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25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 18:30

Le renoncement n'est pas forcément synonyme de manque de courage. Ce peut être aussi une grande sagesse. Savoir faire la part des choses, distinguer ce qui vaut la peine d'être conquis de ce qui ne le vaut pas, accepter sans regret ce qui est…

« Un homme sage doit savoir se faire un triomphe de sa propre défaite », rappelle Gracian. Il ne s'agit pas de baisser les bras ou de démissionner devant la moindre difficulté, mais plutôt de ne pas perdre son temps et s'user dans de vains combats.

Ainsi faut-il savoir renoncer à sa jeunesse ou à sa beauté et accepter le conseil des années. Il faut admettre que les choses ne se passent pas toujours comme on l'avait prévu et savoir se retirer de la partie, pas forcément pour la perdre, mais pour la voir en perspective.

Il faut laisser passer devant soi les plus jeunes et les plus rapides, même si c'est vous, avant, qui passiez devant les autres. Mais aussi apprendre à renoncer aux mondanités et préférer s'entourer d'amis fidèles, s'arrêter de courir après l'argent pour prendre le temps de vivre... 

Le renoncement est bien souvent une renaissance et une libération. Car en quittant une chose, on trouve forcément une autre. En acceptant, on avance. C'est le point de départ de retrouvailles avec soi-même.

Rambert, Catherine. Le livre de la sérénité, Éditiono1, 1999

 

La grâce, c'est peut-être de voir ce qu'il faut choisir et ce à quoi il faut renoncer.

Jacques de Bourbon Busset

La sagesse de renoncer*
La sagesse de renoncer*

La blague du blogue

« Je vois que ça va mieux avec ta femme !
— Qu’est-ce que tu dis là ?
— Je vous ai vus hier. Vous coupiez du bois ensemble pour le foyer.
— Du bois ? On partageait les meubles… »

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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 17:02

 

 

La compassion, c'est un réel souci des autres. C'est savoir écouter, c'est savoir garder le silence, c'est savoir toucher tendrement (une main sur l'épaule), c'est avoir un regard empreint de bonté pour pouvoir soulager la douleur d'autrui. Lorsqu'on est en profonde communication, en profonde communion avec autrui, c'est le réconfort de l'amour ou de l'amitié qui soulagera sa peine.

 

Une parole, un geste et même une pensée empreints de compassion peuvent atténuer une souffrance. Une seule parole peut changer le cours de toute une vie lorsqu'elle est enrobée de compassion. Elle redonne confiance, balaie le doute et donne des ailes vers un nouvel objectif.

 

Aussi, il arrive qu'on puisse aider quelqu'un à ne pas commettre une erreur, réconcilier des parties en conflit, donner de l'espoir dans une phase difficile, par exemple un deuil. 

 

Un simple geste peut suffire à sauver une vie ou à aider une personne à saisir une occasion rêvée. Une pensée peut avoir le même effet, car les pensées sont porteuses d'énergie. Avec la compassion dans notre cœur, nos pensées, nos paroles et nos actions peuvent être miraculeuses.

 

Sévigny, Daniel. L'autoguérison et ses secret, Éditions De Mortagne

 

 

Nous sommes tous connectés les uns aux autres et à toutes choses dans l’univers. Par conséquent, tout ce que nous faisons, en tant qu’individu, touche l’ensemble du monde. Toutes les pensées, les images, les prières, tous les mots, les vœux et les dons atteignent tout ce qui existe. 

Serge Kahili King

La compassion est la réponse du cœur à la douleur. Nous participons à la beauté de la vie et à l’océan de larmes. La détresse de la vie fait partie de chacun de nos cœurs et de ce qui nous relie les uns aux autres. Elle porte en elle la tendresse, la miséricorde et une bienveillance qui embrassent toutes choses et peuvent toucher chaque être. 

Jack Kornfield

Celui qui, par quelque alchimie, sait extraire de son cœur, pour les refondre ensemble, compassion, respect, besoin, patience, regret, surprise et pardon, crée cet atome qu'on appelle l'amour.

Khalil Gibran

Même sans espoir, la lutte est encore un espoir.

Romain Rolland

La compassion*
La compassion*

Agitez votre baguette magique

 

Vous avez sans doute souhaité posséder une baguette magique que vous pourriez agiter pour rendre votre vie meilleure, ainsi que celle d'autrui. Nous, les anges, aimerions vous faire connaître la magie qui est la vôtre depuis toujours : l'amour. 

Quand vous enveloppez tout ce qui vous entoure de cette émotion sous toutes ses formes, c'est-à-dire de gratitude, de pardon, de compassion, de paix, et autres, vous agitez une baguette magique capable de transformer et de guérir tous les déséquilibres et toutes les maladies. Demandez-le, et nous vous aiderons à atteindre cet état de l'esprit, du cœur et du corps. Nous nous joindrons à votre énergie pour infuser à la situation la magie de l'amour divin.

