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20 novembre 2024 3 20 /11 /novembre /2024 07:00

 

Bonjour à vous tous,

Lorsque j’ai vu passer cette image, je n’ai pu m’empêcher d’en faire l’objet d’une publication. En tant que parents ou grands-parents, nous savons que l’intimidation fait malheureusement partie de la réalité de nombreux jeunes, et cela vous touche sûrement autant que moi.

Pour lutter contre ce fléau, nous pouvons d’abord commencer par une introspection : nous arrive-t-il de franchir nous-mêmes certaines limites ? Et bien sûr, par la suite, continuer à sensibiliser nos jeunes.

Le poids des mots et des gestes

Avez-vous déjà réfléchi à l'impact que vos mots et vos gestes peuvent avoir sur les autres ? Aussi légers qu’ils puissent sembler, ils peuvent laisser des traces indélébiles dans l’esprit de ceux qui en sont la cible. Lorsqu’ils sont utilisés pour blesser, ridiculiser ou humilier, ils deviennent de véritables armes émotionnelles. Derrière chaque raillerie et chaque moquerie se cache un pouvoir insidieux : celui de modeler la perception de soi de l’autre, de briser sa confiance et de miner son estime. À la longue, ces attaques répétées peuvent transformer l’image intérieure que la personne a d’elle-même, l’enfermant dans une vision déformée de sa propre valeur.

Le harcèlement, qu’il prenne la forme de paroles cruelles, de gestes ou même d’un simple regard méprisant, n’est jamais anodin. Il peut laisser un héritage de douleur qui dépasse largement l’instant où il est infligé. Ceux qui en sont victimes finissent souvent par intégrer ces mots ou ces actes blessants, les prenant pour une vérité sur eux-mêmes. Ils se mettent à douter de leur valeur, à se sentir différents ou inadéquats, comme si chaque raillerie confirmait une faille en eux. L’impact se poursuit bien au-delà du moment présent, s’immisçant dans leurs pensées, influençant leurs choix et leurs interactions, et créant un fardeau émotionnel difficile à porter.

Pourtant, cette souffrance reste souvent invisible aux yeux du monde. Les rires moqueurs résonnent plus fort que les pleurs silencieux de la victime, et l’insouciance apparente de ceux qui blessent masque la profondeur des blessures infligées. Comprendre la gravité de ces micro-agressions, c’est réaliser que chaque mot et chaque acte a un poids. Être conscient de l’effet de nos paroles, c’est choisir de les utiliser pour construire plutôt que pour détruire. Car, en fin de compte, chaque être humain mérite d’être accueilli avec bienveillance et respect, peu importe sa différence.

© Nicole Charest | lapetitedouceur.org

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On peut guérir d'un coup d'épée, jamais d'un coup de langue.

Proverbe chinois

Le poids des mots et des gestes

Afin de poursuivre la réflexion sur le pouvoir des mots et des gestes, voici une allégorie sur l’intimidation en milieu scolaire.

But : Illustrer le processus de construction de la confiance en soi pour surmonter l'intimidation, en apprenant à se valoriser, à trouver du soutien et à répondre avec assurance.

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13 novembre 2024 3 13 /11 /novembre /2024 07:00

 

Avez-vous déjà remarqué que chacun de nous porte, sans s'en rendre compte, un grand panneau invisible autour du cou ? Sur ce panneau se dessinent des mots simples mais puissants : « Je veux être aimé », « Je veux être apprécié », « Je veux être important ». Ces désirs, bien plus subtils que nos besoins physiques de manger, boire ou dormir, sont pourtant tout aussi vitaux pour notre équilibre émotionnel et psychologique. Et pourtant, ils restent souvent inassouvis, relégués en arrière-plan de nos relations.

Lorsque ces besoins ne sont pas reconnus, la frustration s’installe, nous poussant dans une quête incessante de validation. Cette quête peut se manifester par des comportements que l’on ne comprend pas toujours : une personne qui se vante sans cesse, un autre qui rabaisse les gens autour de lui, ou celui qui cherche désespérément à attirer l’attention. Derrière ces attitudes se cache le même désir : être vu, être reconnu, exister aux yeux de ceux qui nous entourent.

