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7 juillet 2010 3 07 /07 /juillet /2010 17:01

 

 

Quelques chasseurs, obligés de quitter subitement leur campement, le laissèrent sans surveillance, oubliant, dans leur précipitation, une bouilloire d'eau qui bouillait sur le feu.

 

Bientôt, un vieil ours sortit du bois, attiré par la flamme. Aperçevant la bouilloire dont la vapeur faisait danser le couvercle, il s'en saisit.

 

Naturellement, il se brûla cruellement. Mais au lieu de la lâcher aussitôt, voulant se défendre, il la serra contre lui, cherchant à l'étouffer. Or, plus il la serrait, et plus la brûlure était profonde et douloureuse. C'était un cercle vicieux, pour le plus grand dam de ce pauvre ours.

 

Ceci illustre parfaitement la façon dont bien des gens aggravent leurs difficultés. Ils les serrent sur leur coeur en ne cessant d'y penser et d'en parler aux autres, les examinant sous toutes leurs faces, au lieu de les laisser tomber une fois pour toutes, afin de guérir les blessures qu'elles ont causées.

 

Alors chaque fois que vous vous prenez à ressasser vos peines, dites-vous sévèrement : « Ne fais pas comme l'ours ! »

 

Fox, Emmet. Évidences - Les lois de la vie et leur application, Éditions Astra, 1992
 

Plus on plaint les gens, plus ils se croient à plaindre.

Charlotte Savary

L'ours et la bouilloire*
L'ours et la bouilloire*

La blague du blogue

 

La femme à son mari : « Alors ?... Que t'a conseillé le médecin lorsque tu lui as expliqué qu'il t'arrivait de perdre la mémoire ?

– Il m'a demandé de payer d'avance ! »

 

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17 juin 2010 4 17 /06 /juin /2010 06:50

 

 

 

Que fait-on lorsqu'on veut faire éclore un œuf ? On le maintient pendant le temps voulu à la bonne température. Chacun sait que les framboises ne poussent pas en hiver, à moins qu'on ne les cultive en serre. Chacun sait également qu'un poisson d'eau douce ne peut vivre dans l'eau de mer.

 

De ces constatations, que l'on peut multiplier, nous tirons cette conclusion : rien, en ce monde, ne peut se manifester à moins d'être dans un climat favorable. 

 

Chaque fois que je fais pour la millionième fois une constatation de ce genre, je m'apitoie sur la sottise de notre moi-moi-moi. Nous sommes à même d'étudier le livre de la nature, d'y recueillir les leçons de sagesse les plus fructueuses et nous vivons en aveugles au Pays des Merveilles !

 

Ce climat, cette atmosphère, croyez-vous vraiment les créer en vous ? Admettez-vous une fois pour toutes que le bonheur puisse fleurir autrement que dans une atmosphère de confiance, d'espérance, de foi ? Êtes-vous bien persuadé que l'abondance, la santé, la paix, ont leur climat ? 

 

Chacune de vos pensées de doute, de découragement, de peur, chacune de vos rancunes, chacune de vos colères font souffler une brise glaciale sur votre jardin intérieur. Et vous savez qu'une brise glaciale fait périr dans leur fleur l'espoir des vergers.

 

Dites-vous bien que tant que vous n'aurez pas modifié le climat de vos pensées, vous ne parviendrez point à voir éclore vos espérances.

 

– Auclair, Marcelle. Le livre du bonheur, p. 201 

Acharnez-vous patiemment, sans colère envers vous-même, à climatiser le monde intérieur où vous couvez vos projets d'avenir.

Un climat favorable*
Un climat favorable*

La blague du blogue

Au poste de police.

« Pourrais-je voir l’homme qui s’est introduit dans ma demeure hier soir ?

– Pourquoi ? demande le policier.

– Je veux lui demander comment il a fait pour entrer sans réveiller ma femme. »

 

 

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26 mai 2010 3 26 /05 /mai /2010 17:02

 

 

Il arrive que certaines personnes entrent dans votre vie et que vous sachiez tout de suite qu'elles étaient censées y entrer. Elles servent une sorte de but, vous enseignent une leçon ou vous aident à comprendre qui vous êtes ou qui vous voulez devenir.