 

 

Pensée du jour

J'enveloppe cette situation d'amour, en agitant ma baguette magique,
afin qu'elle se transforme et s'apaise complètement dès cet instant.
La plus grande des magies, c'est d'exprimer des pensées,
des paroles et des émotions bienveillantes.


Source : Oracles des anges - Doreen Virtue

 

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5 janvier 2010 2 05 /01 /janvier /2010 12:05

 

 

 

1) Je m’engage à choisir moi-même ce que j’ai le goût de vivre sans devoir m’obliger à le justifier auprès des autres... sauf si les conséquences de ce choix peuvent leur créer un préjudice.

2) Je m’engage à exprimer clairement mes attentes, mes désirs et mes besoins aux personnes concernées plutôt que de les obliger à deviner ce que j’attends d’elles.

3) Je m’engage à satisfaire moi-même mes besoins puisque je suis la seule personne que ça intéresse vraiment... à moins que quelqu’un d’autre y trouve aussi son avantage.

4) Je m’engage à admettre que l’ampleur de mes déceptions et de mes souffrances sera proportionnelle à l’intensité de mes attentes face aux autres et face à la vie elle-même.

5) Je m’engage à reconnaître que mon attitude, face aux gens et aux événements, dépend seulement de ma façon de les percevoir et du pouvoir que je leur donne.

6) Je m’engage à tenir compte qu’une réaction trop émotive face à la victime d’aujourd’hui pourrait me transformer en son bourreau de demain.

7) Je m’engage à résister aux personnes ou aux organisations qui utilisent la manipulation émotionnelle pour m’inciter à faire leur volonté plutôt que la mienne.

8) Je m’engage à assumer pleinement l’impact que peuvent avoir mes croyances, mes paroles, mes comportements, mes engagements et mes choix, tant sur ma qualité de vie que sur celle des autres.

9) Je m’engage à éloigner toutes sources physiques, psychologiques, morales ou spirituelles que je perçois actuellement comme restrictives pour mon bien-être.
 

10) Je m’engage à laisser les autres Être ce qu’ils choisissent d’être, Vivre ce qu’ils choisissent de vivre et Croire ce qu’ils choisissent de croire dans la mesure où les conséquences n’impliquent qu’eux-mêmes.

 

Source : Cervolution - Première Édition - Novembre 1995

Cette année, je m'engage*

« L’ordre divin prend soin de ma vie aujourd’hui et tous les jours. Tout concourt à mon bien aujourd’hui. C’est aujourd’hui un jour nouveau et merveilleux pour moi. Il n’y aura plus jamais un autre jour semblable à celui-ci. Je serai divinement guidé tout au long de la journée et tout ce que je ferai prospérera.

L’amour divin m’entoure, m’enveloppe, et j’avance dans la paix. Chaque fois que mon attention s’écartera de ce qui est bon et constructif, je la ramènerai immédiatement à la contemplation de ce qui est beau et bon. Je suis un aimant spirituel et mental, attirant vers moi toutes les choses qui seront pour moi des bénédictions et des sources de prospérité. Je vais merveilleusement réussir dans toutes mes entreprises aujourd’hui. Je vais être heureux toute la journée. »

Prière quotidienne

« Je suis le canal au travers duquel coulent l'Amour, la Beauté, l'Harmonie, la Paix, l'Opulence et l'Intelligence divine. Toutes les qualités, tous les attributs, tous les pouvoirs s'expriment merveilleusement à travers moi. »

Cette année, je m'engage*

Témoignage de mon livre d'or

Je viens de lire tous ces beaux hommages à votre égard à travers votre livre d'or. C'est merveilleux l'amour qui circule sur votre site. Bravo pour votre lumineux travail rempli d'amour.

Votre site est mon recueillement de tous les jours, vos petites douceurs pour le coeur me font grandir intérieurement davantage à chaque jour.

Je vous dis « Merci » de tout mon coeur qui se remplit de douceur chaque jour grâce à vous et vos écrits. – Sylvie, Drummondville

Cette année, je m'engage*

La blague du blogue

Un malade se confie à son médecin :

« Docteur, je suis très inquiet... Votre diagnostic n'est pas le même que celui de votre confrère.

– Je sais. Avec lui, c'est toujours comme ça, mais l'autopsie prouvera, une fois de plus, que j'ai raison... »
    

 

 

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22 décembre 2009 2 22 /12 /décembre /2009 21:01

C1 tome-2

Vous m’avez allumée et vous me regardez, rêveur. Vous êtes peut-être heureux de me voir m’embraser. Chose certaine, je me réjouis qu’on m’allume, car si je ne brûle pas, je demeure là comme les autres, dans une boîte, où je n’ai pas de réelle signification. Ma raison d’être, je l’ai exclusivement lorsque je flambe, car alors j’existe. Le simple fait de gratter une allumette pour enflammer ma mèche avive la pièce, rehausse l’ambiance, transmet un symbole d’espoir.