Mais qu’advient-il lorsque ces besoins sont comblés ? Un simple geste, un mot sincère, une reconnaissance authentique peuvent transformer une journée, voire une vie. Un « merci » inattendu, un compliment sur un travail accompli, ou simplement un « Je te vois, et ce que tu fais compte » a le pouvoir de dissiper des années de doute. La personne se redresse, retrouve confiance et se sent soudain légitime. Peu à peu, le panneau invisible s’efface, laissant place à un sentiment de complétude.

La magie de la reconnaissance réside dans sa capacité à apaiser les blessures cachées. En prenant le temps de voir l’autre, d’entendre ses désirs silencieux, nous faisons bien plus que combler son besoin d’être aimé : nous l’aidons à retrouver la plénitude d’être lui-même, sans artifice ni masque. En offrant cette reconnaissance, nous faisons un pas vers une humanité plus consciente et bienveillante.

Et si, dès aujourd’hui, nous regardions au-delà des apparences ? Peut-être découvririons-nous que, derrière chaque sourire un peu forcé ou chaque remarque acerbe, se cache un cœur qui ne demande qu’à être entendu. Car, au fond, ce dont nous avons tous besoin, c’est de sentir que nous comptons, que nous sommes importants.

© Nicole Charest | lapetitedouceur.org

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Reconnaître l’autre, c’est lui donner la force d’être lui-même.

Le panneau invisible

Suggestions pratiques :

1) Offrez chaque jour une reconnaissance sincère à quelqu’un autour de vous (collègue, ami, proche). 

2) Prenez quelques minutes pour écrire une lettre ou un message à une personne importante dans votre vie, en exprimant pourquoi elle compte pour vous. 

3) Apprenez aussi à vous reconnaître : faites la liste de vos forces et des choses dont vous êtes fier. Relisez-la lors des moments de doute.

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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 10:00

 

La reine Malika et le roi Kosala étaient très amoureux. Par une belle soirée romantique, le roi se pencha tendrement vers la reine et lui demanda : « Qui aimes-tu le plus au monde ? » La réponse fut loin d’être celle qu’il attendait quand elle lui dit : « Eh bien, c’est moi que j’aime le plus au monde ! » Surpris de cette réponse, le roi réfléchit un court instant et dit à sa compagne : « Moi aussi, je suis celui que j’aime le plus au monde. »

Un peu dépités devant leurs réponses réciproques, ils décidèrent d’aller en parler à Bouddha. Le maître spirituel les félicita chaleureusement de s’être posé une question aussi importante. Il leur déclara qu’en fait, chacun devrait être celui qu’il aime le plus au monde.

Il précisa ensuite : « Si vous comprenez cette vérité, vous cesserez de vous manipuler l’un l’autre ou de vous exploiter. Quand on pratique l’amour de soi, la compétition n’a plus sa place. Vous n’aurez nul besoin de défendre votre valeur personnelle, nul besoin de vous disputer. Quand on s’aime soi-même, on se libère du piège d’exiger que les autres nous aiment.

Pour ma part, j’ai besoin de l’amour des autres mais je ne peux pas le commander. Si mon besoin d’amour n’est pas comblé par les autres, je m’assure d’être dans l’amour de moi-même. Ainsi, je laisse les autres libres de me donner ou non leur amour. »

Bouddha poursuivit ensuite son enseignement : « Pour atteindre cet idéal d’estime de vous-même, vous devrez abandonner l’idée de vous croire meilleur ou inférieur aux autres ou même leur égal. Quel choix vous reste-t-il si vous n’êtes ni supérieur, ni inférieur, ni égal ? L’idéal est de rester vous-même. Quand on est soi-même, sans chercher à se comparer à personne, on a tout le loisir de créer une relation parfaite. »

Source : La vie est un jeu quantique – Dr Christian Bourit

 

Qui aimes-tu le plus au monde?*

Un ebook à télécharger : Le droit d'ÊTRE

 

En rapport avec le texte présenté ci-haut, voici un excellent document écrit en 2009 par Jules Bureau, psychologue clinicien, sexologue, auteur. Depuis près de cinquante ans, il a rencontré en thérapie des milliers de personnes aux prises avec des difficultés de vivre. Je vous laisse sur ce petit extrait de son eBook (67 pages).

