Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.
Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine.
Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.
Je continuerai à parler de paix, même au milieu d’une guerre.
Je continuerai à illuminer, même au milieu de l’obscurité.
Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.
Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.
Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes.
Et j’apporterai le soulagement, quand on verra la douleur.
Et j’offrirai des motifs de joie là où il n’y a que tristesse. J’inviterai à marcher celui qui a décidé de s’arrêter... Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés.
Car au milieu de la désolation, il y aura toujours un enfant qui nous regardera, plein d’espoir, attendant quelque chose de notre part...
Puisse l’arbre de notre vie être fermement enraciné dans le terreau de l’amour. Que les bonnes actions soient les feuilles de cet arbre. Puissent les paroles de bienveillance former ses fleurs et puisse la paix en être le fruit.
La blague du blog
Une dame va renouveler son passeport. Le fonctionnaire lui demande :
« Combien d'enfants avez-vous ?
- 10.
- Et leurs prénoms ?
- Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard et Bernard.
- Ils s'appellent tous Bernard ? Et comment vous faites pour les appeler quand ils jouent tous dehors, par exemple ?
- Très simple, je crie Bernard et ils rentrent tous.
- Et si vous voulez qu'ils passent à table ?
- Pareil. Je crie Bernard et tous se mettent à table.
- Et si vous voulez parler particulièrement avec l'un d'entre eux ? Comment faites-vous ?
- Ah! Dans ce cas-là, je l'appelle par son nom de famille... »