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19 octobre 2024 6 19 /10 /octobre /2024 07:00

 

19 octobre : journée mondiale de sensibilisation au cancer du sein

 

Le cancer du sein ne fait aucune distinction : il touche des mères, des sœurs, des filles et des amies. À celles qui ont vu leur parcours s’interrompre, leur mémoire demeure une source de respect et de reconnaissance. À celles qui se battent avec courage et détermination, qu’elles se rappellent qu’elles ne sont jamais seules. Et à celles qui ont triomphé, elles incarnent l’espoir et l’inspiration pour toutes les autres.

 

*****************

 

Par une matinée grise et calme, Judith était assise dans la salle d’attente de l’unité d’oncologie. Quelques semaines plus tôt, elle avait reçu le diagnostic d’un cancer du sein. Chaque regard échangé avec les autres patientes semblait empreint d’inquiétude. Tandis que son esprit vagabondait, elle pensait à ses projets suspendus, à sa famille, et surtout à l’inconnu qui l’attendait. 

 

Alors qu’elle attendait son premier traitement, une femme d’un certain âge s’approcha doucement et s’assit à ses côtés. Elle portait un foulard léger, laissant deviner qu’elle aussi avait traversé l’épreuve du traitement. Sans un mot, elle sortit de son sac un petit bracelet rose. « J’ai reçu ce bracelet au début de mon parcours, » dit-elle avec un sourire bienveillant. « Une amie me l’a donné en disant : “Ce bracelet est un fil invisible. Il relie toutes les personnes qui traversent cette épreuve. Quand tu le portes, souviens-toi que tu n’es jamais seule.” »

 

Judith prit le bracelet, émue par ce geste simple. En l’enfilant autour de son poignet, elle ressentit une chaleur apaisante. Le fil invisible dont parlait la femme prenait soudain tout son sens : d’autres avant elle avaient affronté ces moments d’incertitude, et d’autres encore suivraient. Ce fil, tissé de solidarité et de compassion, les reliait toutes, formant une chaîne de soutien silencieuse mais indéfectible.

 

Quelques mois plus tard, Judith retourna à l’hôpital pour un dernier suivi. Dans la salle d’attente, elle aperçut une jeune femme, le regard perdu et les mains tremblantes. Elle s’approcha doucement, détacha le bracelet de son poignet et le plaça délicatement dans la main de la nouvelle patiente.

 

« Tu n’es pas seule, » murmura-t-elle avec un sourire.

 

En voyant les yeux de la jeune femme s’illuminer d’un peu d’espoir, Judith sut que le fil invisible continuerait de se tisser, un geste à la fois.

 

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© Nicole Charest | www.lapetitedouceur.org

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13 octobre 2024 7 13 /10 /octobre /2024 07:00
14 OCTOBRE : JOUR DE L’ACTION DE GRÂCE

Oprah Winfrey disait : « Soyez reconnaissant pour ce que vous avez ; vous finirez par en avoir davantage. Si vous vous concentrez sur ce que vous n'avez pas, vous n'en aurez jamais assez. »

 

Effectivement, plus nous reconnaissons les bénédictions dans notre vie, plus nous trouvons de raisons d’être heureux. La gratitude nous aide à dépasser le sentiment de manque en révélant l’abondance déjà présente autour de nous. En cultivant cet état d’esprit, nous attirons encore plus de bienfaits et enrichissons notre expérience de vie.

 

C’est dans cet esprit que je vous présente l’allégorie de Lila, une jeune fille comblée mais souvent insatisfaite. Au fil de son parcours, elle rencontrera un vieil homme sage qui lui partagera la pratique qui a transformé sa vie.

 

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© Nicole Charest | www.lapetitedouceur.org

 

 

 

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10 octobre 2024 4 10 /10 /octobre /2024 13:44

 

But : Rappeler que les souffrances mentales ne sont pas toujours visibles, mais qu'elles doivent être reconnues et traitées pour retrouver la paix intérieure.

 

Pierre était connu pour son sourire éclatant et sa jovialité contagieuse. Toujours prêt à faire rire, il incarnait la joie de vivre. Pourtant, derrière ce masque de bonne humeur se cachait un tout autre visage que personne ne voyait. Sous son apparence souriante, Pierre dissimulait des angoisses, des peurs et des tourments intérieurs. Chaque jour, il portait ce masque avec habileté, convaincu qu'il devait être fort et ne jamais montrer ses faiblesses.

