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5 février 2025 3 05 /02 /février /2025 01:00

 

 

Avez-vous déjà jugé une situation en vous disant : « Moi, je ne ferais jamais cela » ? Il est si facile d’observer les choix ou les erreurs des autres en se croyant à l’abri, comme si nous étions immunisés contre certaines décisions ou circonstances. Mais la vie, avec son souffle imprévisible, nous enseigne que personne n’échappe aux imprévus. Ce que nous critiquons ou croyons impensable peut parfois devenir une réalité à laquelle nous devons faire face.

Dire « jamais » revient souvent à placer des limites rigides sur notre compréhension de la vie et des autres. Et pourtant, que savons-nous vraiment des luttes intérieures, des circonstances ou des blessures qui poussent quelqu’un à agir d’une certaine manière ? Il est facile de juger, mais plus difficile de comprendre. La vérité, c’est que nous sommes tous vulnérables face à l’inattendu. Un changement de situation, une douleur, une faiblesse passagère, et nos certitudes peuvent vaciller.

Cependant, loin de nous diminuer, ces moments d’inconfort ou d’erreur nous rappellent que nous sommes humains. Ils sont l’occasion de cultiver l’indulgence envers nous-mêmes et envers les autres. Chaque expérience, même celle que nous n’aurions jamais envisagée, peut devenir une source d’apprentissage et de transformation.

Alors, avant de dire : « Moi, je ne ferais jamais cela », demandez-vous : et si la Vie, en son imprévisibilité, cherchait à vous enseigner quelque chose de précieux ? Et si derrière ces jugements se dissimulait une invitation à l’humilité et à la compréhension ?

© Nicole Charest

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Ne jugez pas mes choix sans connaître mes raisons.

Auteur inconnu

 

L'INTENTION DE LA SEMAINE

L’amour, une force infinie : « Aujourd’hui, je choisis d’aimer pleinement, sans retenue ni condition. L’amour est ma nature, mon essence, mon lien sacré avec les autres. En aimant, je donne et je reçois, je guéris et je grandis. Je me permets d’aimer ce que je suis, avec mes forces et mes fragilités. Merci à la Vie de m’enseigner que l’amour est la clé de toute transformation et la source de toute joie. »

NOUVEAUTÉ : LES CITATIONS « DOUCEUR »

Je suis heureuse de vous présenter mon deuxième montage vidéo, qui réunit 13 autres citations inspirantes. Cette courte pause musicale de 2 m 38 vous procurera un agréable moment de ressourcement et de douceur.

Pour celles et ceux qui ne l'ont pas encore fait, je vous invite chaleureusement à rejoindre ma page Facebook : Douceurspourlecoeur (il vous suffit de cliquer sur « J’AIME »). Chaque jour, j’y présente une citation accompagnée d’une courte réflexion. Vous y trouverez également les différents bulletins de mon blog.

Comme toujours, je serais profondément touchée si vous partagiez mes publications avec vos proches. Votre soutien est une véritable source de motivation pour moi, et il m’aide à poursuivre cette mission qui me tient tant à cœur.
 

NB. : Pour profiter de la meilleure qualité d’image, n’oubliez pas de cliquer sur la roue dentelée en bas à droite de la vidéo, puis de sélectionner la résolution 1080p.

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6 novembre 2024 3 06 /11 /novembre /2024 07:00


Avez-vous déjà remarqué que souvent, dans une conversation, nous ramenons la discussion à nous-mêmes sans même nous en rendre compte ? Emportés par l’envie de partager notre quotidien, nos réussites ou nos défis, nous finissons par monopoliser l’échange, transformant un moment de partage en un monologue centré sur nos propres préoccupations. Mais au fond, qu’en est-il de l’autre ? Savons-nous vraiment ce qu’il traverse ? Avons-nous pris le temps de découvrir ce qui occupe ses pensées, ses joies et ses peines ?

Chaque personne que nous rencontrons est une histoire en soi, une richesse de vécus et de ressentis. Pourtant, absorbés par nos propres histoires, nous oublions parfois de leur accorder cet espace pour se raconter. Écouter l’autre, ce n’est pas simplement attendre notre tour pour parler. C’est une démarche active, un geste de générosité qui consiste à ouvrir notre cœur et notre esprit pour accueillir l’autre, tel qu’il est, avec ses émotions, ses rêves et ses vulnérabilités.