Vous ne savez jamais qui sont ces personnes : un compagnon de chambre, une voisine, un professeur, une amie, un amoureux. Un parfait étranger parfois. Dès que vous les regardez dans les yeux, vous savez que ces personnes affecteront profondément votre vie.

Il arrive que des choses horribles et douloureuses surviennent dans notre vie. À la réflexion, nous réalisons que sans surmonter ces obstacles, nous n'aurions jamais réalisé notre potentiel, ni démontré notre force, notre volonté et notre courage.

Tout se produit pour une raison. La maladie, les blessures, l'amour. Les moments de grandeur comme de stupidité testent les limites de notre âme. Sans eux, la vie nous paraîtrait comme une longue route bien droite et bien plate qui ne mène nulle part. Sûre et confortable, mais ennuyeuse et sans but véritable.

Les personnes que vous rencontrez et qui affectent votre vie, et les succès et les contrastes que vous expérimentez, créent qui vous êtes. Les plus mauvaises expériences sont souvent les plus instructives.

 

Source : Crée ta vie - Feuille d'information de la création délibérée

 

Les gens qui croisent notre route*
Les gens qui croisent notre route*

Témoignage de mon livre d'or


Témoignage adressé à ma soeur Danielle : « Un tout petit mot pour vous dire un « grand » Merci de m'avoir fait connaître le livre de votre sœur Nicole, qui fut pour moi un bijou, un chef d'œuvre. J'ai grandement apprécié et je l'apprécie encore. Pendant ma période de cancer, j'ai rencontré « des anges » et vous en faites partie. » - Hélène Lafontaine, T-Rivières

Les gens qui croisent notre route*

La blague du blogue
 

Trois soeurs se préparent pour sortir. Au moment de franchir la porte, leur mère leur demande :
« Où allez-vous ?
- Nous sortons avec nos fiancés, maman !
- Qu'allez-vous faire ?
La première répond :
- Moi, quand je sors avec Henri, on rit !
La seconde dit :
- Moi, quand je sors avec Charles, on parle !
Et la troisième annonce :
- Moi, quand je sors avec Blaise...
Sa mère ne lui laisse pas terminer sa phrase :
- Non ! Toi, tu restes ici ! »
    

 

 

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 17:06

 

 

Chaque fois que tu te sentiras perdu, indécis, pense aux arbres, souviens-toi de leur façon de pousser.

 

Souviens-toi qu'un arbre avec beaucoup de feuillage et peu de racines peut être déraciné au moindre coup de vent, tandis que, dans un arbre avec beaucoup de racines et peu de feuillage, la sève court difficilement. Racines et feuillage doivent pousser dans les mêmes proportions. 

 

Tu dois être dans les choses et au-dessus, ainsi seulement tu pourras offrir ombre et refuge, te couvrir de fleurs et de fruits quand ce sera la saison.

 

Quand plusieurs routes s'offriront à toi, et que tu ne sauras pas laquelle choisir, n'en prends pas une au hasard, mais assieds-toi et attends. 

 

Respire profondément, avec confiance, comme le jour où tu es venu au monde, sans te laisser distraire par rien. Attends encore et encore.

 

Ne bouge pas, tais-toi et écoute ton cœur. Puis quand il te parlera, lève-toi et va où il te porte.

 

Tamaro, Susanna. Va où ton cœur te porte.

Va où ton coeur te porte*
Va où ton coeur te porte*

Témoignage de mon livre d'or

Félicitations pour ton livre Nicole ! Quel beau cadeau que tu offres ainsi à tous ceux qui cherchent sans trouver. C'est un réconfort assuré. Je suis surtout bien heureux de constater, enfin, que celui-ci est maintenant accessible à tous. Je vais le lire avec mon cœur. Bravo et surtout Merci. – Pierre B, Rigaud

Va où ton coeur te porte*

La blague du blogue

En Afrique, un touriste tombe nez à nez avec un énorme lion. Impossible de fuir. L'homme ne voit qu'une dernière solution, il se met à genoux et implore le ciel :

« Seigneur, inspirez à cette créature des sentiments chrétiens! »

Un rayon lumineux touche alors l'animal. Lui aussi se met à genoux, joint les pattes et dit : « Seigneur, bénissez le repas que je vais manger ! »

 

 

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 17:04



Il y a très longtemps, un roi fit placer un gros rocher sur une route. Puis, il se cacha et attendit pour voir si quelqu'un enlèverait l'énorme rocher. 

