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29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 19:30






 

image-2013a.gifLe puits de Sainte-Brigitte

Près d'un vieux cimetière, sous un grand frêne, se trouvait une source appelée « Le puits de sainte Brigitte » et tenue pour sacrée pour ses propriétés minérales et curatives.


Le puits était autrefois très prisé. On l'utilisait comme un miroir afin de connaître le futur et de revoir le passé. Ceux qui buvaient son eau avant le lever du soleil, au printemps, croyaient qu'il donnait une grande connaissance. Ils l'appelèrent « le puits de la sagesse et de toute guérison ».


Le puits resta sec pendant plusieurs siècles après sa profanation. Puis, lorsque les Chrétiens arrivèrent et que sainte Bronach fut tuée par des pirates scandinaves à cet endroit fatal, une nouvelle source jaillit du sol.


Ensuite, chaque année, pour l'anniversaire du martyre de sainte Bronach, l'eau se mit à bouillonner, inondant les prés alentour. Des pèlerins vinrent de partout pour baigner leurs yeux et les parties douloureuses de leur corps, cette eau ayant la réputation de rendre jeune et beau, à condition de le faire à minuit, la veille de la fête de sainte Bronach.


Il y eut une fois, la veille de cette fête, un grand banquet dans les salons du château Rory afin de célébrer la victoire du chef Rory MacGuiness. À ce banquet, il y avait une fille appelée Blamha. Aveugle depuis la naissance, elle avait recouvré miraculeusement la vue, il y a deux ans, en baignant ses yeux dans l'eau du puits.


Toutefois, retrouver la vue l'obligea à se rendre compte de ce qu'elle avait jusque-là ignoré. Elle était laide et comprit bientôt pourquoi le jeune Rory MacGuiness ne pouvait supporter de la voir, alors qu'elle lui avait, en secret, accordé son amour. Blamha ressentit sa disgrâce encore plus amèrement cette nuit-là. Elle se lamentait sur son sort lorsque soudain, elle se souvint que c'était la veille de la fête de sainte Bronach et que l'eau du puits pouvait la rendre belle.


Elle quitta les joyeux salons du château Rory, résolue à implorer la sainte du puits afin que celle-ci lui donne la beauté ou à défaut, la rende à nouveau aveugle. Pour ce faire, elle s'agenouilla devant le puits et s'apprêta à baigner son visage lorsqu'elle vit, au-dessus du puits, une tablette lumineuse sur laquelle il était écrit : « Ce n'est pas nécessaire de se tremper le visage dans la source sacrée pour avoir de beaux traits. Sans avoir recours à cette eau, tu peux néanmoins être jolie car la beauté est, en réalité, l'âme qui brille dans les yeux. Pense à la beauté et admire-la en chaque chose : paysage, visage, fleur. Contrôle tes émotions, évite d'envier, de jalouser, de te plaindre, de te venger car ce sont les mauvaises pensées qui rendent les gens laids. Façonne ton corps grâce à ton esprit et tu acquerras de grandes qualités. Si tu agis ainsi, tout le monde t'aimera. »


À mesure que Blamha lisait, les mots s'effacèrent et la tablette disparut.


Elle se leva sans avoir baigné son visage. Ses yeux étincelaient et, sur sa figure, on pouvait lire un immense plaisir de vivre qui, jusque-là, lui avait été refusé. Le changement était évident. Le démon de la laideur avait laissé la place à la beauté. Dès lors, Blamha vécut comme on lui avait prédit. Elle devint de plus en plus belle et nombreux furent les prétendants qui demandèrent sa main. Son préféré restait toujours le jeune chef du château Rory et bientôt, il la demanda en mariage.



Pensée de la semaine : La beauté extérieure charme le regard ; la beauté intérieure charme le coeur.







Témoignage de mon livre d'or

Je suis très heureuse de découvrir votre site, qui apporte beaucoup d'espoir, réconfort et beaucoup de douceur. Le site est tellement riche que je n'ai pas encore découvert toutes ses pages, mais je suis certaine qu'il cache beaucoup d'autres trésors, donc je vous promets de revenir pour vous rendre visite... Je vous félicite vraiment pour ce merveilleux travail! Souheïla, Algérie

   vvv  







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« Souvent, une phrase suffit à éclairer une vie. »

Voilà qui résume bien l'essence même de ce livre qui regroupe à lui seul plus de 450 pensées, histoires et citations, toutes plus inspirantes les unes que les autres. Vous en ferez vite votre nouveau livre de chevet.

Charest, Nicole. Petites douceurs pour le coeur, Un monde différent, 2008

— Pour consulter la table des matières, cliquez ici.
— Pour profiter du rabais réservé aux abonnés,
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— Pour commander de l'Europe : Fnac Amazone ou Libre Entreprise.







    Chères partenaires, merci pour votre aide inestimable!    



                          








 

La blague du blog  

Jonathan entre dans la maison en pleurant.

      Qu’il y a-t-il mon chéri? demande sa mère.

      Papa s’est donné un coup de marteau sur le doigt.

      Il n’y a pas de quoi pleurer. Tu aurais même pu en rire.

      Mais maman, c’est ce que j’ai fait…



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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 19:15






 

C1 tome-2Il était une fois un serpent...

Personne n'osait passer par le chemin où un serpent venimeux avait élu domicile. Un jour, un sage suivit cette route. Les enfants qui gardaient alors les troupeaux se précipitèrent pour l'avertir.