Les relations équilibrées se construisent sur une écoute mutuelle, où chacun se sent libre de se dévoiler et d’être entendu. Si, à la fin d’une conversation, nous réalisons que l’autre n’a pas eu l’opportunité de se confier, il est temps de repenser notre façon d’interagir. Une belle habitude à cultiver est de conclure un échange en se demandant : « Qu’ai-je appris de lui ou d’elle ? » Cela peut sembler anodin, mais cette simple question peut transformer notre regard sur nos échanges quotidiens.

© Nicole Charest | lapetitedouceur.org

Sur ma page Facebook, je publie quotidiennement de courtes citations/réflexions. Rejoignez-moi vite.

Si vous n’avez pas encore découvert ma section d’eBooks gratuits, c’est par ici.

Écouter, c'est se taire pour laisser parler l'autre, mais c'est surtout lui offrir un espace où il se sent compris, respecté et valorisé.

Jacques Salomé

L'écoute véritable

Questions d’introspection

1) Lors de ma dernière conversation, ai-je réellement écouté l'autre ou ai-je rapidement orienté l'échange vers mon propre vécu ?

2) Est-ce que je me souviens de ce que la personne m'a confié et de ses émotions ?

3) Commenter puis-je mieux montrer à l'autre que ce qu'il me partage est important et mérite toute mon attention ?

L'écoute véritable

But : Illustrer le pouvoir transformateur de l'écoute attentive, qui ouvre les cœurs et guérit les âmes en offrant une compréhension profonde et sans jugement.

L'écoute véritable
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18 septembre 2024 3 18 /09 /septembre /2024 07:00


 

La compassion, c’est cette lumière intérieure qui nous pousse à tendre la main à ceux qui souffrent. Elle dépasse la simple empathie en nous incitant à agir, à apporter du réconfort. Dans un monde parfois dur, la compassion devient un baume pour les cœurs blessés, un pont entre les êtres humains. Elle nous rappelle que nous ne sommes pas seuls et que chacun de nos gestes peut illuminer la vie de quelqu’un d’autre. Prendre soin des autres, c’est aussi prendre soin de soi-même, car la compassion nourrit notre âme et renforce notre humanité.  😊

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N. B. : Vos réactions sont précieuses pour moi. Elles m’orientent, m’inspirent et me motivent. Merci de prendre le temps de « liker », de commenter et de partager.

La compassion : Le pont de cœur à cœur

But : Illustrer comment la compassion et l'écoute attentive des autres peuvent non seulement apaiser leur souffrance, mais aussi enrichir et transformer celui qui donne.

À qui pourriez-vous tendre la main aujourd'hui pour faire une différence dans leur vie, et dans la vôtre ?

La compassion : Le pont de cœur à cœur

 

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17 novembre 2018 6 17 /11 /novembre /2018 09:13

 

Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un. D’une certaine façon, c’est lui dire : « Tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là. Je suis disponible à ta présence. Je me sens touché par ce que tu es, parce que tu dis. »

 

Écouter, c’est commencer par se taire. Avez-vous remarqué combien de tentatives d’échange ou de pseudo-dialogues sont remplis d’expressions du genre : « Ah oui, c’est comme moi ! » ou « Moi aussi, j’ai eu affaire à telle situation. » Cette pseudo-compréhension, qui s’approprie le dit de l’autre pour mieux le phagocyter, n’est qu’une occasion pour parler de soi, pour s’emparer du discours de l’autre et développer le sien.

 

Écouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser rejoindre et peut-être transformer par l’autre. C’est accepter qu’autrui entre dans notre intimité et mette en veilleuse nos pensées, nos ressentis, comme il entrerait dans notre maison et s’y installerait un instant, s’asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises, en sollicitant notre attention pour lui seul.

 

Écouter, c’est accepter. C’est laisser tomber ce qui nous occupe pour donner son temps à l’autre. L’écoute ouverte est semblable à une promenade avec un ami. On marche à son pas, proche mais sans gêner, on se laisse conduire par lui, on s’arrête à sa discrétion, on repart avec lui, on est là pour lui. Cela s’appelle cheminer en compagnie.

 

Écouter, ce n’est pas chercher à répondre à celui qui se cherche, se dit ou résonne devant nous. Il convient surtout de lui permettre de s’entendre, de se reconnaître, de se retrouver dans les errances ou le labyrinthe de ses pensées. C’est refuser de penser à sa place, de donner des conseils, et même de vouloir comprendre. C’est simplement entendre.