En contrepartie bien sûr, mes heures s’abrègent et bientôt je ne serai plus qu’une pâle lueur. Mais il en est ainsi : ou bien je reste entière, rangée dans une boîte et je ne sais pas vraiment ce que je fais sur terre... ou bien je répands lumière et rêveries et alors je sais pourquoi j’existe. Pour cela, je dois donner quelque chose de moi, me donner moi-même. C’est mieux que d’être éteinte dans une boîte, désespérant de ne pouvoir me consumer pour voir briller les yeux de mes admirateurs et raviver leurs cœurs.

Il en est de même pour vous. Ou bien vous vivez pour vous-même, vous ne perdez rien, mais vous n’y gagnez rien non plus, et de plus vous ne savez pas au juste pourquoi vous êtes là... ou bien vous prodiguez lumière et chaleur autour de vous, et alors les gens se réjouissent de votre présence. Vous n’êtes pas ici sur terre sans raison, vous avez un rôle à jouer, mais pour ce, vous devez aussi consentir à donner une partie de vous. N’ayez pas peur si, ce faisant, vous avez l’impression de devenir plus petit; c’est seulement une perception extérieure...

Je suis une bougie unique. Lorsque je suis allumée, la lumière et la chaleur que je dégage ne sont pas peut-être pas des plus lumineuses, mais si je m’unis à d’autres bougies, notre clarté irradie de toutes nos flammes et ensemble, notre chaleur grandissante se fait de plus en plus sentir.

Il en est de même pour vous. La lumière que vous transmettez n’est peut-être pas particulièrement étincelante, mais ajoutée à celle des autres, la source lumineuse ainsi créée est éclatante. Il survient parfois des pannes de courant à la maison, la noirceur est totale d’un seul coup. Alors, tout le monde pense : « Vite, une bougie! » et l’obscurité est ainsi vaincue grâce à une seule flamme.

Il en est de même pour vous. Tout n’est pas idéal en ce monde. Plusieurs se plaignent, certains n’arrêtent pas de se lamenter. N’oubliez pas qu’une seule flamme vaut déjà mieux que l’obscurité.

Reprenez courage et n’attendez pas que les autres vous stimulent. Soyez allumé et brûlez de toutes les étincelles de votre âme. Si vous ne saisissez pas vraiment ce que je veux dire, prenez une bougie et allumez-la. Regardez danser sa flamme et vous comprendrez.

Source : Petites douceurs pour le coeur, tome 2, 2011, p. 64
   

Une bougie vous parle*

La blague du blogue

Monsieur le Pasteur fait un brin de causette avec Toto à la sortie de l’école biblique : « Alors comme ça, tu dis que ta maman fait une prière pour toi tous les soirs au moment de dormir?... C’est très très bien. Et qu’est-ce qu’elle dit?

— Ouf, merci Mon Dieu, il est au lit. » répond Toto.
      

 

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 13:02

 

 

Comment le bonheur pourrait-il être « petit » ? 

 

Pourtant, l'évidence s'impose. Tous les surdoués du bonheur insistent sur ces petits bonheurs : « À l'instar de l'or, que l'on trouve en pépites, le bonheur se présente sous forme de miettes : faut-il pour autant le dédaigner ? »

 

Les instants de bonheur sont du bonheur à part entière. Encore faut-il, que nous en soyons conscients et que nous sachions ouvrir les yeux sur eux, pour transformer des instants bénins en moments de conscience heureuse.

 

Tous les travaux scientifiques confirment d'ailleurs que la fréquence des instants heureux est plus importante que leur intensité : mieux vaut de nombreux petits bonheurs qu'un grand bonheur unique.

 

On sait que la croyance « un grand amour, sinon rien » a causé des ravages considérables dans les âmes romantiques. Il en est de même pour le bonheur : inutile de vouloir hiérarchiser les bonheurs. Il faut s'efforcer d'accueillir toutes les prémices de bonheur.

 

On peut parfaitement être un peu heureux, ou ressentir un petit bonheur : il n'en reste pas moins un bonheur. 

 

Dans une existence ordinaire, le contraire du bonheur n'est pas toujours le malheur, mais l'indifférence au monde, qui finit par aboutir à l'ennui et à l'aveuglement.

 

Le bonheur repose donc sur un mélange complexe de vigilance et de réceptivité, d'efforts et d'abandons, qui rendent possible la survenue de ces petits bonheurs...

 

André, Christophe, Vivre heureux, psychologie du bonheur, Ed Odile Jacob, 2003

 

 Le grand obstacle au bonheur, c’est de s’attendre à un trop grand bonheur.

Bernard Fontenelle

Les « petits bonheurs »*

Réflexion supplémentaire

 

90 personnes attrapent la grippe A H1N1 et tout le monde veut porter un masque.
5 millions de personnes ont le SIDA et personne ne veut porter de condom.
1000 personnes meurent de la grippe A dans un pays riche, c'est une pandémie.
Des millions meurent de la malaria en Afrique, c'est leur problème...