« Je vous remercie, mes enfants, répondit le sage, mais je n'ai pas de crainte. D'ailleurs, je connais une formule secrète qui me protégera contre toute attaque. » Et il continua d'avancer.

Brusquement, le cobra se dressa devant lui mais, en approchant du saint homme, il se sentit soudain pénétré par sa douceur.

Le Sage, voyant le serpent, prononça la formule magique et le serpent s'écroula à ses pieds. Il lui demanda alors : « Mon ami, as-tu l'intention de me mordre? » Le serpent, stupéfait, ne répondit rien.

« Voyons, dit le sage, pourquoi fais-tu ainsi du mal à d'autres créatures? Je vais te donner une formule sacrée que tu répéteras constamment. Ainsi, tu apprendras à aimer et en même temps, tu perdras tout désir de faire le mal. » Et il lui murmura la formule à l'oreille.

Le serpent s'inclina en signe d'assentiment, puis rentra dans son trou pour y vivre d'innocence et de pureté, sans n'avoir plus jamais le désir de blesser un être vivant.

Au bout de quelques jours, les enfants du village voisin s'aperçurent de ce changement d'attitude et, pensant que le serpent avait perdu son venin, ils se mirent à le tourmenter, à lui jeter des pierres et à le traîner sur les cailloux. Le serpent, grièvement blessé, se laissa faire et alla se cacher dans son trou.

Quelque temps plus tard, le sage repassa par ce chemin et chercha le serpent, mais en vain.

Les enfants lui dirent que l'animal était mort, mais il ne put les croire. Il continua donc d'appeler le cobra. Finalement celui-ci, qui était presque réduit à l'état de squelette, sortit de son trou et s'inclina devant son maître.

« Comment vas-tu? demanda le sage.

— Fort bien, merci! Par la grâce de Dieu, tout va bien.

— Mais pourquoi alors es-tu dans cet état?

— Conformément à tes instructions, je ne cherche plus à faire de mal à aucune créature; je me nourris maintenant de feuilles. C'est pourquoi j'ai un peu maigri.

— Ce n'est pas le changement de régime qui a suffi à te mettre dans cet état : il doit y avoir autre chose. Réfléchis un peu!

— Ah oui! je me souviens : les petits bergers ont été un peu durs avec moi. Un jour, ils m'ont pris par la queue et m'ont fait tournoyer, me frappant contre des pierres. Ces pauvres petits ne savaient pas que je ne les mordrais plus! »

Le Sage répondit en souriant : « Pauvre ami, je t'ai recommandé de ne plus mordre personne, mais je ne t'ai pas défendu de siffler pour éloigner les persécuteurs et les tenir en respect! »


(Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 18)


Pensée de la semaine : Le sage respecte tout. Avant tout, il se respecte lui-même.







Témoignage de mon livre d'or

Je vous remercie très fort pour la qualité de votre site et pour vos newsletters qui sont chacune un baume pour le cœur. Vraiment, vous apportez beaucoup de bonnes choses à vos lecteurs. Je ne manque pas d'imprimer quelques-uns de vos textes pour les envoyer à mes enfants chaque semaine, tellement c'est beau. Encore merci. — Carole, Dole en France

   vvv  







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La blague du blog  

Un directeur d’usine fait venir son agent d’assurances.

      Je veux assurer tout mon matériel, ma machinerie; tout, contre le vol.

      Tout? Vous êtes bien sûr?

      Tout, même l’équipement de bureau… À l’exception des pendules, des horloges électriques.

      Tiens, pourquoi?

      C’est simple, on ne peut les voler, car mes employés ont toujours l’œil dessus.



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15 juillet 2009 3 15 /07 /juillet /2009 13:00





Chers Québécois et Québécoises,

Bonjour, c’est moi, la pluie. Je voudrais répliquer à la campagne de dénigrement que vous menez à mon égard. Je sais que vous me détestez depuis toujours, et encore plus que jamais. Ben savez-vous quoi ? Je suis encore plus tannée de vous autres que vous êtes tannés de moi !  C’est fort. Ça fait 400 ans que j’endure ; aujourd'hui, je déborde !

Je ne suis plus capable de vous entendre vous plaindre de moi : « Ah ! Pas encore de la pluie ! Maudite pluie ! Y fait pas beau ! » C'est quoi, ça, il ne fait pas beau ? C’est tout à fait subjectif.

Pourquoi le soleil, c’est du beau temps, et la pluie du mauvais temps ? Vous irez en Éthiopie, au 100e jour de sécheresse, voir s’ils trouvent qu'il fait beau. Laissez-moi vous dire que lorsque j’arrive là-bas, c'est moi, le beau temps.

Pourquoi êtes-vous en adoration devant le soleil ? Le soleil vous brûle, vous donne le cancer et vous tue. Vous êtes absurdes. Vous vous déshabillez quand il fait soleil et vous vous habillez quand il pleut ! Gros quotients !

C’est le contraire qu’il faut faire. Le soleil, c’est du feu. La pluie, c’est de l’eau. Vous habillez-vous pour prendre votre douche ? Votre peau aime l’eau. Votre peau haït le feu. Vivez en harmonie avec votre corps. Quand il pleut, au lieu de vous couvrir et de vous réfugier dans la maison, enfilez votre maillot et venez dehors.
Pas besoin de crème et d’indice de protection. Vous n’êtes jamais autant en sécurité dehors que lorsqu'il pleut. Bien sûr, un éclair peut venir vous chatouiller un peu. Mais là, pas besoin d’avoir peur, franchement ! Avez-vous déjà gagné à Loto-Québec ? Non ? Ben vous ne serez pas foudroyé non plus.

