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23 octobre 2024 3 23 /10 /octobre /2024 07:00


Au cours de notre vie, nous avons été ou serons tous confrontés à un deuil. Chaque perte vient bousculer un équilibre, laissant place à un vide que rien ne semble pouvoir combler. Il n’existe ni chemin tracé ni chronologie précise pour traverser cette période. Chacun avance à son rythme, oscillant entre des moments d’accalmie et des vagues de tristesse plus intenses. Ces émotions, bien que parfois déstabilisantes, sont normales et légitimes. Elles sont le reflet de l’attachement que nous portions à ceux qui ne sont plus là.

Vivre un deuil, ce n’est pas « tourner la page » ou oublier. C’est apprendre à intégrer cette absence dans notre vie, à apprivoiser le manque et à redéfinir nos repères. Certains jours seront plus légers, d’autres plus lourds. Il est important de s’autoriser à ressentir, sans jugement, ce qui nous traverse : la peine, la colère, la nostalgie, mais aussi les éclats de lumière, les instants de paix et les souvenirs réconfortants. 

Prendre soin de soi dans ce processus est essentiel. Accueillir la douceur lorsqu’elle se présente, accepter l’aide de ceux qui nous entourent, et se donner la permission de sourire à nouveau sont des manières de retrouver, peu à peu, le goût de vivre. Car avancer après une perte n’est pas trahir la personne aimée. Au contraire, c’est honorer sa présence en nous, en choisissant de continuer à vivre pleinement malgré l’absence. 

Si vous souhaitez approfondir votre réflexion sur ce thème, je vous invite à télécharger mon eBook : Le deuil : entre chagrin et espoir. Ce dernier aborde des thématiques telles que le deuil après une mort subite, le deuil anticipé, le deuil suite à l’aide médicale à mourir, le deuil prolongé, la culpabilité, et bien d’autres. La table des matières vous permettra d’accéder rapidement aux chapitres qui résonnent le plus avec votre vécu. N’hésitez pas à le partager. D’autres ressources sont également disponibles sur cette page et d’autres eBooks sont disponible via l'onglet eBook du menu supérieur.

© Nicole Charest | lapetitedouceur.org

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La mort laisse un chagrin que personne ne peut guérir ; l'amour laisse une mémoire que personne ne peut voler.

Le chemin du deuil (+eBook)

 

Cet eBook explore les multiples facettes du deuil, offrant des pistes de réflexion pour traverser cette épreuve avec résilience. Il propose des repères et des ressources pour apprivoiser l’absence et retrouver un équilibre intérieur. CLIQUEZ SUR L'IMAGE POUR LE TÉLÉCHARGEMENT.

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1 octobre 2024 2 01 /10 /octobre /2024 07:19

 

1er octobre : Journée internationale des personnes âgées

 

But : Célébrer la contribution inestimable des aînés à nos vies, en soulignant leur sagesse et leur rôle essentiel dans la société.

 

 

Les personnes âgées sont comme des livres vivants, dont chaque ride et chaque sourire racontent des chapitres d’une histoire unique et précieuse. Leur sagesse n’est pas seulement le fruit du temps qui passe, mais le témoignage d’une âme façonnée par une multitude d’expériences : les joies d’un amour partagé, les leçons apprises dans l’adversité, la résilience cultivée dans les périodes d’épreuve.

 

Leur singulière beauté réside dans la profondeur de leur regard et dans cette lueur subtile qui témoigne de tout ce qu’ils ont traversé et transcendé. Écouter une personne âgée, c’est plonger dans un océan de souvenirs, c’est découvrir des trésors enfouis et s’ouvrir à une autre vision du monde. Derrière chaque mot partagé se cache une perle de sagesse, une invitation à ralentir et à savourer la richesse de l’instant présent.

 

Les aînés, par leur présence, nous rappellent la force tranquille de la patience et la valeur des liens humains. Ils savent que tout passe, que les tempêtes finissent toujours par s’apaiser, et que la douceur est une force insoupçonnée. Leur existence nous enseigne qu’il n’est pas nécessaire de courir pour trouver le bonheur, qu’il suffit parfois de s’asseoir, d’observer et de se reconnecter à l’essentiel.

