Quel est donc ce discours intérieur que vous entretenez et qui ne s’exprime point de façon audible? C’est pourtant lui qu’écoute votre subconscient; à lui seul qu’il obéit...
Votre subconscient enregistre votre pensée silencieuse et vos émotions et c’est une machine à enregistrer extrêmement fidèle. Il enregistre tout et vous le rend sous forme d’expériences, de conditions et d’événements. Il faut se rappeler que quoi que ce soit que nous acceptions comme étant vrai, s’imprègne dans notre subconscient et que ce dernier est un puissant agent créateur.
Le subconscient contrôle tous vos organes vitaux, il est le siège de la mémoire et le guérisseur du corps. Nourri par des sources cachées, il est uni à l’Intelligence et à la Puissance infinies. Il est donc très important de donner à votre subconscient des instructions convenables qui s’accordent avec votre but.
Par exemple, si l’on s’attarde sur des difficultés, délais et obstructions au programme que l’on s’est établi, le subconscient prendra cette attitude mentale pour une requête et accumulera les obstacles et les déceptions. D’où l’importance de nourrir votre subconscient de prémisses constructives et positives.
Lorsqu’apparaissaient des contretemps et que le doute et la peur assaillent votre esprit, recueillez-vous et, silencieusement, affirmez cette vérité :
« Je rends grâce pour la solution parfaite et harmonieuse qui vient à travers la Sagesse Universelle. »
Servez-vous de cette prière de façon régulière et systématique. Elle vous apportera la paix.
Il faut complètement cesser les déclarations verbales négatives et surveiller attentivement sa conversation intérieure, sachant qu‘immanquablement, ce sont les éléments de cette dernière qui se manifesteront dans vos vies. Car, c’est ce que vous ressentez intérieurement qui prend forme.
Rappelez-vous : si vous dites une chose avec la bouche et en ressentez une autre dans votre cœur, c’est cette dernière qui se reproduira sur l’écran de l’espace. Il ne faut donc jamais affirmer intérieurement ce que vous ne voulez pas vivre extérieurement. Il faut que les lèvres et le cœur s’accordent; quand cela a lieu, votre prière est exaucée.
— Joseph Murphy, La puissance de votre subconscient
Là où sont tes pensées, tu es.
Veille à ce que tes pensées soient bien là où tu veux être.
Rabbi Nahman de Bratslav
Autrice, webmestre, conceptrice de diaporamas de réflexion, je concentre maintenant une partie de mes activités vers les montages vidéo de mariage. Mettre en valeur les photos de cette précieuse journée, les animer, harmoniser le tout sur la chanson choisie; tel est mon plaisir, telle est ma passion… Ci-dessous, un court extrait de l'une de mes productions. Visitez www.optionsmariage.com pour voir l'ensemble de mon portfolio et connaître tous les détails. Rabais de 25% en laissant votre nom dès maintenant. Merci de partager et de m'aider à faire connaître mon site.
Voici quelques-uns des textes écrits et partagés par Diane Gagnon sur sa page Facebook. Je vous encourage vivement à la suivre au quotidien car ses réflexions sont toujours porteuses d’espoir. Et de l’espoir, nous en avons tous besoin en cette période de pandémie. Cliquez sur l’image pour vous abonner à sa page.
MÉTAPHORE – Diane Gagnon – Facebook, le 25 mars 2020
En ces temps de grands bouleversements, ce que nous vivons à l’échelle planétaire semble une parfaite métaphore de la Vie toute entière.
Ainsi, la Vie change chaque jour, chaque heure même. Impossible de prédire l’avenir. Impossible de dire si nous pourrons respecter nos engagements du mois de mai, d’avril ou même de la semaine prochaine tant les choses changent à une vitesse vertigineuse. Impossible de faire des plans avec les certitudes de pouvoir les réaliser.
Pourtant, c’est toujours ainsi que ça se passe! Aucun des plans que nous faisons dans le « cours normal » de notre vie n’est assuré de se réaliser! Nous croyons peut-être naïvement que nous pourrons rencontrer nos objectifs, faire le voyage que nous avons prévu, etc., mais rien, absolument rien ne garantit que ce que nous prévoyons se réalisera. Ni en ces temps de Covid-19, ni en d’autres temps. C’est seulement qu’en d’autres temps, les bouleversements et changements arrivent moins rapidement mais sinon, impossible pour quiconque de prédire l’avenir.
Nous revenons à l’essentiel. Du moins pour la plupart d’entre nous. Fatigués de courir, épuisés des obligations qui nous étouffent, abattus de n’avoir jamais de temps à soi, le luxe du temps et du calme nous est proposé à la majorité d’entre nous. Pourtant le choix de ralentir et de revenir à l’essentiel a toujours été possible pour la majorité d’entre nous. Il s’agissait à la base de faire des choix différents, de se mettre moins de charges financières sur les épaules, de choisir de vivre plus simplement, de s’inscrire à moins d’activités pour avoir enfin le temps de lire, d’écrire, de relaxer, de méditer, de ne rien faire.
Nous ne décidons pas de grand-chose dans la Vie. En fait, de plus en plus, je réalise que c’est toujours la Vie qui a le dernier mot. Soit nous la contestons, soit nous suivons le flot de la Vie. Donc, soit nous souffrons, en contestant, soit nous apprenons à vivre plus sereinement, en suivant le flot de la Vie, même lorsque cela ne nous plaît pas, même lorsque cela ne fait pas partie de nos préférences. Actuellement nous sommes « confinés » pour beaucoup d’entre nous. Mais est-ce que cela ne veut pas dire justement que nous sommes finalement confinés à cette rencontre que nous fuyons depuis toujours : cette rencontre avec soi-même, la plus importante de toutes ? La rencontre avec les gens avec qui nous avons choisi de partager nos vies, celle avec les personnes que nous avons mises au monde ? Les vraies rencontres, quoi! Même celles que nous aurions préférées ne pas avoir par peur de la réalité. La Vie nous force la main pour qu’enfin nous allions aux plus importants rendez-vous de notre existence, ceux qui se tiennent chez nous !
Nous n’avons plus la possibilité ou la capacité de dépenser autant qu’avant. Ce modèle économique que l’on nous force dans la gorge depuis tant d’années semble avoir fait son temps. Tous ces objets que nous avions habitude de consommer sans y penser, soudainement on se rend compte que nous n’avons pas besoin de tant de choses que ça pour être heureux finalement : pouvoir manger, prendre soin de sa santé et de son hygiène, c’est l’essentiel pour beaucoup. Tout ce qui est superflu devient soudainement moins important et plus du tout nécessaire.