J'ai un cœur, moi aussi. Comment pensez-vous que je me sens quand j’entends quelqu'un dire : « On a une saison pourrie, il pleut tout le temps. » C'est pas parce qu’il pleut qu’on ne peut pas avoir une saison merveilleuse.

Quand on tombe amoureux, on dit qu'on a un coup de foudre, pas un coup de soleil. Le coup de soleil, ça vous rend rouge comme un homard, puis vous pelez pendant deux semaines. Le coup de foudre vous rend heureux et léger.

Pourtant, vous chantez le soleil : « Soleil ! Soleil ! » Vos grands poètes écrivent même des odes à la neige : « Ah ! Que la neige a neigé... » « Mon pays, c'est l'hiver. » Pour moi ? Rien. À part une toune de Vilain Pingouin. Rien pour remonter un ego. Voulez-vous bien me dire ce que je vous ai fait pour que vous aimiez même la neige plus que moi ? C’est du racisme !

Après que je sois tombée, vous n’avez rien à faire. Vous allez dehors et vous sifflez. Pas de pelletage, pas de millions à dépenser pour tout ramasser avec des camions. Niet. Votre gazon est plus beau. Et l'air sent meilleur. Mais pas le moindre merci. Pas la moindre poésie.

Je suis tannée des petites météorologues qui parlent de moi comme si j’étais la peste ou Ben Laden : « On ne vous dira pas ce qui s’en vient pour la fin de semaine !  C'est effrayant ! Faut surtout pas que vous soyez fâchés contre moi. Je n'y suis pour rien ! »

On le sait bien, que tu n’y es pour rien. T'es pas Zeus !  T'es juste une jolie fille qui lit des cartons. La pluie est un effet spécial qu’aucun Stephen Spielberg n'est capable de reproduire. Au cinéma, parfois, ils font pleuvoir sur un coin de rue, et ça leur coûte un bras ! Wow ! Moi, je suis capable de pleuvoir de Gaspé à Gatineau ! Pour pas une cenne ! Profitez-en au lieu de gueuler ! Y’a juste Gene Kelly qui a compris qu'on peut avoir du fun sous la pluie. Si toutes les belles filles se promenaient en costume de bain quand il pleut, il y aurait plus de gars sur les terrasses les jours de pluie que les jours de soleil.

Ça va faire ! Le monde change, ben vous allez changer. Le virage vert, vous allez le prendre pour vrai. Vous n'arrêtez pas de dire que vous êtes verts et vous déprimez quand il pleut. C'est pas logique. Qu'est-ce qui rend la planète verte ? Moi ! La pluie ! Le soleil la rend jaune caca. 

Le réchauffement de la planète, ça ne sera pas ma faute à moi, ça va être la faute du soleil que vous aimez tant. Vous allez disparaître à cause du soleil, pas à cause de la pluie !

Avant, vous aimiez le soleil, maintenant vous allez aimer la pluie. Le beau temps, ça va être moi. Le mauvais temps, ça va être lui. Sinon, je m'en vais. Ou plutôt, je reste !

Avez-vous compris une fois pour toutes... ?

 

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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 19:00







Veuillez noter que durant l'été, La petite douceur sera publiée aux 2 semaines et vous offrira
une version « un peu plus légère ». Les nouveautés et autres reviendront le 10 septembre.
Merci de votre fidélité, de vos témoignages et de votre aide à faire connaître mon site.


 

C1 tome-2Le mineur

Il était une fois un mineur qui travaillait à la sueur de son front pour gagner sa vie et le pain de sa famille. C'était un homme respectueux, aimant, travaillant, pieux…

Par contre, en regardant dans son entourage, il s'aperçut qu'il y avait des choses qui se passaient et qu'il n'avait aucun pouvoir pour les changer. Cette pensée a fini par le hanter continuellement en lui laissant un sentiment de faiblesse face à ce qui se passait. Ne trouvant aucune réponse à sa question, il finit par croire qu'il était inutile.

À chaque prière du soir, il demanda à son Dieu pourquoi il en était ainsi. Une bonne nuit, devant l'insistance de cet homme, Dieu lui donna un cadeau. C'était un rêve. Dans ce rêve, le petit mineur était devenu le soleil. Grand et fort, il était au-dessus de tout, éclairant et réchauffant tout sur son passage. Il était utile. Soudain, un nuage passa et bloqua ses rayons. 

« Comment est-ce possible? Les nuages seraient-ils plus forts que le soleil? Je veux être nuage. »

Aussitôt dit, aussitôt fait! Le voici en nuage, bloquant les puissants rayons du soleil. Il était utile.

« Que se passe-t-il? Je change de place contre mon gré. C'est le vent, constata-t-il. Est-ce possible qu'il soit plus puissant que les nuages? Je veux être vent. » 

A
ussitôt dit, aussitôt fait! Soufflant avec vigueur, il déplaçait les nuages, agitait l'océan, faisait tourner les moulins. Il était utile. Soudain, une montagne le fit dévier de sa trajectoire. 

