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10 octobre 2024 4 10 /10 /octobre /2024 13:44

 

But : Rappeler que les souffrances mentales ne sont pas toujours visibles, mais qu'elles doivent être reconnues et traitées pour retrouver la paix intérieure.

 

Pierre était connu pour son sourire éclatant et sa jovialité contagieuse. Toujours prêt à faire rire, il incarnait la joie de vivre. Pourtant, derrière ce masque de bonne humeur se cachait un tout autre visage que personne ne voyait. Sous son apparence souriante, Pierre dissimulait des angoisses, des peurs et des tourments intérieurs. Chaque jour, il portait ce masque avec habileté, convaincu qu'il devait être fort et ne jamais montrer ses faiblesses.

 

Un soir, alors qu'il était seul dans un café, il rencontra Élodie, une ancienne collègue qu'il n'avait pas vue depuis des années. En l'observant attentivement, Élodie remarqua une lueur de tristesse dans ses yeux, une ombre que son sourire ne parvenait pas à dissimuler. Elle l'invita à s'asseoir avec elle et, avec une douceur désarmante, lui demanda comment il allait réellement.

 

Pierre, surpris par cette question sincère, sentit son masque se fissurer. Pour la première fois depuis longtemps, il se permit de parler de ses angoisses, de ses nuits blanches et de ses peurs inexprimées. Élodie l'écouta attentivement, sans jugement, et lui confia qu'elle aussi avait traversé des moments difficiles. Elle lui expliqua que cacher ses souffrances ne faisait que les amplifier, et qu'il n'y avait aucune honte à demander de l'aide.

 

Grâce à cette conversation, Pierre comprit qu'il n'était pas seul dans son combat. Avec le soutien d’Élodie, il décida de retirer ce masque invisible, un peu plus chaque jour, et de chercher l'aide dont il avait besoin pour alléger son esprit. En libérant ses émotions refoulées, il découvrit que montrer sa vulnérabilité était un acte de courage, et non de faiblesse.

 

Il décida également d'adopter une routine quotidienne plus équilibrée, incluant des activités qui nourrissent l'esprit, comme la méditation, l'exercice physique, ou simplement des moments de détente loin des obligations et des attentes sociales. Il apprit à reconnaître ses propres limites et à s'accorder le droit de se reposer quand le besoin s'en faisait sentir.

 

Finalement, Pierre comprit qu'il n'avait plus besoin de se cacher derrière un masque pour affronter la vie. Il se sentit libéré, non seulement de ses angoisses, mais aussi de la peur d'être jugé. Grâce à l'aide reçue et aux choix qu'il avait faits, il retrouva un équilibre intérieur. Il réalisa alors que la véritable force résidait dans la reconnaissance de ses faiblesses et dans le courage de demander de l'aide quand cela était nécessaire. En retirant son masque, Pierre découvrit une nouvelle sérénité et devint à son tour un soutien pour ceux qui, comme lui, luttaient en silence.

 

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© Nicole Charest | www.lapetitedouceur.org

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9 octobre 2024 3 09 /10 /octobre /2024 07:00
10 OCTOBRE : JOURNÉE MONDIALE DE LA SANTÉ MENTALE

Nos souffrances intérieures sont souvent des compagnons invisibles qui se cachent derrière des sourires de façade ou des silences lourds. Elles peuvent prendre racine dans des blessures anciennes, des déceptions ou des rêves non réalisés. Ces douleurs ne se voient pas de l’extérieur, mais elles pèsent lourdement sur notre cœur, modelant notre manière de voir le monde et d’entrer en relation avec les autres.

Parfois, ces souffrances s’expriment par des pensées envahissantes ou des émotions soudainement intenses : une tristesse qui surgit sans crier gare, une colère qu’on ne sait pas expliquer, ou encore un sentiment de vide, comme si quelque chose manquait. Ces sensations, bien que déroutantes, ne sont jamais là par hasard. Elles représentent des parties de nous-mêmes qui réclament d’être reconnues et écoutées.

Dans notre société, on nous encourage à être forts, à ne pas montrer nos faiblesses. On avance malgré la douleur, on s'efforce de faire « comme si » tout allait bien. Mais à force de porter ce masque, on perd peu à peu le contact avec notre monde intérieur, jusqu’à oublier d’où viennent ces souffrances. Pourtant, il est possible de se libérer de ce poids. Il ne s’agit pas de « s’en débarrasser », mais de les accueillir comme on le ferait avec un ami en détresse, en leur offrant un espace pour s’exprimer.

Accueillir nos souffrances intérieures, c’est faire le choix de se reconnecter à soi-même, de se donner la permission de ressentir, même si cela est inconfortable. C’est aussi se rappeler que derrière chaque douleur, il y a un besoin inassouvi, une émotion refoulée qui attend de nous d’être entendue. En leur prêtant attention, nous leur permettons de se transformer, et ainsi, de cesser de nous emprisonner. Alors seulement, nous pouvons commencer à guérir en profondeur et retrouver une véritable sérénité intérieure.

Si vous souhaitez approfondir cette réflexion, je vous invite à télécharger mon tout dernier eBook: Nos souffrances intérieures : un poids invisible. Il explore 10 souffrances émotionnelles qui, silencieusement, peuvent affecter notre paix intérieure. Chaque thème se conclut par trois questions dintrospection et trois phrases-clés pour mieux vous guider.

© Nicole Charest | lapetitedouceur.org

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Nos souffrances intérieures : un poids invisible

 

eBook à télécharger : Ce fichier a été spécialement optimisé pour offrir une lecture agréable sur les écrans de tablettes, tout en restant parfaitement lisible sur un téléphone portable en mode horizontal. Il comprend une table des matières permettant un accès rapide aux sections souhaitées. Pour ceux qui préfèrent savourer la lecture sur papier, ce document peut également être imprimé.

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6 octobre 2024 7 06 /10 /octobre /2024 07:51

 

But : Illustrer comment le stress lié aux scénarios futurs nous empêche de vivre le moment présent et montrer l'importance de la pleine conscience pour revenir à soi.

 

Il était une fois un village tranquille où les habitants vivaient en harmonie avec la nature, sauf un jeune homme nommé Léo. Léo était connu pour être le plus minutieux du village, mais aussi le plus tourmenté. Chaque nuit, il se réveillait en sursaut, le cœur battant à toute allure. Dans l'obscurité, son esprit s'activait comme une horloge déréglée, projetant des scénarios sans fin sur les situations non résolues de sa vie.

 

Le jour, Léo continuait à être hanté par ces pensées, comme si une voix intérieure lui murmurait sans cesse les mêmes craintes. Il imaginait des conversations qu'il n'avait jamais eues, anticipait des problèmes qui n'existaient pas encore, et chaque fois, il se sentait de plus en plus perdu. Il parlait de ses préoccupations à tout le monde, sauf à ceux qui pouvaient vraiment l'aider. Chaque discussion le rendait plus anxieux, comme s'il s'enfermait dans une boucle sans fin.

