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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 22:00

 

 

Une jeune femme alla un jour renouveler son permis de conduire. Lorsqu’on lui demanda quelle était sa profession, elle hésita un instant, ne sachant trop comment se qualifier. Le fonctionnaire insista : « Ce que je vous demande est simple: avez-vous un travail, un emploi ?

— Bien sûr que j’ai un travail, répondit Anna. Je suis mère.

— Désolé, madame ! Mais nous ne considérons pas cela comme une occupation professionnelle. Je vais donc inscrire « femme au foyer », dit froidement le fonctionnaire. »

Anna raconta cet incident à sa bonne amie Mireille qui elle-même, un jour, se retrouva dans la même situation.

« Quelle est votre occupation ? », demanda la dame fonctionnaire.

S
e rappelant ce qui était arrivé à Anna, Mireille répondit avec un naturel sans pareil : « Je suis directrice générale d’une petite « PME ».

Étonnée, la jeune fonctionnaire lui demanda : « Puis-je savoir ce que vous faites exactement ?

— Nous desservons une jeune clientèle très exigeante et délivrons des services en croissance personnelle, éducation, psychologie, relations humaines et gestion de projets. Nous devons, entre autres, faire preuve de flexibilité, disponibilité, adaptation, créativité, … »

Au fur et à mesure qu’elle décrivait ses responsabilités, Mireille remarqua dans la voix de la fonctionnaire un ton de plus en plus respectueux…

Lorsqu’elle rentra chez elle, Mireille fut reçue par son équipe : trois petites filles de 13, 7 et 3 ans. En montant à l’étage, elle entendit « le plus jeune de ses projets » : son bébé de six mois, s’adonnant à un nouvel assemblage de sonorités vocales.

H
eureuse, fière et émue, Mireille prit son poupon dans ses bras et eut une pensée de gratitude envers toutes les personnes qui œuvraient avec elle dans cette merveilleuse « entreprise de la vie » : arrière-grands-parents, grands-parents, tantes, oncles, sœurs, amies...



Texte revu et adapté par Nicole Charest. Ne fait pas partie de Petites douceurs pour le cœur.

 

Ne vous inquiétez pas si vous ne pouvez donner à vos enfants tout ce dont vous rêviez pour eux... Donnez-leur seulement le meilleur de vous-même.

Quelle est votre occupation, Madame?*

Hommage à nos mamans disparues

S'il est vrai que des fleurs poussent au paradis,
et que les espèces les plus rares s'y trouvent réunies,
alors Seigneur, svp, soyez bon, soyez gentil,
et portez attention à la mission que je Vous confie.

Cueillez les plus belles et faites-en des bouquets géants
que Vous remettrez à nos douces et chères mamans...
En les serrant chacune très fort dans vos bras aimants,
rappelez-leur qu'elles nous manquent terriblement...

Ah oui, peut-être pourriez-Vous aussi rajouter ceci,
— Ces mots qu'on ne leur a jamais assez dits —
« Chères mamans, nous vous aimons et vous disons MERCI
pour votre générosité et votre amour sans compromis... »


Nicole Charest

Quelle est votre occupation, Madame?*

La blague du blog

Un jour, un homme rentre du travail pour trouver le chaos qui règne à la maison. Ses enfants, encore en pyjama, jouent dans la boue du jardin. Sur le gazon, tout autour de la maison, il y a des cartons de repas congelés et des boîtes de jus par terre. Quand il entre dans la maison, c'est encore pire.


La vaisselle sale est éparpillée dans toute la cuisine, le repas du chien est renversé sur le sol, et il y a du sable par terre. Dans la salle de séjour, il trouve des jouets, des vêtements et une lampe renversée.

À ce moment, l'homme a très peur qu'un malheur ait touché sa femme. Il se précipite au second étage et là, stupéfait, il trouve sa femme encore en pyjama, assise dans le lit en train de lire un livre.

« Allô mon amour, comment était ta journée?, lui demande-t-elle.

— Mais que s'est-t-il passé ici aujourd'hui?

Souriante... : — Tu sais, chaque jour en rentrant, tu me demandes ce que j'ai fait durant la journée et quand je réponds que je me suis occupée de la maison et des enfants, tu me dis : "C'est tout?" Eh bien, aujourd'hui, je n'ai rien fait! »

 

 

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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 22:00

 

 

 

J'ai appris qu'il faut beaucoup de temps pour devenir la personne que l'on souhaite être...

J'ai appris qu'il est possible d'aller loin au-delà de ses propres limites...

J'ai appris que nous sommes responsables de nos actes, quelles que soient nos humeurs...

J'ai appris qu'il suffit d'un instant pour faire quelque chose qui vous brisera le cœur pour le reste de la vie...

J'ai appris que si l'on ne contrôle pas son comportement, c'est lui qui devient le maître...

J'ai appris que les héros sont ceux qui font ce qu'il faut faire, quelles qu'en soient les conséquences...

J'ai appris que même si une colère peut être légitime, cela ne donne pas le droit d'être cruel...

J'ai appris que le milieu et les circonstances peuvent nous avoir influencés, mais nous sommes responsables de ce que nous sommes devenus...

J'ai appris qu'il ne suffit pas toujours d'être pardonné, il faut aussi parfois savoir pardonner...


J'ai appris qu'il suffit qu'une personne te dise un mot gentil pour que ta journée soit meilleure...

J
'ai appris que tu peux toujours prier pour quelqu'un quand tu n'as pas la force de l'aider autrement...

J'ai appris que souvent, ce dont une personne a besoin, c'est une main qui se tend et un cœur qui écoute...

J'ai appris qu'ignorer les faits ne changent pas les faits...

J'ai appris que ce sont les petites choses de la vie qui la rendent si belle...

J'ai appris que sous le blindage de chacun, il y a toujours quelqu'un qui désire être aimé et respecté...