« Est-ce possible? Une montagne plus puissante que le vent? Je veux être montagne. »

Aussitôt dit, aussitôt fait! Le voici en montagne, résistant aux vents et marées. Il était utile. Soudain, il sentit un malaise venant de son intérieur et demanda à Dieu ce qui se passait.

« Ton mal? Il y a des mineurs qui te rongent les entrailles et bientôt, tu disparaîtras, chère montagne. »

C'est à ce moment que le mineur se réveilla. Il était maintenant convaincu qu'il était utile, car il pouvait, avec l'aide de ses pairs, déplacer des montagnes qui laisseront place au vent, qui déplacera les nuages qui bloquent le soleil. Il n'est pas nécessaire d'être au sommet pour faire bouger les choses. À chaque niveau de la vie, nous avons une influence sur ce qui nous entoure. Il s'agit d'y croire.


(Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 46)


Pensée de la semaine : Chacun a ses talents, ses aptitudes... Chacun peut créer des œuvres à sa mesure.







Témoignage de mon livre d'or

Merci Nicole de nous transmettre tes précieux messages d’amour inconditionnel et merci surtout pour ta détermination à toujours poursuivre sur cette belle route de la lumière. Tes messages font de la magie dans nos vies et arrivent toujours au bon moment. Tes cartes ont rendu tant de personnes heureuses et ont accompagné bien des deuils. Merci de ton amitié et ne lâche surtout pas. Nous avons tellement besoin de belles âmes comme toi présentement.
Claire Ouellette, Ste-Adèle

   vvv  







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« Souvent, une phrase suffit à éclairer une vie. »

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Charest, Nicole. Petites douceurs pour le coeur, Un monde différent, 2008

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La blague du blog  

Un homme habitant un petit village prend tous les matins le même autobus pour se rendre au travail.
Un jour, un inconnu s'installe debout à côté de lui. Après quelques minutes à le dévisager, il lui dit : « Cocu, Cocu ». Notre homme est un peu mal à l'aise mais ne s'en fait pas trop avec ça.

Le lendemain, le même individu se réinstalle debout à côté de lui et lui dit : « Cocu, Cocu ». L'homme commence à être un peu désespéré.

De retour à la maison, il décide d'en parler à son épouse. Elle le rassure en lui disant que c'était probablement un être frustré par sa vie sexuelle et qu'il devait être envieux de celle des autres.

Le lendemain, notre homme maintenant rassuré reprend l'autobus et le même individu s'installe debout à côté de lui. Il lui dit :

« Cocu, Cocu ...et placotteux en plus!!! »



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17 juin 2009 3 17 /06 /juin /2009 20:00







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C1 tome-2La maison intérieure

Elle était jolie cette maison que j'habitais depuis tant d'années. Son toit brun, ses deux grandes fenêtres au travers desquelles on pouvait voir presque tout ce qui se passait à l'intérieur, mais... je ne m'y sentais pas bien.

Bien sûr, dans mon enfance, je ne voyais pas bien cet intérieur. Je ne me préoccupais pas de l'enjoliver, ni d'apprécier ses beautés. Pendant longtemps, j'y étais presque insensible, j'y vivais par habitude.

Lorsque quelqu'un me faisait remarquer qu'une décoration était plus ou moins jolie, je n'y portais pas attention ou plutôt, je ne voulais pas y porter attention. Je la cachais ou bien je ne la regardais plus, mais tôt ou tard, cette décoration refaisait surface par je ne sais quelle magie.

J'y vivais comme un automate. Lorsque quelqu'un me complimentait sur une pièce particulièrement agréable ou même de grand prix, je rougissais, disant que ce n'était rien sinon qu'une illusion. Puis un jour, cette maison qui m'était auparavant si familière me devint tout à coup, je ne sais pour quelle raison, inhabitable. Je la détestais, je la fuyais, je ne lui trouvais plus rien de beau. Elle me faisait mal et je lui faisais mal. Je la sentais comme hantée, habitée d'une maladie que je croyais incurable. J'avais beau fuir, cette maison me suivait. J'aurais voulu la démolir.

Je la voyais si laide que je pensais qu'elle n'avait plus le droit d'exister. Longtemps, je lui ai fait mal, jusqu'au jour où, sur mon chemin, j'ai croisé des décorateurs, des spécialistes en intérieur. Je les ai fait entrer dans ma maison que je trouvais si laide et qu'ils ont trouvée si belle.

Ils m'ont fait ressortir les plus belles décorations que j'avais cachées au plus profond du sous-sol. En plus de les avoir oubliées, lorsque je les ai ressorties, j'ai eu peine à croire que m'avaient déjà appartenu ces petites choses qui rendent la vie si belle.

Puis, je me suis mise au travail et avec l'aide de ces décorateurs hors pair, j'ai fini par trouver de belles choses. J'ai enfin pu accepter de les accrocher bien en vue, non pas pour les montrer aux autres dans le but de faire envie, mais bien plus pour les voir et les admirer moi-même. Quelle satisfaction que de redécouvrir la beauté!

Cette maison n'a pas d'adresse et ne coûte pas un sou à chauffer. J'y habite seule, mais j'y ai beaucoup de visites puisque maintenant, je laisse les portes ouvertes. J'ai jeté le cadenas qui les a maintenues fermées si longtemps...

Cette maison n'a pas d'adresse, mais elle a un nom, elle s'appelle : MOI... Eh oui! Cette maison que j'ai détestée et à laquelle j'ai fait si mal, c'était moi. Je me suis longtemps crue pleine de défauts et dépourvue de toute qualité. Grâce à ces gens qui ont croisé mon chemin, j'ai réappris à m'aimer et à décorer mon intérieur. Je ne fais que commencer.