 

Un jour, alors qu'il se promenait dans la forêt, épuisé par ses pensées, Léo rencontra un vieil horloger. Ce dernier, un sage du village, l'invita à s'asseoir et à contempler la nature autour de lui. « Vois-tu, Léo, l'inquiétude excessive pour l'avenir est comme une horloge détraquée. Elle te propulse sans cesse dans le futur, t'éloignant du présent. Mais si tu veux la réparer, tu dois d'abord t'ancrer dans l'instant. »

 

Le vieil homme lui montra une technique simple : respirer profondément en comptant les battements de son cœur. « Sens ton souffle, Léo. Cela te ramènera ici, maintenant. » Léo s'exécuta et, peu à peu, il sentit son esprit se calmer. Il regarda autour de lui, remarqua les oiseaux, les arbres, et réalisa que tout allait bien, ici et maintenant.

 

Le vieil horloger lui rappela ensuite de cultiver la gratitude. « Pense à tout ce que tu as accompli, à chaque obstacle que tu as surmonté. Regarde ce qui est réel, ce qui est là pour toi. » En repensant à son passé, Léo comprit qu'il avait toujours trouvé une solution, même lorsque tout semblait perdu.

 

Enfin, l'horloger lui donna un dernier conseil : « Lorsque tu te sens submergé, demande à la Vie de te guider. Fais confiance au temps, il a une manière unique de tout arranger. »

 

Depuis ce jour, Léo apprit à apaiser l'horloge de son esprit. Chaque fois que l'inquiétude excessive pour l'avenir tentait de le déstabiliser, il se souvenait des enseignements du vieil horloger. Il revenait au présent, respirait, et laissait la Vie suivre son cours.

 

© Nicole Charest

 

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P.-S. : En lien avec cette allégorie, téléchargez gratuitement mon eBook sur la cohérence cardiaque et découvrez tous les bienfaits de cette méthode, notamment pour la gestion du stress.

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29 septembre 2024 7 29 /09 /septembre /2024 08:21

 

But : Montrer que lâcher prise n’est pas synonyme d’abandon, mais d'ouverture à de nouvelles opportunités et à une vie plus légère.

 

Il était une fois un jeune prince qui vivait dans un magnifique royaume. Un jour, il trouva une pierre précieuse d’une beauté inestimable, un diamant étincelant comme les étoiles dans le ciel. Ce trésor devint son bien le plus précieux. Il le serrait dans sa main avec tant de force qu’il avait peur de le perdre à chaque instant. Sa main, toujours fermée, ne laissait jamais le diamant hors de vue.

 

Un jour, un sage du royaume, qui voyait la détresse du jeune prince, s’approcha de lui et lui dit : « Mon prince, pourquoi t’agrippes-tu si fermement à ce diamant ? »

 

Le prince répondit : « Ce diamant est mon trésor. Si je le lâche, il pourrait tomber et se perdre dans les profondeurs de la terre. Je ne pourrais jamais supporter cette perte. »

 

Le sage sourit doucement et lui demanda : « Et si je te disais qu’il y a une autre façon de protéger ton trésor, sans l’étouffer de ta poigne ? »

 

Intrigué, le prince écouta attentivement. Le sage poursuivit : « Lâcher prise ne signifie pas abandonner. Regarde ta main, fermée et tendue. Ce geste est fatigant, et il te prive de l’usage de ta main pour bien d’autres choses. Essaye plutôt ceci : tourne ta main vers le ciel, paume ouverte, et relâche doucement tes doigts. »

 

Le prince hésita, craignant que le diamant ne glisse de sa main. Mais, sous l’œil bienveillant du sage, il fit ce qu’on lui demandait. À sa grande surprise, le diamant resta dans sa main, brillant encore plus intensément sous la lumière du soleil. Il ressentit un soulagement instantané, comme si une lourde charge s’était envolée de ses épaules.

 

Le sage ajouta alors : « Vois-tu, mon prince, lâcher prise, c’est ouvrir ton cœur et ton esprit à de nouvelles possibilités. En tournant ta paume vers le ciel, tu as non seulement gardé ton trésor, mais tu t’es aussi préparé à recevoir d’autres bénédictions de la Vie. Parfois, ce n’est pas le contrôle qui protège ce que nous aimons, mais la confiance et l’ouverture. »

 

Dès ce jour, chaque fois que le prince se sentait accablé par la peur de perdre quelque chose de précieux, il se souvenait des paroles du sage. Il ouvrait sa main vers le ciel et accueillait avec gratitude les merveilles que la Vie avait à lui offrir.

 

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© Nicole Charest | www.lapetitedouceur.org

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22 septembre 2024 7 22 /09 /septembre /2024 07:06

 

But : Illustrer l'importance d'abandonner le besoin de contrôle, d'accueillir l'inconnu avec confiance, et de vivre en harmonie avec les imprévus de la vie.

 

Au bord d’un océan, vivait une jeune femme nommée Léa. Chaque matin, elle observait les vagues qui venaient s’échouer sur le sable. Mais contrairement aux vagues, Léa ne se sentait pas en paix. Chaque jour, elle était submergée par une insécurité grandissante, craignant constamment ce que l’avenir pouvait lui réserver. Elle passait des heures à élaborer des plans, à imaginer des scénarios où tout allait mal, espérant ainsi se préparer au pire. Mais malgré tous ses efforts, son cœur restait lourd, incapable de trouver la paix.

 

Un jour, alors qu’elle se promenait sur la plage, Léa rencontra une vieille femme, assise tranquillement sur un rocher, observant l’océan avec un sourire serein. Intriguée, Léa s’approcha et lui demanda : « Comment faites-vous pour paraître si calme alors que l’océan est si imprévisible ? »

 

La vieille femme, avec un regard plein de sagesse, répondit : « Je ne lutte pas contre l’océan. Je l’accueille, avec ses vagues et ses tempêtes. Tu vois, la vie est comme cet océan, en perpétuel mouvement. Chercher à la contrôler est futile, car nous ne pouvons prévoir ni la prochaine vague, ni le calme qui suivra. »

 

Léa, perplexe, demanda : « Mais comment faire face à l’insécurité, alors ? Comment vivre sans craindre ce que demain pourrait apporter ? »

 

La vieille femme sourit et lui dit : « L’insécurité naît de notre peur du pire. Mais si, au lieu d’anticiper le pire, tu choisis d’anticiper le meilleur, ta perspective changera. Fais confiance à la Vie. Accepte que ce qui doit arriver arrivera, même si ce n’est pas ce que tu aurais souhaité. La Vie n’est pas faite pour être contrôlée, elle est faite pour être vécue, avec confiance et ouverture. »

 

Ces paroles résonnèrent profondément en Léa. Elle réalisa que son besoin de tout contrôler venait de sa peur de l’inconnu. Mais l’inconnu n’était pas forcément synonyme de danger. Au contraire, il pouvait être le début d’une nouvelle aventure, d’une nouvelle opportunité.