J'ai appris que quand tu veux te venger de quelqu'un, laisse-le continuer à faire du mal...

J'ai appris que c'est l'amour et non pas seulement le temps qui soigne les blessures...

J'ai appris qu'être bon est plus important qu'être fort...

J'ai appris que quand tu nourris rancune et amertume, le bonheur change de trottoir...

J'ai appris que nous voulons tous vivre en haut de la montagne mais que le vrai bonheur est dans son ascension, pendant l'escalade...


 

Remettant toujours au lendemain la quête de l'essentiel, nous risquons de laisser la vie filer entre nos doigts, sans l'avoir jamais vraiment goûtée. 

J'ai appris...*

Où sont les vraies merveilles?

 

« Les hommes voyagent pour s'émerveiller de la hauteur des montagnes, des vagues gigantesques de la mer, du long cours des rivières, de l'immensité des océans, du mouvement circulaire des étoiles... et ils passent les uns devant les autres sans s'émerveiller. »

Jeffers, Suzan. Osez vous réconcilier avec la vie

J'ai appris...*

La blague du blog
 

Alcide conduisait son auto et était tout trempé de sueur, tant il était nerveux à l'idée d'arriver en retard à son rendez-vous, car il n'arrivait pas à trouver une seule place de stationnement.

Levant les yeux au ciel, il pria Dieu : « Seigneur, aie pitié de moi. Si Tu me trouves une place de stationnement, je Te promets d'aller à la messe tous les dimanches et de laisser la bière pour le reste de ma vie. »

Miraculeusement, une place se libère sur-le-champ. Alcide lève les yeux au ciel de nouveau et dit à Dieu : « Laisse faire, j'en ai trouvé une ! »

 

 

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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 22:00

 

 

Une femme était dans le coma et se mourait. Elle eût soudain l'impression qu'on l'amenait au ciel et qu'elle se trouvait au lieu du jugement.

« Qui êtes-vous? demanda une voix.
— Je suis la femme du maire, répondit-elle.

— Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la femme, mais bien qui vous êtes.
— Je suis la mère de quatre enfants.

— Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la mère, mais bien qui vous êtes.
— Je suis maîtresse d'école.

— Je ne vous ai pas demandé qu'elle est votre profession, mais bien qui vous êtes.
— Je suis chrétienne.

— Je ne vous ai pas demandé votre religion, j'ai demandé qui vous êtes.
— Je suis celle qui a toujours aidé les pauvres et les miséreux.

— J'ai demandé non pas ce que vous avez fait, mais qui vous êtes. »

Elle a manifestement échoué à l'examen puisqu'on l'a renvoyée sur terre. Quand elle se remit de sa maladie, elle décida de découvrir qui elle était. Et cela fit toute la différence.

Votre tâche consiste à ÊTRE. Pas à être quelqu'un, pas à n'être personne, pas à être ceci ou cela et ainsi devenir conditionné, mais juste à ÊTRE.  


Texte trouvé sur le blog Se souvenir des belles choses

 

Découvrez qui vous êtes et vous n'aurez plus aucune envie de devenir quelqu'un d'autre. 

Qui êtes-vous?*
Quand nous mourrons et frapperons aux portes du Paradis, notre Créateur ne nous demandera pas : « Pourquoi n'as-tu pas trouvé le traitement de telle ou telle maladie? Pourquoi n'es-tu pas devenu le Messie? » La seule question qu'il nous posera en cet instant précieux, c'est : « Pourquoi n'es-tu pas devenu toi-même? »
 
Vous êtes un individu unique. Jamais il n'y a eu et jamais il n'y aura d'être humain comme vous. Il n'y a rien d'ordinaire en vous. Et si vous vous sentez banal, ordinaire, c'est parce que vous avez choisi de cacher aux yeux du monde les parties de vous-même qui sont extraordinaires. Peut-être même avez-vous oublié leur existence, elle ne se sont pas manifestées depuis tellement longtemps.
 
Mais écoutez bien... Elle vous appellent... ces voix qui sont au fond de vous-même... Elles crient pour être reconnues, pour que vous les rassembliez. « Libère-nous », disent-elle, « et nous te montrerons le chemin de la plénitude. »

De Angelis, Barbara. Les moments vrais.
Qui êtes-vous?*

La blague du blog

Un médecin apprend à son malade qu'il n'a plus que 12 heures à vivre. L'homme rentre chez lui et annonce la nouvelle à sa femme :

— Chérie, voici ce que j'aimerais faire pendant ces douze heures : un bon dîner, ensuite aller boire et danser tout le reste de la nuit.

— Oh! la! la! répond sa femme. C'est facile pour toi... On voit bien que tu n'auras pas à te lever demain matin. »

 

 

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15 avril 2009 3 15 /04 /avril /2009 22:00

 

Nous avons la plus belle des planètes
Et nous en faisons la plus triste, la plus laide.
Nous avons les plus belles prairies
Et nous en faisons des déserts.

Nous avons la terre le plus fertile
Et nous la rendons stérile.
Nous avons les plus belles plantes
Et nous les modifions.

Nous avons les plus belles ethnies primitives
Et nous en faisons des fantômes.
Nous avons les plus belles fleurs
Et bientôt nous n'aurons plus d'abeilles.

Nous avons les plus beaux animaux
Mais ils vont finir au zoo.
Nous avons les plus beaux océans
Et nous en faisons des décharges.

Nous avons l'intelligence
Et nous sommes les plus bêtes.
Nous avons le bonheur au bout des doigts
Et nous sommes en détresse.
  
Nous avons de l'eau
Mais tous n'en boivent pas.
Nous sommes les plus riches
Mais les plus pauvres de cœur.

Nous sommes gros
Et ils sont maigres.
Nous sommes en paix
Et ils sont en guerre.

Nous voyons
Mais nous sommes aveugles.
Nous sommes libres
Mais nous devenons esclaves.