 

Écouter, c’est accueillir l’autre, le reconnaître tel qu’il se définit, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu’il doit être. Bien sûr, il y a différents niveaux d’écoute. L’écoute active sera celle qui permet à celui qui parle d’entendre ce qu’il dit. L’écoute miroir, la plus rare et donc la plus recherchée, sera inconditionnelle; elle permet de vider les trop-pleins d’amertume et de regrets. L’écoute résonance sera celle qui amplifie le dit de l’autre en restant ouvert et positif à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à celui qui s’exprime le temps et l’espace de trouver sa voie.

 

Écouter, ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela, c’est apprendre à se positionner silencieusement dans ce léger décalage entre ce qui est dit et ce qui est entendu.

 

Être attentif à quelqu’un qui souffre, ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son chemin pour s’en libérer ou continuer à la porter.

 

Apprendre à écouter dans cette liberté d’être, c’est l’exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos détresses, en retrouvant la part d’universel dans l’unicité de chacun.

 

Écouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a peut-être jamais donné : de l’attention, du temps, une présence bienveillante. C’est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, dans notre corps, dans nos émotions. C’est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie ardente. C’est devenir un poète de l’« humanitude », qui sent le cœur et voit l’âme des choses.

 

« À celui qui sait écouter est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure du vivant. »

 

Texte écrit par Jacques Salomé

Écouter : l'art de se mettre en veilleuse*
Écouter : l'art de se mettre en veilleuse*
Écouter : l'art de se mettre en veilleuse*
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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 14:17

Chacun a le pouvoir de rendre le monde plus doux et moins violent. Comment ? En redécouvrant les vertus de la gentillesse !

Il est frappant de constater à quel point cette qualité de cœur essentielle est dépréciée, parfois même méprisée. Par quelle étrange malice, l’attribue-t-on à de la faiblesse, voire de la bêtise ? Pourtant, qui ne se souvient pas d’une parole gentille venue à point nommé nous réconforter ? D’une main tendue qui nous a secourus au cœur de l’adversité ? D’un regard compatissant qui nous réchauffe le cœur ? Et pour cause !

La gentillesse est un rempart contre l’indifférence et l’égoïsme. Il est donc temps de lui redonner ses lettres de noblesse et de la pratiquer tous les jours. Il est temps de déposer les armes. Car la gentillesse est toute simple : elle se niche dans un sourire, une attention aux autres, un regard indulgent, dans notre capacité à lâcher prise et à pardonner. Quand nous sommes plus doux et plus gentils, tout change et s’adoucit comme par enchantement.

 

– Catherine Rambert, Petite philosophie de la gentillesse

Le plus grand réconfort de ma vieillesse, et qui m'apporte la plus grande satisfaction, c'est le souvenir agréable de tous les bienfaits et services amicaux
que j'ai donnés aux autres.

Caton

La gentillesse*
La gentillesse*
La gentillesse*
La gentillesse*
La gentillesse*

Reflet des temps modernes...

La gentillesse*
La gentillesse*
La gentillesse*
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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 13:10

 

Une des plus grandes preuves d’amour que nous puissions avoir envers autrui, c’est de le laisser faire ses propres erreurs.

Qu’il est difficile parfois de voir ceux qu’on aime faire des choix qui semblent aller à l’encontre de leur bien-être. Que d’amour devons-nous déployer pour les laisser apprendre leurs propres leçons.

Contrairement à ce que nous avons tendance à croire, nous ne savons pas ce qui est bon pour l’autre. Peut-être a-t-il besoin de vivre des expériences difficiles pour se renforcer et devenir ainsi plus solide face aux évènements de sa vie. Peut-être a-t-il besoin de se prouver ce dont il est capable. Peut-être doit-il aller jusqu’à subir les inconvénients d’une vie qui ne lui convient pas pour apprendre à mieux se connaître et à savoir ce qu’il veut vraiment pour lui-même. Bien des gens se décident à changer vraiment seulement quand ils touchent le fond. Notre amour inconditionnel peut alors les aider à se relever et à ramasser leurs morceaux. Mais le changement permanent provient de l’intérieur de chacun et ça, nous ne pouvons pas le leur donner.

Quand ceux qu’on aime semblent faire des choix qui nous inquiètent, le mieux que nous puissions faire est de les aimer inconditionnellement. De donner notre avis s’il est sollicité mais de ne pas forcer d’autres choix qui nous conviennent, à nous. Aimons-les assez pour les laisser faire leurs propres apprentissages, même si nous sommes déjà passés par là : notre leçon n’est pas nécessairement la leur.