Tous ces contacts humains et chaleureux que nous prenions pour acquis, ces parents âgés que nous oublions de visiter, ces personnes dans le besoin que nous préférions éviter, tout à coup, tout cela devient le moteur de notre besoin de solidarité, de chaleur humaine, de compassion, d’empathie, d’entraide. Tout cela existait pourtant auparavant, mais il a sans doute fallu que nous en soyons privés pour avoir envie de résoudre ce manque et se promettre enfin de remédier à ces situations dès que possible.
Nous avons toujours eu des anges gardiens sur notre route, sous différentes formes. Mais souvent, nous ne les voyions pas, ou nous avons cru faussement au hasard qui fait bien les choses. Aujourd’hui ces anges gardiens sont nos paramédics, nos infirmières, médecins, personnels soignants, policiers, pompiers, services essentiels qui bravent les dangers pour nous protéger, pour que nous puissions survivre et rester ou recouvrer la santé. Ces anges gardiens sont bien réels et nous pouvons de toutes sortes de façons leur exprimer notre infinie gratitude.
Nous nous croyions tout puissants, sûrs de nous, au-dessus de tout et nous voilà assujettis à un nano virus qui contrôle notre agenda, notre vie, nos décisions. Si la Vie voulait nous rendre humbles et bien elle a réussi! Et elle nous montre, une fois de plus, qu’il vaut mieux suivre ses indications que de les contester. C’est ce que j’appelle la docilité face à la vie, c’est-à-dire suivre le flot de la Vie, faire avec ce qui est là, la réalité actuelle et tenter de faire sien l’apprentissage qui nous est majestueusement offert. Et vous savez comme moi que tant que nous n’avons pas appris la leçon, elle nous sera resservie inlassablement, de plus en plus percutante. Alors apprenons, conscientisons, ouvrons notre cœur et notre esprit à ce qui est là.
Et comme toujours, cela aussi passera. Inexorablement, nous retrouverons une vie sans confinement, avec moins de virus menaçants, mais aussi une Vie que nous choisirons plus douce, plus simple, plus en lien avec les véritables besoins de notre âme. Ce ne sera peut-être pas un retour à la normale, ni à la Vie d’avant, mais ce sera un retour à soi, pour tous ceux qui auront envie de comprendre ce qui nous est demandé.
TOUT CHANGE – Diane Gagnon – Facebook, le 18 mars 2020
Cette crise planétaire que nous vivons a de nombreuses leçons à nous enseigner, si nous prenons ce temps d’isolement pour nous arrêter, justement, et être présents en toute conscience à ce qui se passe en ce moment.
Devant cette crise, avez-vous remarqué que nous sommes TOUS ÉGAUX ? Le virus ne privilégie ni un sexe, ni une race, ni un groupe d’âge, ni une région. Nous sommes tous égaux devant ce fléau.
Pour traverser la crise, la vie nous rappelle que nous sommes également TOUS UNIS: ce n’est que dans la solidarité et le respect complet des consignes que nous pourrons passer à travers. Nous sommes tous unis devant cette pandémie qui nous assaille de toutes parts.
Ce n’est plus le temps de laisser l’EGO se croire supérieur aux directives émises, ou à ne pas croire à la gravité de la situation. La réalité est bien là, malgré les drames qui se vivent. C’est maintenant que nous devons ACCUEILLIR LA RÉALITÉ telle qu’elle se présente et non tenter d’y imposer notre volonté ou nos préférences. Et ce n’est qu’en reconnaissant la réalité que nous pourrons adapter notre comportement et nos choix pour nous en sortir.
La crise nous ramène à l’ESSENTIEL : nos valeurs, la santé, la famille, l’Amour, la simplicité, la paix intérieure, la présence, la Conscience. Il suffit d’être privés de contact avec ceux que nous aimons pour découvrir la profondeur et l’importance des liens que nous avons entre nous. On ne peut peut-être plus se serrer la main mais on peut se serrer les coudes! Les moments de partage vus sur les réseaux sociaux, de balcon à balcon, de chansons à l’unisson sont des exemples merveilleux de ce que nous pouvons créer avec peu de moyens, pour nous « ré-unir » aux autres.
RIEN NE SERA PLUS COMME AVANT. Tout va changer pendant et après la crise. Ces changements sont déjà commencés. Une grande partie de l’humanité ne pourra pas revenir à sa vie d’avant… par choix. Parce que nous aurons pris conscience de ce qui compte vraiment. Parce que nous redécouvrirons le sens de l’Amour. Parce que nous perdrons notre besoin excessif de tout consommer, de courir, de vouloir tout, tout de suite, parce que nous aurons renoué avec la simplicité. Peut-être aussi parce que nous aurons enfin rencontré la paix, notre paix intérieure, dans l’isolement de notre foyer, de notre retour intérieur au véritable SENS de la Vie.
Chaque crise est non seulement une occasion mais une exigence de CROISSANCE, d’ÉVEIL. Bien que nous ayons eu depuis des années de nombreux « avertissements », de nombreux rappels pour revenir à soi, cette fois la Vie a pris les grands moyens. Je compatis de tout cœur avec tous ceux qui auront l’impression de beaucoup perdre, matériellement, financièrement, professionnellement pendant cette période de pertes d’emplois, de fermetures définitives, de crash boursier; se peut-il cependant que le grand ménage que la situation est en train de faire permettra de créer une nouvelle économie PLUS JUSTE, plus équitable, plus en respect avec notre rythme et nos valeurs ? Se peut-il que cette leçon d’HUMILITÉ nous serve à grandir, à faire des choix plus sains, plus simples, plus en lien avec notre communauté, rapprochée et éloignée? Nous avons tous besoin du support les uns des autres : mais il me semble plus important de soutenir ceux qui vivront des pertes humaines et de leur offrir notre aide et notre amour.
CETTE CRISE AURA UNE FIN. Même si dans certains cas nous n’en sommes encore qu’au début, rappelons-nous que cette période sera un jour derrière nous. Tout passe. Tout finit par finir. Même cela. Utilisons ces temps d’isolement pour ressentir ce que la Vie tente de nous enseigner à nous : que devons-nous modifier dans notre vie désormais ? Comment pouvons-nous revenir à notre essence véritable ? Quels choix aurons-nous le goût de faire dorénavant pour vivre heureux ?