Nous avons tout
Et nous ne sommes rien.
Nous avons une mémoire
Mais elle ne nous sert à rien...

Quand nous n'aurons plus de passé,
Quand nous n'aurons plus de mémoire,
Quand l'avenir se réduira au présent...
Il nous restera que les minutes de silence...

 

 

 Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière goutte d'eau, tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, alors, il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible.

Sagesse amérindienne

La terre*

Le vaisseau spatial Terre

Nous ne pourrons plus réussir pendant longtemps à manœuvrer le vaisseau spatial Terre si nous ne le voyons pas comme un bâtiment entier, si nous ne considérons pas notre destin comme un destin commun. Ce sera nous tous ou personne.

Il possède les ressources suffisantes pour prendre soin de 100 % de l’humanité, mais encore faut-il le piloter avec soin !

— Buckminster Fuller (Petites douceurs pour le coeur, tome 1, p. 47)

La terre*
La terre*

La blague du blog

Un martien pose sa soucoupe à six heures du soir dans une des rues les plus passantes de Montréal et fait son rapport : — Allô, Mars? C'est vous Chef? Dites, nos savants se sont trompés : Ce n'est pas de l'oxygène que les terriens respirent...
 

À l'école.
— Toto, avoue que ton père t'a aidé à faire ton devoir ?
— Ben, non m'sieur, je vous jure !
— C'est bien vrai ? Sûr ?
— Oui, j'en suis sûr. Il l'a fait tout seul....

 

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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 22:00

 

 

 

Régulièrement, Paul allait chez son ami le barbier et tout en se faisant couper les cheveux, ils échangeaient de tout et de rien. Un beau matin, ils abordèrent le sujet de Dieu…

Le barbier dit : « Écoute, tu prétends que Dieu existe, mais moi, je n’y crois pas.

— Et pourquoi dis-tu cela? demanda Paul.

— Eh bien, c'est facile. Tu n'as qu'à sortir dans la rue pour comprendre que Dieu n'existe pas. Si Dieu existait, y aurait-il tant de gens malades et tant d'enfants abandonnés? Non, si Dieu existait, il n'y aurait ni souffrance ni peine. Je ne peux penser à un Dieu qui permet toutes ces choses. »

Au lieu de confronter son ami barbier, Paul resta silencieux et réfléchit à la meilleure façon de lui faire voir les choses autrement. Il sortit du salon et dès qu’il fut sur le seuil de la porte, il vit un homme dans la rue avec de longs cheveux et une barbe.

Il retourna donc à l’intérieur et dit à son ami : « Tu sais quoi? Les barbiers n'existent pas. »


— Comment ça, les barbiers n'existent pas? N’en suis-je pas la preuve vivante?

— Non, répondit Paul. Ils n'existent pas parce que s'ils existaient, il n'y aurait pas de gens avec de longs cheveux et la barbe longue comme cet homme qui marche dans la rue.

— Voyons Paul! Ce qui arrive, c'est que les gens ne viennent pas à moi.

— Exactement! Alors tu vois, pour Dieu, c’est la même chose. Dieu existe, ce qui arrive, c'est que les gens ne vont pas vers Lui et ne Le cherchent pas; c'est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde. »


 

Pensée de la semaine : L'univers m'embarrasse et je ne puis penser que cette horloge existe et n'ait point d'horloger.

Saint Voltaire

Le barbier et Dieu*

Dieu, si Tu existes...

Parle-moi! Et aussitôt un oiseau chanta...
Montre-moi un miracle! Et une vie naquit...
Donne-moi un signe! Et le tonnerre gronda...
Laisse-moi te voir! Et une étoile scintilla dans le ciel...
Laisse-moi savoir que tu es là! Et un papillon se posa sur elle…Mais la personne ne remarqua rien de tout ça et continua à demander à
Dieu une preuve de son existence...


Petites douceurs pour le cœur, p. 107

Le barbier et Dieu*

La blague du blog


Deux enfants passent devant un panneau : « Ralentir! Ecole primaire ».

L'un des deux garçons dit : « Tu te rends compte! Ils ne croient tout de même pas qu'on va y aller en courant! »

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1 avril 2009 3 01 /04 /avril /2009 22:00

 

 

Aujourd'hui, j'ai tellement envie de te dire combien je t'aime. Toi, qui à chaque instant, es présente en moi. Toi qui habites mon cœur, nourris mon âme. Toi qui, sans artifice, m'aimes, m'accompagnes.

 

Je te regarde, et mes yeux s'animent. Des étincelles de joie, de vie sont perceptibles. Mon sang circule à une vitesse folle. J'ai toujours le goût de toi, d'être avec toi, de te sentir, de te vivre.

 

Parfois tu me perturbes; d'autres fois, tu me fais pleurer. Certaines fois, tu me blesses, tu touches mes valeurs, mes croyances. Tu m'ébranles, tu me chavires, tu me rends parfois un peu dingue. Mais au fond, je t'aime.

 

Tu me fais rire. Sans cesse, tu crées pour moi de merveilleux bouquets d'émotions. Tu es là. Tu me prends la main, et tu me guides sur des sentiers inexplorés. Tu me parles d'éternité quand je me sens limité. Tu me dis : « Crois, espère, avance à ton rythme, mais marche avec amour. » Sans fin tu souffles, tu respires pour moi, en moi.

 

Parfois je désespère de toi. Tu me quittes, l'espace d'un instant et je ne suis plus le même. Tu sais si bien me guider vers le meilleur, le meilleur de moi. Le meilleur de toi. Je t'aime tant.

 

Tu te fais belle, charmante, charmeuse. Tu me séduis, m'ensorcelles. Tu te présentes à moi, toute naturelle, vraie, authentique.

 

Aujourd'hui je veux le crier sans fin... Je t'aime, toi la Vie. — André Chouinard  

 

La vie est faite de ces petits bonheurs quotidiens dont on se lasse et dont il faut parfois être privé pour en apprécier la réelle valeur. 

