Les femmes sont des pionnières. Aujourd’hui plus que jamais auparavant, nous avons l’occasion de procéder à d’importants changements dans nos vies. Nous redéfinissons notre rôle à la maison et au travail, nous affrontons les différentes formes que prennent nos dépendances et nous assumons la responsabilité de notre bonheur.
Parmi tous les risques que nous courons, il en est un qui exige un grand courage et qui comporte une part de souffrance : établir des rapports avec nos proches, en particulier nos enfants, qui soient basés sur notre véritable personnalité et non sur les stéréotypes et les clichés dont on nous affuble. En apprenant courageusement à être nous-mêmes et à exprimer notre unicité, nous encourageons nos proches à faire de même.
Chaque risque encouru, chaque souffrance calmée, chaque monstre apprivoisé élargit la voie de la liberté qu’emprunteront les autres et avive notre confiance en nos aptitudes pour mener une existence fondée sur l’authenticité.
À chacun des risques que nous avons le courage d’encourir, nous facilitons la tâche de nos filles, de nos amies et de nos mères qui veulent suivre notre exemple et devenir elles-mêmes. Quel autre héritage pourrions-nous laisser?
Source : Sagesse de Femme, Sue Patton Thoele, 1995, p. 230
Sentir, aimer, souffrir, se dévouer, sera toujours le texte de la vie des femmes.
La blague du blog
Une journaliste interroge les pensionnaires d’une maison de retraite.
« Que faites-vous depuis que vous ne travaillez plus ?
- Moi, je fais de la photo, dit l’un.
- Moi, je jardine, ajoute l’autre.
- Moi, je fais de la recherche, explique un troisième.
- De la recherche ? Dans quel domaine ? demande la journaliste.
- C’est varié. Je cherche ma canne, mes lunettes, mon dentier… »