 

« L’acceptation de ce que l’on est, de ce que l’on est avec toutes nos petites faiblesses et toutes nos petites misères est cruciale dans la libération de cette bataille intérieure avec l’image, entre l’authentique personne que l’on est et l’image que nous portons et qui veut que l’on soit parfait, toujours en maîtrise, toujours correct ou comme il se doit d’être. Le droit d’être et non le doit être. »

Qui aimes-tu le plus au monde?*
Qui aimes-tu le plus au monde?*
Qui aimes-tu le plus au monde?*
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22 avril 2014 2 22 /04 /avril /2014 17:00

logo-2013-2014

Rien ne stimule autant que des encouragements sincères. Ne vous imaginez pas pouvoir améliorer les autres en soulignant sans cesse leurs imperfections. Si vous avez déjà une si piètre opinion d'elle, pourquoi ferait-elle des efforts ? Pourquoi est-ce qu'une personne serait motivée à s'améliorer puisque vous la critiquez ?

Si vous critiquez régulièrement quelqu'un, il pourrait devenir complètement démotivé. Et vous obtiendrez l'effet contraire de vos critiques ; c'est-à-dire que plus vous critiquez et moins la personne veut s'améliorer. Critiquer est une mauvaise méthode dans la grande majorité des cas. Il est très souvent préférable de garder ses opinions négatives pour soi. Pour influencer positivement les autres, il faut les encourager même si la réalité n'est pas tellement fameuse.


Ceci ne signifie pas qu'on doit fermer les yeux et ne pas voir que quelqu'un est en train de se faire ou de vous faire du tort. Si vous devez absolument souligner certains éléments négatifs du comportement de quelqu'un, faites-le avec une grande diplomatie. Faites-le en mentionnant également les qualités de la personne. Et mettez l'accent sur celles-ci. Car si vous ne soulignez que les points négatifs de quelqu'un, vous perdrez en partie sa confiance.

En général, plutôt que de critiquer, il faut chercher à découvrir chez les autres des vertus et des qualités. Ces éléments positifs sont parfois cachés et quelquefois la personne elle-même ne les connaît même pas. Il faut prendre l'habitude de regarder profondément dans les êtres au lieu de se limiter aux apparences. Celles-ci sont souvent trompeuses. Il est facile et peu noble de trouver les défauts de quelqu'un. Mais pour trouver les qualités, il faut parfois une grandeur d'âme. Lorsque vous aurez développé cette habitude
, vous percevez les gens qui vous entourent différemment. Et vous aurez naturellement tendance à complimenter plutôt qu'à critiquer.
 


Source : Denis St-Pierre / Site Évolution 101 

La meilleure façon d'avoir de bonnes relations avec les autres est de se concentrer sur leurs qualités. Et ensuite de les aider à exprimer le mieux possible celles-ci. 

Allen J. Boone

La bonne façon de critiquer est...*
La bonne façon de critiquer est...*

La blague du blog

– Je vais acheter cette toile, dit le client au peintre.
– C'est une affaire, Monsieur. J'y ai passé dix ans de ma vie.
– Dix ans ? Quel travail !
– Eh oui, deux jours pour la peindre et le reste pour réussir à la vendre !
 

 

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29 février 2012 3 29 /02 /février /2012 18:01

journee_femme.gif

 

Le temps passe. La vie court vite. Les distances séparent. Les enfants grandissent. Les occupations vont et viennent.

La passion diminue. Les hommes ne sont pas toujours ce qu’ils devraient être. Le cœur se brise.

Les parents meurent. Les collègues de travail oublient les services rendus. Les carrières professionnelles arrivent à leur terme. Mais...

Les amies sont toujours là. Peu importe le temps passé ou la distance qui vous sépare. Une amie n’est jamais trop loin lorsque tu as besoin d’elle.