Les « petits bonheurs »*

Quelle que soit la nouvelle difficulté que nous rencontrions, c’est l’accueil que nous lui faisions, l’attitude mentale que nous adoptons vis-à-vis d’elle, qui détermine entièrement l’effet qu’elle aura sur nous.

 

Ce ne sont pas les personnes, ou les choses, ou les circonstances en elles-mêmes qui importent, ce sont uniquement les pensées que nous entretenons à leur égard. Ce n’est pas la conduite des autres, ce sont nos propres idées qui nous rendent forts ou faibles.

 

Nous écrivons l’histoire future de notre vie avec nos pensées d’aujourd’hui. Nous façonnons notre destin nous-mêmes, de jour en jour, entièrement par la manière dont nous réagissons aux événements qui se présentent. Réagir comme il convient, c’est l’art suprême de la vie.



— Fox, Emmet. Le sermon sur la montagne, p. 78

Les « petits bonheurs »*

La blague du blogue

Un agent de police s'arrête devant un musicien jouant dans le métro.

« Avez-vous un permis pour jouer de l'accordéon ici ?
— Non monsieur l'agent...
— Alors, accompagnez-moi s'il vous plaît !
— Bien sûr, monsieur l'agent ! Que voulez-vous chanter ? »

 

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:10




Je ne te connais pas et pourtant je t'admire,
Car tu es toujours là, lorsque la vie chavire.
Ta présence discrète au cœur de l'hôpital
Fait souvent reculer la douleur et le mal.

 

Tu combats la souffrance avec persévérance
Et l'on voit de tes mains renaître l'espérance.
Que de sanglots, de cris, que de maux, de soucis
Au cœur de cet enfer par tes soins adoucis.

 

Ton royaume est bâti de râles et de larmes,
Et dans ce monde froid, tu n'as pour seules armes,
Que la force et l'espoir de ton cœur généreux,
Qui apporte la paix à tous les malheureux.

 

Tu es la confidente aimée des solitaires,
De tous ceux que la vie a rendu grabataires.
Tu offres ton sommeil, tu distribues ton temps,
Tu soignes, tu guéris tout en réconfortant.

 

Tu es la providence au sourire angélique,
Et dans cet univers inodore, aseptique,
Tu mêles ton parfum aux nuages d'éther
En ajustant la sonde ou bien le cathéter.

 

Lorsque la mort, hélas, se montre la plus forte,
Et que le sang glacé se fige dans l'aorte,
L'amertume et la rage envahissent ton cœur,
Qui ne supporte pas que le mal soit vainqueur.

 

Tu sais que la « Camarade » habite les parages,
Et qu'elle peut frapper tous les gens, tous les âges.
Et tu pleures parfois quand tombe le rideau,
Sur l'inconnu défunt qui va vers le tombeau.

 

Pourtant lorsque paraît, quand s'éloigne le pire,
Une lueur de joie, au milieu d'un sourire,
Alors modestement, tu reçois ce cadeau,
Et tu sens beaucoup moins le poids de ton fardeau.

 

Tu me pardonneras, infirmière anonyme,
Ce « Tu » si familier au milieu de la rime.
Mais je te connais bien car je t'ai vue souvent
Au cœur de l'hôpital plus sombre qu'un couvent.

 

Tu n'es pas une star ni même une vedette,
Pour louer ton travail, ni radio, ni gazette.
Mais laisse-moi te dire avec mes mots ici,
Ce que je ne puis taire, infirmière : Merci !


(auteur inconnu) 

Toi, l'infirmière*

Témoignage de mon livre d'or

C'est un livre que tout le monde devrait posséder. Il est une nourriture pour le cœur, pour l'âme et pour nous faire voir le gros bon sens. Je suis chanceuse d'avoir découvert votre site et d'avoir ce merveilleux recueil pour m'aider à sortir de mes peurs, avancer dans ma vie et d’en connaître tout meilleur qu'elle peut m'apporter. Encore plus formidable, je peux aider ceux qui m'entourent aussi, sans les blesser car ce sont des phrases et des contes qui réconfortent et guérissent.

Merci pour ce cadeau que vous avez conçu pour tous ceux qui ont besoin de réconfort. Continuez ce magnifique travail d'écriture car les gens sont assoiffés de connaissances de ce genre. — Louise Labarre

Toi, l'infirmière*

La blague du blogue - Chapeau à nos médecins !
 

Un mécanicien achevait de remonter le maître-cylindre du moteur d'une moto quand il aperçoit un cardiologue réputé, les bras croisés qui attend en retrait.

« Doc, viens voir quelque chose, de crier le mécanicien. »

Surpris, le cardiologue s'avance. Le mécanicien se redresse et dit, en s'essuyant les mains : « Doc, tu vois ce moteur ? Je viens de l'ouvrir, de démonter les valves et les soupapes et j'ai réparé tout ce qui était défectueux. Bref, je lui ai fait une opération à cœur ouvert. J'ai tout refermé et maintenant, ce moteur tourne comme neuf.