Ça prend beaucoup d'efforts et de volonté, mais l'espoir que ces décorateurs m'ont donné m'apporte énormément de courage. Je souhaite que lorsque j'aurai enfin terminé mon grand ménage et qu'à nouveau, je me sente bien dans ma maison, je devienne moi-même décoratrice afin d'aller aider d'autres personnes qui n'aiment pas leur maison à y redécouvrir les beautés cachées.

Je ne fais que commencer. La route sera longue, mais bien entourée, elle me semblera plus facile.

(Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 158)


Pensée de la semaine :
Le voyage le plus long est le voyage vers l'intérieur, car celui qui a choisi cette destinée vient de commencer sa quête vers la source de son être.







Témoignage de mon livre d'or

Merci NICOLE pour ce site merveilleux et si réconfortant. Je le découvre chaque jour et l'apprécie de plus en plus. Les moments passés sur votre site m'apportent une grande sérénité et j'ai l'impression de partager quelque chose de très beau avec vous. BRAVO NICOLE ET UN GRAND MERCI pour tant de délicatesse et de tendresse de votre part et ce bonheur que vous m'apportez.Marie-Thérèse, France

   vvv  







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La blague du blog  

Les enfants attendaient en rangs pour dîner dans la cafétéria d'une école catholique élémentaire. Au bout de la table, se trouvait une grosse pile de pommes. La religieuse avait placé cette note sur le plateau : « N'en prenez qu'une seule, Dieu vous surveille. »

Un peu plus loin, à l’autre bout du comptoir, se trouvait une grosse pile de biscuits aux brisures de chocolat. Et là, il y avait une note griffonnée par une main d'enfant : « Prenez-en tant que vous voulez, Dieu surveille les pommes. »



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17 juin 2009 3 17 /06 /juin /2009 19:59



Avant de publier Petites douceurs pour le coeur,
je produisais un recueil de textes intitulé Histoire de réfléchir...

Chaque recueil contient 150 pages, reliées avec une spirale (format : 7" x 8,5").

Environ 75% des textes se retrouvent dans mon présent livre.
Quant aux textes qui n'y figurent pas, je vous en présenterai quelques-uns cet été.
À noter qu'il inclut 
les meilleures pages de mon autre recueil Semences (voir ci-dessous).

Il me reste encore une cinquantaine d'exemplaires à écouler à un prix vraiment dérisoire :
10 $ incluant les frais de poste (Québec seulement).

Pour vous en procurer un, veuillez svp m'envoyer un courriel
avec vos coordonnées et je communiquerai avec vous.



 






Voici mon premier ouvrage...

En 1998, j'ai suivi un cours de dynamique du pouvoir mental et j'ai adapté celui-ci pour les jeunes.

Vous y trouverez des moyens concrets pour les aider à mieux se connaître et à actualiser leur potentiel.

Ces quelques 61 pages sauront apporter de nouvelles ressources aussi bien aux parents qu'aux professeurs d'enseignement moral, religieux. À consulter aussi : suggestion d'ateliers pour l'adulte accompagnateur.



Semences - Nicole Charest - 1998 - 61 pages

















Suggestion d'ateliers
pour l'adulte accompagnateur
 

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 20:04

Le train de la vie

La vie est comme un voyage dans un train : on monte et on descend; il y a des arrêts, des imprévus, des retards, des pannes, des accidents, …

Quand on naît et qu'on monte dans le train, nous rencontrons des personnes qui, croyons-nous, resteront avec nous pendant tout le voyage : ce sont nos parents. Malheureusement la vérité est toute autre car il arrive qu’ils descendent dans une gare plus rapprochée, sans nous prévenir de cette sortie subite…

Il y a d'autres personnes qui montent à bord et dont la présence sera déterminante : ce sont nos frères et nos sœurs, nos amis, nos proches. Quand certaines d’entre elles descendent, elles laissent en nous une nostalgie pour toujours.

D'autres montent et descendent tout de suite. C’est à peine si nous avons le temps de les croiser et de les connaître. Et d’autres qui, épuisés par le voyage, veulent prématurément sortir du train...

Parfois, on s’étonne de voir que certains passagers que nous aimons, s'assoient dans un autre wagon. Ils nous laissent voyager seul et ce, même s’ils savent que nous les cherchons partout dans le train. Et quand nous les retrouvons, la place à côté d’eux est déjà prise…

Le grand mystère du voyage est que nous ne connaissons pas le moment où nous descendrons du train pour toujours, pas plus que nous ne connaissons celui de nos compagnons de voyage ou même, de celui qui est assis juste à côté de nous.

Essayons donc de faire le plus beau voyage possible, de partager nos différentes découvertes, d’égayer mutuellement notre trajet et surtout, de nous entraider quand nos bagages deviennent trop lourds…

Pour ma part, quand je quitterai ce grand train de la vie, oui, je serai triste. Par contre, je serai en paix car j’aurai fait mon possible pour être un bon compagnon de voyage...


Texte non inclus dans Petites douceurs pour le coeur.


Pensée de la semaine : Chaque personne que je rencontre, c'est Dieu habillé d'une façon différente.