Chacun a besoin de ses propres jalons pour avancer sur son propre chemin : laissons-les poser eux-mêmes les marches de leur évolution personnelle.

C’est leur Vie, pas la nôtre.


 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

Suivez-la sur : Facebook ou encore via le site : La solution est en vous

Procurez-vous son merveilleux livre : Apprendre à s'aimer, un jour à la fois (366 réflexions quotidiennes). Offert en version papier ou électronique.

Pour commander : Europe : Amazon.fr et Canada : Amazon.ca

Une grande preuve d'amour*

« Il y a des moments où, malgré notre désir de venir en en aide à une personne en particulier, nous ne pouvons rien faire. Ou bien les circonstances ne nous permettent pas de l'approcher, ou bien la personne est fermée à tout geste de solidarité et de soutien.

Le maître dit : « II nous reste l'amour. Dans les moments où tout le reste est inutile, nous pouvons encore aimer, sans attendre de récompense, de changement, de remerciements. Si nous parvenons à agir ainsi, l'énergie de l'amour commence à transformer l'univers qui nous entoure. Lorsque cette énergie apparaît, elle fait toujours son travail. »

PAULO COELHO

 

Une grande preuve d'amour*

Ci-dessous, un lien qui mène vers un article écrit par Marie-Pier Charron. Quelle auteure inspirée et inspirante que cette femme! Elle nous suggère une façon d'agir et de penser lorsque nous nous sentons impuissants devant une situation. Voici un court extrait :


« Dans l’autre situation, une personne proche de moi vivait de grandes difficultés. Non, je ne pouvais pas prendre sa vie en charge. Non, je ne pouvais pas prendre les décisions qu’elle ne prenait pas. Je ne pouvais pas encaisser les coups pour elle, non plus. Cela dit, voici ce que personne ne pouvait m’empêcher de faire : je pouvais lui transmettre de l’amour et de l’énergie à distance. Et dès que j’en ai pris conscience, j’ai remplacé mon sentiment d’impuissance par des pratiques spirituelles. J’ai commencé à méditer pour elle chaque matin, ainsi que le soir. Je l’enveloppais de lumière et de belles énergies, en suivant diverses techniques apprises et improvisées. C’était délicieux, et j’en ressortais avec le sentiment profond de l’avoir vraiment aidée. »

 

Une grande preuve d'amour*

Vidéo : Aimer la main ouverte

 

Cette vidéo n'est pas nouvelle mais elle complète trop bien le texte présenté ci-haut.

 

Pour la version diaporama (.pps), cliquez ici.

 

Une grande preuve d'amour*
Une grande preuve d'amour*
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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 18:17
 

C1 tome-2

 

Pour me faire aimer, j’ai vraiment tout essayé. J’ai même changé de personnalité. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai acheté la paix, même si cette paix me troublait. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai pris tous les blâmes sur moi, même si je n’en étais pas la cause. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai tout accepté, même de pardonner l’impardonnable. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai accepté de me faire blesser verbalement sans jamais riposter. J’ai saigné abondamment et j’ai léché mes plaies. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai consenti à me faire rabaisser plus d’une fois. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, je n’ai rien dit afin de vous protéger et j’ai tout enduré. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, je vous ai comblés de cadeaux et vous en avez largement profité. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, je vous ai donné du temps que je n’avais pas. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai toujours fait les premiers pas, même si vous savez pertinemment que c’était à vous de les faire. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai essayé de vous faire comprendre tout en douceur, de différentes façons, mon besoin de vous, mon besoin de votre amour. Mais ça n’a rien donné.


Pour me faire aimer, j’ai finalement compris, après plusieurs années de travail acharné, que c’était moi que je devais tout simplement… aimer.

Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 44

 

Pour me faire aimer*
Pour me faire aimer*

La blague du blog

Un motard dur-à-cuire se promène sur sa Harley lorsqu'il a aperçoit une fille qui s'apprête à sauter en bas d'un pont. Il s'arrête et lui demande : « Qu'est-ce que tu fais ?

Elle lui répond : « Je vais me suicider ! »

Alors qu'il ne veut pas paraître insensible, il ne veut pas non plus passer à côté d'une bonne affaire. Il dit alors :

« Avant de sauter, pourquoi ne m'embrasserais-tu pas ? »

Elle l'embrasse alors avec volupté. Après cette embrassade, le motard lui dit :

« Wow! C'est la première fois qu'on m'embrasse de cette façon. C'est tout un talent que tu t'apprêtes à gaspiller. Tu pourrais devenir célèbre. Mais pourquoi veux-tu te suicider ?