 

En cette journée internationale des personnes âgées, prenons un moment pour honorer ceux qui ont tracé le chemin sur lequel nous marchons. Plus qu’un remerciement, exprimons notre gratitude pour tout ce qu’ils continuent de transmettre : la force d’un sourire bienveillant, la tendresse d’un regard empreint de vécu, et la profondeur de leurs conseils toujours éclairants.

 

En les célébrant, nous ne leur rendons pas seulement hommage : nous nous rappelons l’importance de chérir, dès aujourd’hui, ceux qui illuminent et enrichissent notre quotidien.

 

VOUS AIMEZ ? MERCI DE PARTAGER !

 

© Nicole Charest | www.lapetitedouceur.org

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6 octobre 2018 6 06 /10 /octobre /2018 15:20

 

 

Chers abonnés,

Je suis heureuse de vous retrouver et de vous partager quelques nouveautés. Le sujet que j’aborde dans ce bulletin demeure sensible pour bien des gens. Toutefois, personne n’y échappe... Un jour ou l’autre, nous perdrons tous des êtres qui nous sont chers.



En faisant la mise à jour de ma page Vivre un deuil (voir encart ci-dessous), j’ai découvert une chanson dont le texte m’a tout de suite interpellée : Nos absents (par Grand corps malade). Présenté sous forme de poème, les propos sont riches, profonds, touchants et expriment ce que bien des gens ressentent (voir ci-dessous).

Merci de faire partie de ma route virtuelle,

Votre webmestre, 
Nicole xox

Nos absents*

Ce dossier sur le deuil a été conçu en 2008 et depuis, cette page est l'une des plus consultées de mon blog. Vous y retrouverez toutes les ressources que j'ai publiées au fil du temps : diaporamas, chansons, textes, liens utiles. Je vous invite à vous y référer au besoin ou à partager le lien avec des gens vivant un deuil.

 

 

Nos absents*

Voici la chanson dont je vous parlais en préambule. Les paroles sont juste en dessous. Bonne écoute!

Nos absents*
Nos Absents - par Grand Corps Malade

 

C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte,
qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte.
C'est ceux qu'on a aimés qui créaient un vide presque tangible,
car l'amour qu'on leur donnait est orphelin, il cherche une cible.

Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire,
mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir.
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord,
car la mort a ses raisons que notre raison ignore.

Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste.
À plusieurs on est plus fort mais on est pas moins triste.
C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent.
On apprivoise la douleur et la présence de nos absents.

Nos absents sont toujours là, à l'esprit et dans nos souvenirs.
Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires.
Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés,
ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était.

On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou,
en se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous.
Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure,
dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur.

Nous on a des projets, on dessine nos lendemains.
On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains.
Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers,
on imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire.

Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant.
J'me suis bien renseigné, on en sortira pas vivant.
Faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux,
mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux.

Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle,
mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel.
Ce temps qui pour une fois est un véritable allié.
Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers.

Moi les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup.
Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous.
Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous.
Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses.

C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte,
qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte.
C'est ceux qu'on a aimés qui créaient un vide presque infini
qu’inspirent des textes premier degré.

Faut dire que la mort manque d'ironie.

Nos absents*
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28 mars 2012 3 28 /03 /mars /2012 17:05

C1 tome-2

 

Pourquoi, à partir de la retraite, certains deviennent-ils simplement « âgés », alors que d’autres deviennent « vieux »? En effet, être âgé, c’est différent d’être vieux, voici quelques réflexions et nuances entre ces deux états de l’existence…

 

Alors que l’être âgé s’adonne aux sports, est avide de découvertes et de voyages, le vieux se repose.

 

Alors que l’être âgé dispose d’amour à donner, le vieux accumule les jalousies et les rancœurs.

