la porte d'une maison, et c'est le petit Toto, 10 ans, qui ouvre la porte, un cigare à la bouche et une canette de bière dans la main.

– Bonjour mon petit. Est-ce que ta maman est là?

Et Toto de répondre : « Devinez... »

 

 

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2 septembre 2008 2 02 /09 /septembre /2008 23:00

 

 

Votre vie est truffée de combats à mener, de défis à relever et d'efforts à déployer. Chaque jour, même si vous ne vous en rendez pas compte, vous vous rapprochez de vos objectifs. Mais attention! Vous pouvez avoir un ennemi capable de détruire sans pitié TOUT ce que vous avez construit au fil des années avec tant de soin et d’application. Je veux parler du ressentiment.

 

Avoir du ressentiment, c'est comme de boire soi-même un poison pour essayer d'empoisonner l'autre. Au moment où la douleur la plus vive s'estompe, la rancœur s'installe. Elle s'envenime, comme une plaie ouverte qui ne veut pas guérir.

 

Le ressentiment est un monstre. Il peut prendre les proportions que vous lui donnez : vous pouvez l'alimenter de vos pensées et de votre apitoiement sur vous-même. Plus il se développe, plus votre vie en est affectée.

 

Et pourtant, l'énergie que vous investissez dans ce fantôme de votre esprit est la même que celle que vous pourriez utiliser pour réaliser vos rêves et vivre la vie pleine et entière que vous méritez.

 

Celui qui ne pardonne pas s'isole de plus en plus, sa rancœur l'empêche de goûter pleinement aux fruits de la vie. Avec la rancœur, tout devient négatif, et se retrouve comme embrumé par les vapeurs du tourment de l'amertume.

 

Est-ce celui qui souffre de rancœur qui mérite le plus notre admiration? Ne serait-ce pas plutôt CELUI QUI PARDONNE? Tout ce qu'obtient celui qui se venge, c'est de fixer à jamais sa douleur impitoyable dans son inconscient.

 

La meilleure vengeance, c'est en somme de prendre sa revanche. Elle consiste à « laisser tomber », à lâcher prise, à renoncer à cette aigreur qui intoxique le cœur afin de poursuivre sa route, débarrassé du poids de la rancune et de choisir de construire plein d’espoir plutôt que de se laisser détruire par la désespérance.

 

Le pardon est un cadeau que vous vous faites à vous-même. C'est une offrande de paix, un soulagement. C'est de prendre la décision d’ouvrir les yeux sur la lumière au lieu de rester cantonné dans l'obscurité, de marcher allégrement et avec confiance vers cette lumière bienfaisante, vers le meilleur de votre vie et de vous-même.

 

N’accordez pas votre pardon à quelqu’un dans l’espoir secret de le voir changer. Votre démarche serait alors beaucoup moins altruiste. Acceptez le fait qu'il ne sera jamais comme vous le souhaitez, cela ne dépend pas de vous. Vous avez donné à un autre le pouvoir de vous rendre malheureux. Reprenez-lui ce pouvoir. Pardonnez-lui, et vous reviendra en force votre immense capacité d’édifier en vous les assises de votre propre tranquillité d’esprit.

 

(Petites douceurs pour le coeur, p. 56)

 

Nombre d'entre nous sont esclaves du passé. Les situations se produisent, elles cessent d'exister, cependant elles se prolongent dans notre esprit. Ouvrez votre coeur et soyez généreux : Libérez-vous de la peine, pardonnez et oubliez, et vous vivrez chaque moment dans la paix.

Sagesse du Raja Yoga

Pardonner?*

Le sac de pommes de terre 

 

Un professeur d'Institut qui devait enseigner sur le thème du pardon, demanda à chacun de ses étudiants d'apporter un sac de pommes de terre lors du prochain cours.

Il leur demanda ensuite d'inscrire sur une pomme de terre le nom de chaque personne à laquelle ils refusaient de pardonner et à côté, la date. Puis ils devaient porter sur leur dos, partout où ils iraient, pendant le mois suivant, le sac de pommes de terre. Ce fardeau leur parut vite insupportable.

Ils se rendirent alors compte du poids spirituel de rancœur qu'ils portaient tous en eux. Ils comprirent aussi le degré d'énergie qu'ils gaspillaient en portant leur fardeau et le danger qu'ils couraient de laisser ce fardeau au mauvais endroit. Puis, à mesure que les pommes de terre commençaient à pourrir, chaque étudiant comprit qu'il devait se débarrasser du sac au plus vite.

Pardonner?*
Pardonner?*

La blague du blog

 

Savez-vous pourquoi le Père Noël rit tout le temps?

Parce que ce n'est pas lui qui paye les cadeaux...

 

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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