  Nouveautés dans « LE COFFRE AUX TRÉSORS* »

LE FILM « HOME » - Si la situation de la planète vous préoccupe...
L'amour*
Alzeihmer*
Je suis* 






Comment reconnaître la nuit du jour?

Un professeur demande à ses étudiants : «
 Comment reconnaître le moment où la nuit s'achève et le jour se lève?

Lorsque l'on peut distinguer un mouton d'un loup, répondit un étudiant.

Non, ce n'est pas la réponse, dit le professeur.

Quand on peut faire la différence entre un figuier et un olivier, suggéra un autre.
Non, ce n'est pas la réponse, dit le rabbin.

Alors comment, demandèrent les étudiants en chœur?

Au moment où, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin.
»

  









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Charest, Nicole. Petites douceurs pour le coeur, Un monde différent, 2008

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Diaporama Coup de coeur 

Réflexions de clowns...
 :
Une musique entraînante, 21 pensées inspirantes, des images amusantes, voilà de quoi débuter l'été sur le bon pied...

Cliquez ici pour la suite de ce beau diaporama







 

La blague du blog

Toto va voir sa maman :

— Maman, Maman... je me suis fait mal !

— Où ça ?

— Là-bas !

 

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 20:02



 

Les mots « Je suis... » sont puissants.
Prenez garde aux mots qui remplaceront les points de suspension.
Les choses que vous réclamez trouveront le moyen
de venir
jusqu'à vous
et de vous réclamer. 
A.L. Kitselman

 

 

Je suis architecte. J'ai construit des fondations solides, et chaque année que je passe à l’école ajoute un nouvel étage de sagesse et de savoir.

Je suis sculpteur. J'ai façonné mes principes et mes valeurs dans l'argile du bien et du mal. 

Je suis peintre. Chaque fois que j'exprime une idée personnelle, j'ajoute une teinte nouvelle à l'arc-en-ciel.

Je suis scientifique. Tous les jours, je recueille des données, je fais des observations importantes et j'expérimente de nouveaux concepts.

Je suis astrologue. Je lis et j'analyse les lignes de vie de chaque personne qui entre dans ma vie.

Je suis astronaute. J'explore et j'élargis sans cesse mes horizons.

Je suis médecin. Je guéris ceux qui me demandent conseil et j'apporte vitalité à ceux qui ont perdu le goût de vivre.

Je suis avocat. Je n'ai pas peur de défendre les droits fondamentaux et incontournables de ma propre personne et de tous les autres.

Je suis policier. Je me soucie du bien-être des autres ; je suis toujours sur place pour prévenir les bagarres et maintenir la paix.

Je suis enseignant. Par mon exemple, les autres apprennent l'importance de la détermination, du dévouement et du travail.

Je suis mathématicien. Je m'assure d'apporter la solution correcte à chacun de mes problèmes.

Je suis détective. Je garde un regard perçant, à la recherche du sens de la vie et de ses mystères.

Je suis membre d'un jury. Je juge les autres et leurs situations seulement après avoir entendu et compris toute leur histoire.

Je suis banquier. Les autres partagent avec moi leur confiance et leurs valeurs et tous y trouvent leur intérêt.

Je suis hockeyeur. Je surveille sans cesse ceux qui veulent bloquer mon but et je les déjoue.

Je suis marathonien. Je suis énergique, je veux bouger et relever des défis.

Je suis alpiniste. Lentement mais sûrement, je grimpe vers le sommet.

Je suis funambule. Je fais attention de garder mon équilibre lorsque je traverse des périodes houleuses, afin de toujours me rendre de l'autre côté.

Je suis millionnaire. Mes coffres sont pleins d'amour, de sincérité et de compassion ; le savoir, la sagesse et l'expérience que je possède sont inestimables.

Mais, le plus important, je suis moi.


Note des éditeurs : Avez-vous remarqué à quel point les gens vous demandent souvent ce que vous faites ou ce que vous ferez plus tard ? Pour tous ceux qui ont souffert de ne pas avoir accompli ce qu'ils rêvaient de faire, vous trouverez dans l'histoire qui suit la vraie réponse. Ne l'oubliez pas la prochaine fois que quelqu'un vous dira : « Oh ! Vraiment ? Eh bien ! Il n y a pas de mal à gagner sa vie à faire des hamburgers. Vous devriez être fier. »


Amy Yerkes — Extrait de Bouillon de poulet pour l’âme des ados.

 

Être « diplômé de la vie », n’est-ce pas là une grande fierté ?
Au fait, combien de diplômes avez-vous?...

 

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 20:01









































































Si ce sujet vous intéresse, consultez aussi ce
bulletin-ci. 



Alzheimer


Les souvenirs sont des trésors
Qu'on garde en soi jusqu'à sa mort.
Ils nous éclairent dans la nuit
Meublent nos esprits quand on est seul
Refont revivre nos aïeuls
Et donnent un sens à notre vie.

C'est grâce à eux qu'on revivra
Les meilleurs moments d'autrefois
Et qu'on revoit de vieux amis
Comme s'ils n'étaient jamais partis.

Certains souvenirs peuvent blesser
Et donner envie de les oublier
Mais ils permettent aussi d'éviter
Les pièges déjà rencontrés.

Que ferions-nous sans souvenirs ?
Sans mémoire pour nous définir ?
Pourtant de plus en plus de gens subissent ce calvaire
De ce mal qu'on nomme Alzheimer.

Juste un instant, essayez d'imaginer
Que vous oubliez ceux que vous aimez,
Que tous vos gestes quotidiens
Pour vous ne signifient plus rien ?