 

À partir de ce jour, Léa décida de changer son approche. Chaque fois qu’une inquiétude surgissait, elle se répétait : « Je fais confiance à la Vie. Ce qui arrivera sera parfait, même si ce n’est pas ce que j’avais prévu. » Peu à peu, son cœur s’allégea, et elle apprit à danser avec les vagues de la Vie, les accueillant avec confiance, plutôt que de lutter contre elles.

 

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© Nicole Charest

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25 avril 2024 4 25 /04 /avril /2024 08:00

C'est celui qui te réveille en pleine nuit et met ton mental en action instantanément.

Il devient alors hyper actif et fait tourner des situations non réglées en boucle dans ta tête.

Il s'invente tous les scénarios possibles et n'arrive plus à s'arrêter même s'il sait qu'il ne règlera rien cette nuit...

C'est celui qui t'envahit l'esprit à différents moments dans ta journée en te remettant en tête encore une fois cette foutue situation où tu continues de te projeter dans des scénarios qui t'inquiètent, te font de la peine ou te mettent en colère, tout en sachant très bien que rien de cela n'existe encore...

C'est celui qui te fait parler de cette situation à tout le monde sauf à la bonne personne, donc te maintient en otage dans des suppositions fictives qui augmentent encore ton état d'anxiété.

Et tu sais quoi? Le pire, c'est que tu sais tout ça, tu n'es pas fou! Juste incapable d'arrêter la machine à suppositions.

Il faut comprendre que le stress d'anticipation te propulse toujours par avant, il t'expulse du moment présent. Alors en ayant réussi cela, il lui devient facile de te déstabiliser, de te décentrer.

Un moyen de s'en sortir : LA PLEINE CONSCIENCE.

- Respire en ressentant ton souffle, compte: 4-4-6-2. Tu es vivant, tout va bien.

Marche et contemple la nature, les oiseaux, reviens à la base.

- Habite la gratitude, nomme les belles choses qui sont là, dans ta vie et prends le temps de les ressentir: ça c'est palpable, ça existe pour vrai.

- Retourne en arrière dans ton esprit, sors du futur!

Regarde tout ce que tu as accompli, traversé jusqu'à ce jour. Tu t'es dépassé plusieurs fois, tu en as vu d'autres et tout a fini par se solutionner en son temps. Sois fier de cela, car c'est grâce à ça que tu vas de nouveau trouver l'issue à cette situation.

- Finalement, demande la meilleure solution divine pour toi et accorde à la Vie le temps nécessaire pour faire son œuvre.

Devenir zen ne se fait pas uniquement en lisant un livre et ne s'atteint pas seulement en suivant un cours; il nous faut ensuite passer le test pratique, et là, tu es en plein dedans!

Aie confiance, tu as tout ce qu'il faut pour réussir, surtout si tu fais équipe avec l'énergie divine...

Josée, coach de vie | https://www.facebook.com/josee.lavertu.37 - Publication du 6 octobre 2019

Le stress d'anticipation*

Jacques Salomé est un psychosociologue et écrivain français. Il discute ici d’un thème très important : L’amour de soi. Voici une phrase qui m’a beaucoup plu : « Le plus cadeau que nous puissions faire à nos enfants, ce n’est pas tant de les aimer que de leur apprendre à s’aimer… »

Le stress d'anticipation*

Visionné à plus de 162,000 fois sur ma chaîne Youtube, mon diaporama sur les 4 accords Toltèques a réellement été un grand coup de cœur. Le texte est extrait du livre culte de Don Miguel Ruiz. Il s’agit de 4 règles de vie qui nous permettent de nous épanouir au quotidien, d’apprendre à mieux se connaître et s’aimer. Pour en savoir plus, cliquez sur la page que j’ai conçue à cet effet. Désolée pour les images manquantes… Je ne peux malheureusement pas réparer ma page.

Le stress d'anticipation*
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11 avril 2024 4 11 /04 /avril /2024 08:00

Chacun d’entre nous a ses propres traversées du désert. Des périodes plus ou moins intenses où il semble que nous perdions nos repères, que plus rien, ou presque, ne fonctionne comme avant, que nous nous perdons devant un amas considérable de choses à régler, de problèmes à résoudre, de relations à guérir.

Toutes ces périodes d’inconfort, de souffrances, de tourbillons ne doivent pas être vécues seulement comme étant des aléas de la Vie. Elles ne doivent pas nous servir à nous positionner en victimes et à nous croire sous le joug d’un mauvais sort. Ces situations ne nous sont pas présentées pour rien : elles sont toutes porteuses d’un cadeau plus grand encore que l’inconfort qu’elles engendrent.

Chaque disharmonie, chaque inconfort, chaque souffrance est un cadeau mal emballé pour nous réveiller à nous, pour nous faire prendre conscience que NOUS devons changer quelque chose en nous, que nous devons revoir nos croyances pour mieux les aligner avec une vie plus douce que celle que nous croyons être en train de vivre.

Chaque inconfort est une occasion de grandir, de guérir, d’aimer. Si nous ne comprenons pas le message, le niveau d’inconfort ira en augmentant chaque fois. Si nous refusons de changer, nous souffrirons de plus en plus.

Certaines souffrances parfois nous semblent n’avoir aucun sens. Mais c’est à NOUS de leur en donner un en faisant en sorte que nous ne les vivions pas en vain, en nous servant de chacune d’entre elles comme d’un levier pour nous élever, pour grandir, pour apprendre ce que nous devons changer, pour faire preuve d’humilité. Quelques perles précieuses pour s’aimer toujours plus !

Regardez toutes les occasions où vous avez été inconfortables : quelle partie de vous a réussi à grandir grâce à cet événement, même si sur le moment, vous en vouliez à l’univers entier ?

Rien ne nous est présenté en vain. Aucun inconfort n’est inutile.

Dans le grand Jeu de la Vie, apprenons les règles du jeu : quand c’est inconfortable, quand ça fait mal, c’est qu’il y a quelque chose que nous devons changer en nous.

Quand nous accueillons cette philosophie de vie, nous réagissons beaucoup plus sereinement face à ce qui se présente car nous savons que c’est à notre tour d’avancer notre pion !