 

Alors que l’être âgé continue de faire des plans pour son avenir, le vieux ressasse avec nostalgie son passé, sa jeunesse.

 

Alors que l’agenda de l’être âgé comprend surtout des lendemains, le calendrier du vieux ne contient que des « hier ».

 

Alors que l’être âgé apprécie les jours à venir, le vieux souffre du peu de jours qui lui restent.

 

Alors que les nuits de l’être âgé sont peuplées de rêves, celles du vieux sont envahies de cauchemars.

 

Il n’est pas question pour moi, pour nous, d’être vieux. Nous pouvons être âgés, peut-être, mais nous ne voulons pas être vieux, car nous regorgeons de tant d’amour à donner, nous caressons tant de projets à réaliser, et sommes enthousiastes devant tant de choses à faire que nous n’avons ni le droit ni le désir d’être vieux.

 

– Source : Petites douceurs pour le coeur, tome 2, p. 43

On est jeune tant qu'on souhaite que chaque jour diffère de la veille ; vieux quand on espère que chaque année ressemblera à la précédente.

Gilbert Cesbron

Être âgé ou être vieux?*
Être âgé ou être vieux?*

La blague du blog

Trois Belges sont sur le bord du Nil. Deux d'entre eux, voyant un crocodile dans l'eau, se mettent à lui jeter des cailloux. À un moment donné, le crocodile, en colère, s'approche de la rive, prêt à monter sur la berge.

Les deux Belges se sauvent et montent dans un arbre. Le troisième, impassible, ne bouge pas. Les autres l'appellent et lui disent de se sauver. Alors l'autre leur répond :

« Ça ne va pas? J'ai pas jeté de cailloux moi. »

 

 

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7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 17:01

logo 2012


            
J’aurais pu devenir riche si j’avais choisi l’or plutôt que mes amitiés.


 

J’aurais pu être célèbre si j’avais cherché la renommée pendant les heures où je m’appliquais à jouer.

 

Et me voici, assis à l’extrémité de ma vie, jetant un coup d’œil derrière moi pour voir tout ce que j’ai fait avec ces jours et ces années qui étaient miens et tout ce qui m’est arrivé.

 

Je n’ai pas vraiment de fortune à léguer à ceux qui porteront mon nom. Et je n’ai rien fait qui soit susceptible de m’assurer une place sur les registres de la renommée. Mais j’ai adoré le ciel et ses grands espaces bleus; j’ai vécu avec les arbres et les oiseaux; j’ai dédaigné l’or et l’argent pour partager des plaisirs comme ceux-là.

 

J’ai donné mon temps aux enfants qui sont venus; nous avons joué ensemble bruyamment. Et je n’échangerais pas les heures heureuses passées avec eux pour tout l’argent que j’aurais pu faire.

 

J’ai choisi d’être connu et aimé par quelques personnes, et j’ai fait la sourde oreille aux applaudissements des hommes; et je referais les mêmes choix si la chance m’était donnée de revivre ma vie.

 

J’ai vécu avec mes amis et j’ai partagé leurs joies, connu leurs peines avec toutes leurs larmes; j’ai fait une belle récolte avec les quelques arpents de ma vie, même si certains prétendent que j’ai gaspillé mon temps.

 

J’ai été à même de bien profiter de mes belles choses, et je crois avoir ainsi rempli ma vie de mon mieux. Et au crépuscule de ma vie, je ne regrette pas tout l’or que j’aurais pu posséder.

 

Source : Bouillon de poulet pour l'âme des aînés.

 

Les jours les plus beaux et les plus doux ne sont pas ceux où il se passe des choses particulièrement belles, merveilleuses ou passionnantes. Ce sont ceux qui apportent des plaisirs simples, qui se succèdent en douceur.

Lucy Maud Montgomery

Rétrospective*
Rétrospective*

La blague du blog

« Maman, Luc m’a invité chez lui pour le week-end !
– Il va sans doute te présenter à ses parents ?
– Mais non, ils sont en voyage ! »

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15 janvier 2009 4 15 /01 /janvier /2009 00:00

 

 

Heureux ceux qui respectent mes mains décharnées et mes pieds déformés.