Hymne à la vie!*
Hymne à la vie!*

Trouvez...

 

Trouvez les bénédictions de l'existence.
Trouvez les leçons à apprendre.
Trouvez la force que vous n'auriez jamais cru posséder.
Trouvez le triomphe.


Jeffers, Suzan. Osez vous réconcilier avec la vie

Hymne à la vie!*

La blague du blog

Vers 3 heures du matin :

— Maman, veux-tu me raconter une histoire?

— Patiente un peu, mon trésor. Ton père va revenir d'un moment à l'autre et, quand il rentre tard comme cela, il en a toujours une de prête.

 

 

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25 mars 2009 3 25 /03 /mars /2009 23:00

 

 

Quel que soit votre passé, quelles que soient vos barrières,
Tout cela est bien loin, secouez-en la poussière.
Faites souffler sur votre vie un vent de volonté,
La poussière des regrets sera vite balayée.

La poussière des regrets est un mal ennuyeux, 
Qui pénètre partout et fait pleurer les yeux. 
Elle se glisse en douceur dans les moindres recoins, 
Pour nous faire étouffer et suffoquer de chagrin.

Elle se dépose en une épaisse couche à terre,
Où demeurent nos pas quand on regarde en arrière.
 
Elle applique au regard un voile obscurcissant, 
Qui cache la lumière et rend triste au-dedans. 

Elle s'accumule d'autant mieux que l'on ne bouge pas,
Et puis un jour, on se sent figé sous son poids. 
Ne laissez pas votre cœur s'étouffer sous la cendre, 
Respirez et vous verrez le feu reprendre.

 Si vous doutez, regardez la vie dans la nature,
Les oiseaux savent bien qu'en haut, l'air est plus pur.
 
Aussi, voyez comme ils prennent soin de leurs ailes, 
Pas une tache ne souillera leur grâce dans le ciel.

Et de plus, au cas où vous n'y auriez pas pensé,
Aucun d'eux ne regarde le sol pour s'envoler…
 

 

 

Pleurer sur son passé, c'est comme essayer de transplanter un arbre mort.

Un vent de volonté*

Le verre cassé

Un moine tibétain répondait ainsi à quelqu’un qui lui demandait comment être heureux dans un monde où rien n’est permanent, où l’on ne peut pas se protéger, ni protéger ses proches du danger.

« Quelqu’un m’a donné ce verre, qui me plaît vraiment. Il contient mon eau, il brille au soleil. Quand je le touche, il résonne. Un jour, le vent le fera peut-être tomber de son étagère, ou bien mon coude le fera tomber de la table. Je sais que ce verre est déjà cassé. Alors j’en profite pleinement. »

Oui, un jour, tout ce que nous aimons de tout cœur appartiendra au passé. Alors à quoi bon s’accrocher autant à des choses auxquelles, dans le grand ordre du monde, on ne peut s’accrocher?


Jeffers, Suzan. Osez vous réconcilier avec la vie

Un vent de volonté*

La blague du blog

Deux singes entrent dans un bar et se commandent chacun une bière.
Le serveur n’ayant jamais servi de singes auparavant décide d’aller voir son patron et lui dit :

Y’a deux singes au bar qui demandent une bière. Qu’est-ce que je fais?

— Donne-leur une bière, idiot! Mais attends, les singes sont stupides, charge-leur le double du prix, ils ne verront pas la différence.

Le serveur retourne au bar, sert la bière à chaque singe et leur charge le double du prix. Un peu plus tard, le serveur revient voir les singes, encore surpris d’avoir des singes comme clients.

— Dites, c’est plutôt rare qu’on voit des singes ici!

Les deux singes se regardent et l’un d’eux dit :

— Pas surprenant, au prix que vous chargez!

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19 mars 2009 4 19 /03 /mars /2009 00:00

 

 

Une jeune fille discutait avec sa mère et lui racontait tous ses problèmes. Elle avait échoué son examen et son petit ami venait de la quitter pour sa meilleure amie.

Voyant sa détresse et sachant que sa fille aimait beaucoup le gâteau, elle l’amena vers la cuisine pour lui en préparer un.

La mère sortit alors tous les ingrédients et lui dit : « Chérie, bois un peu de cette huile de cuisson.

Choquée, la jeune fille répond : « Quoi? Pas question!

— Que dirais-tu alors de quelques œufs crus?

— Est-ce que tu plaisantes?

— Tiens, voici un peu de farine.

— Maman, voyons!

C’est alors que la mère répliqua : Tous ces ingrédients ne sont pas cuits et ne peuvent se manger séparément, mais si tu les réunis tous ensemble, ils feront un délicieux gâteau.

Alors tu vois, la Vie travaille de la même manière. Quand nous nous demandons pourquoi il nous arrive des difficultés, nous ne réalisons pas tout de suite ce que celles-ci peuvent nous apporter. Ce n’est parfois que plus tard que nous comprenons qu’elles faisaient partie d’un plan pour nous faire grandir et devenir de meilleures personnes. »


 

Les problèmes sont comme des couteaux. Ou bien ils nous aident, ou bien ils nous coupent. Ça dépend si on les prend par le manche ou par la lame.

Un morceau de gâteau*

Le Grand Dessein

Aucun de nous ne comprend le Grand Dessein. Néanmoins, nous pouvons nous engager à utiliser toutes nos expériences, bonnes ou mauvaises, comme autant de cubes de construction pour bâtir une vie aimante et puissante. Et dans ce cas, effectivement, tout arrivera pour le mieux.