Quelques-uns des marchands et courtisans les plus riches du royaume passèrent par là et firent tout simplement le tour du rocher. Plusieurs d'entre eux en profitèrent pour accuser le roi de négliger les routes, mais aucun ne fit quoi que ce soit pour enlever le rocher du chemin.

Puis, un paysan passa par là avec une grosse caisse de légumes. En approchant du rocher, le paysan déposa son fardeau et essaya de pousser le rocher vers le fossé. Après beaucoup d'efforts, il finit pas réussir. 

Lorsqu'il se pencha pour reprendre sa caisse de légumes, il aperçut une bourse pas terre, à l'endroit même où était le rocher. La bourse contenait plusieurs pièces d'or et une note écrite par le roi, dans laquelle il disait que l'or appartenait à la personne qui avait enlevé le rocher. 

Le paysan venait d'apprendre ce que beaucoup de gens ne comprennent jamais : chaque obstacle nous donne l'occasion d'améliorer notre sort.


Auteur : Brian CAVANAUGH


 
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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 17:02

 

1) Découvrez votre valeur propre. Vous vous ouvrez à l'abondance dans la mesure où vous pensez en être digne. Jusqu'à quel point vous sentez vous prêt à assumer cela aujourd’hui ?

2) Retrouvez votre volonté. Faire ce qui doit être fait, qu'on en ait envie ou pas, c'est ce qui procure l'estime de soi. Savez-vous passer des paroles aux actes ?

3) Tonifiez votre corps. La seule chose que vous pouvez être certain de garder toute la vie est votre corps. Comment pourriez-vous prendre davantage soin de celui-ci ?

4) Sachez gérer votre argent. L'argent n'est ni bon ni mauvais en soi : il n'est qu'une forme d'énergie, une nécessité pratique. Êtes-vous parvenu à la stabilité financière ?

5) Domptez votre mental. Votre perception du monde passe par vos croyances, vos opinions, vos interprétations. Dans quelle mesure vos croyances façonnent-elles votre expérience de vie ?

6) Faites confiance à votre intuition. Votre connaissance va bien au-delà de ce que vous avez lu, entendu ou appris. Êtes-vous déjà en communication avec votre guide intérieur ?

7) Acceptez vos émotions. Les sentiments sont naturels. Vous n'avez pas à chercher à les rectifier pour vivre pleinement votre vie. Avez-vous fait la paix avec vos émotions ?

8) Faites face à vos peurs. La pratique quotidienne du courage ne relève pas du sentiment mais de l'action. Êtes-vous le serviteur ou le maître de votre peur ?

9) Faites la lumière sur vos zones d'ombre. La connaissance de soi conduit à l'authenticité, l'énergie et la compassion. Vous connaissez-vous réellement, ou seulement une image de vous-même ?

10) Intégrez votre sexualité. « Faire l'amour » est une approche fondamentale de la vie. Quelle est votre attitude concernant les plaisirs de la vie : l'ivresse, le rejet ou une célébration consciente ?

11) Éveillez votre cœur. L'amour est une action qui ouvre les portes pour atteindre, chaque jour, l'illumination. Pouvez-vous être compatissant et bienveillant sans raison ?

12) Servez l'humanité. Le dernier passage donne un nouveau sens à la vie. De quelle façon pourriez-vous contribuer au bien-être de quelqu'un aujourd’hui ?


Millman, Dan. Chaque jour l’illumination.


 

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 17:01



 

Être vieux, c'est sérieux !

 

Dans notre monde, je parle de l'Occident, tout est nouveau, tout change ; ce qui est jeune est bon, le changement est nouveau, la nouveauté est changeante et qu'on soit humain ou grille-pain, il n'est pas recommandé de vieillir. 

Le monde est né d'hier, il commence aujourd'hui et renaîtra demain. Nous parlons naturellement de prévenir les marques du temps : anti-tache, anti-rouille, anti-ride, anti-vieillesse. Sans anti, pas d'espoir. Vieux schnouk, vieux de la vieille, vieux machin, vieille chouette, la mode est à tout, sauf à l'ancien. 