Diane Gagnon – Page 27 du eBook offert ci-dessous en téléchargement

Le pouvoir de l'inconfort*

Vous savez à quel point j'aime Diane Gagnon. J'ai publié plusieurs de ses textes et j'en ai même fait des diaporamas. Quelle auteure de talent et quelle femme généreuse et inspirante! Sur son nouveau site, elle offre gracieusement un ebook regroupant 40 de ses meilleurs textes. Comme elle nous propose de le partager si celui-ci nous a fait du bien, je vous joins le fichier ci-dessous.

Le pouvoir de l'inconfort*

Maître en yoga, professeure de méditation et conférencière, Nicole Bordeleau est l’autrice d’une quinzaine d’ouvrages et d’une populaire série balado qui obtiennent un succès grandissant au Québec comme à l’étranger. Considérée comme l’une des principales références en matière de mieux-être, Nicole a su transmettre à des milliers de personnes des outils pour transformer l’inconfort en réconfort, pour passer du chaos au calme et de la peur à la paix intérieure. 103 épisodes d’environ 20 minutes sont déjà disponibles. Cliquez sur la photo pour y accéder.

Le pouvoir de l'inconfort*
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29 février 2024 4 29 /02 /février /2024 08:00
Un remède à l'inquiétude

Avez-vous tendance à vous en faire, ou à jongler dans votre esprit avec divers scénarios d’horreur que vous craignez vivre ?

Il y a plusieurs façons de remédier à l’inquiétude. Par exemple, on peut essayer de se raisonner, de se convaincre que nos craintes ne sont pas justifiées. Ou à l’inverse, on peut faire la paix avec l’issue tant redoutée – aussi improbable soit-elle –, nous libérant ainsi du sentiment de vulnérabilité qui nous amène à nous contracter. Ou encore, on peut simplement prendre conscience du mal qu’on se fait en se laissant gruger par le stress, ce qui nous amènera souvent à vouloir prendre mieux soin de nous et à savourer pleinement le moment présent.

Toutes ces approches sont magnifiques. Mais en voici une autre dont on parle moins souvent, et qui m’aide personnellement à me libérer de l’inquiétude rapidement : on peut aussi se rappeler que notre inquiétude augmente les probabilités que l’objet de notre inquiétude se concrétise. Oui, on peut se rappeler que nous sommes puissants, et que pendant que l’on s’inquiète d’une chose, on la nourrit involontairement. Je ne sais pas pour vous, mais cela coupe mon stress à la racine, un peu comme un sabre magique.

Oh, on croit que nos pensées et nos émotions sont isolées à l’intérieur de nous… Mais rien n’est séparé du reste, rien n’est « caché » en nous. Chaque fois que l’on craint activement un scénario, on déclare en quelque sorte notre foi en lui, et en tous les autres scénarios de la même famille. Chaque fois, on aligne notre être et donc notre vie dans cette direction, que ce soit ce que l’on désire ou non. En d’autres mots, on fait partie du problème, non pas de la solution. D’ailleurs, vous avez certainement remarqué que plus vous pensez à une chose, plus elle semble se densifier, qu’elle finisse par se concrétiser ou non.

Évidemment, le simple fait de s’inquiéter de notre santé, ou de la santé d’un proche ne rendra personne malade. Il y a bien d’autres forces en action. Et d’ailleurs, c’est mon sentiment profond qu’il y a un courant d’amour puissant qui nous porte vers tout ce qu’il y a de plus beau et de plus sain pour nous. Cela dit, aussi puissant soit ce courant, on est toujours libre de le bloquer… Et cultiver une énergie basse et lourde comme l’inquiétude est une des meilleures façons d’y arriver.

En d’autres mots, moins on s’inquiète, moins on a de raisons de s’inquiéter. Alors aussi bien arrêter.

— Marie-Pier Charron / Site Matin Magique

S’inquiéter, c’est comme prier pour obtenir ce qu’on ne veut pas.

Robert Downey Jr

Un remède à l'inquiétude*

Diane Gagnon est une autrice formidable qui publie de magnifiques textes sur Facebook. Je suis fière de vous présenter la 7e capsule de son nouveau programme : « RÉFLÉCHISSONS AVEC LE CŒUR ». Chaque semaine, elle couvre un thème différent pour vivre plus en Conscience et en harmonie avec soi et avec les autres (durée : 5 minutes). Je vous encourage donc à la suivre sur Facebook ou encore, à visiter son site internet.

Un remède à l'inquiétude*

Le pouvoir de la bénédiction est sûrement l’un de mes diaporamas préférés. Sur Youtube, on compte 58 000 vues. WOW! J’ai même dédié une page complète à cette technique. Il manque malheureusement quelques images suite à la migration d’Overblog mais l’essentiel des textes y est présent. Bon visionnement!

Un remède à l'inquiétude*
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31 mars 2016 4 31 /03 /mars /2016 12:46

 

Un jour, le ciel est bleu et le soleil est radieux. Le lendemain, un orage éclate et la pluie tombe à tout rompre. Un moment, tout va pour le mieux. Le moment suivant, on fait face à une séparation, à un conflit, à une maladie.

Dans cette précieuse vie humaine, rien n'est acquis et rien, ni personne ne sera épargné par les vagues du changement. Les saisons, les océans, les montagnes, bref tout ce qui existe est appelé à se transformer, à se réinventer.

Et dans la nature, rien ne résiste au cycle des transformations. Rien, sauf l'être humain. Car à moins qu'il ne provienne de sa volonté, l'être humain considère le changement comme un problème, un affront, un obstacle que la vie place sur sa route.

On peut ainsi s'agripper et résister de toutes nos forces pour repousser le changement dans nos corps et dans notre apparence, cela ne durera pas éternellement. On peut s'accrocher fermement à notre routine, à nos habitudes de vie, à des idées fixes, à de vieilles façons de faire, inévitablement un jour, on devra se résoudre à changer.

Ce refus de voir le changement comme étant un processus naturel de l'évolution coûte cher en énergie et en nuits d'insomnies, car la vie est une force puissante. Si on lui résiste, elle insiste. Si on persiste, elle nous déstabilise. Si on s'obstine et que l'on refuse de changer, elle nous y obligera, car refuser de changer, c'est comme refuser de vivre.

Aussi difficile soit-il de l'admettre, tout changement a sa raison d'être. Son but est de dégager ce qu'il y a en nous de force, de courage, de résilience pour poursuivre notre évolution. Sans cet apprentissage, il nous serait impossible de découvrir et de faire rejaillir les ressources insoupçonnées qui sommeillent encore en nous.

Bien que changer peut parfois sembler une douloureuse expérience à vivre, c'est souvent à partir de cette expérience que la sagesse émerge. La sagesse, c'est une prise de conscience. C'est la capacité de percevoir le sens profond d'une épreuve, d'une perte, d'une expérience douloureuse. La sagesse, c'est ce qui nous permet de faire face à toutes les vagues de l'existence avec sérénité.