Alors que la face du monde entier change chaque jour, chaque heure, utilisons chaque moment pour apprendre à vivre autrement, pour réinstaurer la paix dans nos cœurs et dans notre monde. Il semble qu’enfin le moment soit venu de le créer, ce monde d’AMOUR que nous espérons tous. Et c’est à chacun d’entre nous d’y participer en se permettant une profonde introspection sur nos vies respectives. C’est maintenant ou jamais!
L’ÉPREUVE DU FEU – Diane Gagnon – Facebook, le 20 mars 2020
La Vie a de bien drôles de façons de nous mettre face à nos choix, à nos contradictions, même à nos tentatives de fuite !
Puisque beaucoup sont confinés à la maison ou en isolement prolongé, nous voici obligés de faire face à NOTRE réalité, celle qui se passe dans notre foyer. Nous voilà confrontés à regarder en face quelle est devenue la nature de nos relations avec nos enfants, nos parents peut-être et surtout notre conjoint/e.
Pas de sortie possible pour se changer les idées, pas de réception avec nos amis, pas de discussions au boulot, pas d’apéro du jeudi soir au bar, pas de cinéma, pas de restos, pas de boutiques à faire… Nous sommes plus que jamais obligés de regarder ce qui se passe dans notre cour.
On pourrait appeler ça l’épreuve du feu : c’est un test qui mesure la solidité d’une chose, d’une relation, d’une situation. Combien de temps allons-nous tenir avant que tout saute ? Si nous avions l’habitude de nous voiler le visage face à notre relation conjugale qui fait semblant de vivre depuis toutes ces années, alors nous trouverons l’épreuve du feu très éprouvante. Si nos relations avec nos ados survivent mieux lorsque l’un de nous est absent, alors nous serons appelés à redéfinir notre rôle de parent en présence. Si, malgré l’amour que nous portons à nos enfants, nous aimions mieux faire autre chose que d’être avec eux à temps plein, alors cette épreuve de feu nous obligera à réévaluer nos valeurs, nos choix, nos priorités.
Nous ne pourrons pas fuir cette fois, nous devrons regarder en face ce qu’est devenue notre vie. Nous devrons mesurer les conséquences de nos choix antérieurs et redéfinir ce que nous voulons vivre à partir de maintenant.
Certains couples survivent depuis quelques années parce qu’ils sont devenus experts de la fuite de l’intimité. La Vie les oblige maintenant à ne plus fuir, à affronter ce qui ne marche plus, à tenir cette conversation que l’on tente d’éviter depuis des années, à apporter les changements nécessaires, à prendre les meilleures décisions pour les deux parties afin que le Bonheur et l’Amour puissent avoir une chance de revenir dans leur vie, ensemble ou pas.
C’est tout un défi que de se voir ainsi en huis clos forcé, de cesser de faire semblant que tout va bien, d’apprendre à se parler autrement, de tenter de se redéfinir ensemble ou séparément.
Certains pourront profiter de cette situation unique pour raviver la flamme qui vacille entre eux depuis trop longtemps. D’autres prendront la décision de chercher ensemble des solutions, réalisant tout à coup que l’on tient à l’autre, mais qu’il y a des ajustements à faire pour que le bien-être revienne. D’autres enfin, cesseront de fuir leur réalité et affronteront la décision qu’ils repoussent depuis tant d’années. Nous avons tous droit au bonheur, mais pour cela, il faut accueillir notre réalité actuelle afin de faire de meilleurs choix lorsque c’est possible. Le temps des mensonges, de la fuite et des cachotteries est terminé. La Vérité est appelée au grand jour, dans toutes les sphères de notre vie.
Cette épreuve du feu laissera des traces indélébiles, mais je suis persuadée qu’elle favorisera de meilleurs choix pour tous dans un avenir rapproché. Se choisir, c’est encore le choix qui nous offre le plus de possibilités d’être heureux. Ne passons pas à côté de cette ultime opportunité.
GARDONS LA FOI – Diane Gagnon – Facebook, le 17 mars 2020
Ce sont des temps de grands bouleversements que nous vivons. Des temps d’épuration, de recrudescence des peurs, d’émergence de la volonté de garder la foi aussi.
Ces temps d’incertitude, de destruction de nos vieux schèmes de pensées peuvent aussi nous amener à plus de solidarité, de compassion, d’empathie, d’entraide, d’Amour. Comme tout est bousculé, il semble nous être demandé de revenir à l’essentiel, de revenir à nous, de retrouver la simplicité en étant forcés de rester chez soi.
Beaucoup ont demandé que le rythme de leur vie ralentisse, nous y voilà contraints. Beaucoup ont souhaité de passer plus de temps avec leurs proches, nous y voilà forcés par les mesures de confinement et d’isolement.
Cette catastrophe nous permettra-t-elle de nous retrouver enfin, de revenir à l’essentiel, de recréer l’esprit de communauté, d’entraide et de solidarité qui nous anime au plus profond de notre âme mais que nous avons perdu de vue en chemin ?
La Vie nous force à plus de docilité, de simplicité, de solidarité. Saurons-nous l’écouter cette fois-ci? Même dans les grands drames, il y a toujours une occasion de croissance extraordinaire, une opportunité d’évolution qui nous est offerte malgré toute la douleur et la souffrance qui cachent le trésor.
Prenons soin de nous, prenons soin des nôtres. Ne nous mettons pas à risque et revenons en nous pour y retrouver cette paix que nous cherchons tant. Soyons doux et bons avec nous et les nôtres, redécouvrons ceux qui nous entourent, réapprenons à manifester nos sentiments en paroles, en prenant le temps de dire aux nôtres à quel point nous les aimons. Restons dans notre puissance intérieure pour ne pas alimenter la panique extérieure, bien compréhensible mais inutile.
Prenez soin de vous mes chers amis, je tiens à vous. Puissiez-vous dans ces moments de catastrophe rester branchés à votre âme, à votre paix intérieure, à l’Amour qui nous unit tous. Même si nous ne pouvons plus toucher ceux que nous aimons, nous pouvons encore leur dire à quel point ils comptent pour nous. Profitons de ce temps d’arrêt pour renouer avec la Vie, celle qui compte plus que tout en ce moment. Gardons la Foi que la Vie, toujours, sait ce qu’elle fait.