 

Un soir, alors qu'il était seul dans un café, il rencontra Élodie, une ancienne collègue qu'il n'avait pas vue depuis des années. En l'observant attentivement, Élodie remarqua une lueur de tristesse dans ses yeux, une ombre que son sourire ne parvenait pas à dissimuler. Elle l'invita à s'asseoir avec elle et, avec une douceur désarmante, lui demanda comment il allait réellement.

 

Pierre, surpris par cette question sincère, sentit son masque se fissurer. Pour la première fois depuis longtemps, il se permit de parler de ses angoisses, de ses nuits blanches et de ses peurs inexprimées. Élodie l'écouta attentivement, sans jugement, et lui confia qu'elle aussi avait traversé des moments difficiles. Elle lui expliqua que cacher ses souffrances ne faisait que les amplifier, et qu'il n'y avait aucune honte à demander de l'aide.

 

Grâce à cette conversation, Pierre comprit qu'il n'était pas seul dans son combat. Avec le soutien d’Élodie, il décida de retirer ce masque invisible, un peu plus chaque jour, et de chercher l'aide dont il avait besoin pour alléger son esprit. En libérant ses émotions refoulées, il découvrit que montrer sa vulnérabilité était un acte de courage, et non de faiblesse.

 

Il décida également d'adopter une routine quotidienne plus équilibrée, incluant des activités qui nourrissent l'esprit, comme la méditation, l'exercice physique, ou simplement des moments de détente loin des obligations et des attentes sociales. Il apprit à reconnaître ses propres limites et à s'accorder le droit de se reposer quand le besoin s'en faisait sentir.

 

Finalement, Pierre comprit qu'il n'avait plus besoin de se cacher derrière un masque pour affronter la vie. Il se sentit libéré, non seulement de ses angoisses, mais aussi de la peur d'être jugé. Grâce à l'aide reçue et aux choix qu'il avait faits, il retrouva un équilibre intérieur. Il réalisa alors que la véritable force résidait dans la reconnaissance de ses faiblesses et dans le courage de demander de l'aide quand cela était nécessaire. En retirant son masque, Pierre découvrit une nouvelle sérénité et devint à son tour un soutien pour ceux qui, comme lui, luttaient en silence.

 

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6 octobre 2024 7 06 /10 /octobre /2024 07:51

 

But : Illustrer comment le stress lié aux scénarios futurs nous empêche de vivre le moment présent et montrer l'importance de la pleine conscience pour revenir à soi.

 

Il était une fois un village tranquille où les habitants vivaient en harmonie avec la nature, sauf un jeune homme nommé Léo. Léo était connu pour être le plus minutieux du village, mais aussi le plus tourmenté. Chaque nuit, il se réveillait en sursaut, le cœur battant à toute allure. Dans l'obscurité, son esprit s'activait comme une horloge déréglée, projetant des scénarios sans fin sur les situations non résolues de sa vie.

 

Le jour, Léo continuait à être hanté par ces pensées, comme si une voix intérieure lui murmurait sans cesse les mêmes craintes. Il imaginait des conversations qu'il n'avait jamais eues, anticipait des problèmes qui n'existaient pas encore, et chaque fois, il se sentait de plus en plus perdu. Il parlait de ses préoccupations à tout le monde, sauf à ceux qui pouvaient vraiment l'aider. Chaque discussion le rendait plus anxieux, comme s'il s'enfermait dans une boucle sans fin.

 

Un jour, alors qu'il se promenait dans la forêt, épuisé par ses pensées, Léo rencontra un vieil horloger. Ce dernier, un sage du village, l'invita à s'asseoir et à contempler la nature autour de lui. « Vois-tu, Léo, l'inquiétude excessive pour l'avenir est comme une horloge détraquée. Elle te propulse sans cesse dans le futur, t'éloignant du présent. Mais si tu veux la réparer, tu dois d'abord t'ancrer dans l'instant. »

 

Le vieil homme lui montra une technique simple : respirer profondément en comptant les battements de son cœur. « Sens ton souffle, Léo. Cela te ramènera ici, maintenant. » Léo s'exécuta et, peu à peu, il sentit son esprit se calmer. Il regarda autour de lui, remarqua les oiseaux, les arbres, et réalisa que tout allait bien, ici et maintenant.