 

Heureux ceux qui conversent avec moi, même si j’ai désormais quelque peine à bien entendre leurs paroles.

 

Heureux ceux qui comprennent que mes yeux commencent à s'embrumer, et mes idées à s'embrouiller.

 

Heureux ceux qui gardent le sourire quand ils prennent le temps de bavarder avec moi.

 

Heureux ceux qui  ne me font jamais la remarque suivante : « C'est la troisième fois que vous me racontez cette histoire! »

 

Heureux ceux qui m'assurent qu'ils m'aiment et que je suis encore bon à quelque chose.

 

Heureux ceux qui m'aident à vivre l'automne de ma vie... (Petites douceurs pour le cœur, p. 140)


 

Vieillir, si l'on sait, ce n'est pas tout ce qu'on croit. Ce n'est pas du tout diminuer, mais grandir.

Heureux ceux qui*

Réflexion supplémentaire

 

C'était un matin occupé. Vers 8 h 30, une femme d'un grand âge arrive pour faire enlever les points de suture de son pouce. Elle me précise qu'elle est pressée car elle a un rendez-vous à 9 h. Sachant qu'il y avait plus d'une heure d'attente, j'ai pris ses signes vitaux et lui demanda de s'asseoir. 

La voyant regarder sans cesse sa montre, j'ai décidé de faire une première évaluation. En jasant avec elle, je lui demande si elle avait un rendez-vous avec un autre médecin. La dame me répondit que non. Elle devait tout simplement aller dans une maison de santé pour déjeuner avec son époux atteint de la maladie d'Alzheimer.

Je lui demande alors s'il serait bien contrarié de son retard. Oh non! me répondit-elle. Il ne sait même plus qui je suis. « Et vous y allez encore tous les matins, même s'il ne sait plus qui vous êtes? » 

Elle me sourit en me tapotant la main et dit : « Il ne me reconnaît plus, mais moi, je sais encore qui il est. »

Heureux ceux qui*

La blague du blog

 

C'est Toto qui dit à sa maîtresse en lui rendant son carnet de notes :

« Je ne voudrais pas vous faire peur, mais ce week-end, papa m'a dit que si je n'ai pas des meilleures notes sur mon bulletin le mois prochain, y a quelqu'un qui va se prendre un bon coup de pied quelque part... »

 

 

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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 23:00



Un sage homme vivait heureux avec son épouse admirable et deux fils chéris. Un jour, il entreprit un long voyage et durant son absence, un grave accident provoqua la mort de ses deux fils tant aimés.

 

La mère sentait son cœur lourd de douleur. Toutefois, étant une femme forte et croyante, elle surmonta le drame avec courage.

 

Elle avait cependant une grande préoccupation à l'esprit : Comment annoncer la triste nouvelle à son mari, lui qui avait le cœur si fragile? Elle pria afin d’être éclairée.

 

Son mari rentra enfin de voyage et s’empressa de prendre des nouvelles de ses deux fils. L'épouse, embarrassée, lui répondit : « Laisse les garçons. Avant je voudrais que tu m'aides à résoudre un problème très important.
 

 

— Alors, parle, lui dit le sage homme.

 

— Pendant ton absence, un ami est passé nous rendre visite et nous a laissé en garde deux bijoux d'une valeur inestimable, mais ces bijoux sont si merveilleux que je m'y suis attachée et je n'ai pas très envie de les lui rendre. Qu'en penses-tu? »

 

Le mari lui répondit : « Je ne comprends pas. Tu n'as jamais été attirée par l'apparat, et quand bien même tu le serais, ces bijoux ne t'appartiennent pas et tu dois les rendre.