Si la vieillesse est un naufrage, alors je donne ma langue au chat. La vie ne serait finalement que ce grand voyage de l'absurde où nous traversons périls et océans, déserts et continents pour mieux glisser, ridicules et impotents sur la pente irréversible de la fatalité. 

Il est vrai que l'on meurt. Il est encore plus vrai que nous nous amenuisons avec le temps rapport au fonctionnement et aux apparences de notre corps. Mais ce serait bien un comble de laisser aux émotions faciles le soin de traiter de la chose. Et pourtant, la vieillesse en a frappé plus d'un depuis la jeunesse de l'espèce. Des études récentes révèlent que lorsque nous ne mourrons pas, nous vieillissons. J'en connais, décédés un peu tôt, qui aurait tout donné pour vieillir en paix.

Toutefois sur le sujet du vieux, je ne sais pas de société plus mal barrée que la nôtre. Si nous ne sommes pas incompétents, alors nous sommes de mauvaise foi. Nous faisons tout pour dramatiser la vieillesse, tout pour la rapetisser, la rendre déplorable et la disqualifier. Oui, il se cache du « petit » dans notre regard moderne sur le vieux. « Petits vieux, petites vieilles qui font des petits dodos, des petits pipis, ils prennent des petites marches, des petites pilules, ils reçoivent de la petite visite, un petit-fils, une petite-fille, ils mangent comme des petits oiseaux et puis meurent comme des petits poulets. »

La sensibilité de la durée n'existe tout simplement pas. La valeur du temps s'annule depuis que, dans notre esprit, tout ce qui dure perd des plumes. Il pleurera à chaque ride, il maudira ses cheveux gris, il paniquera au premier mal de dos, au premier signe d'arthrite, celui pour qui la beauté se résume toute entière au look de la jeunesse. 

Nul ne sait plus assumer ses pertes de mémoire et plus personne ne sait boiter. Personne ne se vante de son grand âge, la durée n'en impose plus. Nous ne préparons pas notre vieillissement. Nous préparons notre retraite comme on prépare ses vacances mais nul n'envisage réellement sa vieillesse. Nous la nions plutôt, nous la craignons et nous renouvelons les mots pour cacher nos frayeurs : âge d'or, troisième âge et autres inepties. Comme si le mot vieillard était déjà trop vieux. 

Je ne dis pas que vieillir est agréable. Mais on meurt à tous les âges, on est malade en été comme en hiver, on déprime à n'importe quel moment de sa vie, les crétins se retrouvent fréquemment et partout dans la colonne de la vie et j'ai connu trop de vieux et de vieilles qui rebondissaient mieux que certains jeunes prématurément épuisés pour m'inquiéter sérieusement du temps qui passe. 

Je crains la maladie, je crains le gagaïsme, je crains le scandale de la souffrance et de la perte. Mais je ne crains pas mon âge et tous les âges que j'atteindrai. Je me propose d'embrasser chacune des années qui me seront données. Avec une canne en merisier que je lèverai au ciel, je clamerai mon grand âge sur tous les toits de la ville et je serai le premier responsable de ma fierté, si Dieu me prête l'amour et la santé. 

Nous devrions respecter nos vieux parce qu'ils sont vieux, un point c'est tout. Les vieux sont des pierres et des monuments, des arbres tutélaires, des âmes sculptées par le temps. Les vieux sont des témoins principaux. Ils représentent le temps passé et ce sont eux, l'histoire. À quatre-vingts ans, ma mère est si belle qu'elle donne à tous les jours un nouveau sens à la notion de dignité. 

J'espère ma vieillesse comme j'ai espéré toute ma vie. J'aurai la peau comme une écorce très ancienne, profondément ridée. Je serai honorable mais je serai armé. À la pointe du fusil, je forcerai les jeunes à écouter mes platitudes et jongleries. Et je tirerai un coup de semonce au premier qui me proposera une petite collation, un petit voyage en autobus, voire un petit n'importe quoi. Tous les vieux devraient être armés... 