 

Le vieil horloger lui rappela ensuite de cultiver la gratitude. « Pense à tout ce que tu as accompli, à chaque obstacle que tu as surmonté. Regarde ce qui est réel, ce qui est là pour toi. » En repensant à son passé, Léo comprit qu'il avait toujours trouvé une solution, même lorsque tout semblait perdu.

 

Enfin, l'horloger lui donna un dernier conseil : « Lorsque tu te sens submergé, demande à la Vie de te guider. Fais confiance au temps, il a une manière unique de tout arranger. »

 

Depuis ce jour, Léo apprit à apaiser l'horloge de son esprit. Chaque fois que l'inquiétude excessive pour l'avenir tentait de le déstabiliser, il se souvenait des enseignements du vieil horloger. Il revenait au présent, respirait, et laissait la Vie suivre son cours.

 

© Nicole Charest

 

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5 octobre 2024 6 05 /10 /octobre /2024 07:00

 

5 octobre : Journée mondiale des enseignants

 

But : Illustrer la manière subtile mais profonde dont les enseignants façonnent l'avenir à travers leur engagement quotidien et leur impact sur leurs élèves.

 

Dans une école tranquille, où les saisons de l'apprentissage se succédaient au rythme des cloches, un enseignant nommé Monsieur Julien se distinguait. Connu pour sa douceur et son dévouement, il était bien plus qu'un simple maître. Ses élèves, jeunes esprits curieux, ne percevaient pas encore tout ce qu'il apportait à leur vie, mais, comme ses collègues, Monsieur Julien était un bâtisseur d’avenir.

 

Chaque jour, il entrait dans la classe avec une présence discrète mais essentielle, prenant soin de chaque détail pour offrir à ses élèves un cadre propice à leur épanouissement. Comme les autres enseignants de cette petite école, il façonnait bien plus que des esprits : il construisait des rêves et semait des graines de savoir qui, un jour, fleuriraient dans la vie de ses élèves. Leurs avenirs dépendaient de ces graines qu'il plantait avec tant de soin.

 

Dans les moments calmes, Monsieur Julien réfléchissait souvent à l’immense responsabilité qui pesait sur ses épaules. Comme ses collègues, il portait en lui les espoirs de toute une génération, la lourde tâche d’être non seulement un guide, mais un éclaireur dans un monde toujours plus complexe. Il savait que son travail allait bien au-delà des heures passées devant ses élèves. Il fallait écouter, comprendre, et surtout éveiller. Jour après jour, il adaptait son approche à la diversité des enfants qui peuplaient sa classe, conscient que chaque jeune avait besoin de ce regard bienveillant, de cet encouragement discret mais puissant pour avancer.

 

Au cours de l’été, alors qu’il croisait souvent ses anciens élèves lors de festivités, chacun, avec ses propres mots, lui disait merci. Certains étaient devenus médecins, d’autres artisans, quelques-uns avaient découvert leur passion grâce à lui. Tous lui rappelaient, sans même le savoir, que son travail n’avait jamais été vain. Chaque succès de ses élèves était la preuve que son rôle de bâtisseur d’avenir était plus précieux qu’il ne l’avait imaginé.

 

Monsieur Julien, humble comme toujours, souriait avec une fierté douce. Il savait qu’il avait transmis bien plus que des connaissances : il avait offert à chaque élève un espace pour grandir, pour devenir eux-mêmes. Il leur avait donné la force de croire en eux, la persévérance face aux difficultés et le goût de comprendre le monde qui les entourait.

 

« Qui a été votre Monsieur Julien ? » 🤔

 

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1 octobre 2024 2 01 /10 /octobre /2024 07:19

 

1er octobre : Journée internationale des personnes âgées

 

But : Célébrer la contribution inestimable des aînés à nos vies, en soulignant leur sagesse et leur rôle essentiel dans la société.