Nous pourrions changer bien des choses en ce monde si nous portions attention à offrir le meilleur de ce que nous sommes à chaque rencontre.
Être totalement présent à l’autre, le regarder et l’écouter avec une attention complète, sans préparer nos réponses, sans donner de conseils non sollicités, sans plaindre ni juger, seulement être dans la meilleure qualité de présence que nous puissions lui offrir.
Lorsque nous arrivons à ralentir notre cadence pour être pleinement là, avec l’autre, sans nous soucier du « avant » ni du « après », apporte à la relation une profondeur et une intensité qui créent des liens forts et durables.
Lorsque nous écoutons attentivement ce que l’autre souhaite nous livrer comme message, nous lui donnons l’espace et le temps pour se déposer, pour se trouver, pour se confier et pour être en confiance. Nous enrichissons ainsi notre propre vécu, par ce partage du cœur que nous co-créons avec lui. N’avons-nous pas tous besoin de nous sentir vraiment écoutés ? Si nous l’offrons aux autres, nous attirerons à notre tour des gens qui porteront cette même qualité de présence.
En fait, nous pouvons aussi nous offrir cette même qualité de présence, à nous, chaque jour, et aussi souvent que nous le pouvons. Ralentir le rythme pour devenir pleinement présent à soi, écouter ce qui monte comme petite voix, lui laisser toute la place pour s’exprimer, sans la juger, sans la restreindre, simplement en l’accueillant. Laisser venir les émotions pour nous en libérer peu à peu. Laisser nos muscles se détendre pour que notre corps se repose et s’aligne mieux avec notre âme.
S’offrir le meilleur à soi, en étant bon pour soi, permet de développer une merveilleuse complicité avec la Vie. Car ainsi, nous attirons aussi le meilleur à nous.
La peur de perdre est présente dans presque toutes les sphères de notre vie.
Nous avons peur de perdre notre conjoint, notre emploi, nos amis. Nous avons peur de perdre la face, de perdre une argumentation, nos biens, notre santé. Nous avons aussi peur de perdre notre confort et notre routine, devant des changements imminents.
À cause de ces peurs, nous nous crispons dans des attitudes plus rigides pour ne rien perdre; nous tentons de contrôler tous nos environnements, de tout planifier, tout prévoir, tout superviser. Nous refusons d’adhérer aux changements, nous développons une tendance plus forte au contrôle et à la résistance, puis, nous devenons plus jaloux et angoissés. Quand nous avons l’impression que nous sommes sur le point de vraiment perdre quelque chose, nous intensifions davantage nos comportements anxieux, alors, le stress nous ronge et nous épuise.
Et pourtant, est-ce que notre peur de perdre quelque chose nous a déjà préservés de perdre quelque chose?
Est-ce que parce que nous avons peur de perdre nous ne perdons jamais rien? Bien sûr que non! Certes, la peur peut nous amener à être plus prudent, mais bien souvent elle n’empêchera pas notre couple de s’étioler, notre emploi de se terminer, nos relations de s’appauvrir. Elle ne nous préservera pas de la faillite, des aléas de la vie quotidienne, des problèmes de santé, des changements…
Cependant, la peur de perdre nous garantit quand même certaines choses : entre autres, celles de gâcher notre présent, de ruiner notre humeur, de perturber notre sommeil. Elle risque aussi, parce que nous adopterons des comportements indésirables basés sur la peur, de nous faire perdre notre conjoint(e), nos relations, notre emploi. Assurément, elle nous fera perdre notre calme, notre sourire et notre confiance en la Vie. S’il n’y a pratiquement aucun gain à entretenir la peur de perdre, pourquoi la maintenons-nous dans notre Vie?
La peur de perdre est essentiellement liée à nos deux peurs fondamentales, celle de mourir…. et celle de vivre!
Parfois, pour certaines personnes, la peur de vivre est encore plus grande que celle de mourir : elle nourrit alors toutes les autres peurs.
Une peur a toujours une fonction vitale : elle nous indique clairement que nous ne nous faisons pas assez confiance à nos propres ressources et à la Vie. Il est donc possible, sans nous juger, d’accueillir nos peurs avec bienveillance pour ce qu’elles ont à nous enseigner, même si elles sont impuissantes pour ce qui est de changer la réalité. Si nous les accueillons, si nous nous accueillons avec nos peurs, nous saurons où nous avons besoin de nous aimer davantage… et nous aurons moins peur!
Alors, plutôt que de nous juger durement lorsque l’anxiété de la peur surgit, tentons de voir ce que ces peurs nous apprennent sur nous-mêmes. Car il y a au moins deux cadeaux lumineux dans chacune d’elles : Celui de nous rappeler de faire davantage confiance à la Vie et celui de nous enseigner à mieux nous aimer.
Connaissez-vous l'histoire de cet homme, trempé jusqu'aux os, qui s'était perdu en pleine forêt?
Après avoir tourné en rond durant plus de quatre jours, le vieil homme découvre enfin une vieille cabane de chasseurs.
Tout heureux, il y entre, s'installe avec précipitation devant le poêle situé au beau milieu de la pièce et il attend. Il attend ainsi, sans bouger, durant plus de trois heures. Au bout de ce temps, toujours trempé et gagné par le froid intense, il ouvre la bouche pour dire au poêle : « Je t'avertis, si tu ne me donnes pas de chaleur, tu n'auras pas de bois! »
Le lendemain, des chasseurs, de passage dans la région, trouvèrent le vieil homme mort de froid, assis devant un poêle froid et vide, sans bois.
Source : Nicole Charest, Petites douceurs pour le coeur, p. 66
L’histoire ci-dessus m’a toujours fait sourire tellement la conclusion défie la logique et le bon sens. Pourtant, dans d’autres domaines de notre vie, ça semble beaucoup moins évident…
Lequel des deux cas ci-dessous vous représente le plus?
1) Vous désirez quelque chose et dès que vous l’avez reçu, vous remerciez. OU
2) Vous remerciez à l’avance pour l’accomplissement de votre désir, confiant que la magie opérera.