Jeffers, Suzan. Osez vous réconcilier avec la vie

Un morceau de gâteau*

Témoignage de mon livre d'or

Nicole, je prends une minute pour te féliciter pour ton livre. Depuis que je me le suis procuré, j'ai mis de côté le livre Le Secret. Le vrai secret, je l'ai trouvé dans ton livre... Simplement merci de regrouper ces belles pensées, ça me fait du bien! Je l'ai aussi offert samedi dernier en cadeau pour un 50e anniversaire de naissance à une amie! Alors Nicole, toutes mes félicitations pour ton très beau livre!
André Monfette, Terrebonne

Un morceau de gâteau*

La blague du blog
 

C'est un homme qui est à l'hôpital, sa femme est en train d'accoucher...

Comme il la voit souffrir pendant les contractions, il lui tient la main et lui dit en pleurnichant :

— Oh ma chérie, tu as tant mal et tout ceci est de ma faute...

La femme répond avec un petit sourire.

— Mais non, tu n'y es pour rien... absolument pour rien! 

 

 

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12 mars 2009 4 12 /03 /mars /2009 00:00

 

 

Une dame très âgée, au visage rayonnant, partagea à une amie le secret de son bonheur.

 

« Chère Rose, c’est simple, j’ai toujours tenu un agenda du bonheur.

 

— Un quoi? 

 

— Eh oui, tu as bien compris, un agenda du bonheur... Il y a bien longtemps que j'ai appris ceci : aucune journée n'est si triste qu'elle ne renferme un quelconque rayon de lumière. Alors, chaque soir, j’écris toutes les petites choses heureuses qui m'arrivent.

 

Il renferme certes bien des détails insignifiants : une robe neuve, une conversation avec une amie, une attention de mon mari, une fleur, un livre, etc. Tout ceci figure dans mon agenda et quand je me sens un peu triste, j'en lis quelques pages pour me remémorer quelle heureuse femme je suis. Je peux te le montrer si ça t’intéresse.

 

Curieuse et intriguée, Rose ouvrit ce fameux agenda. Sur l’une des pages, on pouvait y lire ceci : « Reçu une gentille lettre de maman. Vu un beau lys dans une vitrine. Retrouvé la broche que je croyais avoir perdue.

 

— As-tu trouvé chaque jour un plaisir à noter? demanda Rose, perplexe.

 

— Oui, chaque jour.

 

Rose continua à tourner les pages et arriva à celle qui contenait ces mots : « Il mourut en tenant ma main dans la sienne et mon nom sur ses lèvres. »

 

— Tu vois Rose, conclut la vieille dame, même la mort contient sa part de positif…

 

Le plus souvent, on cherche le bonheur comme on cherche ses lunettes : quand on les a sur le bout du nez.

L'agenda du bonheur*
L'agenda du bonheur*

Créez-vous un pense-bête à l'heure du coucher

Tous les soirs, avant d’aller dormir, pensez à un mot ou deux exprimant votre reconnaissance pour tout ce qui vous a été donné pendant la journée écoulée. Les yeux fermés, répétez-vous le mot ou les mots que vous avez choisis. Souvent, je m’endors en pensant « Merci ». Ce rituel tout simple m’empêche de ressasser les petits riens contrariants ou ennuyeux qui m’auraient empêché de dormir. En répétant « Merci », je ne tarde pas à trouver le sommeil paisiblement.

Jeffers, Suzan. Osez vous réconcilier avec la vie

L'agenda du bonheur*

La blague du blog

L'étudiante, talons aiguilles et chandail moulant, entre dans le bureau du prof et ferme la porte. Elle s'élance à ses pieds...

— Monsieur, je suis prête à tout pour passer mon examen.

Elle enroule ses bras autour des jambes de l'homme, colle sa tête sur sa cuisse et le regarde droit dans les yeux, l'oeil chaud, la bouche humide.

— Je vous le dis. Je dois réussir. Je veux réussir.
— Vous avez dit tout?
— Oui.
— Vraiment?
— Ah oui...
— Alors, que diriez-vous d'étudier...
 

 

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5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 00:00

 

Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments, mes besoins, mes attentes. Je veux être respectée, écoutée, entendue. J’ai le droit de respirer, de me dire. J’ai le droit de dénoncer, de penser, de crier. J’ai le droit d’exister.

 

Je veux vivre debout, être en paix avec moi-même. Je veux grandir, changer, m’aimer. Je veux rêver, rire, m’épanouir. J’ai besoin d’air, j’ai besoin de m’écouter. J’ai besoin de décider pour moi, avec moi, en fonction de mes besoins à moi, de ce que je veux faire de ma vie.

 

J’en ai marre de vivre en fonction des autres pour être aimée. J’en ai marre de faire des courbettes pour acheter la paix ou ne pas être seule. Je choisis de vivre, de vivre ma vie. Je choisis de vivre mes sentiments, mes émotions, mes rêves, mes espoirs.

 

Je veux me vivre jusqu’au bout, telle que je suis. Je me réserve le droit d’essayer, de me tromper, de recommencer, d’essayer encore et de réussir.

 

Pendant la transition, j’accepte ma souffrance, ma déception. J’accepte mon insécurité, mon désespoir. J’accepte ma colère contre les autres. On ne m’avait rien promis.

 

J’accepte ma colère contre moi, de m’être si longtemps niée et oubliée. Je suis en sevrage, car je sais qu’avec le temps, ces sentiments vont s’atténuer et disparaître, remplacés par le pardon.

 

Je sais qu’avec le temps, mon cœur va guérir d’avoir mal aimé. Et peut-être qu’avec le temps, j’oserai à nouveau tenter l’expérience d’aimer et d’être aimée.

 

(Petites douceurs pour le cœur, p. 170)

 

S'aimer soi-même, c'est l'assurance d'une longue histoire d'amour.

Je me choisis*

Pour me faire aimer...

Pour me faire aimer, j’ai vraiment tout essayé. J’ai même changé de personnalité. Mais ça n’a rien donné.