 

 

Les personnes âgées sont comme des livres vivants, dont chaque ride et chaque sourire racontent des chapitres d’une histoire unique et précieuse. Leur sagesse n’est pas seulement le fruit du temps qui passe, mais le témoignage d’une âme façonnée par une multitude d’expériences : les joies d’un amour partagé, les leçons apprises dans l’adversité, la résilience cultivée dans les périodes d’épreuve.

 

Leur singulière beauté réside dans la profondeur de leur regard et dans cette lueur subtile qui témoigne de tout ce qu’ils ont traversé et transcendé. Écouter une personne âgée, c’est plonger dans un océan de souvenirs, c’est découvrir des trésors enfouis et s’ouvrir à une autre vision du monde. Derrière chaque mot partagé se cache une perle de sagesse, une invitation à ralentir et à savourer la richesse de l’instant présent.

 

Les aînés, par leur présence, nous rappellent la force tranquille de la patience et la valeur des liens humains. Ils savent que tout passe, que les tempêtes finissent toujours par s’apaiser, et que la douceur est une force insoupçonnée. Leur existence nous enseigne qu’il n’est pas nécessaire de courir pour trouver le bonheur, qu’il suffit parfois de s’asseoir, d’observer et de se reconnecter à l’essentiel.

 

En cette journée internationale des personnes âgées, prenons un moment pour honorer ceux qui ont tracé le chemin sur lequel nous marchons. Plus qu’un remerciement, exprimons notre gratitude pour tout ce qu’ils continuent de transmettre : la force d’un sourire bienveillant, la tendresse d’un regard empreint de vécu, et la profondeur de leurs conseils toujours éclairants.

 

En les célébrant, nous ne leur rendons pas seulement hommage : nous nous rappelons l’importance de chérir, dès aujourd’hui, ceux qui illuminent et enrichissent notre quotidien.

 

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29 septembre 2024 7 29 /09 /septembre /2024 08:21

 

But : Montrer que lâcher prise n’est pas synonyme d’abandon, mais d'ouverture à de nouvelles opportunités et à une vie plus légère.

 

Il était une fois un jeune prince qui vivait dans un magnifique royaume. Un jour, il trouva une pierre précieuse d’une beauté inestimable, un diamant étincelant comme les étoiles dans le ciel. Ce trésor devint son bien le plus précieux. Il le serrait dans sa main avec tant de force qu’il avait peur de le perdre à chaque instant. Sa main, toujours fermée, ne laissait jamais le diamant hors de vue.

 

Un jour, un sage du royaume, qui voyait la détresse du jeune prince, s’approcha de lui et lui dit : « Mon prince, pourquoi t’agrippes-tu si fermement à ce diamant ? »

 

Le prince répondit : « Ce diamant est mon trésor. Si je le lâche, il pourrait tomber et se perdre dans les profondeurs de la terre. Je ne pourrais jamais supporter cette perte. »

 

Le sage sourit doucement et lui demanda : « Et si je te disais qu’il y a une autre façon de protéger ton trésor, sans l’étouffer de ta poigne ? »

 

Intrigué, le prince écouta attentivement. Le sage poursuivit : « Lâcher prise ne signifie pas abandonner. Regarde ta main, fermée et tendue. Ce geste est fatigant, et il te prive de l’usage de ta main pour bien d’autres choses. Essaye plutôt ceci : tourne ta main vers le ciel, paume ouverte, et relâche doucement tes doigts. »

 

Le prince hésita, craignant que le diamant ne glisse de sa main. Mais, sous l’œil bienveillant du sage, il fit ce qu’on lui demandait. À sa grande surprise, le diamant resta dans sa main, brillant encore plus intensément sous la lumière du soleil. Il ressentit un soulagement instantané, comme si une lourde charge s’était envolée de ses épaules.

 

Le sage ajouta alors : « Vois-tu, mon prince, lâcher prise, c’est ouvrir ton cœur et ton esprit à de nouvelles possibilités. En tournant ta paume vers le ciel, tu as non seulement gardé ton trésor, mais tu t’es aussi préparé à recevoir d’autres bénédictions de la Vie. Parfois, ce n’est pas le contrôle qui protège ce que nous aimons, mais la confiance et l’ouverture. »

 

Dès ce jour, chaque fois que le prince se sentait accablé par la peur de perdre quelque chose de précieux, il se souvenait des paroles du sage. Il ouvrait sa main vers le ciel et accueillait avec gratitude les merveilles que la Vie avait à lui offrir.