 

— Mais je ne peux me résigner à les perdre, répondit l'épouse. »

 

Le mari lui rétorqua : « On ne peut pas perdre ce que l'on n'a jamais possédé. Tu vas rendre ces bijoux aujourd'hui même. »

 

Sa femme lui répondit : « Très bien, mon époux. Les deux merveilleux bijoux seront rendus à Celui qui nous les avait confiés. En vérité, c'est déjà fait, car ces bijoux inestimables étaient nos deux fils tant aimés, que Dieu a rappelés à Lui. »

 

Le sage homme comprit le message, enlaça sa femme et sans désespoir ni révolte, ils laissèrent couler leurs larmes. (Petites douceurs pour le cœur, p. 70)

Les deux fils*

L'arbre et la graine (Benoît Marchon)

 

Quelqu’un meurt, et c’est comme des pas qui s’arrêtent...
Mais si c’était un départ pour un nouveau voyage? 


Quelqu’un meurt, et c’est comme une porte qui claque...
Mais si c’était un passage s’ouvrant sur d’autres paysages? 


Quelqu’un meurt, et c’est comme un arbre qui tombe...
Mais si c’était une graine germant dans une terre nouvelle? 


Quelqu’un meurt, et c’est comme un silence qui hurle...
Mais s’il nous aidait à entendre la fragile musique de la vie?

Les deux fils*

Témoignage

 

Madame Charest,

Ce sont mes amies du travail qui m'ont offert votre livre Petites douceurs pour le cœur que je lis et relis sans relâche. En effet, j'ai appris que mon fils de 15 ans avait le cancer en mai dernier et j'ai dû prendre une décision et quitter mon emploi pour prendre soin de lui. Votre livre est ma source de ressourcement. Vos pensées allègent mes douleurs, me font réfléchir quant à la vie, quant à la mort. Merci encore. — Elaine, St-Jérôme

Les deux fils*

La blague du blog

 

Un gardien demande à un condamné :
« Avez-vous un dernier souhait?
— Oui, lui répond le condamné, je voudrais manger des fraises.
— Mais ce n'est pas la saison pour manger des fraises, lui dit le gardien.
— Ce n'est pas grave, dit le condamné. J'attendrai.
 »

 

 

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8 octobre 2008 3 08 /10 /octobre /2008 23:00

 

 

Vieillir est un couronnement.

 

C’est le soir de l’existence. Mais quand on y songe bien, vieillir, c’est aussi beau que naître. C’est même plus riche que naître. Naître, ce n’est qu’une promesse tandis que vieillir, c’est un accomplissement.

 

La vieillesse est la saison des récoltes, des moissons dorées et des blés mûrs. Si bien qu’on peut dire sans se tromper que les feux du soleil couchant sont aussi beaux que ceux du soleil levant.

 

D’autant plus que ce sont eux qui éclairent nos derniers pas sur la terre. C’est dans leur lueur qu’apparaît notre dernière vérité. Les dernières lumières du soleil couchant sont les premiers rayons de l’éternité. Et quand elles se projettent sur les dernières années de notre vie, alors on devient sage et on cesse d’être acteurs...

 

Nous cessons d’être des personnages de la « comédie aux cent actes divers » qu’est la vie, pour redevenir des personnes. Des personnes responsables de la qualité de leur fin de route. Des personnes mises en face de leur devoir terminal. Des personnes dont le dernier défi sur la terre est de transformer leur déclin physique en croissance morale.

 

Vieillir, c’est voir le monde par l’autre bout de la vie. Et alors, les perspectives ne sont plus les mêmes. Car à mesure qu’on s’approche de « l’autre monde», on se détache peu à peu des intérêts terrestres pour investir dans les valeurs éternelles. Celles qui, seules, peuvent combler l’immensité de notre espérance. Doris Lussier (Petites douceurs pour le cœur, p. 94)

La sagesse du soir*

La blague du blog

 

Trois gars entrent dans un restaurant. La serveuse demande au premier s'il désire avoir la table d'hôte.

— Bien sûr, je vais prendre la table d'hôte.

Elle demande alors au deuxième : Monsieur, allez-vous prendre la table d'hôte?

— Mais oui, je vais prendre la table d'hôte.

Elle pose la même question au troisième.

— C'est sûr, je veux manger avec les autres…

 

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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