Vous aurez sans doute deviné que l’option #2 représente la façon la plus certaine et la plus rapide d’attirer la manifestation de nos souhaits. Pourquoi? Tout simplement parce qu’en fonction de la loi de l’attraction, plus nos pensées sont tournées vers l’appréciation et la gratitude, plus les circonstances heureuses se multiplient. L’inverse est aussi vrai. Plus nous focalisons notre attention sur ce qui manque dans notre vie, plus la Vie en sera l’écho.
Ce thème de la gratitude est présentement l’objet de toutes mes lectures et j’y reviendrai plus en détails la semaine prochaine. Entretemps, j’aimerais vous suggérer un livre merveilleux : La magie de Rhonda Byrne. Il s’agit d’un programme de 28 jours où l’auteure nous montre à appliquer le pouvoir de la gratitude à notre vie quotidienne.
Ci-dessous, quelques ressources que je trouve très intéressantes et que j’ai plaisir à partager avec vous.
Je vous souhaite une excellente semaine et vous remercie d’être présents-es sur ma route virtuelle.
Votre webmestre, Nicole
« Je n'ai ni bras ni jambes, mais je suis reconnaissant d'avoir cette aile de poulet... » OUF! Un témoignage comme celui-ci vaut la peine d'être écouté et réécouté...
Merci la vie ! - Chanson de Ginette Reno
Cliquez ici pour avoir les paroles et pourquoi pas, les chanter à tue-tête!
Si vous construisiez une maison pour votre famille, vous prendriez un intérêt extrême aux plans de votre architecte et vous insisteriez pour que l’entrepreneur se conforme à ses plans. Vous surveilleriez les matériaux et ne choisiriez que le meilleur bois, le meilleur acier ; vous voudriez en tout la première qualité.
Que faites-vous de votre maison mentale et de vos plans mentaux pour votre bonheur et votre abondance ? Tout ce qui entre dans votre vie dépend de la nature des matériaux dont vous vous servez pour la construction de votre demeure mentale.
Si vos plans sont pleins de concepts mentaux de peur, de souci, d’anxiété ou de pénurie et si vous êtes déprimé, plein de doute et de cynisme, alors la texture du matériau mental que vous tissez dans votre esprit se manifestera sous la forme d’un accroissement de labeur, de soucis, de tension, d’anxiété et de limitations de toutes sortes.
L’activité fondamentale par excellence et de plus grande portée dans la vie est celle que vous élaborez à chaque heure de jour dans votre mentalité.
Sans cesse vous construisez votre demeure mentale et votre pensée et votre imagerie mentale constituent vos plans. D’heure en heure, d’instant en instant, vous pouvez élaborer la santé radieuse, le succès et le bonheur au moyen de pensées que vous entretenez, des idées que vous accueillez, des croyances que vous acceptez et des scènes que vous répétez dans le studio secret de votre esprit. Ce majestueux édifice, dans la construction duquel vous êtes perpétuellement engagé, c’est votre personnalité, votre identité sur le plan extérieur, toute l’histoire de votre vie sur cette terre.
Faites des plans nouveaux ; construisez silencieusement en prenant conscience de la paix, de l’harmonie, de la joie et de la bonne volonté dans le moment présent. En méditant sur ces choses-là, en les revendiquant, votre subconscient va accepter votre nouveau plan et va manifester dans votre vie ces qualités.
Source : Joseph Murphy, La puissance de votre subconscient, p. 72
La blague du blog
Une fillette et un garçonnet jouent à cache-cache. La fillette dit au jeune garçon : « Si tu me trouves, je te donne un bec, et si tu ne me trouves pas, je serai dans la garde-robe ! »
Ce n'est pas d'avoir des problèmes,c'est de ne pas chercher de solutions;
Ce n'est pas d'avoir eu des échecs,c'est de ne pas continuer;
Ce n'est pas de tomber souvent,c'est de ne pas se relever plus souvent;
Ce n'est pas d'avoir peu d'argent,c'est de ne pas enrichir son esprit;
Ce n'est pas d'avoir été refusé,c'est de ne pas demander une fois de plus;
Ce n'est pas d'avoir été insulté,c'est de ne pas sourire;
Ce n'est pas d'avoir été déçu,c'est de ne pas espérer encore;
Ce n'est pas d'avoir été trahi,c'est de ne pas pardonner;
Ce n'est pas de manquer de maturité,c'est de ne pas chercher à mûrir;
Ce n'est pas d'avoir fait faillite,c'est de ne pas essayer une autre fois;
Ce n'est pas d'avoir des handicaps,c'est de ne pas les surmonter;
Ce n'est pas d'être laid,c'est de ne pas embellir sa vie;
Ce n'est pas d'être illettré,c'est de ne pas chercher à s'instruire;
Ce n'est pas d'avoir des difficultés,c'est de ne pas persévérer;
Ce n'est pas de perdre quelque chose,c'est de ne pas conserver son enthousiasme;
Ce n'est pas d'avoir manqué son départ,c'est de ne pas recommencer;
Ce n'est pas d'avoir manqué son objectif,c'est de ne pas avoir d'objectif;
Ce n'est pas de ne pas se sentir aimé,c'est de ne pas aimer les autres;
Ce n'est pas d'avoir peur,c'est de ne pas faire face à ce qui fait peur;
Ce n'est pas d'être seul au monde,c'est de ne pas aller vers les autres;
Ce n'est pas de n'être pas compris,c'est de ne pas comprendre les autres.
Source : Jean-Guy Lebœuf, Grains de sagesse, p. 202
Cette nuit, avant de vous endormir,confier à l’Esprit qui est en vous tous vos problèmes, départissez-vous d’eux pour le moment, et demandez-Lui de les élucider pour vous. N’envisagez vous-même aucune solution : vous devez Lui laisser le chemin libre et présenter votre coupe vide. Demandez-Lui également de vous délier de toutes les entraves qui vous ont jusqu’alors empêché d’accéder à la joie et Il s’en acquittera. Dès que vous aurez pris cette bonne habitude, vous serez surpris de trouver très souvent au réveil une réponse aux questions, grandes et petites, qui vous préoccupaient en état de veille.
— Auclair, Marcelle. Le livre du bonheur, p. 53
La blague du blog
Un homme vient d'acheter une voiture neuve, mais faute de garage, il est obligé de la laisser la nuit dans la rue. Et comme il sait que les voleurs d'autoradios n'hésitent pas à briser les vitres et à défoncer les portières, il met sur son pare-brise l'écriteau suivant : IL N'Y A PAS DE RADIO DANS CETTE VOITURE.