Rien ne saurait freiner le changement, c'est l'élan même de la vie. De plus, sans changement, rien de meilleur ne pourrait survenir et nous serions constamment à vivre les mêmes expériences.
Alors, peu importe sous quelle forme le changement arrive, dites oui.

Si aujourd'hui, vous êtes appelé à vivre un changement important, dites-vous que c'est parce que vous avez en vous la force d'y faire face. Au lieu de le repousser, penchez-vous vers lui, prenez une profonde respiration et tenez bon, car la vie vous prépare à accueillir de quelque chose de beau et de grand.


Auteure : Nicole Bordeleau 

 

Dire OUI au changement*

Le moment présent

 

Ci-dessous, un extrait du film : La voie du guerrier pacifique de Dan Millman. J'ai lu bien des livres sur ce thème mais aucun ne m'a interpellée comme cette courte vidéo. Je vous encourage donc à trouver 3 petites minutes pour la visionner...

 

 
J'ai vidé ton esprit

Qu'est-ce que la PLEINE CONSCIENCE du Moment Présent ?Avez-vous lu le livre de Dan Millman "La Voie du guerrier pacifique" ou peut-être vu le film ? Il y a cette scène très drôle que je vous propose en vidéo qui raconte la 1ère leçon du héros : sortir les ordures de sa tête. Une scène qui dépeint magnifiquement un changement soudain et radical du mode de penser habituel à la pleine conscience.Dans cette histoire, inspirée de faits réels, Dan est un jeune athlète très prometteur. Il est décrit comme une personne égoïste, hautaine et très ambitieuse. Ce qui est assez courant chez les jeunes gens brillants ;-) Conditionné par son milieu, il s'imagine que l'accomplissement et le bonheur viendront à lui lorsqu'il obtiendra la gloire sportive…Et puis il rencontre un homme mur et éclairé - pour ne pas dire éveillé - qui travaille de nuit dans une petite station-service locale. Cet homme possède quelque chose que Dan ne possède pas et qui l'interpelle… Dan devient son élève.Un soir, dans une autre scène, celui que Dan a surnommé Socrate l'invite à aller s'asseoir sur le capot d'une épave et lui dit qu'il doit y rester jusqu'à ce qu'il ait - ENFIN - quelque chose de valeur à dire. Il faut dire que la tête de Dan est truffée de toutes sortes de sottises auxquelles l'éducation et le système nous préparent et, en plus, il a un caractère de chiotte ! ;-)Assis là, toute la nuit, sur le capot de la voiture, il pense à des choses "sages" qu'il a entendu dans des livres ou des films et, de temps en temps, il court débiter ses trouvailles à son mentor. Mais, à chaque fois, il se fait recaler et se retrouve à nouveau sur le capot de la voiture. :-DAprès des heures assis à enchainer pensée après pensée, à essayer sans succès citation après citation, le soleil se lève. Dan est épuisé. Trop fatigué pour continuer à penser, il lâche prise. Il s'allonge sur le dos et regarde le ciel…C'est alors que "quelque chose se déplace en lui". Dan observe un jeune couple qui arrive dans la station. Il les regarde s'embrasser et prend conscience… du geste d'amour et de tendresse qu'ils échangent ! À ce moment-là, il accueille totalement ce qui est là devant lui : LE MOMENT PRÉSENT.Après quelques instants assis là, en silence, il se rend tout content dans la boutique et regarde Socrate avec du bonheur dans les yeux : "il n'y a pas de moment banal", affirme-t-il doucement.C'est l'une des leçons que Dan devait apprendre. Une leçon apprise uniquement par l'expérience directe : lorsque Dan a laissé son aptitude à la pleine conscience observer l'ici et maintenant, il a soudain réalisé que chaque instant qu'il nous est donné de vivre est unique. Il a appris qu'il n'y a jamais "rien à faire" et que chaque instant de la vie est sacré, plein à ras-bord, débordant d'émerveillement et de mystère. ;-DMais, avec notre mode de vie à 100 km/h, nous n'en prenons conscience que si nous ralentissons suffisamment pour déguster le moment présent. Il n'y a rien à FAIRE ou à AVOIR qui puisse nous rendre durablement heureux. Il n'y a qu'à ÊTRE là, présent à ce qui est.Apprendre à "sortir les ordures de nos têtes" et à être pleinement présents, c'est ce que la #Mindfulness ou méditation de pleine conscience se propose de nous apprendre. ;-)Et vous, avez-vous eu des prises de conscience qui ont changé votre vie?Jean-Marc******************************https://www.facebook.com/MMindfulness.fr/EThttp://mmindfulness.frVoici le lien vers le film complet:https://youtu.be/FeBIkqoe87k

Posté par Mindfulness sur 12 janvier 2016
Dire OUI au changement*
Dire OUI au changement*
Dire OUI au changement*
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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 18:00

Bien que nous sachions que ce soit utopique, nous souhaitons tous vivre une vie heureuse, sans problèmes et sans souffrances.

Pourtant, c’est souvent nous-mêmes qui alimentons inconsciemment certaines des souffrances que nous éprouvons. Nous ne le faisons pas intentionnellement, bien sûr, mais nous sommes trop souvent esclaves de nos émotions comme la résistance, la colère, la haine, la rancune, la jalousie, la peur, le jugement, la fermeture, et les autres interprétations erronées que l’on se fait à propos des gens et des événements.

En fait, c’est souvent notre résistance à accepter la réalité qui crée notre souffrance. Ainsi, face à cette prémisse, nous avons parfois envie de répondre que notre cas est pire, que ce n’est pas nous qui nous faisons souffrir, que l’enfer c’est les autres, que personne ne nous comprend… On résiste de toutes nos forces à ce qui nous fait mal, à ce qui nous dérange. On juge, on critique, on refuse d’accepter les aléas de la vie s’ils sont contraires à nos attentes. Pourtant, on s’épargnerait bien des souffrances si on acceptait dès maintenant le fait que tout ce qu’on désire n’est pas nécessairement fait pour nous et que tout ce qui nous arrive est précisément ce dont nous avons besoin !

Nous croyons faussement qu’une vie heureuse est une vie sans problèmes et sans souffrances.

Et pourtant, ceux-ci font partie de la Vie au même titre que la joie et les petits bonheurs : les uns ne vont pas sans les autres. Alors pourquoi résister de toutes nos forces face aux événements qui surviennent? La Vie est une suite de joies et de peines. C’est déprimant? Non, c’est la réalité! Plus tôt dans la vie nous acceptons ce fait, plus tôt nous devenons sereins face aux événements de la Vie.