 

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24 septembre 2024 2 24 /09 /septembre /2024 07:47

 

SEMAINE NATIONALE DU PERSONNEL DE SOUTIEN SCOLAIRE

 

But : Mettre en valeur le rôle essentiel du personnel de soutien scolaire, en montrant comment leurs efforts quotidiens assurent le bon fonctionnement de l’école.

 

Dans une école comme tant d’autres, il y a ceux qu’on voit toujours et ceux qui œuvrent souvent dans l’ombre. Ce matin-là, avant que les élèves ne se précipitent dans les couloirs, Marc, le concierge, est déjà là, effaçant les traces d’une journée passée. Le sol, brillant sous ses efforts, témoigne de son travail silencieux. Tout doit être prêt, impeccable, pour accueillir cette nouvelle journée.

 

Plus tard, durant un cours, Thomas, le technicien, est appelé d’urgence. L’ordinateur de la salle de classe a cessé de fonctionner. D’un geste habile, il ramène le calme et permet à l’enseignant de reprendre son cours. Grâce à son savoir-faire discret, l’école fonctionne sans heurts.

 

Dans un autre coin de l’école, Marie, technicienne en éducation spécialisée, écoute patiemment un élève en difficulté. Son sourire rassurant, ses paroles bienveillantes, font toute la différence dans la vie de cet enfant. Elle est souvent la personne vers qui les plus vulnérables se tournent, apportant avec elle un soutien inestimable.

 

Pendant l’heure du repas, Sarah, la surveillante de dîner, veille à ce que chaque enfant trouve sa place, dans la paix et la convivialité. Son regard attentif et ses gestes rassurants évitent bien des conflits. Chaque enfant sait qu’elle est là, veillant sur eux avec bienveillance.

 

Il y a aussi le personnel administratif, les aides à la classe et autres : chacun contribue à sa manière à l’équilibre de cette grande communauté. Chaque sourire partagé, chaque souci apaisé, chaque tâche accomplie avec soin est une pièce maîtresse du puzzle éducatif, une force tranquille qui permet à chacun de grandir et d’apprendre dans les meilleures conditions.

 

En cette semaine nationale du personnel de soutien scolaire, nous tenons à vous offrir notre reconnaissance la plus sincère. Votre dévouement inégalé et votre engagement, souvent invisible, font battre le cœur de l’école. De la part de tous ceux qui vous côtoient – élèves, enseignants, direction et parents – nous vous disons un immense merci. Vous êtes, n’en doutez jamais, indispensables.

 

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22 septembre 2024 7 22 /09 /septembre /2024 07:06

 

But : Illustrer l'importance d'abandonner le besoin de contrôle, d'accueillir l'inconnu avec confiance, et de vivre en harmonie avec les imprévus de la vie.

 

Au bord d’un océan, vivait une jeune femme nommée Léa. Chaque matin, elle observait les vagues qui venaient s’échouer sur le sable. Mais contrairement aux vagues, Léa ne se sentait pas en paix. Chaque jour, elle était submergée par une insécurité grandissante, craignant constamment ce que l’avenir pouvait lui réserver. Elle passait des heures à élaborer des plans, à imaginer des scénarios où tout allait mal, espérant ainsi se préparer au pire. Mais malgré tous ses efforts, son cœur restait lourd, incapable de trouver la paix.

 

Un jour, alors qu’elle se promenait sur la plage, Léa rencontra une vieille femme, assise tranquillement sur un rocher, observant l’océan avec un sourire serein. Intriguée, Léa s’approcha et lui demanda : « Comment faites-vous pour paraître si calme alors que l’océan est si imprévisible ? »

 

La vieille femme, avec un regard plein de sagesse, répondit : « Je ne lutte pas contre l’océan. Je l’accueille, avec ses vagues et ses tempêtes. Tu vois, la vie est comme cet océan, en perpétuel mouvement. Chercher à la contrôler est futile, car nous ne pouvons prévoir ni la prochaine vague, ni le calme qui suivra. »

 

Léa, perplexe, demanda : « Mais comment faire face à l’insécurité, alors ? Comment vivre sans craindre ce que demain pourrait apporter ? »