– Parce que mes parents n'aiment pas que je m'habille en fille... » 

 

 

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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 17:05

bonété 2a

 

 

Bienheureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes. Ils n'ont pas fini de se réjouir.

Bienheureux ceux qui ont appris à distinguer une montagne d'une taupinière. Il leur sera épargné bien des tracas.

Bienheureux ceux qui sont capables de se reposer et de dormir sans avoir à s'excuser. Ils deviendront sages.

Bienheureux ceux qui peuvent se taire et écouter. Ils apprendront des choses nouvelles.

Bienheureux ceux qui ont la faculté de s'émerveiller. Ils conserveront longtemps leur âme d'enfant.

Bienheureux ceux qui ont compris l'importance de la communication. Ils préserveront la vitalité de leurs relations.

Bienheureux ceux qui sont assez humbles pour ne pas se prendre au sérieux. Ils seront appréciés de leur entourage.

Heureux êtes-vous si vous savez regarder sérieusement les choses anodines et légèrement les choses sérieuses.

Heureux êtes-vous encore si vous savez aborder simplement les choses complexes et attentivement les choses simples.

Heureux êtes-vous enfin si vous savez voir clairement les choses difficiles et profondément les choses claires.

Vous irez certainement très loin dans la vie, car la vie saura vous remercier de l'avoir aimée, ainsi elle vous entraînera à son tour.

Source : Lettres à l'intime de soi - Jacques Salomé

Bienheureux êtes-vous...*
Bienheureux êtes-vous...*

La blague du blog

 

Une femme rencontre un très beau gars dans un bar. Ils bavardent, s'intéressent et finissent par partir ensemble. Ils se rendent chez lui et comme il lui fait visiter son appartement, elle remarque que sa chambre est remplie à craquer de mignons oursons en peluche.

Des centaines de jolis petits oursons garnissent une tablette tout le long du plancher, de mignons oursons de grandeur moyenne sur une autre tablette un peu plus haut et d'énormes oursons sur la tablette en haut complètement.

La fille était surprise de découvrir que ce gars avait une telle collection d'oursons en peluche, mais elle décide de garder ses réflexions pour elle-même. Elle est en fait assez impressionnée par ce côté sensible de lui.

Elle se tourne vers lui, ils s'embrassent et passent une nuit entière d'étreintes et de passion. 

Au petit matin, la fille se retourne et lui demande avec un sourire : « Et alors, comment c'était ? »

Le gars répond : « Va te choisir un prix dans la rangée du bas. »

 

 

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1 février 2012 3 01 /02 /février /2012 18:03

C1 tome-2

 

Ne vous imaginez pas que l'amour d'un homme et d'une femme, pour être vrai, doit être spectaculaire. Ce dont il a besoin, c'est de durer. Et pour durer, il faut que l'homme et la femme, au fil des années, continuent à s'aimer en vérité. L'amour vrai n'en finit pas de commencer.

Comment une lampe brille-t-elle, si ce n'est pas par l'apport continuel de petites gouttes d'huile? Qu'il n'y ait plus de gouttes d'huile, il n'y aura plus de lumière, et l'époux ou l'épouse dira : « Tu n'es plus celui ou celle que j'ai aimé ou aimée. Je ne te connais plus. »

Mes amis, que sont ces gouttes d'huile dans nos lampes? Ce sont les petites choses de la vie de tous les jours : la gaieté, la joie de vivre dont nous rayonnons, les petites paroles de bonté, les gestes de tendresse, une simple prière ou pensée de l'un pour l'autre, l'humilité et la patience. Aussi, parfois : notre manière de faire silence, d'écouter l'autre, de pleurer, de pardonner. Voilà les véritables gouttes d'amour qui font brûler toute une vie d'une vive flamme!

Ne cherchez donc pas toujours l'amour dans les grandes choses. L'amour est simple. Veillez et entretenez bien la lampe.

– Source : Petites douceurs pour le cœur, p. 162 / Mère Teresa de Calcutta

L'amitié, comme l'amour, demande beaucoup d'efforts, d'attention et de constance ; elle exige surtout de savoir offrir ce que l'on a de plus cher dans la vie : du temps.

Catherine Deneuve

Entretenir la flamme*
Entretenir la flamme*

La blague du blog

 

Trois filles sont poursuivies par des méchants. Elles entrent dans un cabanon et se cachent dans des sacs de patates. Les voleurs entrent et donnent des coups de pied sur le premier sac.