Et le lendemain matin, plus de voiture... À la place où elle se trouvait, il ne reste que l'écriteau sur lequel on a rajouté : Ce n'est pas grave, on en fera mettre une...
Il existe différents types de désordre. Bien sûr, le plus visible est le désordre ménager, mais il y a aussi celui qui peut régner dans votre ordinateur : de vieux fichiers ou des documents qui ne vous servent jamais. Votre sac à main peut être encombré de vieilles factures, d’articles de maquillage défraîchis, de mouchoirs utilisés et ainsi de suite. Des plantes mortes et des déchets peuvent également joncher le sol de votre jardin ou de votre cour.
Par ailleurs, le désordre peut tout aussi bien être interne : votre horaire est surchargé et vous êtes dépassé par les événements, par exemple. Parler sans cesse et ne jamais écouter les autres est également un comportement issu d’un désordre intérieur.
Si vous ne prenez jamais la peine de vous ressourcer en silence pour entendre votre voix intérieure et passez le plus clair de votre temps à réfléchir, analyser, rationaliser ou à vous inquiéter, votre désordre interne est évident. Il est aujourd’hui temps de vous pencher sur ces autres types de désordre.
– Source : Le coaching de l'âme - Denise Linn
Témoignage de mon livre d'or
Je voulais vous dire que je suis en train de lire vos Petites douceurs pour le coeur (tome 2). À mes yeux, c'est le meilleur livre sur le sujet écrit.
Je suis bénévole dans un CHSLD, et aujourd'hui, je me suis servie de votre livre pour lire des textes aux résidents. « Être âgé ou être vieux... » est un des textes que je leur ai lus. Ce livre a été écrit pour toutes les catégories d'âges, que je pense à mon fils de 20 ans, à moi-même ou bien pour les résidents des centres, il nous rejoint tous. J'espère donc, pour moi et les autres, qu'il y aura un troisième tome.
Merci beaucoup et entre-temps, je continue de lire chaque jour votre bouquet.
Nicole Gohier
La blague du blog
Andréest célibataire et vit avec son vieux père tout en travaillant pour la compagnie de ce dernier.
Quand il a su qu'il hériterait d'une immense fortune au décès de son père malade, il a décidé qu'il serait temps de se trouver une femme avec qui il pourrait partager sa fortune.
Un soir, au cours d'une rencontre d'investissement, il fit la connaissance de la femme la plus belle qu'il n'avait jamais vue. Sa superbe beauté naturelle lui coupa le souffle.
« J'ai peut-être l'air d'un gars ben ordinaire, lui dit-il, mais dans quelques années, quand mon vieux père va mourir, je vais hériter de 65 millions de dollars. »
Impressionnée, la femme lui demanda sa carte d'affaires et trois jours plus tard... elle devint sa belle-mère.
Savoir écouter l’autre apporte deux choses fondamentales. D’abord, vous lui montrez que vous vous souciez réellement de ce qu’il a à vous dire. Ce qui est sûrement le meilleur moyen de lui prouver que vous vous intéressez à lui et que vous le comprenez. C’est facile de répéter : « Je fais attention à toi », mais si vous avez la tête ailleurs, vous ne faites que démontrer que ce n’est pas votre priorité, que votre partenaire passe après le reste.
Quand on se sent écouté, et donc aimé, on cesse d’avoir l’impression de faire partie des meubles. Une bonne capacité d’écoute incite l’autre à se confier et à partager ses expériences, ce qui ne peut que vous rapprocher. Il est aussi agréable et stimulant de côtoyer quelqu’un qui vous écoute, qu’il est pénible et frustrant d’être avec une personne qui fait la sourde oreille.
Autre bienfait inhérent à l’art de savoir écouter : il réduit sensiblement notre propension à nous emporter pour un rien. Quand on est capable d’écouter son interlocuteur avec attention et sincérité, on évite les conclusions hâtives et les réactions brutales, qui se produisent précisément quand on croit savoir à l’avance ce que l’autre pense.
En prenant la peine et le temps d’écouter, vous entendrez des choses que vous ignoriez jusque-là, et que vous n’auriez jamais pu deviner par vous-même ou en vous contentant d’accorder à l’autre une oreille distraite.
La différence entre une écoute convenable et une écoute de « pro » est énorme. Se sentir écouté est un besoin tellement fort que, lorsqu’il n’est pas satisfait, il laisse une impression de grand vide. À l’inverse, quand l’autre personne se sent vraiment écoutée, elle s’estime facilement comblée et elle ne se sent jamais aussi bien qu’en votre compagnie.
La seule façon de devenir champion du monde dans cette discipline, c’est la bonne vieille méthode : beaucoup d’entraînement. Savoir écouter l’autre ne se réduit pas à être capable de répéter ce qu’il vient de dire. Cela implique d’être réellement « présent » dans vos discussions, comme de faire preuve de patience et de compréhension. Concrètement, efforcez-vous d’abord de comprendre ce qui est dit – sans couper la parole – avant de parler à votre tour et d’exprimer votre point de vue.
En mettant autant de soin – sinon plus – à écouter qu’à parler, vous ouvrirez la voie à une relation fondée sur le respect mutuel et le partage.
Source : Richard et Kristine Carlson, Ne vous noyez pas dans un verre d’eau (#3 - en amour)
« Parfois, quand je suis avec des gens, je me tais et je les écoute parler.
Je ne dis rien, je suis là, je souris et je hoche la tête.
On peut croire que je n’ai rien à dire, mais c’est le contraire.
C’est justement parce que j’ai quelque chose à dire que je me tais.
Les gens qui sont là sont trop occupés à parler pour pouvoir m’écouter. »
Auteur inconnu
Chaque main qui me touche est une main qui me guérit : Je suis un être précieux et l'Univers m'aime. À mesure qu'augmente l'amour que je me porte, le miroir de l'Univers augmente son amour pour moi.
Je sais que la Puissance Universelle est partout, en chaque personne, en chaque lieu et en chaque chose. Ce pouvoir d'amour, ce pouvoir guérisseur coule à travers la profession médicale et dans chaque main qui touche mon corps.
J'attire seulement sur le chemin de ma guérison les individus les plus évolués. Ma seule présence suscite les qualités spirituelles de mes médecins et du personnel infirmier. Tous sont étonnés de leur habileté quand ils travaillent à me guérir.