Serge Bouchard, anthropologue — Texte trouvé sur le site Fun fou

 

La vieillesse offre autant de possibilités que la jeunesse mais elles prennent d'autres visages. À mesure que le soir tombe, apparaissent dans le firmament, des étoiles qu'on ne pouvait voir le jour. 

H.W. Longfellow

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14 avril 2010 3 14 /04 /avril /2010 17:01



Les gens pensent que rendre service est une forme de charité, que les gens forts donnent aux gens faibles, que les gens en santé donnent aux gens malades, que les gens riches donnent aux gens pauvres, que les gens qui savent où ils s’en vont donnent aux gens confus.

 

À mes yeux, servir les autres est une expérience de complétude, de satisfaction, de totalité, d’indépendance et d’autonomie pour tous ceux qui sont concernés. C’est faire l’expérience de la magnificence et de l’infinie capacité des êtres humains.

 

Quand je me donne vraiment aux autres, je disparais et mon identité s’efface. Je ne fais plus qu’un avec la personne à qui je me donne. Il s’agit en fait d’une expérience divine, une expérience d’unité et de totalité. Personne ne reçoit et personne ne donne. Non, rien de tel ne se produit. Seulement une expérience d’unité. Nous commençons à voir que nous sommes l’expression d’une seule et même âme.

 

Rendre service est un geste d’amour et de confiance. C’est aussi un geste de responsabilité et de courage… une prise de position pour l’intégrité de la vie des hommes.

 

— Lynne Twist (citée dans le livre Chaque jour l'illumination de Dan Millman)

 

Servir vos proches dans un esprit d'amour, c'est la réalisation de soi au quotidien.

Dan Millman

Se mettre au service des autres*
Se mettre au service des autres*

La blague du blogue

 

Dans un asile, un nouveau pensionnaire arrive. Alors que deux infirmiers essaient de le ceinturer, il hurle : « Mais lâchez-moi! Je suis l'envoyé de Dieu ! »

Un autre fou qui passe à côté lance : « Ne le lâchez surtout pas, je n'ai envoyé personne... »
     

 

 

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 17:03

 

 

 

Vous êtes au cœur de toutes vos relations, ce qui ne veut pas dire au centre... Vous êtes donc responsable de l'estime, de l'amour et du respect que vous vous portez.

 

Vous êtes responsable aussi de l'amélioration possible de la qualité de vos relations, ce qui ne veut pas dire que vous êtes responsable de toute la relation. Vous avez la charge ou le plaisir de votre épanouissement et de votre bonheur.

 

Ne comptez pas uniquement sur l'autre pour vous prendre en charge, pour assurer et combler vos besoins, pour apaiser vos craintes ou protéger vos peurs.

 

N'attendez pas de l'autre la réponse, interrogez vos questions, prolongez vos perceptions, écoutez votre ressenti et faites ainsi confiance à l'imprévisible qui vous habite.

 

Osez vous définir et marquez la différence quand l'autre tente de vous définir... à partir de sa vision à lui. Osez refuser ou encore amplifier tout ce qui vient de l'autre, quoi qu'il vienne de l'autre.

 

Prenez soin de vous réellement, journellement. Vous êtes unique et extraordinaire... même si vous l'avez oublié.

 

La pire des solitudes n'est pas d'être seul, c'est d'être un compagnon épouvantable pour soi-même... en s'ennuyant en sa propre compagnie. Alors n'hésitez plus, soyez un bon compagnon pour vous... Votre vie vous le rendra au centuple.

 

 Jacques Salomé - Extrait du livre Si je m’écoutais, je m’entendrais...

 

Soyez un bon compagnon pour vous-même!*
Soyez un bon compagnon pour vous-même!*

La blague du blogue

 

Une nuit, un homme surprend un cambrioleur. Il lui demande : « Qu'est-ce que vous cherchez ? 

— De l'argent!


— Bonne idée!... Je cherche avec vous! » 

 

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18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 06:11

 

 

Michal et Kental se chamaillaient et cherchaient à savoir lequel d'entre eux écrivait la plus belle musique.

— C'est moi disait Michal, mes mélodies font pleurer les femmes du monde !

— Non, c'est moi ! rétorquait Kental, mes lieds sont plus entraînants qu'une valse viennoise !