Comment se fait-il que je gagne 39 675 $ par année alors que pour le même travail, tu en gagnes plus d'un million et demi ? »

Le cardiologue le regarde quelques secondes et, sourire en coin, dit au mécanicien : « Essaie de faire cela pendant que le moteur tourne... »

« Il faut plus d'imagination, de jugement, et d'intelligence pour devenir un grand médecin que pour devenir un grand chimiste. » – Alexis Carrel

 

 

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:08




1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques.

2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon.

3. Suivez les trois R : Respect de soi-même, Respect des autres, Responsabilité de tous vos actes.

4. Souvenez-vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance.

5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement.

6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié.

7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger.

8. Passez un peu de temps seul chaque jour.

9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs.

10. Rappelez vous que le silence est parfois la meilleure des réponses.

11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois.

12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie.

13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé.

14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité.

15. Soyez tendre avec la terre.

16. Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant.

17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre.

18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir.

19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant.

20. Riez au moins 1 minute par jour.

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:07



Depuis des siècles, on me consomme, on me vend, on m'offre et on me vante.

Depuis des siècles, on m'enferme dans toutes sortes de récipients et on me boit dans tous les milieux.

Depuis des siècles, je suis l'objet d'un commerce qui rapporte des milliards et pourtant, bien peu de gens peuvent se vanter de me connaître vraiment. Jamais on ne m'a permis de parler. On se sert de moi pour toutes sortes de raisons, mais on prend bien soin de ne pas me donner la parole. Pourtant ! Si on m'avait demandé mon opinion : que de choses j'aurais pu vous apprendre. C'est pourquoi, aujourd'hui, devant le mauvais usage que l'on fait de moi, je suis décidé à vous dire toute la vérité à mon sujet.

Je suis un liquide ! Ça ! Vous vous en doutiez bien... mais un liquide pas comme les autres. Autrefois, avant la découverte de l'éther, on m'employait comme anesthésique pour pratiquer toutes sortes d'opérations.

De nos jours, on me trouve partout. On change mon goût âcre en me mélangeant à des essences telles que : la menthe, l'orange, le citron, etc. Je suis hypocrite et menteur ! Je peux entrer librement partout, personne ne semble se méfier de moi. Je coule à flots à l'occasion des baptêmes, des mariages, des funérailles. Je rate rarement l'occasion de me mêler à toutes sortes de conflits ; dans presque tous les meurtres, les vols, les hécatombes routières, les troubles de ménage et à peu près tous les crimes... JE SUIS LÀ !

Depuis toujours, je fais pleurer les mères et je fais souffrir les enfants. Pendant longtemps, je m'occupais presqu'exclusivement des hommes, mais aujourd'hui, je m'occupe très activement des femmes. J'en ai un très grand nombre sous mon emprise et à tous les jours, des millions d'entre elles, à travers le monde, ont recours à mes services. Je viens plus facilement à bout de leur dignité que le diable lui-même.

Je suis extrêmement puissant, rien ne me fait peur. Sans moi, beaucoup de médecins et de thérapeutes verraient leur clientèle diminuer considérablement. Je suis leur meilleur fournisseur ! JE SUIS LE MAL DU SIÈCLE ! Pourtant très peu de gens s'occupent à me combattre efficacement. On a vaincu bon nombre de maladies, mais moi, je suis plus en forme que jamais.

Malheureusement pour vous, tant que vous me traiterez avec autant d'égards, je pourrai continuer ma tâche qui est de vous détruire en plus grand nombre. Excusez ma franchise ! SI VOUS VOULEZ VIVRE HEUREUX... Tenez-vous loin de moi !


À bon entendeur, salut!
 

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:06

 

Vous avez oublié son anniversaire? Vous vous êtes disputés? Vous avez eu une parole malheureuse? Rien n'est perdu si vous vous excusez. Encore faut-il le faire dans les règles ou, plutôt, selon la règle des 4 « R » : 

Regret : Vous devez regretter sincèrement la peine que vous avez causée. 

Responsabilité : Vous devez en accepter l'entière responsabilité, sans blâmer l'autre (ne pas dire : « Excuse-moi mais tu es susceptible aujourd'hui ») ni essayer de vous justifier (« Désolé, je ne me sens pas bien. ») 

Réparation : Vous devez réparer, de manière tangible (en remplaçant le vase brisé, par exemple) ou symbolique (en promettant de ne pas recommencer). « Je regrette de t'avoir blessé » signifie que c'est vous, et non pas l'autre, qui êtes à l'origine du problème. 

Ces 3 « R » sont un préalable essentiel au quatrième: la Réconciliation. 

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:05


Mon Dieu...


Aide-moi à dire la vérité en face des forts et à ne pas mentir pour m’attirer les applaudissements des faibles.

Si Tu me donnes de l’argent, ne me prends pas mon bonheur. Et si Tu me donnes la force, ne m’enlève pas mon pouvoir de raisonner.