Source : Les pensées du cœur, Louise L. Hay, p. 37
La blague du blog
Chéri...
J'ai recousu le trou dans la poche de ton veston. Tu en as de la chance d'avoir une femme aussi prévenante que moi, hein ?
- Mmmmoui, c'est vrai ma chérie. Mais dis-moi, comment as-tu découvert qu'il y avait un trou dans ma poche ?
On vous a heurté, on vous a blessé ou du moins, vous avez cru l’être. Et votre amour-propre est à vif. Aussitôt vos traits se contractent, vous vous repliez sur vous-même et la muraille d’hostilité se ferme autour de vous.
Pour peu que vous soyez enclin à ce défaut, vous n’avez manqué de remarquer que la bouderie est une arme dangereuse dont un tranchant est tourné contre votre entourage et l’autre tranchant tourné contre vous. En boudant, vous vous retirez du milieu social ou familial, vous vous mettez délibérément en quarantaine.
Pour punir les autres d’un méfait souvent illusoire, vous vous punissez d’abord le premier. Dès que vous avez constaté un froissement et que vous sentez venir la vague de bouderie, ne cédez pas à ce sentiment, car il se fortifie à mesure qu’il est installé.
Faites taire d’office votre amour-propre irrité. Ne le laissez pas proférer une seule syllabe. En imposant d’emblée silence à l’amour-propre, vous coupez les ailes à la bouderie avant qu’elle ait pris essor. Mais si la bouderie est plus forte que vous et vous isole du monde, gardez-vous de l’alimenter par des pensées de dépit.
Prenez aussitôt un livre. Ou plongez-vous sans délai dans quelque travail mental. À peine votre esprit se sera-t-il détourné de l’objet de sa prévention, que molliront les fibres de la rancune. Et vous serez étonné du peu de consistance de vos griefs. Lorsque vous aurez fait cette constatation, n’hésitez pas. Allez aborder votre entourage et faites-lui la surprise d’un visage et ouvert. Les pires champs de glace fondront au contact de votre sourire.
– Source : Georges Barbarin, Le livre de chevet, 1984
Bouderie : une grève de gamins.
Jules Renard
La blague du blog
« Tiens, Robert, je t’ai acheté deux chemises pour ton anniversaire : une bleue et une verte !
– Merci, ma chérie… »
Le lendemain…
« Bonjour chérie! Bien dormi ?
– Pourquoi as-tu mis la chemise bleue, Robert, tu n’aimes pas la verte? »
À l’intérieur de votre « home », vous ne passez pas vos journées près de l’évier, ni dans l’ombre de la cave. Vous faites en ces lieux les gestes strictement indispensables, puis, le reste du temps, vous en oubliez jusqu’au souvenir.
Par contre, vous recherchez dans votre maison les pièces dont le séjour est le plus agréable, c’est-à-dire où règnent une disposition heureuse, le plus confortable ameublement, la meilleure vue, le soleil.
Alors pourquoi restez-vous continuellement penché sur les coins d’obscurité et les sentines qui sont au fond de vous-même et ruminez-vous dans votre pensée uniquement les peines, les échecs, les rancœurs, le désespoir ?
N’y a-t-il pas dans votre esprit d’autres endroits d’élection ornés de vos espérances, meublés de vos joies, tapissés de vos réussites ? Que n’êtes-vous constamment à celles des fenêtres de votre âme qui donnent sur la lumière et sur le ciel ?
– Barbarin, Georges, Le livre de chevet, p. 82
Le bonheur! Tout le monde le cherche et le recherche. Laissons Deepak Chopra, auteur internationalement connu et reconnu, nous livrer 5 importantes clés. Voici la deuxième.
2) Restez conscient que le monde extérieur reflète votre réalité intérieure. Les gens qui suscitent en vous des réactions intenses, qu’elles soient d’amour ou de colère, sont des projections de votre monde intérieur. Ce que vous détestez le plus reflète ce que vous niez le plus en vous-même. Ce qui vous aimez le plus reflète ce que vous voulez le plus pour vous-même. Servez-vous du miroir de vos relations comme d’un guide pour votre évolution, afin d’apprendre à vous connaître parfaitement. Une fois que vous y serez parvenu, vous aurez acquis ce que vous voulez le plus, et ce que vous aimez le moins disparaîtra.
Source : Les secrets de la sagesse, Éditions AdA Inc., p. 121
La blague du blogue
Un facteur arrive devant une maison. Il est accueilli par un énorme chien qui n’arrête pas d’aboyer.
« N’ayez pas peur, dit sa maîtresse, vous connaissez le proverbe : "Chien qui aboie ne mord pas".
– Oui, répond le facteur. Moi je connais le proverbe, mais lui, est-ce qu’il le connaît? »
N'ayez pas peur de vous réveiller et de regarder de quoi vous êtes fait. Personne ne peut le faire pour vous. Vous seul avez ce pouvoir.
Vous pouvez croire qu'être en santé, c'est être toujours joyeux, rationnel, gentil, bon ; ne jamais pleurer, ne jamais montrer son désappointement, ne jamais être en colère. Cette croyance à elle seule peut vous amener à nier les mouvements spontanés et naturels qui font partie de votre personnalité.
Être en santé, c'est s'aimer tel qu'on est, dans tous les moments successifs de sa vie, que ce soit en colère, heureux, malheureux, triste, rieur, fou, logique, rationnel, intuitif, créatif. C'est s'aimer avec ses manques, son manque d'amour de soi et des autres, ses refus de s'ouvrir, son plaisir à le faire.
On ne peut atteindre une vie spirituelle intense, on ne peut accéder au bonheur en niant la nature de ses émotions, de ses pensées, et de sa réalité physique. N'ayez pas peur de ce qui surgit de vous... Donnez-vous la permission de vous sentir. Soyez votre propre laboratoire.
– Labonté, Marie-Lise, S'autoguérir... c'est possible, p. 184
La blague du blogue
Pour son anniversaire, la marraine de Cédric lui offre un jouet qui ne lui plaît pas vraiment…
« Merci pour ton cadeau! C’est très gentil! lui dit le petit Cédric.
– Il n’y a pas de quoi!, répond fièrement la marraine.