Chaque fois que tu devras emprunter une route, et que tu auras à le faire seule, les femmes de ta vie seront tout autour du chemin, t’encourageant, priant pour toi, te poussant, intervenant pour toi, et t’attendant les bras ouverts au bout du chemin.

Il arrivera même parfois qu’elles rompent les règles et qu’elles cheminent à tes côtés ou qu’elles te soulagent de tous tes fardeaux.

Amies, filles, grands-mères, sœurs, belles-sœurs, mères, belles-mères, petites-filles, tantes, cousines nièces et toute notre famille sont une bénédiction de la Vie.

Le monde ne serait pas le même sans les femmes. Lorsque tu as commencé cette aventure d’être Femme, tu n’avais aucune idée des incroyables joies et des douloureuses épreuves qui t’attendaient. Tu ne savais pas non plus à quel point vous auriez besoin les unes des autres.

Chaque jour, continue à avoir besoin d’elles !

Femmes, soyez bénies!*
Femmes, soyez bénies!*

La blague du blog

Un canard entre dans un bar et lance : – Vous avez des cacahuètes ?
Le patron répond qu'il n'en a pas. Le canard s'en va et revient le lendemain à la même heure.
– Vous avez des cacahuètes ?
Le patron, un peu énervé, réplique : – Je t'ai déjà dit qu'il n'y en a pas ici ! Si tu reviens demain, je te cloue le bec sur le comptoir...
Le canard se représente le lendemain : – Vous avez des clous ?
Le patron répond que non.
Et le canard : – Et vous avez des cacahuètes ?

 

 

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21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 17:01

C1 tome-2

Un homme avait hérité d'un superbe terrain, au bout duquel se trouvait un érable magnifique.

Mais cet homme venait de la ville, et il ne connaissait rien aux arbres.

Il vint trouver l’érable vers la mi-juillet et lui dit : « Donne-moi de ta sève sucrée, que j’en fasse du sirop. »

L’érable lui répondit : « Mais je n’ai plus de sève à donner, elle est toute répartie dans mes feuilles. »

L’homme revint à la fin d’octobre et dit à l’érable : « C’est l’été des Indiens. Il fait chaud. Donne-moi de l’ombre. »

L’arbre lui répond : « Mais, je n’ai plus d’ombre à donner parce que le vent m’a pris toutes mes feuilles. »

Déçu, l’homme revint six mois plus tard, à la mi-mars.

Il dit à l’arbre : « Je suis fatigué de ne voir que le blanc de la neige. Donne-moi de tes belles couleurs d’or et de rouille. »

Mais l’érable était si occupé à pomper la vie dans ses bourgeons qu’il ne l’entendit même pas.

Furieux, l’homme le coupa et le brûla...

Source : Petites douceurs pour le coeur, tome 2, p. 102

 

Pour être heureux avec les êtres, il faut voir ce qu’ils peuvent offrir et non ce qu'ils ne peuvent donner. 

L'érable*
L'érable*

La blague du blog

 

Pour la première fois, Maurice est invité par les parents de sa petite amie. Un peu plus tard, il dit à Michèle :

« Je n’irais pas jusqu’à dire que ta mère cuisine mal, mais maintenant, je comprends pourquoi vous priez avant de vous mettre à table. »

 

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2 mars 2011 3 02 /03 /mars /2011 18:00

 

 

Les femmes sont des pionnières. Aujourd’hui plus que jamais auparavant, nous avons l’occasion de procéder à d’importants changements dans nos vies. Nous redéfinissons notre rôle à la maison et au travail, nous affrontons les différentes formes que prennent nos dépendances et nous assumons la responsabilité de notre bonheur.

 

Parmi tous les risques que nous courons, il en est un qui exige un grand courage et qui comporte une part de souffrance : établir des rapports avec nos proches, en particulier nos enfants, qui soient basés sur notre véritable personnalité et non sur les stéréotypes et les clichés dont on nous affuble. En apprenant courageusement à être nous-mêmes et à exprimer notre unicité, nous encourageons nos proches à faire de même.

 

Chaque risque encouru, chaque souffrance calmée, chaque monstre apprivoisé élargit la voie de la liberté qu’emprunteront les autres et avive notre confiance en nos aptitudes pour mener une existence fondée sur l’authenticité.