Difficile à imaginer, n'est-ce pas ?
C'est pourtant la réalité.
Et le cruel destin
Que doivent endurer certains.

Ils ne sont pas seuls à souffrir
De voir sombrer leurs souvenirs,
Leurs proches aussi sont affligés
Mais cachent leurs larmes pour les respecter.

Ils gardent leur chagrin en eux,
Car chaque mot devient un Adieu,
En espérant chaque fois, qu'au dernier moment.
Cette personne qu'ils aimaient tant
Se souviendra et ne gardera que le meilleur,
Gravé dans la mémoire de son cœur.

 

(trouvé sur le merveilleux site Chez Maya)


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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 20:00


Si je vis dans une maison impeccable où tout est parfaitement rangé, mais sans espace pour l'amour, je suis une femme de ménage, non une femme d'intérieur.

Si j'ai du temps pour cirer, polir et décorer mais pas d'amour, mes enfants apprennent la propreté plutôt que la pureté.

L'amour abandonne la poussière, en quête de rires d'enfants.

L'amour sourit à la vue des petites empreintes de mains sur la vitre fraîchement lavée.

L'amour essuie les larmes avant d'essayer le lait renversé.

L'amour prend un enfant dans ses bras avant de ramasser les jouets.

L'amour reste présent à travers les épreuves.

L'amour réprimande, blâme et écoute.

L'amour nage avec le bébé, marche avec le bambin, court avec l'enfant puis s'écarte pour permettre à l'adolescent de passer à l'âge adulte.

L'amour est la clé qui ouvre le coeur d'un enfant et y dépose un message d'espoir.

Avant d'être mère, j'étais très fière de ma maison entretenue à la perfection. Maintenant je suis très fière de la perfection de Dieu qui habite mon enfant.

En tant que mère, j'ai beaucoup de choses à enseigner à mon enfant mais la plus importante de toutes, c'est l'amour.

Jo Ann Merrill

Source : Laz, Médard. L'amour, le chocolat du coeur, Les Éditions AdA Inc.

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 19:59


Cliquez sur l'image pour le  visionnement

Nous vivons une période cruciale. Les scientifiques nous disent que nous avons 10 ans pour changer nos modes de vie, éviter d'épuiser les ressources naturelles et empêcher une évolution catastrophique du climat de la Terre.

Il faut que chacun participe à l'effort collectif et c'est pour sensibiliser le plus grand monde que j'ai conçu le film HOME.

Afin de diffuser ce film le plus largement possible, il fallait qu'il soit gratuit. Un mécène, le groupe PPR, a permis qu'il le soit. EuropaCorp, qui en assure la distribution, s'est engagé à ne faire aucun bénéfice car HOME n'a aucune ambition commerciale.

J'aimerais que ce film devienne aussi votre film. Partagez-le. Et agissez.

Yann Arthus-Bertrand


 

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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 20:04
 

Chaque être est un maître pour l'autre

Aucun être n'arrive par hasard sur notre route. Chaque être, même le plus modeste et même le plus difficile, le plus mauvais, a quelque chose à nous apprendre et peut nous aider à forger notre caractère et à développer en nous le principe d'amour.

En ce sens, chaque être est un maître pour l'autre. Et tant que nous avons des conflits avec une personne, tant que nous ne sommes pas en harmonie avec elle, c'est qu'elle a encore quelque chose à nous apprendre, c'est que nous devons travailler, à son contact, un aspect de notre caractère.

Devant chaque conflit, devant chaque contrariété, que ce soit au travail ou en amour, il faut s'habituer à se poser la question : « Qu'est ce que cette situation, qu'est ce que cet être est venu m'apprendre? Pourquoi est-il sur ma route à ce moment de ma vie? »

Et lorsqu'on trouve la réponse, une nouvelle leçon est apprise, une nouvelle marche est gravie dans l'escalier infini de la sagesse… Et la difficulté, devenue inutile, disparaît instantanément…

Mais nous ignorons cette loi pourtant simple, nous ne tenons pas compte des autres, parce que nous manquons d'humilité et que nous sommes aveuglés, comme si nous nous promenions dans la vie avec, devant nous, un miroir dans lequel nous nous contemplons stérilement et qui nous empêche de voir les autres…

C'est pour cela que la plupart des gens sont persuadés qu'ils sont les seuls à avoir raison, que tous les autres ont tort…

Pour cette raison, il n'y a à peu près jamais de vraie conversation, et tous les êtres restent solitaires, enfermés dans leur propre filet mental. Par conséquent, les guerres, petites et grandes, se perpétuent à travers les siècles… Parce que personne ne veut prendre le temps de marcher dans les souliers d'un autre avant de juger… — Marc Fisher

Source : Très beau blog Émergence du coeur


Pensée de la semaine : Savoir se mettre au niveau des autres; voilà l'essence même de la vraie grandeur.







  Nouveautés dans « LE COFFRE AUX TRÉSORS* »

Le film Home - Si la situation de la planète vous préoccupe...
L'histoire de Katie et Nick*
La vie est un buffet*
L'huître*






La sagesse

Il faut s'incliner devant tout être qu'on rencontre, parce que chaque être est unique et possède une coupe qui contient la sagesse de son expérience.