Si Tu me donnes le succès, ne m’ôte pas l’humilité. Si Tu me donnes l’humilité, ne m’ôte pas ma dignité.

Aide-moi à connaître l’autre aspect des choses, et ne permets pas que j’accuse mes adversaires d’être traîtres parce qu’ils ne partagent pas mon point de vue.

Enseigne-moi à aimer les autres comme je m’aime moi-même, et à me juger comme je juge les autres.

Ne me laisse pas m’enivrer par le succès si je l’atteins, ni me désespérer si j’échoue. Fais-moi plutôt me souvenir que l’échec est l’épreuve qui conduit au succès.

Enseigne-moi que la tolérance est le degré le plus élevé de la force et que le désir de vengeance est la première manifestation de la faiblesse.

Si Tu me dépouilles des richesses, laisse-moi l’espérance. Et si Tu me dépouilles du succès, laisse-moi la force de volonté pour pouvoir vaincre l’échec.

Si Tu me dépouilles du don de la santé, laisse-moi la grâce de la Foi.

Si je fais du tort à quelqu’un, et si quelqu’un me fait du tort, donne-moi la force du pardon et de la clémence.

Mon Dieu… si je T’oublie, Toi, ne m’oublie pas!

A
men!
 

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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 18:04

 

Rupture d'un amour. Mort d'un être cher. Cancer. Grave accident de voiture. Cataclysme. Personne n'est à l'abri de l'extrême. L'épreuve survient sans avertir.

Nous possédons tous cependant des ressources insoupçonnées, des forces cachées qui se mobilisent au moment de l'épreuve, qui déclenchent en nous des réactions de survie et nous rendent capables d'affronter le pire, puis de continuer à espérer, parfois même à savourer encore plus pleinement chaque instant de notre existence.

Ces forces cachées, ces réactions de survie, le professeur de psychologie sociale Gustave-Nicolas Fischer les nomme « ressorts invisibles » puisqu'elles nous permettent « de rebondir dans l'épreuve en faisant de l'obstacle un tremplin, de la fragilité une richesse, de la faiblesse une force, des impossibilités un ensemble de possibles », écrit-il dans son livre LE RESSORT INVISIBLE.

Par ailleurs, en nous confrontant à la douleur extrême, l'épreuve permet à la face cachée de notre être de se manifester, révélant toute notre beauté intérieure. Et l'on s'aperçoit que notre échelle de valeurs s'en trouve modifiée, donnant un autre sens à la vie.

Dans le cas d'une grave maladie, par exemple, la fragilisation du corps peut être un tremplin pour apprécier des valeurs qui l'étaient moins auparavant. Cela donne une tout autre philosophie de la vie. Pour sa part, Boris Cyrulnik, souligne dans son livre UN MERVEILLEUX MALHEUR :


« Quand un grain de sable pénètre dans une huître et l'agresse au point que, pour s'en défendre, elle doive sécréter la nacre arrondie, cette réaction de défense donne un bijou dur, brillant et précieux. »

Selon lui, il en va ainsi des humains : passer au travers de l'épreuve solidifie notre résistance tout en soulignant la beauté de notre âme. Nous ne devenons pas invulnérable pour autant, mais les blessures de la vie nous grandissent et nous invitent à vivre plus intensément.


Gustave-Nicolas Fischer, Le ressort invisible, Éditions du Seuil, 1994, 283 pages
Boris Cyrulnik, Un merveilleux malheur, Éditions Odile Jacob, 1999, 238 pages

Survivre à l'épreuve*

La blague du blogue

« Oh papa, regarde le joli bateau !
— Ce n'est pas un bateau, c'est un yacht, dit le père.
— Comment ça s'écrit yacht ?
— Tu as raison dit le père... C'est un bateau. »

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 18:30

 

 

Les remerciements qui ne sont pas exprimés sont comme des joyaux ou de riches habits qui restent dans un tiroir et passent de mode. Lorsque vous ne remerciez pas du fond de votre cœur, avec tout votre être, vous perdez ce que les initiés nomment « un état de grâce ».

 

La gratitude procure cet état de grâce, vous connecte avec vous-même et avec les autres.

 

Se priver de cette émotion amène, lentement mais sûrement, à dessécher son cœur. Ceux qui s'aiment voient leur relation se dégrader lentement lorsqu'ils expriment de moins en moins leur gratitude.

 

Celui qui est ingrat pense sans doute qu'il prive seulement les autres de reconnaissance. Mais il est le plus grand perdant, car c'est comme s'il se privait de boire de l'eau pour que les autres ne puissent pas se désaltérer.

 

La solitude est la conséquence de l'ingratitude. Celui qui sait remercier n'est jamais seul. Est ingrat celui qui pense que rien ne mérite un merci.

 

L'ingrat pense toujours qu'il n'a pas assez reçu, quoi qu'on lui ait donné. L'ingratitude est la sœur de l'amertume.

