Nous vivons tous des drames personnels. Certaines personnes semblent plus éprouvées que d’autres, mais, dans le cœur de chacun, la douleur est la même. Il n’existe pas d’étalon de la souffrance, et tous ont le droit d’être consolés. Peut-être avons-nous la chance de faire partie de ces gens, que la vie semble épargner, de ceux qui savent comment donner et recevoir l’amour ?
Si tel est le cas, soyons remplis de gratitude et tournons-nous avec compassion vers ceux qui sont en difficulté. C’est à nous qui sommes en position de force, qu’il revient de rétablir l’équilibre, en venant en aide à ceux-là qui sont temporairement affaiblis.
Ne cédons pas à la tentation de former des clans et de maintenir l’énergie positive dans les mêmes circuits. Si nous avons peur de perdre notre énergie en côtoyant ceux qui en ont besoin, nous pouvons être assurés que c’est ce qui arrivera, en juste proportion avec les précautions que nous aurons prises pour garder jalousement notre trésor.
L’amour véritable ne porte pas de jugement et ne sélectionne pas. Il s’adresse à tous ceux qui sont placés sur notre chemin et qui, tous également, méritent d’être aimés et considérés. N’hésitons pas à tendre la main. La vie nous le rendra au centuple.
Aimer un être, c'est reconnaître qu'il existe autant que vous.
La blague du blog
Le fils : « Aujourd'hui, j'étais dans le bus avec papa. Il m'a dit de laisser ma place à une dame...
La maman : - C'est très bien, fiston, tu as fait une bonne action.
Le fils : - Mais maman, j'étais sur les genoux de papa ! »