 

À chacun des risques que nous avons le courage d’encourir, nous facilitons la tâche de nos filles, de nos amies et de nos mères qui veulent suivre notre exemple et devenir elles-mêmes. Quel autre héritage pourrions-nous laisser?



Source : Sagesse de Femme, Sue Patton Thoele, 1995, p. 230

 

Sentir, aimer, souffrir, se dévouer, sera toujours le texte de la vie des femmes.

Honoré de Balzac

L'authenticité en héritage*
L'authenticité en héritage*

La blague du blog

Une journaliste interroge les pensionnaires d’une maison de retraite.
« Que faites-vous depuis que vous ne travaillez plus ?


- Moi, je fais de la photo, dit l’un.
- Moi, je jardine, ajoute l’autre.
- Moi, je fais de la recherche, explique un troisième.

- De la recherche ? Dans quel domaine ? demande la journaliste.

- C’est varié. Je cherche ma canne, mes lunettes, mon dentier… »

 

 

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8 septembre 2010 3 08 /09 /septembre /2010 17:01

 

 

Il se produit un phénomène merveilleux dans votre esprit – une sensation de calme ineffable vous envahit – lorsque vous renoncez à accaparer toute l'attention pour laisser aux autres le devant de la scène.

Notre appétit de gloire vient de cet égocentrisme qui nous souffle en permanence à l'oreille : « Regardez-moi ! Mon histoire est plus intéressante que la vôtre ! »

Cette voix intérieure ne s'exprime pas toujours haut et fort, mais son moteur est simple : elle veut se persuader que « tout ce qui me concerne vaut mieux que ce qui concerne les autres. »

L'égo est cet aspect de notre personnalité qui demande à être vu, entendu, respecté, souvent aux dépens de notre entourage. C'est cette partie de nous-mêmes qui n'hésite pas à interrompre notre interlocuteur, ou qui attend impatiemment son tour de parole afin de ramener au plus vite la conversation sur son nombril.

À des degrés différents, nous avons tous ce mauvais penchant. Et nous l'exerçons à notre détriment ! Car en ramenant sans cesse la conversation à nos préoccupations personnelles, nous diminuons la joie que notre vis-à-vis éprouve à partager une idée, une anecdote, une impression. Ce faisant, nous instaurons une distance entre lui et nous. Et au bout du compte, tout le monde est perdant.

La prochaine fois qu'une personne vous racontera une soirée, un voyage ou un projet, surveillez vos réactions : n'avez-vous pas tendance à parler de vous dans votre réponse ? N'essayez-vous pas subrepticement de lui confisquer les feux de la rampe ?

C'est là une habitude difficile à rompre. Mais c'est aussi un vrai plaisir que de s'effacer pour laisser un autre jouir de la lumière des projecteurs.



– Richard Carlson / Ne vous noyez pas dans un verre d'eau.

Il est une manière d'écouter qui surpasse tous les compliments.

Charles Joseph de Ligne

Laissez le mérite aux autres*
Laissez le mérite aux autres*

La blague du blogue

Le mari demande à sa femme : « Chérie, avec combien d’hommes as-tu dormi ?

La femme répond, toute orgueilleuse : – Seulement avec toi chéri… Avec les autres, je restais réveillée ! »

 

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18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 17:01

 

 

C'est tellement facile de juger ce qui ne fonctionne pas dans la vie des autres.

Nous nous disons souvent : « Si j'étais à sa place, je ferais telle chose, telle chose, telle chose ! »

Mais avons-nous déjà pensé que si nous étions réellement à la place de l'autre personne, vraiment dans ses souliers, nous serions aux prises avec ses émotions, ses préjugés, ses réactions, ses inquiétudes, ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions, ses instincts ; bref, nous aurions son passé, son présent et son avenir et il est fort probable que nous agirions exactement de la même façon qu'elle.

Avant de condamner quelqu'un, essayons non seulement de le comprendre, mais de vibrer au même diapason que lui et, nous constaterons alors que nos émotions ressemblent aux siennes.