— Qui, lorsque vous étiez enfant, a nourri votre corps?
Qui a payé pour vous donner un toit?
Qui, sur votre chemin de vie, a mis en vous son affection?
Qui a supporté vos défauts?
Qui vous a aidé à trouver votre voie?
Qui a réveillé votre espoir?
Qui a nourri vos ambitions?
Qui vous a donné confiance en vous?


 

Souvenez-vous des alliés ou des muses, des éveilleurs de conscience, qu'ils soient des proches ou des étrangers, qui ont, à un moment ou un autre, ouvert dans votre âme des portes donnant sur l'univers.

 

La gratitude*

La blague du blogue

Deux Anglais sont sur un green en train de taper la balle de golf. Soudain, un convoi funèbre passe. L'un des deux joueurs enlève son chapeau et attend le passage, en faisant mine de se recueillir.

« Ça alors, dit l'autre, j'ignorais qu'un homme comme vous était aussi « gentleman » !

— Que voulez-vous? Nous avons quand même été mariés 40 ans ! »

 

 

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 18:27



Si je veux réussir à aider un être

 

Si je veux réussir à accompagner un être vers un but précis, je dois le chercher là où il est et commencer là, justement là. Celui qui ne sait faire cela, se trompe lui même quand il pense pouvoir aider les autres.

Pour aider un être, je dois certainement comprendre plus que lui, mais d'abord comprendre ce qu'il comprend. Si je n'y parviens pas, il ne sert à rien que je sois plus capable et plus savant que lui.

Si je désire avant tout montrer ce que je sais, c'est parce que je suis orgueilleux et cherche à être admiré de l'autre plutôt que l'aider.

Tout soutien commence avec humilité devant celui que je veux accompagner ; et c'est pourquoi je dois comprendre qu'aider n'est pas vouloir maîtriser mais vouloir servir. Si je n'y arrive pas, je ne puis aider l'autre.

 Soren Kierkegaard


Texte trouvé sur le site Les beaux textes de Marina Missier

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 18:26



J’aimerais vous partager quelques phrases de Maryse Chartrand, extraites du livre La vie est belle d’Isabelle Clément. Cette femme a fait le tour du monde pendant un an avec ses trois enfants et son conjoint. Lorsqu’ils sont revenus à Montréal son conjoint s’est suicidé, elle a fait un documentaire de ses voyages à Canal vie et a passé à l’émission Tout le monde en parle pour parler du suicide.




Samuel était aimé et il nous aimait. Et pourtant, il était mort, vidé de tout l’amour qui l’entourait. L’amour, cette force qui peut transporter des montagnes, n’avait pas pu sauver mon amoureux. « Le suicide est un tsunami qui anéantit jusqu’à vos convictions et vos valeurs les plus profondes.

Ce que nous projetions de vivre ensemble n’était pas possible. Je pensais à vieillir sans lui et j’avais mal. Je pensais à l’avenir de nos enfants, c’était pire encore.
 

J’ai eu peur de ne pas survivre à son départ. Peur que les enfants et moi soyons condamnés à être des loques humaines. Alors que cette pensée me terrorisait, je me suis rendu compte de son irréalité : je respirais. Je survivais. Je vivais. Il était mort, mais pas moi. Pas les enfants. La vie continuait. Elle pulsait dans nos veines. 

Je suis alors sortie dans la rue et j’ai regardé les arbres très attentivement. Étaient-ils différents depuis sa mort? La lumière d’automne était mordante. Les feuilles, flamboyantes. L’air vivifiant.

Hier et demain me tourmentaient. Pas le moment présent. L’ici maintenant auquel les maîtres spirituels nous convient m’était offert avec une bonhomie infinie.
 

Je me rappelle m’être trouvé privilégiée. Le seul endroit dans la quiétude était le PRÉSENT. J’ai alors entrepris de m’arrêter aussi souvent que nécessaire pour revenir dans ce lieu libre de tout tourment. Aussi, quand les enfants et moi riions autour de la table, au souper, je prenais au vol cet instant et je demandais aux enfants : « Qu’est-ce qui nous manque en ce moment? » La réponse honnête était toujours la même. Rien. Nous étions bien. LA VIE ÉTAIT BONNE.
 

Ce sont nos pensées à propos de la réalité qui causent notre SOUFFRANCE. L’existence est innocente. Dépouillée de tous nos jugements, la vie n’est que candeur. Toujours.
 

Et c’est ainsi que je me suis reconstruite. Ou plutôt, c’est ainsi que je me déconstruis, un peu plus chaque jour. Je désapprends à vouloir comprendre pour simplement M’ÉMERVEILLER. Je désapprends à JUGER pour embrasser ce qui est. Je désapprends à vouloir contrôler ma destinée pour me rendre disponible à elle. Je désapprends à me faire confiance pour être en confiance.
 

La vie est belle et hideuse, généreuse et intransigeante, sensible et cruelle, banale et grandiose. Elle est le noir et le blanc, et chaque couleur entre ces deux pôles. Elle est ce que j’y vois. Elle est sur quoi je m’attarde. Elle est la pensée que je crois.
 