Notre force se développe en faisant face aux événements difficiles, aux résistances, aux déceptions; elle nous indique aussi quel sera notre niveau de bonheur dans la vie.

Rien ne dure de manière permanente. Tout passe. Alors, apprécions les joies, apprenons des difficultés. Construisons ainsi notre bonheur. Le Bonheur n’arrive pas un jour soudainement dans notre vie: il se construit chaque instant par nos pensées et nos réactions.


Accepter ce qui est, composer avec la réalité, la modifier lorsque c’est possible, changer soi-même pour être plus heureux; c’est ça le secret du bonheur!

 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

 

Nos résistances*

Je vous ai souvent parlé de la puissance de la bénédiction (voir ma page). Pierre Pradervant a eu la bonne idée de faire une version audio du merveilleux texte qu'il a écrit il y a plusieurs années. Quelle belle façon de débuter la journée! 

Nos résistances*

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Nos résistances*
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25 novembre 2015 3 25 /11 /novembre /2015 12:10

 


Sachant qu’il n’est pas approprié de prendre la souffrance d’autrui sur nos épaules puisque, ce faisant, non seulement nous ne lui enlèverons pas le mal qu’il porte, mais même, nous pourrions le détourner de ses propres ressources intérieures, comment devons-nous réagir face à une ou des personnes qui souffrent ?

La meilleure attitude à adopter est simplement de demeurer centrés. Si donner notre pouvoir à l’autre n’est d’aucune utilité, alors donnons-lui l’exemple. En demeurant nous-mêmes en équilibre, en ne tombant pas dans les mécanismes de domination ou encore dans nos propres émotions, nous offrons un point d’ancrage à la personne qui souffre. Simplement en nous regardant, elle perçoit que les choses pourraient être autrement.

En nous impliquant émotionnellement avec l’autre, nous risquons de l’amener à ressasser ses pensées et sa douleur, tandis qu’en demeurant détachés, nous l’invitons à « décrocher » elle aussi. En demeurant disponible, mais la tête froide, nous aidons grandement nos proches à se sortir de leurs malaises.

Dans tous les cas, il s’agit d’imposer une distance émotionnelle, pas complète, mais du moins raisonnable. Ce n’est pas facile. En tant que mère, je peux vous le dire ! Cependant, j’ai fini par réaliser que souffrir avec mes enfants ne donnait rien de plus que de me vider de mon énergie, moi aussi.

Il y a une différence entre l’empathie et la sympathie. Vous pouvez compatir à la situation que vit un proche, mais lorsque vous en venez à partager ses émotions, vous ne lui êtes plus d’aucune aide.

Je l’ai appris à mes dépens, tant comme thérapeute que comme mère. Afin de vous aider à prendre du recul face à la souffrance de gens qui vous entourent, vous pouvez lire (et relire) le petit « mémo » qui suit. Il vous rappellera le potentiel de ceux que vous aimez, tout comme le vôtre dans les moments difficiles…

« J’ai foi en toi ! Peu importe les problèmes que tu traverses actuellement, tu sais que ce n’est qu’une étape de plus dans ton long cheminement de vie. Jusqu’à maintenant, tu as toujours réussi à relever avec brio tous les défis qui se sont présentés. La preuve : tu es encore debout sur tes pieds ! Tu as toujours su trouver les bonnes solutions, la bonne façon de t’en sortir et de remporter la victoire ! Je suis convaincu que, cette fois-ci encore, tu sauras puiser en toi les ressources qui te permettront de retrouver la sérénité et la paix du cœur.

Tu as tant à offrir ! Choisis de dévoiler au monde cette belle lumière qui t’habite : tes talents cachés, cette force inépuisable qui te caractérise, cette manière différente de voir les choses… pour enfin te révéler dans toute ta splendeur ! Tu es un être magnifique, majestueux et exceptionnel ! Aie foi en toi-même, tout comme moi je crois en ton potentiel. Mon amour et mes bénédictions t’accompagnent, peu importe le choix que tu feras… car je sais que tout est parfait ici et maintenant ! »

 

Auteure : Diane LeBlanc ©
Chronique trouvée sur lapressegalactique.org

 

Choisir de donner l'exemple*
Choisir de donner l'exemple*
Choisir de donner l'exemple*

Ci-dessous, une vidéo « coup de coeur ». Récemment, je l'ai visionnée avec mes petits-enfants et j'ai pu engager une conversation vraiment intéressante avec eux. Grosso modo, l'auteure y présente les 4 accord toltèques mais dans un langage et un style parfaitement adaptés pour les enfants.

Juste en-dessous, le lien vers la page de mon site créée à ce sujet il y a de cela quelques années. Je vous invite à la revoir à nouveau.

 

Choisir de donner l'exemple*
Choisir de donner l'exemple*

Choisir de donner l'exemple*
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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 11:00

 

La seule fois où nous souffrons est quand nous croyons une pensée qui est en conflit avec ce qui est. Quand l'esprit est parfaitement clair, ce qui est, est ce que nous voulons.

Si vous voulez que la réalité diffère de ce qu'elle est, vous pourriez aussi bien apprendre à aboyer à un chat. Vous pouvez essayer et essayer encore, au bout du compte le chat vous regardera et vous dira « Miaou ». Vouloir que la réalité soit différente de ce qu'elle est, est sans espoir. Vous pouvez passer le reste de votre vie à tenter d'apprendre à aboyer à un chat.

Et pourtant, si vous y prenez garde, vous remarquerez que vous avez de telles pensées des dizaines de fois par jour.
« Les gens devraient être plus aimables. » « Les enfants doivent être bien élevés. » « Mes voisins devraient mieux entretenir leur pelouse. » « La queue à l'épicerie devrait diminuer plus vite. » « Mon mari (ou ma femme) doit être d'accord avec moi. » « Je dois être plus mince (ou plus jolie, ou avoir plus de succès). » Ces pensées sont des façons de vouloir que la réalité soit différente de ce qu'elle est. Si vous trouvez que cela semble déprimant, vous avez raison. Tout le stress que nous ressentons est causé par ce conflit avec ce qui est.

Après m'être réveillée à la réalité en 1986, les gens ont souvent parlé de moi comme la femme s'étant prise d'amitié avec le vent. Barstow est une ville désertique où le vent souffle le plus souvent, et tout le monde détestait cela, les gens déménageaient même de là, car ils ne pouvaient pas supporter le vent. La raison pour laquelle j'ai fait du vent mon ami — et de la réalité — est que j'ai découvert que je n'avais pas le choix. J'ai réalisé la folie que de s'y opposer. Quand je me dispute avec la réalité, je perds — mais seulement 100% du temps. Comment puis-je savoir que le vent devrait souffler ? Il est en train de souffler !