– Je suis bien de ton avis, mais c’est maman qui tenait absolument à ce que je te remercie. »
Les nombreuses demandes auxquelles nous devons faire face peuvent nous mener à l’épuisement émotif et physique. Nous contribuons à notre propre déficit lorsque nous donnons plus que nous ne recevons. Étant donné que nous avons été programmés pour donner et que le fait de recevoir nous paraît égoïste, il nous faut beaucoup de courage pour doser ce qu’il est juste et raisonnable de donner.
Considérez votre vie comme un compte bancaire : combien de retraits et de dépôts quotidiens pouvez-vous porter à votre compte, en termes d’efforts physiques, de sentiments, d’intelligence et d’esprit? En fait, notre vie est un compte bancaire sur lequel nous retirons ou permettons aux autres d’effectuer de trop nombreux retraits.
Afin de rétablir l’équilibre budgétaire, nous devons encaisser les crédits à profusion et consentir aux débits avec parcimonie. Si les sommes débitables aux plans physique, émotif, mental ou spirituel sont trop nombreuses, alors notre compte devient à découvert.
Il en résulte de la frustration, de la colère, de l’épuisement. Mais lorsque nous portons à notre crédit en fonction de limites réalistes, nous avons plus à donner. Même s’il nous est difficile de nous occuper de nous-mêmes, cela s’avère un excellent investissement. En veillant de la sorte sur nous-mêmes, nous nous assurons de n’avoir pas de découvert.
En établissant des limites réalistes, j’investis sur mon existence. Je peux choisir ce que je donnerai et ce que je ne donnerai pas. J’instaure l’équilibre en veillant à mes besoins d’ordre physique, émotionnel, mental et spirituel.
Source : Sagesse de femme, Sue Patton Thoele, 1995, p. 26
La blague du blogue
– Le prof : Claude, combien pèse un éléphant de trois tonnes?
– Claude : Euh…
– Le prof : Bon, je vais t’aider. Écoute bien : De quelle couleur était le cheval blanc de Napoléon?
– Claude : Blanc
– Le prof : Très bien! Maintenant, combien pèse un éléphant de trois tonnes?
– Claude : Blanc?
Un Amérindien et son ami, en visite au centre-ville de New York, marchaient dans Manhattan. C'était l'heure du lunch et les rues étaient très achalandées. Les autos klaxonnaient de plus belle, les taxis faisaient crisser leurs pneus sur les coins de rue et les bruits de la ville rendaient presque sourd. Soudain, l'Amérindien dit : « J'entends un grillon. »
Son ami répondit : « Quoi? Tu dois être fou. Tu ne pourrais jamais entendre un grillon au milieu de tout ce vacarme!
— Non, j'en suis sûr, dit l'Amérindien, j'entends vraiment un grillon.
— C'est insensé », dit l'ami.
L'Amérindien écouta attentivement puis traversa la rue jusqu'à un petit boisé perdu au cœur de toutes ces plateformes en ciment où poussaient quelques arbustes. Il regarda à l'intérieur des arbustes, sous les branches et avec assurance, il localisa un petit grillon. Son ami était complètement stupéfait.
« C'est incroyable, dit son ami, tu dois avoir une ouïe spéciale.
— Non, répondit l'Amérindien, mes oreilles ne sont pas différentes des tiennes. Tout ça dépend de ce que tu cherches à entendre.
— Mais ça ne se peut pas! dit l'ami. Je ne pourrais jamais entendre un grillon dans ce bruit.
— Oui, c'est vrai, répliqua l'Amérindien, ça dépend de ce qui est vraiment important pour toi. Tiens, laisse-moi te le démontrer. »
Il fouilla dans sa poche, en retira quelques pièces de monnaie et discrètement les jeta sur le trottoir. Et alors, malgré le fracas de la rue bondée de monde, ils remarquèrent que toutes les têtes, jusqu'à une distance de sept mètres d'eux, se tournaient et regardaient pour voir si la monnaie qui tintait sur la chaussée était la leur.
« Tu vois ce que je veux dire? demanda l'Amérindien. Tout dépend de ce qui revêt de l’importance pour toi. »
Source : Petites douceurs pour le coeur, Éditions Un monde différent, Nicole Charest, p. 120
La blague du blog
Un homme qui déambulait dans la rue à une heure du matin, se fait arrêter par la police qui lui demande : « Où allez-vous comme ça, à une heure pareille ? »
L'homme répond : « Je m'en vais à une conférence sur les abus de l'alcool et leurs effets sur le corps humain. »
L'officier lui demande alors : « Vraiment ? Et justement, qui peut bien donner une telle conférence à cette heure-ci de la nuit ? »
Nous avons souvent tendance à croire que si nous étions ailleurs – en vacances, avec un autre conjoint, engagé dans une autre carrière, logé dans une maison plus grande, etc. –, tout serait différent, nous serions bien plus heureux. Eh bien non !
Si vous avez des habitudes mentales négatives – vous vous mettez facilement en colère, vous vous réfugiez souvent dans la nostalgie ou l’espoir d’un avenir radieux –, ces tendances vous suivront partout où vous irez.
L’inverse est aussi vrai : si vous êtes une personne globalement heureuse, aux nerfs solides, vous pouvez changer d’endroit, de partenaire ou de situation professionnelle sans que cela affecte de façon tragique votre existence.
Il se produit un progrès formidable dans votre esprit lorsque vous prenez conscience que la vie est comme une voiture : elle se conduit de l’intérieur, pas de l’extérieur !
Commencez par vous concentrer sur les progrès que vous pouvez faire là où vous êtes, plutôt que de perdre votre temps à imaginer que l’herbe est plus verte ailleurs. Vous éprouverez aussitôt un sentiment de paix. Puis, à mesure que vous avancerez, au fil des expériences et des rencontres, vous finirez par emporter partout cette sensation de sérénité intérieure. « Où que vous alliez, vous y êtes. » Rien n’est plus vrai.
– Richard Carlson – Ne vous noyez pas dans un verre d’eau
La blague du blogue
Un monsieur âgé avait un sérieux problème. Il était sourd depuis plusieurs années. Il alla voir son médecin qui lui donna deux appareils pour entendre. Au bout d'un mois, il retourna voir son médecin qui lui dit :
« Votre famille doit être soulagée de savoir que vous entendez maintenant très bien ?
– Oh, je n'ai pas encore dit à ma famille que j'avais des appareils, répondit l’homme. Je ne fais que m'asseoir et écouter les conversations. Ça fait trois fois que je change mon testament... »
Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.