À l’intérieur de votre « home », vous ne passez pas vos journées près de l’évier, ni dans l’ombre de la cave. Vous faites en ces lieux les gestes strictement indispensables, puis, le reste du temps, vous en oubliez jusqu’au souvenir.
Par contre, vous recherchez dans votre maison les pièces dont le séjour est le plus agréable, c’est-à-dire où règnent une disposition heureuse, le plus confortable ameublement, la meilleure vue, le soleil.
Alors pourquoi restez-vous continuellement penché sur les coins d’obscurité et les sentines qui sont au fond de vous-même et ruminez-vous dans votre pensée uniquement les peines, les échecs, les rancœurs, le désespoir ?
N’y a-t-il pas dans votre esprit d’autres endroits d’élection ornés de vos espérances, meublés de vos joies, tapissés de vos réussites ? Que n’êtes-vous constamment à celles des fenêtres de votre âme qui donnent sur la lumière et sur le ciel ?
– Barbarin, Georges, Le livre de chevet, p. 82
Le bonheur! Tout le monde le cherche et le recherche. Laissons Deepak Chopra, auteur internationalement connu et reconnu, nous livrer 5 importantes clés. Voici la deuxième.
2) Restez conscient que le monde extérieur reflète votre réalité intérieure. Les gens qui suscitent en vous des réactions intenses, qu’elles soient d’amour ou de colère, sont des projections de votre monde intérieur. Ce que vous détestez le plus reflète ce que vous niez le plus en vous-même. Ce qui vous aimez le plus reflète ce que vous voulez le plus pour vous-même. Servez-vous du miroir de vos relations comme d’un guide pour votre évolution, afin d’apprendre à vous connaître parfaitement. Une fois que vous y serez parvenu, vous aurez acquis ce que vous voulez le plus, et ce que vous aimez le moins disparaîtra.
Source : Les secrets de la sagesse, Éditions AdA Inc., p. 121
La blague du blogue
Un facteur arrive devant une maison. Il est accueilli par un énorme chien qui n’arrête pas d’aboyer.
« N’ayez pas peur, dit sa maîtresse, vous connaissez le proverbe : "Chien qui aboie ne mord pas".
– Oui, répond le facteur. Moi je connais le proverbe, mais lui, est-ce qu’il le connaît? »