Je suis une amoureuse de ce qui est, non pas parce que je suis une personne spirituelle, mais parce que ça fait mal quand je me débats avec la réalité. Nous pouvons savoir que la réalité est bonne juste comme elle est, parce que lorsque nous nous disputons avec elle, nous expérimentons de la tension et de la frustration. Nous ne nous sentons pas naturels ou équilibrés. Quand nous cessons de nous opposer à la réalité, l'action devient simple, fluide, bienveillante et dénuée de toute peur.
 

 

Byron Katie, auteure internationale
Extrait du livre : Aimer ce qui est : Quatre questions qui peuvent changer votre vie

 

Quand vos pensées sont en conflit avec la réalité*

J'ai reçu cet article en étant abonnée au site ci-dessous. Si vous désirez recevoir des textes provenant des plus grands auteurs spirituels de notre temps (Eckart Tolle, Wayne Dyer, Deepak Chopra, etc.), inscrivez-vous à leur newsletter.

 

Quand vos pensées sont en conflit avec la réalité*

Le secret du bonheur selon Richard Gere

 

Il existe un exercice puissant, assez simple, que j’ai commencé à utiliser il y a de nombreuses années.

Lorsque sur mon chemin, je rencontre soit une personne, un animal ou même un insecte, la première pensée qui me vient est :
« Je vous souhaite le bonheur »  « Je te souhaite du bonheur. » Cela change complètement ce qui se passe entre vous et cette personne. Je dis cela par expérience personnelle.

Quand vous rencontrez un ennemi, quand vous vous trouvez face à une situation difficile inattendue, cela est difficile, très difficile. Et à ce stade, vous voyez comment cette émotion négative apparaît... Avant qu’elle n’envahisse votre être entier, vous avez le temps de la changer… Vous verrez les choses telles qu’elles sont, soit quelqu’un dans l’ignorance, la colère… mais pas vous ! Laissez l’amour transformer votre vis-à-vis.


« JE TE SOUHAITE DU BONHEUR ! »

Quand vos pensées sont en conflit avec la réalité*
Quand vos pensées sont en conflit avec la réalité*
Quand vos pensées sont en conflit avec la réalité*
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11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 09:35

Accepter ce qui est, c’est faire preuve de lucidité, c’est se « réveiller », devenir conscient, et considérer la réalité telle qu’elle est. C’est se désencombrer de ses programmations mentales, de ses croyances erronées, de ses œillères.


Accepter ce qui est, c’est chercher à voir comment faire face, c’est chercher – et trouver – des moyens d’améliorer la situation et surtout d’en faire quelque chose de positif toutes les fois que c’est possible. C’est cesser de demander : « Pourquoi ? Pourquoi moi ? » pour tenter de trouver « Pour quoi ? » – Pour en faire quoi ? »

Accepter ce qui est, c’est parfois n’avoir pas d’autre choix que de faire le deuil de ce qui était, de ce qui aurait pu être, de ce qui aurait dû être, pour vivre aussi pleinement que possible la réalité de l’instant présent et tenter de lui donner du sens.

Accepter ce qui est, c’est choisir de renoncer à la révolte, à la culpabilité, à la rancune, à la haine et à l’indifférence. En d’autres termes, c’est vivre debout dans toute sa dignité d’être humain.

Accepter ce qui est, c'est le prélude indispensable à toute croissance personnelle, à toute recherche de solution, à toute paix intérieure.

Source : Rosette Poletti et Barbara Dobbs, Accepter ce qui est, 2005

 

La vie vous donnera toutes les expériences qui seront utiles pour l’évolution de votre conscience. Comment savoir que c’est l’expérience dont vous avez besoin ? Parce que c’est l’expérience que vous rencontrez en ce moment.

Eckart Tolle

Accepter ce qui est*

Suggestions de livres


Ci-dessous, je vous présente 3 livres que j'ai lus avec beaucoup d'intérêt. Il en existe toutefois une panoplie d'autres sur le thème de l'acceptation.

À noter : afin d'être le plus « universelle » possible, je mets toujours un lien vers Amazon et non vers une librairie en particulier. Mes abonnés d'Europe doivent aller sur Amazon.fr, alors que mes abonnés du Canada doivent aller sur Amazon.ca.


Perso, je télécharge souvent des livres en version électronique. D'une part, je peux les avoir instantanément et d'autre part, ils sont souvent offerts à des prix dérisoires. Naturellement, c'est une option uniquement si vous avez une tablette ou une liseuse.

 

Accepter ce qui est*

Un exercice puissant!


Récemment, je vous ai parlé d’un livre merveilleux que je lis : La magie de Rhonda Byrne. Grosso modo, c’est un parcours de 28 jours sur la gratitude. À la 7e journée, elle propose un exercice qui complète très bien le thème de ce bulletin.

Elle nous suggère de choisir une situation dans notre vie qui est très difficile à vivre et d’y trouver 10 bénéfices. Oui, je sais, c’est loin d'être évident de voir le côté positif de certains événements. Toutefois, en faisant un effort sincère, on peut y arriver. Faites seulement penser à toutes ces qualités personnelles qui émergent suite à une épreuve.

Si vous arrivez à penser à la situation avec une sincère gratitude, vous vous sentirez mieux à l’intérieur et c’est alors que vous verrez la magie opérer son miracle dans le monde extérieur.


À titre d’exemple, voici ce qu’elle écrit par rapport au fait d’être sans emploi. Chaque phrase doit commencer par :

1) Je suis reconnaissant envers ma famille qui m’encourage et me soutient.
2)
Je suis reconnaissant d’avoir pu me reposer, car j’en avais besoin.
3)
Je suis reconnaissant d’avoir pu réaliser à quel point mon travail était important pour moi.
Etc, etc.

Terminez le tout avec cette affirmation : Merci, merci, merci pour la résolution parfaite.

Accepter ce qui est*

Prière pour s'apaiser

 

Ci-dessous, une courte prière qui a trouvé résonance en moi dès que je l'ai lue. Elle provient du premier livre de Micheline Ruch, L'alchimie du bonheur, auteure dont je parle plus haut. L'appellation Intelligence infinie peut, bien sûr, être remplacée par Dieu ou la puissance supérieure en laquelle vous croyez.

« L’Intelligence Infinie agit en moi et en chaque personne concernée par cette situation. Par Son action, la solution idéale s’accomplit. »

Cette courte prière positive est active pour n’importe quelle situation. Répétez-la trois fois le soir avant de vous endormir, puis accueillez le sommeil avec des pensées de joie du fait que la solution idéale s’accomplit. Durant la journée, à chaque fois que le mental ramène l’attention sur la difficulté avec des pensées négatives, rassurez-vous en vous répétant que l’Intelligence Infinie s’en occupe
.