Pour me faire aimer, j’ai acheté la paix, même si cette paix me troublait. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai pris tous les blâmes sur moi, même si je n’en étais pas la cause. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai tout accepté, même de pardonner l’impardonnable. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai accepté de me faire blesser verbalement sans jamais riposter. J’ai saigné abondamment et j’ai léché mes plaies. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai consenti à me faire rabaisser plus d’une fois. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai rien dit afin de vous protéger et j’ai tout enduré. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, je vous ai comblé de cadeaux et vous en avez largement profité. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, je vous ai donné du temps que je n’avais pas. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai toujours fait les premiers pas, même si vous savez pertinemment que c’était à vous de les faire. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai essayé de vous comprendre tout en douceur, de différentes façons, mon besoin de vous, mon besoin de votre amour. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai finalement compris après plusieurs années de travail acharné, que c’était moi que je devais tout simplement… Aimer. »

Je me choisis*

La blague du blog

 

Deux hommes sont partis à la chasse dans les Pyrénées. Soudain, un gros ours surgit de derrière un rocher et commence à les poursuivre. Les deux hommes se réfugient alors dans un arbre.

L'ours n'en démord pas et commence à grimper lui aussi. L'un des deux compagnons ouvre son sac à dos, sort ses chaussures de sport et les chaussent. Il se débrouille pour enlever son pantalon de toile et enfiler un short. L'autre lui demande :

« Mais qu'est-ce que tu fais?

Le premier répond : Lorsque l'ours sera à trois mètres, on saute de l'arbre et on court.

— Tu crois vraiment que tu peux battre un ours à la course?

— Non, mais ce n'est pas l'ours que je veux battre, c'est toi! » 

 

 

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19 février 2009 4 19 /02 /février /2009 00:00

 

 

Il y a de cela bien des années, un vieillard attendait sur le bord d'une rivière, qu'on l'aide à traverser. Après plusieurs jours, il aperçut enfin un groupe de cavaliers. Il laissa passer le premier, le deuxième, le troisième, puis le quatrième sans les interpeller. Enfin, comme il n'en restait plus qu'un, le vieillard le regarda bien en face et lui demanda : « Monsieur, me transporteriez-vous sur l'autre rive? » Sans un moment d'hésitation, le cavalier répondit : « Certainement, mon ami, montez derrière moi! »

 

Le gentilhomme le mena donc sur l’autre rive, mais avant de le quitter, le cavalier, quelque peu intrigué, ne put se retenir de lui poser cette question :

 

« Monsieur, je n'ai pu m'empêcher de remarquer que vous avez laissé passer tous les autres, sans même essayer d'attirer leur attention. Pourquoi m'avoir demandé à moi et non pas à eux? »

 

Le vieillard répondit aussitôt : « J'ai regardé leurs yeux et je n'y ai décelé aucun amour. Je savais que je demanderais en vain. Mais quand j'ai croisé votre regard, j'y ai perçu de la compassion, de l'amour et de la bonne volonté. J'ai su que vous me transporteriez avec plaisir sur l'autre rive. »

 

Si vous aviez été ce cavalier, le vieillard aurait-il sollicité votre aide pour se rendre sur l'autre rive? (Petites douceurs pour le cœur, p.15)

 

Je traite avec bonté ceux qui ont la bonté ; je traite avec bonté ceux qui sont sans bonté. Et ainsi gagne la bonté.

Lao Tsé

Dans le regard*

Réflexion supplémentaire

 

En Inde, on raconte l'histoire d'un homme bienveillant et paisible qui allait prier chaque matin dans le Gange. 

 

Un jour, une fois sa prière terminée, il remarqua une araignée venimeuse en train de se débattre dans l'eau et la recueillit dans le creux de sa main pour la transporter vers la rive. Alors qu'il la déposait par terre, celle-ci le piqua. Sans qu'il le sache, toutes ses prières diluèrent le poison.  

 

Le jour suivant, la même chose se produisit. Le troisième jour, le bienveillant homme était de nouveau dans l'eau jusqu'aux genoux. Et bien entendu, l'araignée était là aussi, nageant frénétiquement. Alors que l'homme s'apprêtait de nouveau à la sortir de l'eau, l'araignée dit : « Pourquoi t'obstines-tu à vouloir me sauver? Tu ne vois pas que je te pique chaque fois? Je suis ainsi faite. »

 

L'homme recueillit tout de même l'araignée dans sa main en lui répondant : « Parce que c'est ainsi que je suis fait. »

 

Il y a bien des raisons à la bienveillance, mais celle qui nous y pousse naturellement le plus est peut-être le fait spirituel que c'est ainsi que nous sommes faits. C'est comme ça que le cœur de l'être humain continue de battre.

 

Les araignées piquent. Les loups hurlent. Les fourmis construisent des fourmilières que personne ne voit. Et les humains s'entraident, peu importe les conséquences. Même lorsque les autres piquent... Extrait de l'ouvrage Le Livre de l'Eveil de Mark Nepo. 

Belles histoires, poèmes et pensées

Dans le regard*

La blague du blog

 

Deux types en voiture s'arrêtent à un feu rouge. Le passager dit au conducteur :

« C'est vert. »

Pas de réponse.

Le passager répète : « C'est vert. »

Toujours pas de réponse.

Le passager insiste : « Je te dis que c'est vert. »

Le conducteur répond enfin : « Je sais pas moi... une grenouille? »

 

 

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12 février 2009 4 12 /02 /février /2009 00:00

 

 

L'amour n'est pas tout fait. Il se fait.

 

Il n'est pas robe ou costume prêt-à-porter, mais il est pièce d'étoffe à tailler, à monter et à coudre.

 

Il n'est pas appartement, livré clefs en main, mais il est maison à concevoir, à bâtir, à entretenir, et souvent à réparer.

 

I1 n'est pas sommet vaincu, mais départ de la vallée, escalades passionnantes, chutes dangereuses, dans le froid de la nuit ou la chaleur du soleil éclatant.

 

Il n'est pas un solide ancrage au port du bonheur, mais levée d'ancre et voyage en pleine mer, dans la brise ou la tempête.