— Tu ne saurais pas émouvoir une vache mon pauvre Michal.

— Ah ! Parce que tu crois que tes lieds la feraient danser ?

La dispute allait bon train quand un paysan vint à passer sur le chemin. Il emmenait sa vache aux champs. Les deux musiciens virent là l'occasion de mettre un terme à leur différend.

— Holà paysan ! Verrais-tu un inconvénient à ce que nous jouions pour ta vache ?

— Ma foi, si ça peut vous faire plaisir... Elle ne s'en portera pas plus mal.

Michal dégourdit ses doigts, accorda sa balalaïka et joua la plus belle mélodie slave jamais entendue par une vache... sans résultat : la bête rumina et ne bougea pas une oreille. Michal, vexé, passa la main à son rival qui ne fit pas mieux. Le lied enfiévré ne parvint même pas à faire lever une patte au bovin.

— C'est peine perdue. Ta vache n'a pas l'oreille musicale, reprocha Michal au paysan.

— Dame ! C'est que vous lui cassez les oreilles, répondit le paysan. Si vous consentez à me prêter votre instrument, je saurai, moi, lui jouer une ritournelle. Intrigués, Michal et Kental cédèrent la balalaïka.

Le paysan fit de son mieux pour imiter le vrombissement des mouches et le meuglement des petits veaux. Aussitôt la vache dressa l'oreille, balança sa queue et s'approcha du musicien pour écouter jusqu'au bout cette musique qui, enfin, lui parlait.


(c) 2005, Club Positif

 

Si vous avez parfois du mal à communiquer avec vos semblables, c'est peut-être parce que, comme Michal et Kental, vous ne leur jouez pas la musique qu'ils savent entendre. Il ne s'agit pas de flatter votre interlocuteur, mais de lui parler avec des mots qu'il comprend, sans lui imposer votre discours, sans essayer de l'étourdir avec des phrases trop complexes.

La vache mélomane*
La vache mélomane*

La blague du blogue

Une préposée ne parvenait pas à convaincre un vieillard acariâtre qu'il était l'heure de se mettre au lit. Elle alla demander de l'aide à la religieuse qui travaillait avec elle. Celle-ci entra avec autorité dans la chambre du contestataire.

« Eh bien, monsieur Jones, lui dit-elle, si nous allions nous coucher ?

— Volontiers, ma sœur, répondit le vieil homme, mais je suis sûr qu'on se fera immédiatement pincer. »              

 

 

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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 08:00

 

 

 

J’aide les gens à trouver le bonheur, disait un vieil homme. Il est à la portée de tous, pourvu qu’on en ait vraiment envie.

 

Du plafond où elles étaient accrochées, tombaient une grosse chaîne et une corde épaisse.

 

« Considérez cette corde et cette chaîne, peut-être bien qu’elles ont quelque chose à vous raconter. »

 

Ils regardèrent attentivement cette scène et constatèrent que rien ne se produisait. Ils regardèrent de plus près. Chaque maillon de la chaîne, chaque brin torsadé de la corde, représentaient pourtant une notion très importante…

 

Leur hôte leur expliqua : « La plupart des gens commettent une redoutable erreur. Dans leur esprit, ils confectionnent une sorte de chaîne avec tout ce qu’ils estiment important pour leur bonheur et quand un des maillons vient à se rompre, ce qui n’est pas rare, toute leur chaîne se démantibule et leur bonheur est par terre!

 

Tous les autres maillons de la chaîne ont beau être intacts, ils n’ont plus aucune valeur. C’est pourquoi une telle personne, victime d’un banal incident, comme celui d’égarer une clef, a l’impression que le monde entier est en train de s’écrouler.

 

— Que faut il faire alors?

 

— Il faut apprendre à tresser les cordes du bonheur, de telle sorte que si un brin vient à casser et que la solidité de la corde s’en trouve diminuée, rien ne lâche, ni ne s’écroule. Et c’est bien plus facile à réparer. »

 

Benson, Bernard. Le Chemin du bonheur

 

Le chemin du bonheur*
Le chemin du bonheur*

La blague du blogue

Une femme dit à son époux : « Chéri, chaque matin, notre voisin embrasse sa femme avant de partir à son travail. Tu ne crois pas que tu devrais en faire autant ?