Si je me place au-dessus de l'être que je rencontre, il ne peut déverser dans ma propre coupe le vin de la sagesse. Si au contraire je m'incline, sa sagesse se déverse naturellement en moi, par une sorte de loi de la gravité spirituelle. C'est ce que, dans le grand public, on appelle être à l'écoute des autres ».

  









Cliquez sur l'image 

« Souvent, une phrase suffit à éclairer une vie. »

Voilà qui résume bien l'essence même de ce livre qui regroupe à lui seul plus de 450 pensées, histoires et citations, toutes plus inspirantes les unes que les autres. Vous en ferez vite votre nouveau livre de chevet.

Charest, Nicole. Petites douceurs pour le coeur, Un monde différent, 2008

— Pour consulter la table des matières, cliquez ici.
— Pour profiter du rabais réservé aux abonnés,
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— Pour les personnes qui ne sont pas abonnées,
cliquez ici.
— Pour commander de l'Europe : Fnac Amazone ou Libre Entreprise.







Témoignage de mon livre d'or

Bien chère Nicole,

En parcourant quelques pages de ton livre, je constate que j'ai un petit bijou entre les mains. Merci de partager ces textes et réflexions sublimes. À différentes étapes de notre vie, nous avons tous besoin de puiser à la source. Et quelle source que ce livre ! Rempli de tendresse, d'amitié et d'amour. Jour après jour je découvre ton site. Que de merveilles s'offrent à moi ! Merci ! Merci ! — Rose-Marie Morin, Laval







 

La blague du blog

Le père : Trouvez-vous que mon fils me ressemble ?

L'ami : Oui, mais ce n'est pas grave; d'abord qu'il est en bonne santé.


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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 20:03




Aujourd'hui, laissez-moi vous raconter
L'histoire d'une huître infortunée.
Un jour, elle vit qu'un peu de sable
Dans sa coquille s'était infiltré.

Oh! Ce n'était qu'un grain minuscule,
Mais il lui causait un grand tourment.
Car, voyez-vous, aussi placides soient-elles,
Les huîtres ne sont pas dénuées de sentiments.

L'huître décida-t-elle de maudire
Ce destin peu enviable
Qui la mettait ainsi sans prévenir
Dans un état si lamentable?

Se mit-elle à blâmer le gouvernement?
À exiger des élections?
À reprocher à l'océan,
De ne pas lui avoir accordé protection?

Non, se dit-elle après y avoir pensé,
Allongée dans son humble logis.
Si ce grain de sable est là pour rester,
Alors à moi d'en tirer profit.

Après des mois et des années
De vie commune avec le grain,
L'huître rencontra enfin sa destinée :
On la pêcha en vue d'un grand festin.

Et le minuscule grain de sable,
Qui lui avait causé tant de tracas,
Était devenu une magnifique perle
Qui brillait maintenant avec éclat.

La morale de cette histoire,
C'est qu'il est étonnant de constater
Ce qu'une huître a le pouvoir de faire
Avec un grain de sable qui s'est imposé.

Pensez à tout ce que vous pourriez accomplir,
En faisant preuve de bonne volonté,
Si vous décidiez d'embellir
Ce que vous voyez comme des contrariétés.



Auteur inconnu. Source : Bouillon de Poulet pour l'âme des ados

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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 20:02



Il était une fois un homme très en appétit, qui cherchait un endroit pour soulager cette faim qui le tenaillait. Après avoir cherché longtemps, il découvrit enfin sur sa route un restaurant qui l'inspira beaucoup par son menu élaboré et appétissant exposé à l'extérieur.

Ravi, il entra dans l'établissement, s'assit à une table, relut attentivement le menu, décida ce qu'il mangerait et attendit fébrilement qu'on le serve.

Il observa tout autour de lui des gens qui dégustaient des plats, tous plus alléchants les uns que les autres. Il avait très hâte de manger et se demandait où étaient les serveurs. Il attendit... attendit... et finit par s'impatienter.

En colère contre les responsables de l'établissement, il frappa sur la table avec ses poings pour attirer l'attention. Il ne comprenait pas qu'on puisse l'ignorer ainsi.

Soudain, en observant davantage ce qui se passait autour de lui, il se rendit compte qu'il y avait un buffet... Que tout était étalé sur les tables, mais qu'il devait se lever et aller se servir...

« Eh oui! La vie est un buffet! Tout est là pour vous, tout près... à votre portée. Mais il faut vous lever et aller le chercher... »


Source : LeBon, Violette. Le secret de la prospérité : la spiritualité, Les Éditions Québécor, 2007.

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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 20:00



Son nom est Katie Kirkpatrick, 21 ans. Près d'elle se trouve son fiancé, Nick, 23ans.
Cette photo a été prise avant leur mariage, le 11 janvier, 2005.
Katie avait le cancer et était en phase terminale et elle passait des heures en chimiothérapie. Ici, Nick attend pendant qu'elle termine une session...


Cette touchante histoire a été trouvée sur le site conçu par Wilda,
arrière-grand-maman de Janica, cette jeune femme de 27 ans décédée
quelques mois après avoir donné naissance à 2 petites jumelles.
Je vous invite à découvrir son
très beau site.




Cliquez sur l'image pour lire la suite de l'histoire...

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Bienvenue Sur Mon Blog!

  • Nicole Charest
  • Passionnée par tout ce qui touche la psychologie, la spiritualité, la communication et l'écriture, je viens partager avec vous une panoplie de textes de ressourcement, d'outils de développement personnel et de diaporamas inspirants.
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