Le décès de mon mari a été ma plus grande épreuve et mon plus grand cadeau. Je sais maintenant que la mort n’est pas une finalité. Samuel est plus près de moi qu’il ne l’a jamais été. Je sais aussi que rien n’est imperméable. Quand un creux de vague arrive, j’y entre de plein gré en sachant qu’il ne DURERA PAS, et lorsqu’un moment de pur bonheur me vient, j’y goûte pleinement. J’embrasse ce qui passe parce que justement cela ne fait que passer.

Je réalise que l’important n’est pas ce que la vie me donne. C’est plutôt ce que moi je lui donne. Lorsque je lui offre ma présence, elle devient exactement cela UN PRÉSENT. Du fond de mon être monte alors une prière qui ne tient qu’à un mot :
MERCI!


 

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 18:46

 

 

Y avez-vous déjà réfléchi ? Les expressions usuelles sont pleines de souhaits de bonheur. BONJOUR ! Cela ne signifie-t-il pas : « Je vous souhaite une bonne journée ? » BONSOIR ! Cela ne veut-il pas dire : « Je vous souhaite une bonne soirée ? »

 

Il convient de considérer qu'on trouve ces vœux dans toutes les langues, en anglais, en italien, en espagnol, en grec ancien et moderne, en allemand, et sans doute dans toutes celles dont je ne connais pas le moindre mot.

 

C'est ainsi que lorsque nous saluons l'être au monde qui nous est le plus indifférent, nous prononçons pour lui un appel au bonheur, et si nous nous libérons de la routine pour ranimer en nous le sens profond de ce qui nous disons, il en résulte une pluie de bénédictions. Car toute bonne pensée porte ses fruits pour celui qui l'émet et celui qui la reçoit.

 

Ne perdons donc pas une occasion de dire : « BON JOUR ». Il fut un temps où nul n’aurait pénétré dans un wagon, dans une salle d’attente, sans dire BONJOUR aux personnes présentes. Rares sont ceux qui ont conservé cette coutume. Pourquoi ne pas la ressusciter ? D'abord, c'est être poli. Ensuite, c'est faire doucement vibrer un peu de bienveillance, un peu d'amour, dans cet univers qui en a tant besoin.

 

Vous n'êtes pas sans savoir qu’un éternuement nous attire souvent un « À vos souhaits ! » ou « Dieu vous bénisse ! ». D'où vient cette coutume, si ce n'est du besoin d'annuler par des paroles bénéfiques la naissance d'un rhume ? 

 

Aujourd'hui, lorsque nous disons « À vos souhaits ! », c'est avec un sourire ironique, de crainte de paraître vulgaire. Mais faisons notre profit de l'enseignement que nous apportent ces anciennes traditions : elles nous apprennent que dans le passé, les lois de la pensée et de la parole créatrice étaient connues de tous et utilisées en toutes circonstances.

 

APPLICATION : « Bonjour, Bonsoir, Bonne nuit, Bonne fête, Bonne année, Bonne chance, Bon voyage... » En prononçant désormais ces formules usuelles, ravivez-en le sens, en les chargeant d'un désir profond d'apporter quelque chose de « bon ». Et donner, comme vous le savez, c’est recevoir !

 

Auclair, Marcelle. Le livre du bonheur

 

« Bon Jour! »*

On ne peut arrêter le cours de la vie. Les arbres ont beau aimer le calme, le vent n'arrête pas pour autant de souffler ! Et vous ne pouvez pas changer de nature. On transforme plus facilement les fleuves et les montagnes que la nature humaine.

 

Ce que vous pouvez faire, c'est distinguer clairement la route à suivre et utiliser les énergies de votre vie pour relever le défi.

 

Étudiez votre colère. Trouvez ce qu'elle a d'utile et rejetez le reste. Observez votre peur. Elle ne vous sert à rien. Laissez-la passer. Acceptez votre chagrin. Il est justifié. Puis abandonnez-le, parce qu'il ne servira pas ce que vous avez à faire.

« Bon Jour! »*

Témoignage de mon livre d'or

Nicole, je tiens à vous remercier pour votre livre Petites douceurs pour le cœur. Il est extraordinaire, ça fait longtemps que je cherchais un livre comme ça. Chaque jour, je lis une page.

Ce livre est pour moi un cheminement. Que je sois triste ou heureuse, je le lis. Il m'apporte beaucoup, et faites sûr que je dis souvent à mes enfants de le lire. Je l'ai même offert en cadeau. Je vous le dis encore : j'adore votre livre, c'est ma bible de tous les jours... Je trouve cela tellement réconfortant. — Michelle Larivière

« Bon Jour! »*

La blague du blogue

 

Toto se plaint à un ami :
— Ma mère m'a puni pour une chose que je n'ai même pas faite.
— Ah oui ? Qu'est-ce que c'est ?
— Mes devoirs...

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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