Le mari : – Mais chérie, je ne connais pas sa femme, moi ! »

 

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 08:00

 

 

Il était une fois une jeune femme. Elle se trouvait près de sa mère la veille de son mariage et regardait le soleil qui, au-delà de la plage, se couchait dans l’immensité de la mer.

 

Elle s’adressa à sa mère et l’interrogea : « Maman, papa t’aime beaucoup et t’est toujours resté fidèle. Que dois-je faire pour que mon mari continue à m’aimer de plus en plus ? »

 

La mère se tut et réfléchit un instant, puis elle s’agenouilla et remplit de sable chacune de ses mains. Elle s’avança ainsi vers sa fille.

 

Sans dire un seul mot, elle serra les doigts d’une main de plus en plus forte sur le sable qu’elle contenait. Le sable s’en échappa. Plus elle serrait son poing, plus le sable s’en écoulait, et quand elle ouvrit finalement sa main, seuls quelques grains de sable mouillés collaient encore à sa paume.

 

Mais la mère avait gardé son autre main ouverte comme une petite écuelle. Les grains de sable y restaient bien blottis et scintillaient toujours plus fort sous les rayons du soleil couchant.

 

« Voici ma réponse », dit la mère doucement.

— Robert Henckes

 

 

Aimez-vous l’un l’autre mais ne faites pas de l’amour un carcan. Qu’il soit plutôt mer mouvante entre les rives de vos âmes.

Khalil Gibran

Plus je te veux, plus je te perds*
Plus je te veux, plus je te perds*

La blague du blogue

« Dis-moi Toto, il y avait deux gâteaux dans le frigo. Peux-tu m'expliquer
pourquoi il n'en reste qu'un ?


— J'avais pas vu qu'il y en avait un autre ! »

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 07:59





Tout engagement lucide et honnête suppose d'accepter le fait que tout engagement est un engagement à trois : toi, moi et une part d'inconnu et de mystère liée à l'évolution possible de chacun de nous. 

 

JE M'ENGAGE...

 

Je m'engage, aujourd'hui, avec ce que je suis, envers toi, avec ce que tu es. Et j'engage aussi dans cette aventure relationnelle une partie de moi en devenir, et que j'ignore encore, envers une partie de toi en devenir et que tu ignores toi aussi. Je m'engage dans la durée avec une part d'inconnu de moi et une part d'inconnu de toi, c'est-à-dire sans connaître encore l'homme ou la femme que je serai, ni celui ou celle que tu deviendras toi-même.

Dans cet engagement, nous n'embarquons pas seuls, nous ne sommes pas seuls à bord, nous embarquons avec cette part d'imprévisible incontrôlable qui peut nous lier plus fortement ou nous détacher et nous séparer.

Dans mon engagement vis-à-vis de toi, j'engage une partie de moi que je connais bien mais qui est construite sur des images, celles que je donne à voir, celles que tu veux bien voir...

Mais aussi une partie de moi, que je connais moins bien, qui appartient à mes zones d'ombre. Et à l'intérieur de ce territoire, il y a une partie de moi qui est susceptible de changer dans des directions et sous des formes que j'ignore moi-même.

Dans cet engagement, je m'engage vis-à-vis de ce que je connais de toi, vis-à-vis de ce que je sais de toi, de ce que je veux bien voir de toi. Je m'engage aussi vis-à-vis de cette part de mystère en toi, mystère pour toi, mystère pour moi, potentialité de changement que nous ne pouvons ni toi ni moi ignorer ou occulter trop longtemps.

Salomé, Jacques. Le courage d’être soi.

 

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 07:57

 

Cette petite voix est certainement très futée et experte dans l'art de vous faire sentir inadéquate... mais un simple changement d'approche vous permettra de la déjouer (note : j'ai dit simple, pas facile !).

Nous avons tous différents « parasites » dans notre esprit qui ont chacun leur salade à vendre. Il y a celui qui tente de nous protéger des échecs possibles en nous convainquant de ne rien changer ; celui qui croit qu'on ne vaut rien et qui n'aime pas être contredit ; celui qui nous conditionne à être « parfait » (plutôt qu'à être simplement NOUS). Bref, un bien beau buffet... de vieilles salades défraîchies !