 

La vieille femme sourit et lui dit : « L’insécurité naît de notre peur du pire. Mais si, au lieu d’anticiper le pire, tu choisis d’anticiper le meilleur, ta perspective changera. Fais confiance à la Vie. Accepte que ce qui doit arriver arrivera, même si ce n’est pas ce que tu aurais souhaité. La Vie n’est pas faite pour être contrôlée, elle est faite pour être vécue, avec confiance et ouverture. »

 

Ces paroles résonnèrent profondément en Léa. Elle réalisa que son besoin de tout contrôler venait de sa peur de l’inconnu. Mais l’inconnu n’était pas forcément synonyme de danger. Au contraire, il pouvait être le début d’une nouvelle aventure, d’une nouvelle opportunité.

 

À partir de ce jour, Léa décida de changer son approche. Chaque fois qu’une inquiétude surgissait, elle se répétait : « Je fais confiance à la Vie. Ce qui arrivera sera parfait, même si ce n’est pas ce que j’avais prévu. » Peu à peu, son cœur s’allégea, et elle apprit à danser avec les vagues de la Vie, les accueillant avec confiance, plutôt que de lutter contre elles.

 

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© Nicole Charest

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21 septembre 2024 6 21 /09 /septembre /2024 07:36

 

21 SEPTEMBRE : JOURNÉE MONDIALE DE L'ALZHEIMER

 

But : Cultiver l’espoir face à la maladie d’Alzheimer en chérissant chaque instant et en renforçant les liens affectifs qui demeurent.

 

Marie chérissait ces moments paisibles où le monde semblait en pause, entre les rythmes du quotidien et les instants suspendus de la vie. Ce matin-là, la sonnerie du téléphone brisa cette sérénité. Lorsqu’elle décrocha et entendit la voix tremblante de son père, une inquiétude sourde s'infiltra en elle. « Marie, il faut que je te dise quelque chose... » À cet instant, Marie sentit une angoisse plus profonde s'installer. Son père venait d'apprendre qu'il souffrait de la maladie d'Alzheimer. Une nouvelle bouleversante, dévoilant un avenir incertain. Comment affronter la lente érosion de la mémoire ? Comment trouver la force de sourire face à l'oubli imminent ?

 

Les premières semaines furent difficiles. Marie observait son père, scrutant chaque geste à la recherche des premiers signes du déclin inévitable. Lors d’une promenade, alors qu'ils discutaient, elle fut frappée par la douceur de son regard et la chaleur de ses paroles. Bien qu'il commençât à perdre certains souvenirs, Lucien restait présent, pleinement engagé dans l'instant.

 

Un soir, alors qu'ils feuilletaient un vieil album photo, Lucien fixa une image d'eux en vacances. Il sourit doucement et dit : « Je ne me souviens plus de cette journée... mais je me souviens de l'amour que j'ai ressenti ce jour-là. » Ces mots résonnèrent comme une révélation pour Marie. La maladie pouvait voler des détails, mais elle ne pouvait effacer l'essence des sentiments et des liens qui les unissaient.

 

Elle commença à documenter les souvenirs de son père, à capturer les histoires de son passé, les anecdotes qui faisaient de lui l’homme qu’il était. Ensemble, ils créèrent un album de souvenirs, un trésor de moments partagés qui résisteraient à l’épreuve du temps. Chaque page tournée était une victoire contre l’oubli, un rappel que l’amour et les souvenirs sont plus forts que la maladie.

 

Marie et Lucien apprirent à se concentrer sur ce qui demeurait, plutôt que sur ce qui disparaissait. L'espoir, pour eux, n'était plus une attente vaine, mais une force tranquille qui leur permettait d'avancer malgré l'incertitude, une lumière intérieure illuminant les chemins sombres. Il ne s'agissait pas d'espérer que la maladie recule, mais de croire en la capacité de chaque jour à offrir des moments précieux, des instants de bonheur, et surtout, de l'amour.

 

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© Nicole Charest 

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15 septembre 2024 7 15 /09 /septembre /2024 09:17

 

But : Illustrer comment nos pensées et émotions, en tant qu’énergies vibrantes, façonnent notre réalité et influencent notre environnement.