La noire répond : Miaou! - Ah, c'est un chat.
La brune répond : Wouf! - Ah, c'est juste un chien.
La blonde perçoit le coup de pied et crie : C'est des patates!

 

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18 janvier 2012 3 18 /01 /janvier /2012 18:00

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Chaque fois que nous dépassons le stade de la bienveillance et de la compassion pour vraiment essayer de régler les problèmes d’une autre personne, nous nous retrouvons en plein cœur d’une lutte d’ego. Nous nous sentons attaqués par le manque de sérénité de l’autre, sa tristesse et la réalité de ses problèmes. La personne peut se sentir attaquée par le problème, par notre tentative d’aide ou par notre incapacité à y réussir. Nous pouvons nous sentir à la fois sur la défensive et amers.

 

Nous ne pouvons pas prendre soin de nous, de notre véritable bonheur, de notre tranquillité d’esprit et de notre bien-être tout en essayant de contrôler la vie d’une autre personne, ses problèmes ou ses sentiments. Nous ne pouvons pas rendre une autre personne heureuse, et nous n’avons pas besoin de son bonheur pour trouver le nôtre. Si nous nous rappelons que le bonheur — notre bien-être suprême — provient de l’intérieur de chacun de nous, nous pouvons voir que toutes nos manipulations extérieures sont futiles.

 

Lorsque nous reconnaissons les réactions défensives de notre ego aux problèmes des autres, nous pouvons commencer à nous tourner vers notre esprit pour adopter un autre point de vue. Le point de vue de notre esprit est aimant et généreux, mais pas d’une façon obsessionnelle, contrôlante ou menée par la culpabilité. Il est également aussi aimant envers nous-mêmes qu’envers les autres. Dans certaines relations comme celles des parents et des enfants-adultes, nous sommes particulièrement exposés au point de vue de notre ego plutôt qu’à celui de notre esprit.

Source : Ray, Veronica, Choisir d’être heureux, Béliveau éditeur, 1998

Au-delà du stade de la bienveillance*
Au-delà du stade de la bienveillance*

La blague du blog

 

Un soir, une adolescente amène son nouveau copain à la maison pour rencontrer ses parents. Manteau de cuir, bottes de moto, tatouages et pearcing dans le nez. Les parents amènent leur fille à l’écart et lui disent inquiets : « Il n’a pas l’air très gentil… »

La jeune fille répond : « S’il n’était pas gentil, est-ce qu’il ferait 5 000 heures de travaux communautaires? »
    

 

 

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4 janvier 2012 3 04 /01 /janvier /2012 18:00

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L’amour est la force de guérison la plus puissante qui soit.

Envoyons des pensées de réconfort, d’acceptation, de soutien et d’amour à tous ceux que nous connaissons. Soyons conscient que lorsque nous émettons ces pensées, nous les recevons également en retour.

Enveloppons tous les membres de notre famille dans un cercle d’amour, qu’ils soient encore de ce monde ou non. Incluons nos amis, nos collègues et toutes les personnes de notre passé, ainsi que tous ceux à qui nous aimerions pardonner, même si nous ne savons pas comment nous y prendre.

Envoyons de l’amour à toutes les personnes qui souffrent dans leur corps ou dans leur âme ; à toutes celles qui désespèrent.

Envoyons de l’amour à toutes les personnes malades, ainsi qu’à toutes celles qui les accompagnent, les soignent, les protègent et les défendent.

Laissons ce cercle d’amour envelopper la planète. Envoyons de l’amour à tous les peuples de la terre : ceux qui luttent pour leur liberté, leur survie ou qui doivent rebâtir leur pays. Voyons tout le monde vivre avec dignité, dans la paix et la joie.


Envoyons de l’amour à tous nos jeunes : ceux qui noient ou gèlent leurs trop grandes souffrances ; ceux qui sont désabusés et qui n’entrevoient aucun espoir dans l’avenir.

Envoyons de l’amour à tous ceux qui nous ont fait souffrir ou qui nous ont déçus.

Plaçons-nous dans ce cercle d’amour. Pardonnons-nous. Nous sommes dignes d’amour. Nous sommes beaux. Nous sommes puissants. Qu’il en soit ainsi.