 

Il n'est pas un OUI triomphant, énorme point final qu'on écrit en musique, au milieu des sourires et des bravos, mais il est multitude de « oui » qui pointillent la vie, parmi une multitude de « non » qu'on efface en marchant.

 

Ainsi être FIDÈLE, vois-tu, ce n'est pas : ne pas s'égarer, ne pas se battre, ne pas tomber, c'est toujours se relever et toujours marcher. C’est vouloir poursuivre jusqu'au bout, le projet ensemble préparé et librement décidé.

 

C'est faire confiance à l'autre au-delà des ombres de la nuit. C'est se soutenir mutuellement au-delà des chutes et des blessures. C'est avoir foi en l'Amour tout-puissant, au-delà de l'amour.

 

Michel Quoist (Petites douceurs pour le cœur, p. 36)

 

Savez-vous quand dire « je t’aime » à votre partenaire? Avant que quelqu’un d'autre ne le lui dise…

L'amour, une route*
L'amour, une route*

La blague du blog

 

Arthur a 90 ans. Il a joué au golf tous les jours depuis sa retraite, il y a 25 ans. Un jour, il rentre chez lui complètement découragé et dit à sa femme :

— C'est fini, j’abandonne le golf. Ma vue est rendue si mauvaise... Après que j'ai frappé la balle, je ne peux pas voir où elle va.
— Pourquoi n'amènerais-tu pas mon frère avec toi?
— Ton frère a 103 ans, répond Arthur, il ne peut pas m'aider.
— Il a peut-être 103 ans, dit sa femme, mais il a une vision parfaite!

Alors, le lendemain, Arthur se rend au terrain de golf avec son beau-frère. Il place sa balle sur le tee, s'élance, frappe puis cherche la balle au loin. Il se tourne vers son beau-frère :
— As-tu vu où est allée ma balle ?
— Bien sûr que je l'ai vue. Ma vision est parfaite.
— Excellent! Où est-elle ?
— M'en rappelle plus...

 

 

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5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 00:00



 

Un jour, un roi organisa un concours entre tous les artistes de son royaume. Il leur demanda d’illustrer la paix, à leur façon. Bien entendu, plusieurs essayèrent d’exploiter leur médium avec brio, mais le roi n’apprécia que deux toiles à leur juste valeur.

 

La première représentait un lac calme, miroir parfait pour les montagnes majestueuses disséminées autour. Au-dessus il y avait un ciel bleu avec quelques nuages blancs. Tous ceux qui voyaient cette peinture disaient que c'était l'image la plus représentative de la paix.

 

L'autre peinture comportait aussi des montagnes, mais elles étaient abruptes et rocheuses. Au-dessus, en relief, un ciel orageux avec de la pluie et des éclairs avaient été peints. Près de la montagne, on retrouvait une grosse chute d'eau. Apparemment, cela ne ressemblait en rien à la paix.

 

Le roi regarda attentivement cette toile et il découvrit derrière la chute un petit buisson qui avait poussé sur le rocher. Dans le buisson, une maman oiseau y avait bâti son nid et elle était nichée là, couvant ses œufs au milieu de tout ce tourbillon, en parfaite paix.

 

Le roi choisit cette toile et expliqua : « La paix ne signifie pas d’être à un endroit où il n'y a ni bruit ni trouble. Non! Être en paix veut dire d’être capable de se retrouver au milieu de toutes ces choses perturbantes et de ressentir tout de même du calme dans son cœur. »

 

Petites douceurs pour le cœur, p. 132

 

Si vous ne trouvez pas la paix à l'intérieur de vous, vous ne la trouverez jamais ailleurs.

Le sens de la paix*

Lecture complémentaire

 

Wayne Dyer explique ici les dix secrets du succès et de la paix intérieure qui, si vous les maîtrisez et les mettez quotidiennement en application, vous guideront aussi vers le même sentiment de sérénité. Vous apprendrez des leçons essentielles sur le détachement, le silence et l'estime de soi. En développant votre perception spirituelle, un autre monde s'ouvrira à vous. Vous ne serez plus la proie de vos colères ou de vos culpabilités. Chaque jour, l'inspiration vous accompagnera pour une vie lumineuse et heureuse.

Version PDF 

Le sens de la paix*

Témoignage

 

Bravo! Bravo! et encore Bravo! Un livre à garder ouvert et à regarder souvent. Le vitesse de la vie fait que nous n'avons pas toujours le temps de lire des livres volumineux. Ce livre peut se lire par petits bouts et nous donner des réponses simples. Merci Nicole et bonne chance! François Fortier, Île Bizard

Le sens de la paix*

La blague du blog

 

Un éléphant marche dans la jungle et renverse un nid de souris. Celles-ci, furieuses, lui courent après, montent sur son dos et essayent de le mordre.


Sentant une vague démangeaison, l’éléphant donne quelques coups avec ses oreilles et toutes les souris tombent par terre, sauf une à cheval sur son cou, les quatre pattes écartées. Et les autres crient : « Vas-y, étrangle-le. »

 

 

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29 janvier 2009 4 29 /01 /janvier /2009 00:00

 

 

 

Si je souffre du fait que quelqu'un ne m'aime pas suffisamment, ce n'est pas son manque d'amour qui me fait souffrir, c'est plutôt mon manque d'amour envers moi-même, c'est le manque de générosité que je m'accorde personnellement qui crée cette peine.

 

Ne sachant pas m'aimer suffisamment, j'en réclame auprès des autres; je m'invente des attentes qui ne seront jamais comblées. Je cherche cet amour à l'extérieur de moi. Cela signifie que mon amour pour moi-même est déficient.


 

Prends grand soin de toi car l'amour prend naissance en toi. Pour pouvoir le partager, tu dois d'abord le nourrir respectueusement sans t'apitoyer sur tes malheurs.