 

Dans une ville animée où les gratte-ciels semblaient toucher le ciel, vivait un jeune homme nommé Julien. Passionné de musique, Julien croyait fermement que chaque note, chaque mélodie avait le pouvoir de transformer l’âme. Ce qu’il ignorait encore, c’est que cette conviction allait bientôt s’étendre bien au-delà du domaine musical.

 

Un jour, Julien fit la rencontre de Sarah, une vieille dame mystérieuse qui vivait dans un petit appartement rempli de plantes exotiques et de cristaux scintillants. On disait qu’elle possédait une sagesse profonde, capable de percer les mystères de l’univers. Intrigué, Julien se rendit chez elle pour en savoir plus.

 

Sarah l’accueillit avec un sourire chaleureux et, après avoir servi du thé, elle l’invita à s’asseoir face à un étrange instrument qu’elle appelait le « vibratone ». C’était une sorte de harpe sans cordes, faite de métal et de verre, qui résonnait doucement lorsqu’on passait la main devant. Sarah expliqua que le vibratone réagissait non pas aux gestes physiques, mais aux vibrations émises par les pensées et les émotions.

 

« Tout dans l’univers, Julien, est une vibration, » dit-elle d’une voix douce. « Chaque pensée que tu as, chaque émotion que tu ressens, émet une fréquence. Ces vibrations ne sont pas visibles à l’œil nu, mais elles façonnent tout ce qui t’entoure. »

 

Curieux, Julien se concentra sur une pensée joyeuse, se rappelant un souvenir d’enfance où il jouait avec son chien dans un champ ensoleillé. À son grand étonnement, le vibratone  émit une douce mélodie, légère et joyeuse. Ensuite, il essaya de penser à une situation stressante, et l’instrument résonna d’un son grave et discordant.

 

« Vois-tu, » continua Sarah, « ta réalité est le reflet des vibrations que tu émets. Si tu remplis ton esprit de pensées positives, de gratitude et d’amour, tu attirerais vers toi des événements et des personnes qui résonnent à cette fréquence. Mais si tu laisses la peur, la colère ou le doute dominer ton esprit, ta vie sera marquée par la dissonance et les obstacles. »

 

Julien comprit alors que, tout comme les notes d’une symphonie, ses pensées et émotions composaient la musique de sa vie. Il réalisa qu’il avait le pouvoir de choisir les vibrations qu’il émettait, et donc de modeler sa réalité.

 

À partir de ce jour, Julien devint conscient de ses pensées, cherchant toujours à émettre des vibrations harmonieuses. Et, peu à peu, il remarqua des changements dans sa vie. Les gens autour de lui semblaient plus bienveillants, les opportunités se présentaient avec fluidité, et un sentiment de paix intérieure s’installa en lui.

 

Il avait découvert le secret de la danse invisible des vibrations, et avec ce savoir, il créa une symphonie de bonheur et d’harmonie dans son existence, inspirant ceux qui l’entouraient à faire de même.

 

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10 septembre 2024 2 10 /09 /septembre /2024 07:41
10 septembre : Journée mondiale de la prévention du suicide

 

But: Illustrer que même dans les moments de désespoir, il existe des alternatives et des soutiens pour retrouver l'équilibre et la lumière.

 

Au sommet d’une haute montagne, un pont suspendu se déployait au-dessus d’un abîme profond. Ce pont était réputé pour être un lieu où les âmes en détresse venaient se confronter à leurs ombres. Un jour, un jeune homme nommé Mathis se retrouva sur ce pont, envahi par un sentiment de désespoir accablant. L’abîme en dessous semblait l’appeler, lui offrant une issue apparente à sa douleur.

 

Alors qu’il s’approchait du bord, prêt à sauter dans l’inconnu, une lueur douce et apaisante apparut devant lui. C’était un guide lumineux, vêtu de blanc, avec des yeux pleins de compassion. Le guide s’adressa à Mathis avec une voix calme et chaleureuse.

 

« Cher Mathis, » dit-il, « je vois que tu traverses un moment difficile. Je suis ici pour te montrer qu’il existe des chemins pour retrouver l’équilibre et la lumière, même lorsque tout semble sans issue. »

 

Le guide invita Mathis à se reculer du bord et à le suivre. Ensemble, ils commencèrent à marcher le long du pont. Au fur et à mesure qu’ils avançaient, des lumières douces apparaissaient autour d’eux, illuminant le chemin et révélant des options et des sentiers invisibles auparavant. Chaque lumière représentait un choix ou une opportunité pour trouver de l’aide et de la guérison.