Louise Hay
      

L'amour est guérison*
L'amour est guérison*

La blague du blog

 

Un gars saoul sonne à une porte à 4 heures du matin. Un homme ouvre et lui demande : « Qu'est-ce que tu veux? L'homme saoul répond : « Viens me pousser. » L'homme répond : « Oublie ça ! »

Sa femme lui dit : « Chéri, t'aurais pu aller le pousser. Ça t'est déjà arrivé d'être en panne. » Alors le gars, pris de remords, s'habille, descend, ouvre la porte et crie : « Ok, je vais te pousser, té où ? » Le gars saoul répond : « Chu icitte man dans la balancoire ! »

 

 

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16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 18:00

C1 tome-2

 

Un homme planta une rose et prit soin de l'arroser fidèlement. Juste avant qu'elle fleurisse, il l'examina. Il vit le bouton en fleur et aussi les épines. Alors il pensa : « Comment est-il possible qu'une fleur si magnifique provienne d'une plante chargée d'autant d'épines piquantes? »

Cette pensée le rendit triste si bien qu’il négligea d'arroser la rose et comme elle était prête à fleurir, faute d’être abreuvée, elle mourut.

Il en est ainsi pour tant d’aspects de notre vie. À l'intérieur de chaque âme se trouve une rose. Les qualités divines semées en nous à la naissance grandissent parmi les épines de nos erreurs.

Nous sommes plusieurs à nous regarder et à voir seulement nos épines, nos défauts. Nous désespérons, en pensant peut-être que rien de bon ne peut sortir de nous. Nous négligeons ainsi, à l’instar de cet homme pour sa rose, d'arroser le bien qui est en nous, et finalement, il meurt. Nous ne donnons jamais libre cours à notre potentiel.

Certains ne voient pas la rose à l'intérieur d'eux-mêmes, un autre doit la leur montrer. Un des dons les plus extraordinaires est la capacité de trouver la rose à l'intérieur d’autrui malgré les épines. C'est la caractéristique de l'amour de regarder une personne et, en dépit des erreurs commises, de reconnaître la noblesse de son âme. Nous l'aiderons ainsi à comprendre qu'elle peut dépasser ses erreurs.

Si nous lui montrons avant tout la rose splendide qu’elle est appelée à devenir, elle fera la conquête des épines et se pardonnera ses imperfections passées. Alors elle fleurira, et plus loin fleuriront trente, soixante, une centaine de plants comme celui qui lui a été donné.

Notre devoir en ce monde est d'aider les autres en leur dévoilant leurs roses et non leurs épines. Alors seulement, nous parviendrons à éprouver l'amour que nous devrions ressentir pour chacun, alors seulement nous fleurirons dans notre propre jardin.

Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 110 

La rose et les épines*
La rose et les épines*

La blague du blog

 

Une voyante prédit l’avenir à sa jeune cliente :

« Vous épouserez un homme beau, riche, jeune et intelligent !

– Ah ! Et mon fiancé, qu'est-ce qu'il va devenir ? »

 

 

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30 mars 2011 3 30 /03 /mars /2011 17:01

 

 

Nous vivons tous des drames personnels. Certaines personnes semblent plus éprouvées que d’autres, mais, dans le cœur de chacun, la douleur est la même. Il n’existe pas d’étalon de la souffrance, et tous ont le droit d’être consolés. Peut-être avons-nous la chance de faire partie de ces gens, que la vie semble épargner, de ceux qui savent comment donner et recevoir l’amour ?

 

Si tel est le cas, soyons remplis de gratitude et tournons-nous avec compassion vers ceux qui sont en difficulté. C’est à nous qui sommes en position de force, qu’il revient de rétablir l’équilibre, en venant en aide à ceux-là qui sont temporairement affaiblis.

 

Ne cédons pas à la tentation de former des clans et de maintenir l’énergie positive dans les mêmes circuits. Si nous avons peur de perdre notre énergie en côtoyant ceux qui en ont besoin, nous pouvons être assurés que c’est ce qui arrivera, en juste proportion avec les précautions que nous aurons prises pour garder jalousement notre trésor.

 

L’amour véritable ne porte pas de jugement et ne sélectionne pas. Il s’adresse à tous ceux qui sont placés sur notre chemin et qui, tous également, méritent d’être aimés et considérés. N’hésitons pas à tendre la main. La vie nous le rendra au centuple.

Aimer un être, c'est reconnaître qu'il existe autant que vous. 

Simone Weil

Élargir le cercle de son amour*
Élargir le cercle de son amour*

La blague du blog

Le fils : « Aujourd'hui, j'étais dans le bus avec papa. Il m'a dit de laisser ma place à une dame...