 

Texte : Le monde de la philo et de la poésie

Ne juge jamais un homme avant d'avoir marché un mille dans ses souliers.

Proverbe sioux

Avant de juger*
Avant de juger*

La blague du blogue

L'histoire se passe dans un train. Dans un des compartiments, se trouvent trois hommes et une jeune femme de toute beauté. La discussion s'engage rapidement entre les quatre passagers, puis, très vite prend une tournure plutôt érotique. D'ailleurs, à un moment, la jeune femme propose : 

« Si chacun de vous me donne 10 euros, je suis prête à vous montrer mes mollets... »

Les hommes, sous le charme de la jeune femme, sortent tous les 10 euros de leurs portefeuilles. Là-dessus, la jeune femme s'exécute et leur montre ses mollets ravissants. La discussion continue, toujours plus érotique, puis la jeune femme relance :

« Si chacun de vous me donne 50 euros, je suis prête à vous montrer mes cuisses... »

Les hommes étant ce qu'ils sont, ils n'hésitent pas une seconde et sortent chacun 50 euros de leurs portefeuilles. La jeune femme remonte sa robe et leur laisse contempler le haut de ses jambes splendides. Puis la discussion reprend de plus bel. Très vite, la jeune femme leur dit :

« Si chacun de vous me donne 100 euros de plus, je vous montre où j'ai été opérée de l'appendicite... »

Naturellement, tous les trois lui donnent 100 euros de plus, et à ce moment-là, la jeune femme se tourne vers la fenêtre, et pointant du doigt un hôpital, elle dit :

« C'est là... »
            

 

 

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 17:02

 

 

Il arrive que certaines personnes entrent dans votre vie et que vous sachiez tout de suite qu'elles étaient censées y entrer. Elles servent une sorte de but, vous enseignent une leçon ou vous aident à comprendre qui vous êtes ou qui vous voulez devenir.

Vous ne savez jamais qui sont ces personnes : un compagnon de chambre, une voisine, un professeur, une amie, un amoureux. Un parfait étranger parfois. Dès que vous les regardez dans les yeux, vous savez que ces personnes affecteront profondément votre vie.

Il arrive que des choses horribles et douloureuses surviennent dans notre vie. À la réflexion, nous réalisons que sans surmonter ces obstacles, nous n'aurions jamais réalisé notre potentiel, ni démontré notre force, notre volonté et notre courage.

Tout se produit pour une raison. La maladie, les blessures, l'amour. Les moments de grandeur comme de stupidité testent les limites de notre âme. Sans eux, la vie nous paraîtrait comme une longue route bien droite et bien plate qui ne mène nulle part. Sûre et confortable, mais ennuyeuse et sans but véritable.

Les personnes que vous rencontrez et qui affectent votre vie, et les succès et les contrastes que vous expérimentez, créent qui vous êtes. Les plus mauvaises expériences sont souvent les plus instructives.

 

Source : Crée ta vie - Feuille d'information de la création délibérée

 

Les gens qui croisent notre route*
Les gens qui croisent notre route*

Témoignage de mon livre d'or


Témoignage adressé à ma soeur Danielle : « Un tout petit mot pour vous dire un « grand » Merci de m'avoir fait connaître le livre de votre sœur Nicole, qui fut pour moi un bijou, un chef d'œuvre. J'ai grandement apprécié et je l'apprécie encore. Pendant ma période de cancer, j'ai rencontré « des anges » et vous en faites partie. » - Hélène Lafontaine, T-Rivières

Les gens qui croisent notre route*

La blague du blogue
 

Trois soeurs se préparent pour sortir. Au moment de franchir la porte, leur mère leur demande :
« Où allez-vous ?
- Nous sortons avec nos fiancés, maman !
- Qu'allez-vous faire ?
La première répond :
- Moi, quand je sors avec Henri, on rit !
La seconde dit :
- Moi, quand je sors avec Charles, on parle !
Et la troisième annonce :
- Moi, quand je sors avec Blaise...
Sa mère ne lui laisse pas terminer sa phrase :
- Non ! Toi, tu restes ici ! »
    

 

 

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:10




Je ne te connais pas et pourtant je t'admire,
Car tu es toujours là, lorsque la vie chavire.
Ta présence discrète au cœur de l'hôpital
Fait souvent reculer la douleur et le mal.

