Ta bienveillance a exercé une influence incommensurable sur tout ce que j’ai accompli, tout ce que j’accomplis et tout ce que j’accomplirai.
Ton âme pleine de douceur a laissé une marque indélébile sur tout ce que j’ai été, tout ce que je suis et tout ce que je serai.
Par conséquent, tu fais partie de tout ce que j’accomplis et de tout ce que je suis.
Quand je prête secours à mon prochain, c’est un peu toi qui lui tends la main.
Quand je réconforte une amie, c’est un peu à toi qu’elle est redevable.
Quand je montre à un enfant une meilleure façon de faire, que ce soit par mes paroles ou mon exemple, c’est un peu toi qui lui enseignes.
Tous les gestes que je pose sont teintés des valeurs que tu m’as inculquées ; par conséquent, les erreurs que je répare, les cœurs que je réconforte, les cadeaux que je partage et les fardeaux que j’allège te rendent un modeste hommage.
Tu m’as donné la vie et, plus important encore, tu m’as enseigné à vivre ; par conséquent, tu es la source d’où jaillit tout le bien que je peux apporter en ce monde.
Pour tout ce que tu es et tout ce que je suis, merci, maman.
Source : David L. Weatherford, Bouillon de poulet pour l’âme d’une mère
Le cœur d'une mère est la salle de classe d'un enfant.
La blague du blog
Le professeur demande à ses élèves d’écrire un texte de 100 mots sur leur animal préféré.
Noémie se concentre, ferme les yeux, réfléchit longuement puis écrit :
« L’autre jour, mon chat s’est sauvé de la maison. Je suis sortie, inquiète, et j’ai crié : Minou! Minou! Minou! Minou! Minou! Minou! Minou!... »