 

Accorde-toi tout l'Amour que Dieu lui-même t'accorderait, dans Son infinie bonté. Pardonne-toi tes erreurs. Donne-toi toujours une seconde chance comme celle que tu alloues aux autres. Sois patient avec toi-même et aime-toi avec compassion.

 

(Petites douceurs pour le cœur, p. 55)

 

Vous valez aux yeux des autres ce que vous croyez valoir à vos propres yeux.

L'amour prend naissance en soi*

Tomber en amour avec soi

 

Êtes-vous toujours en quête de l’âme sœur? Passez-vous votre temps à vous demander si vous aimez la bonne personne? Avez-vous perdu tout espoir de ne jamais tomber amoureux après des échecs répétés?

 

Il se pourrait qu’à votre insu, vous soyez à la recherche de vous-même, à la recherche de toutes ces parties de vous que vous avez perdues en chemin, ou que vous n’avez jamais découvertes. Il se pourrait que vous soyez à la recherche de votre âme.

 

Ce serait tellement une bonne nouvelle, car, enfin, votre errance serait finie, vous pourrez revenir chez vous dans votre propre cœur et, au sens fort des mots, tomber amoureux de vous-même. En fait, c’est seulement grâce à cette histoire d’amour avec soi, que nous devenons capable de rencontrer l’autre avec ses beautés et ses imperfections.

 

Continuez la lecture de ce merveilleux texte en cliquant ici.

L'amour prend naissance en soi*
La blague du blog

 

Le lave-vaisselle de Colette brise alors elle appelle un réparateur. Devant travailler le lendemain, elle lui précise : « Je laisserai la clé sous le paillasson. Réparez la machine, laissez la facture sur la table, je vous enverrai un chèque.  Au fait, ne vous inquiétez pas pour mon chien Fido, il ne vous fera aucun mal. Mais quoiqu’il arrive, ne parlez pas à mon perroquet. J’insiste bien : ne parlez pas à mon perroquet. »

Lorsque le réparateur arrive à l'appartement le lendemain, il est accueilli par un énorme chien qui n'a vraiment pas l'air commode du tout. Mais, comme Naomi avait dit, le chien est resté couché dans son coin sans se préoccuper du réparateur.

Le perroquet, par contre, le rend complètement dingue. Il crie sans arrêt, lance des jurons et le traite de tous les noms.

Au bout d'un certain temps le dépanneur, n'en pouvait plus, lui crie : «
Ta gueule, connard de volaille! »

E
t au perroquet de répondre : « Vas-y Fido, attaque! » 

 

 

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22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 00:00

 

 

Lorsque dans votre vie, rien ne va plus, que les problèmes tourmentent votre esprit et que l'angoisse vous envahit... Reposez-vous, s'il le faut, mais restez debout.

Lorsque tout votre univers menace de s'écrouler et que, fatigué, vous sentez la confiance vous abandonner... Reposez-vous, s'il le faut, mais restez debout.

Vous savez, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus, et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir ni combien d'obstacles nous devrons surmonter avant d'atteindre le bonheur et la réussite.

Combien de gens ont hélas cessé de lutter alors qu'un seul petit pas de plus aurait transformé un échec en réussite? Et pourtant, faire un pas à la fois n'est jamais trop difficile.

Vous devez donc avoir le courage et la ténacité nécessaires pour faire ce petit pas de plus, en affirmant que la vie est une grande et puissante amie, se tenant toujours à vos côtés, prête à vous porter secours.

Vous verrez alors que cette attitude appellera, du plus profond de vous-même, des forces de vie que vous ne soupçonniez même pas et qui vous aideront à réaliser ce que vous entreprendrez.

Alors, rappelez-vous bien ceci : « Quand, dans la vie, vous vivez des moments difficiles… Reposez-vous, s'il le faut, mais restez debout. » (Petites douceurs pour le coeur, p. 180)


 

Pensée de la semaine : Ce qui sauve, c'est de faire un pas et encore un pas...

Saint-Exupéry

Restez debout...*

N’arrêtez jamais de chanter !

 

Avez-vous déjà observé l’attitude des oiseaux face à l’adversité? Pendant des jours et des jours, ils font leur nid, recueillant des matériaux parfois ramenés de très loin. Et lorsqu’ils ont terminé et qu’ils sont prêts à déposer les œufs, les intempéries ou l’œuvre de l’être humain ou d’un quelconque animal le détruisent et envoient au sol ce qu’ils ont réalisé avec tant d’efforts.

Que fait l’oiseau? Il se paralyse et abandonne la tâche? En aucune façon. Il recommence encore et encore jusqu’à ce que les premiers œufs apparaissent dans le nid.

Parfois — très souvent — avant que naissent les oisillons, un animal, un enfant ou une tempête détruit une fois de plus le nid, mais cette fois avec son précieux contenu. Cela fait mal de recommencer depuis zéro.

Même ainsi, l’oiseau ne se tait jamais, ni ne recule; il continue de chanter et de construire.

Êtes-vous fatigué de recommencer, du gaspillage de la lutte quotidienne, de la confiance trahie, des buts non atteints alors que vous étiez sur le point d’y arriver?

Ne vous préoccupez pas si dans la bataille, vous recevez une blessure. Il faut s’y attendre. Réunissez les morceaux de votre espérance, reconstruisez-la et foncez de nouveau. Peu importe ce qui se passe… Ne faiblissez pas, allez de l’avant.

L
a vie est un défi constant, mais cela vaut la peine de l’accepter.  Et surtout… N’arrêtez jamais de chanter.

Restez debout...*
La blague du blog

Un petit garçon revient de l'école, vers 16 h. Sa mère. lui demande : « Qu'as -tu fait, ce matin à l'école?
— Ce matin , maman, j'ai li! »
Sa mère lui répond : « On ne dit pas J'ai li. On dit J'ai lu. Et, cet après-midi, qu'as tu fait?
— J'ai écru, maman!!!

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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