Même si vous avez le sentiment de ne pas avoir de pouvoir sur ces voix négatives, vous pouvez TOUJOURS choisir de les écouter ou non. La clé, c'est de les démasquer et de vous en distancer tout doucement. Si je dis « tout doucement», c'est parce qu'une attitude de combat ou de confrontation ne fera que les nourrir.

Ainsi, observez ces voix-parasites lorsqu'elles sont à l'œuvre, mais sans mordre aux hameçons qu'elles vous tendent.

Prenez note de leurs stratagèmes et remarquez comme elles sont répétitives et prévisibles !

Par le simple fait de les observer calmement, avec un certain détachement, vous créerez une distance nouvelle entre elles et vous. C'est dans cet « espace » que vous retrouverez votre pouvoir de choisir. D'ailleurs, un moyen amusant de vous détacher encore davantage de ces parasites indésirables est de leur donner des surnoms humoristiques. Lorsqu'ils se manifesteront, vous sourirez en coin et penserez : « Ah, tiens donc, c'est XX qui essaie encore de me faire sentir coupable » ou « Encore YY qui veut me donner la trouille ! ».

Trucs de coach…

Dès qu'une pensée négative surgit dans votre esprit, dites-vous STOP ! Puis prenez 30 secondes pour vous recentrer et pour la remplacer par une affirmation positive et stimulante. Vous aurez à fournir un effort au début, mais après environ une semaine vous le ferez naturellement car vous aurez développé l'habitude d'être positive (oui, c'est vraiment d'une habitude à acquérir qu'il s’agit !)

Le but ultime de votre démarche est de reprendre la MAÎTRISE de vos pensées (bref, de pouvoir CHOISIR plutôt que d'être un pantin à la merci des « parasites »). Ainsi, vous pourrez décider, par exemple, de vivre votre culpabilité pendant quelques minutes, puis de passer à autre chose. Ce ne sera plus « tout ou rien », et vous aurez le contrôle.



Sandra Nouzille - Passion en action

 

 

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 07:56


Voici l’histoire vraie d’une étude scientifique intéressante.

Les étudiants d’une université ont pris un rat et l’ont placé dans un tube de trois pieds de profondeur rempli d’eau. Le tube a été placé dans le noir complet et le rat a cessé de nager après trois minutes. Ils ont refait la même expérience, mais en mettant de la lumière dans la pièce. Le second rat a nagé pendant 36 heures avant d’arrêter.

Les étudiants étaient très étonnés du résultat. Ils n’en revenaient pas que le second rat ait pu, pour sauver sa vie, dépenser 3 000 fois plus d’énergie que le premier. Ils ont refait la même expérience à quelques reprises et ont toujours obtenu les mêmes résultats.

Une explication plausible est que le second rat avait espoir de s’en sortir puisqu’il voyait « la lumière au bout du tunnel ».

C’est-à-dire que parce que le tube dans lequel il se trouvait était transparent, il pouvait voir le reste de la pièce. Contrairement au premier rat qui ne voyait rien du tout.

Qu’est-ce que tout cela signifie pour nous ? Si vous voulez avoir plus d’énergie, sortir d’une sensation de fatigue, il vous faut avoir de l’espoir. Souvent, il suffit de presque rien pour retrouver un peu d’espoir : aider quelqu’un, se débrancher des médias de masse qui nous programment négativement, etc.

Je veux vous transmettre aujourd’hui le message que vous pouvez faire ce que vous voulez de votre vie, mais que vous devez porter une attention particulière à vos idées, à vos mots, aux gestes que vous posez, à vos décisions et à votre langage non verbal.

Vous êtes responsable de votre propre vie. Personne d’autre ne l’est ; ni l’économie, ni les politiciens. Vous êtes là où vous vous trouvez présentement dans votre vie, que ce soit au niveau de vos finances, de votre santé ou de vos relations avec les autres, à cause des gestes que vous avez posés dans le passé. 


Olivier Magnan, site Énergie Santé



« S’il y a de l’espoir dans le futur, il y a de la puissance dans la présent. »
 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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