 

Tu combats la souffrance avec persévérance
Et l'on voit de tes mains renaître l'espérance.
Que de sanglots, de cris, que de maux, de soucis
Au cœur de cet enfer par tes soins adoucis.

 

Ton royaume est bâti de râles et de larmes,
Et dans ce monde froid, tu n'as pour seules armes,
Que la force et l'espoir de ton cœur généreux,
Qui apporte la paix à tous les malheureux.

 

Tu es la confidente aimée des solitaires,
De tous ceux que la vie a rendu grabataires.
Tu offres ton sommeil, tu distribues ton temps,
Tu soignes, tu guéris tout en réconfortant.

 

Tu es la providence au sourire angélique,
Et dans cet univers inodore, aseptique,
Tu mêles ton parfum aux nuages d'éther
En ajustant la sonde ou bien le cathéter.

 

Lorsque la mort, hélas, se montre la plus forte,
Et que le sang glacé se fige dans l'aorte,
L'amertume et la rage envahissent ton cœur,
Qui ne supporte pas que le mal soit vainqueur.

 

Tu sais que la « Camarade » habite les parages,
Et qu'elle peut frapper tous les gens, tous les âges.
Et tu pleures parfois quand tombe le rideau,
Sur l'inconnu défunt qui va vers le tombeau.

 

Pourtant lorsque paraît, quand s'éloigne le pire,
Une lueur de joie, au milieu d'un sourire,
Alors modestement, tu reçois ce cadeau,
Et tu sens beaucoup moins le poids de ton fardeau.

 

Tu me pardonneras, infirmière anonyme,
Ce « Tu » si familier au milieu de la rime.
Mais je te connais bien car je t'ai vue souvent
Au cœur de l'hôpital plus sombre qu'un couvent.

 

Tu n'es pas une star ni même une vedette,
Pour louer ton travail, ni radio, ni gazette.
Mais laisse-moi te dire avec mes mots ici,
Ce que je ne puis taire, infirmière : Merci !


(auteur inconnu) 

Toi, l'infirmière*

Témoignage de mon livre d'or

C'est un livre que tout le monde devrait posséder. Il est une nourriture pour le cœur, pour l'âme et pour nous faire voir le gros bon sens. Je suis chanceuse d'avoir découvert votre site et d'avoir ce merveilleux recueil pour m'aider à sortir de mes peurs, avancer dans ma vie et d’en connaître tout meilleur qu'elle peut m'apporter. Encore plus formidable, je peux aider ceux qui m'entourent aussi, sans les blesser car ce sont des phrases et des contes qui réconfortent et guérissent.

Merci pour ce cadeau que vous avez conçu pour tous ceux qui ont besoin de réconfort. Continuez ce magnifique travail d'écriture car les gens sont assoiffés de connaissances de ce genre. — Louise Labarre

Toi, l'infirmière*

La blague du blogue - Chapeau à nos médecins !
 

Un mécanicien achevait de remonter le maître-cylindre du moteur d'une moto quand il aperçoit un cardiologue réputé, les bras croisés qui attend en retrait.

« Doc, viens voir quelque chose, de crier le mécanicien. »

Surpris, le cardiologue s'avance. Le mécanicien se redresse et dit, en s'essuyant les mains : « Doc, tu vois ce moteur ? Je viens de l'ouvrir, de démonter les valves et les soupapes et j'ai réparé tout ce qui était défectueux. Bref, je lui ai fait une opération à cœur ouvert. J'ai tout refermé et maintenant, ce moteur tourne comme neuf.

Comment se fait-il que je gagne 39 675 $ par année alors que pour le même travail, tu en gagnes plus d'un million et demi ? »

Le cardiologue le regarde quelques secondes et, sourire en coin, dit au mécanicien : « Essaie de faire cela pendant que le moteur tourne... »

« Il faut plus d'imagination, de jugement, et d'intelligence pour devenir un grand médecin que pour devenir un grand chimiste. » – Alexis Carrel

 

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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