Accepter ce qui est*
Accepter ce qui est*
Accepter ce qui est*

Un mari, à peine rentré chez lui, questionne :

– Qu'est-ce qu'on mange?

Aujourd'hui, répond sa femme, tu as le choix : les restes du ragoût de pattes d'hier.

C'est tout?

Oui.

Mais où est le choix là-dedans?

C'est à prendre ou à laisser.

 

 

 

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 14:39


 

Après avoir beaucoup souffert, nous souhaitons tous trouver la bonne manière de guérir de nos blessures et d’amorcer au plus tôt notre processus de guérison.

Particulièrement si nous endurons la souffrance depuis longtemps, il nous semble que la guérison ne vient jamais assez vite! Nous voudrions que notre deuil soit court mais en même temps, nous ne voulons pas abandonner l’objet de notre deuil. Nous voulons pardonner à celui qui nous a trahi mais nous ressassons sans cesse la trahison dans notre tête en lui juxtaposant tous les scénarios imaginables. Nous voulons cesser d’avoir mal dans notre cœur mais ce chagrin immense qui nous envahit constamment nous semble parfois mieux que de ne plus rien ressentir du tout.

La guérison est un processus par lequel ce qui a été endommagé en nous se régénère pour permettre de créer une nouvelle région plus saine.

On ne guérit jamais complètement de nos blessures, on les cicatrise.

Ceci signifie que nous ne pouvons pas changer le passé ni enlever toute trace de nos blessures : nous devons apprendre à vivre avec la cicatrice que chacune a laissée. C’est cependant chacune de ces cicatrices qui nous a rendus plus forts, plus humains, qui a fait de nous ce que nous sommes devenus aujourd’hui. Et si nous trouvons que certaines cicatrices nous ont au contraire rendus plus amers ou ont refermé notre cœur, c’est le signe qu’elles ne sont pas encore guéries. Parce que toute blessure qui cicatrise bien devrait finir par nous rendre meilleurs. Si elle nous limite dans notre humanité, alors nous devons encore en prendre soin pour que le processus de cicatrisation se complète.

On ne peut pas effacer nos blessures, mais on peut construire sur les apprentissages qu’elles nous ont laissés. C’est ainsi que nous devenons plus solides et plus compatissants.

Dès qu’on commence à avoir envie de sortir de notre souffrance, le processus de guérison, de cicatrisation s’enclenche. Donnons-nous chaque jour un peu plus de temps pour vivre en dehors de notre zone de souffrance, ne serait-ce qu’à coups de 5 minutes à la fois. Chaque fois que nous laissons la Vie prendre un peu plus de place en nous, nous permettons à notre souffrance de cicatriser davantage.

Prendre soin de soi, ce n’est pas de l’égoïsme, c’est parfois une question de survie. Et d’amour de soi.


 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

 

Guérir*

Et si on envoyait nos problèmes dans l'Univers?

 

Sur mon fil d'actualité FB, j'ai vu apparaître le petit logiciel ci-dessous et je suis littéralement tombée sous le charme. Parfois, nous avons besoin d'un geste symbolique pour nous aider à lâcher prise par rapport à un problème, une inquiétude, un stress, une blessure, une rancune, etc. Et c'est justement ce pour quoi cet outil a été conçu.

Voici comment procéder. Dès que vous aurez cliqué sur le lien ou sur l'image, vous arriverez sur une page où scintillent des étoiles. Dans la case appropriée, inscrivez l'objet de votre problème et, au son d'une jolie musique et de phrases inspirantes, voyez-le disparaître dans l'univers. Le tout ne prend qu'une minute. Cette application est conçue en anglais mais comme il n'y a que quelques lignes à lire, c'est relativement facile à comprendre. Écrivez votre problème en français et ne vous limitez pas à un seul mot. Les caractères seront tout simplement plus petits.

Pour ma part, j'aime bien y jumeler un aspect spirituel, en ce sens que je vois mon problème être soumis à Dieu ou à la Puissance supérieure en laquelle vous croyez. Par la suite, faites confiance et ne ruminez plus vos problèmes.

N.B.: Une abonnée m'a mentionné qu'en faisant clic droit sur cette page, on pouvait demander la traduction en français. Avec Google chrome, ça a bien fonctionné. Merci Sandrine!

 

Guérir*
Guérir*
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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 17:10

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Voici un petit exercice de lâcher-prise tout simple et très parlant que vous pouvez reprendre à volonté chaque fois qu’une situation problématique se présente dans votre vie.

Imaginez que vous étendez un bras droit devant vous, le dos de la main fixant le ciel, tandis que vous tenez fermement dans votre paume un diamant précieux. Vous garderez, bien entendu, votre main solidement fermée, vos doigts s’agrippant au joyau pour ne pas le laisser s’échapper.

Alors si quelqu’un vous invite à lâcher prise, que ferez-vous ? Ouvrirez-vous la main au risque de laisser tomber le diamant ?

Que se passe-t-il dans votre tête si vous vous dites que vous devez laisser aller ce que vous avez de plus cher ? Croyez-vous que lâcher prise veuille dire laisser tomber, renoncer, capituler, jeter l’éponge, perdre la face ou abandonner la partie ? Si c’est le cas, pas étonnant que vous refusiez de vous y soumettre !

Or, le vrai lâcher-prise implique plutôt de voir les choses autrement, de vous ouvrir à de nouvelles avenues auxquelles vous n’avez pas encore songé par vous-même.

Dans le cas présent, il n’est pas nécessaire de garder la main tournée vers le sol pour l’entrouvrir : vous pouvez la retourner vers le haut, paume vers le ciel, et dénouer vos doigts afin de faire de la place aux nouvelles possibilités qui se présentent à vous.

Lâcher prise, c’est tout simplement lâcher le contrôle, faire confiance à la Vie et vous ouvrir pour recevoir les innombrables bienfaits qui pleuvent sur votre tête.

La prochaine fois que vous sentirez qu’il vous faut lâcher prise, refaites ce petit geste significatif : libérez-vous de votre souci en le remettant entre les mains de votre âme, de Dieu ou de toute autre personnes « là-haut » en qui vous avez confiance… Puis, tendez les mains droit devant vous, ouvertes et prêtes à accueillir de merveilleux joyaux sous forme de bénédictions providentielles ou de solutions parfaites !



Source : Dre Diane LeBlanc, Tout va mal ? Tant mieux ! Éditions Le Dauphin blanc, 2013, p. 173 

Exercice de lâcher-prise*

La blague du blog

Une patiente, à son médecin :

— Docteur, cela fait cinq minutes que vous m'avez demandé de tirer la langue et vous ne la regardez même pas !

— C'était juste pour être tranquille pendant que je rédige votre ordonnance.

 

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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