 

« Regarde, » dit le guide en montrant une lumière scintillante, « ici se trouve la possibilité de parler à un conseiller, quelqu’un qui peut t’aider à exprimer ce que tu ressens. »

 

En continuant, d’autres lumières apparaissaient, représentant des options telles que se rapprocher de proches, pratiquer des activités apaisantes, ou rechercher des groupes de soutien. Mathis commença à voir les alternatives possibles, réalisant que chaque lumière offrait une voie différente vers le bien-être.

 

« Parfois, il est difficile de voir ces options quand on est plongé dans l’obscurité, » expliqua le guide. « Mais il est essentiel de se rappeler que tu n’es pas seul et qu’il existe toujours des chemins pour retrouver la lumière. »

 

Mathis sentit une chaleur réconfortante envahir son cœur. En suivant les lumières et en écoutant les conseils du guide, il commença à envisager des solutions qu’il n’avait jamais considérées auparavant. Il comprit que sa situation n’était pas une fin en soi, mais le début d’un voyage vers une nouvelle compréhension et un renouveau.

 

Le guide posa une main réconfortante sur l’épaule de Mathis. « Cher Mathis, la lumière est toujours là, même lorsque le désespoir semble tout envahir. En choisissant de marcher sur ce pont, tu as déjà fait un pas vers la lumière. La voie n’est pas toujours facile, mais chaque pas que tu fais t’éloigne de l’abîme et te rapproche de la guérison. »

 

Mathis, rempli de gratitude et d’espoir, décida de suivre les chemins illuminés par le guide. Il comprit que même dans les moments les plus sombres, il existe toujours des voies vers la lumière et qu’avec de l’aide et de la détermination, il est possible de retrouver l’équilibre et l’espoir.

 

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© Nicole Charest

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8 septembre 2024 7 08 /09 /septembre /2024 07:30

 

But : Montrer comment l'expression «pour le moment» permet d'accepter la réalité présente sans s'y attacher, ouvrant ainsi la voie à l'espoir et à la sérénité face aux défis de la vie.

 

Dans un petit village, vivait une femme sage nommée Élodie. Les villageois la consultaient souvent lorsqu’ils se sentaient accablés par la vie. Un jour, une jeune femme, Clara, vint la voir, les yeux pleins de larmes.

 

« Ma vie est un véritable chaos, Élodie. Je suis submergée par des problèmes, et je ne vois aucune issue. »

 

Élodie sourit doucement et invita Clara à s’asseoir sous un grand chêne. Elle lui dit : « Raconte-moi ce qui te tourmente, mais commence chaque phrase par "pour le moment". »

 

Clara, confuse, commença : « Pour le moment, ma relation amoureuse va mal... Pour le moment, je ne trouve pas de travail… Pour le moment, je me sens seule et perdue… » À mesure qu’elle parlait, quelque chose changeait dans son ton. Ce qui lui semblait insurmontable quelques instants plus tôt semblait soudain moins lourd.

 

Élodie hocha la tête et dit : « Tu vois, Clara, le simple fait de dire "pour le moment" transforme une montagne en colline. En reconnaissant que tes défis sont temporaires, tu ouvres la porte à l'espoir. Rien dans la vie n'est permanent, pas même la douleur. En disant "pour le moment", tu acceptes la réalité sans t'y enfermer. Tu comprends que tout est en mouvement, que la vie est un flux constant de changements. »

 

Clara réfléchit à ces mots et sentit son cœur s'alléger. Les problèmes qui l'accablaient lui paraissaient soudain moins oppressants. Elle remercia Élodie, consciente que cette simple phrase, "pour le moment", était une clé pour affronter la vie avec plus de sérénité.

 

Les semaines passèrent, et chaque fois que Clara faisait face à une difficulté, elle se rappelait les paroles d'Élodie. En répétant "pour le moment", elle trouvait la force d'avancer, sachant que ce qui est difficile aujourd'hui pourrait être facile demain.

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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