La maman : - C'est très bien, fiston, tu as fait une bonne action.

Le fils : - Mais maman, j'étais sur les genoux de papa !
»

 

 

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2 février 2011 3 02 /02 /février /2011 18:01

 

 

L'amour est une chose fragile, ondoyante et diverse, délicieusement mystérieuse aussi et heureusement pleine de caprices. Le mot a des allures de velours doux mais la réalité qu'il exprime, si idyllique soit-elle dans l'âme des midinettes qui en rêvent, reste un piège auquel bien peu de gens échappent.

 

L'amour est tantôt grave, tantôt joyeux. Sa gravité mène souvent à la jalousie, qui en est la grimace hideuse, tandis que sa gaieté a fait éclore des sourires heureux sur les lèvres toujours avides de l'humanité. C'est cette gaieté qui définit le mieux l'amour. C'est tellement vrai, et, parce que vrai, tellement profond, que je ne suis pas loin de croire, tout profane que je sois en la matière, que le seul salut de l'amour, c'est l'humour.

 

Prendre légèrement les choses sérieuses et sérieusement les choses légères n'est pas une maxime de débauché, c'est une perle de sagesse. Ceux qui ne savent pas rire, je ne dis pas « de l'amour » mais « avec » lui risquent de perdre tout le miel qu'il contient.

 

Je pense à tous les jolis mots dont la littérature de l'amour est pleine et qui font la joie de ceux qui l'aiment vraiment, qui le font sans vergogne et qui en gardent, précieusement accroché au mur de leur mémoire, le souvenir toujours plein de poésie. Le cher Verlaine disait que « les souvenirs d'amour sont les clairs de lune de nos solitudes ». Il avait raison : « Quand on a aimé quelqu'un, on n'est plus jamais seul, car on peut toujours donner rendez-vous à son souvenir. L'instant passe mais le souvenir, lui reste... éternel. »

 

Et quand parfois l'amour pleure, c'est toujours l'humour qui vient essuyer ses larmes. C'est pourquoi il faut savoir rire un peu de soi-même quand on est amoureux... pour ne pas avoir à pleurer de l'avoir mal été. Et puis en jouir gentiment aussi : c'est un commandement de la vie. Car, comme dit le poète : « On a si peu de temps à s'aimer sur la terre qu'il faut bien se hâter de dépenser son cœur. »

 

Doris Lussier — Tiré de son livre Tout Doris

L'humour de l'amour*
L'humour de l'amour*

La blague du blog

 

Une femme demande à son mari :

« Mon amour, pourquoi te mets-tu toujours à la fenêtre quand je chante ?

— Mais, chérie, pour que les voisins ne croient pas que je te tape dessus ! »

 

 

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1 décembre 2010 3 01 /12 /décembre /2010 18:01

 

 

Une nuit d’hiver, une famille de hérissons n'arriva pas à dormir, tant le froid était vif. Ils décidèrent donc de se serrer les uns contre les autres pour se réchauffer. Mais ils avaient oublié leurs piquants.

Chaque fois qu’ils tentaient de se rapprocher, ils finissaient par se piquer douloureusement.

Jamais le groupe ne parvint à rester uni. Certains tentèrent de se rapprocher à nouveau, mais chaque fois, ils se piquèrent le museau.

Pourtant, il fallait absolument trouver comment se rapprocher : les oiseaux y arrivaient, les lapins, les taupes, tous les animaux aussi. Enfin, ils comprirent.

Et tout doucement, petit à petit, soir après soir, ils s’approchèrent les uns des autres en rétractant leurs piquants.

C’est ainsi qu'avec mille et une précautions, ils trouvèrent la bonne distance pour dormir heureux et au chaud.

– D'après la parabole de Schopenhauerf

La leçon des hérissons*
La leçon des hérissons*

La blague du blog
 

« T'avais l'habitude de me tenir la main, quand nous étions jeunes », dit l'épouse à son mari.

Le mari lui prend la main, puis se retourne et dort.

À peine assoupi, il entend sa femme : « T'avais l'habitude aussi de m'embrasser. »

Un peu irrité, il lui donne un p'tit bisou sur la joue et se retourne pour dormir.

Quelques minutes plus tard, il entend : « Même que des fois, tu me mordillais le cou. »

Exaspéré, le mari tasse les couvertures et se lève brusquement, très énervé.

Surprise, sa femme lui demande : « Mais où est-ce-que tu vas ? »

Le mari répond : « Chercher mes dents... »

 

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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