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La clé du bonheur
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La clé du bonheur
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Quand un oiseau me rend visite… Quand le printemps me réchauffe… Quand un vieil homme me raconte ses souvenirs… Quand mon amour me dit qu’elle m’aime… Quand un bourgogne m’envahit… Quand un film me fait pleurer… Quand une chanson me rappelle… Quand les pommiers sont en fleurs… Quand la guêpe se pose sur moi et qu’elle ne me pique pas… Quand je m’endors en écoutant le vent… Quand le feu de foyer me parle… Quand l’érable me fait cadeau de son sirop… Quand les feuilles tombent… Quand le soleil se couche pour le plaisir de mes yeux… Quand le gazon verdit… Quand j’arrive chez maman et que ça sent la soupe… Quand un livre me fait réfléchir… Quand un ami m’appelle juste pour savoir comment ça va… Quand la montagne change de couleur… Quand il fait tempête et que je reste à la maison… Quand les nuages se sauvent pour laisser passer le soleil… Quand je déguste les premières fraises…
La vie est belle quand je prends le temps : La vie est belle dans les petites choses,
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Le bonheur
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Étant jeune, j’ai souvent cru que le succès tomberait toujours directement du ciel sans mon intervention…
Un jour, le succès m’a lâché et j’ai dû revoir ma façon de penser de fond en comble…
Les expériences de ma vie m’amenaient à méditer sur mon rôle à jouer pour m’assurer un destin heureux…
Rien ne sert, selon moi, de changer notre dehors, notre habillement, notre voiture, notre maison, nos amis, nos parents. C’est inutile, et c’est de commencer par la fin.
Tout ce que l’on doit changer, c’est notre façon de penser, notre intérieur. Ensuite, tout doucement, certains de nos amis vont changer, notre habillement, notre voiture…
Si nous acceptons que notre attitude juste soit le maître de notre vie, plus rien ne peut nous arrêter dans notre marche vers le succès…
J’ai appris par mes expériences, que c’est une histoire de cause à effet. Nous récoltons ce que nous semons…
On ne peut pas tricher ni mentir, nous faisons partie de la pensée universelle…
L’attitude juste, c’est la seule façon de s’élever au rang des femmes et des hommes que l’on dit bénis des dieux… Ces humains ordinaires qui ont su abattre les barrières qui les empêchaient d’avancer. Une fois les obstacles vaincus, ils ont pu faire grandir leur force intérieure et leur spiritualité, ce qui leur assure une créativité sans frontière qui les mène tout droit vers le succès de leur vie.
Source : Extrait d’un livre de Marcel Gagnon
La blague du blog
« Tu sais Jérémy, quand j'étais p'tit, maman me donnait un dollar et je partais à l'épicerie du coin. Je revenais avec une livre de beurre, une pinte de lait, 2 livres de pommes de terre, une livre de fromage, une livre de sucre, du pain et des œufs...
Et Jérémy de lui répondre : « Y'avait pas de caméras de surveillance dans ce temps-là ? »
Le temps passe. La vie court vite. Les distances séparent. Les enfants grandissent. Les occupations vont et viennent.
La passion diminue. Les hommes ne sont pas toujours ce qu’ils devraient être. Le cœur se brise.
Les parents meurent. Les collègues de travail oublient les services rendus. Les carrières professionnelles arrivent à leur terme. Mais...
Les amies sont toujours là. Peu importe le temps passé ou la distance qui vous sépare. Une amie n’est jamais trop loin lorsque tu as besoin d’elle.
Chaque fois que tu devras emprunter une route, et que tu auras à le faire seule, les femmes de ta vie seront tout autour du chemin, t’encourageant, priant pour toi, te poussant, intervenant pour toi, et t’attendant les bras ouverts au bout du chemin.
Il arrivera même parfois qu’elles rompent les règles et qu’elles cheminent à tes côtés ou qu’elles te soulagent de tous tes fardeaux.
Amies, filles, grands-mères, sœurs, belles-sœurs, mères, belles-mères, petites-filles, tantes, cousines nièces et toute notre famille sont une bénédiction de la Vie.
Le monde ne serait pas le même sans les femmes. Lorsque tu as commencé cette aventure d’être Femme, tu n’avais aucune idée des incroyables joies et des douloureuses épreuves qui t’attendaient. Tu ne savais pas non plus à quel point vous auriez besoin les unes des autres.
Chaque jour, continue à avoir besoin d’elles !
La blague du blog
Un canard entre dans un bar et lance : – Vous avez des cacahuètes ?
Le patron répond qu'il n'en a pas. Le canard s'en va et revient le lendemain à la même heure.
– Vous avez des cacahuètes ?
Le patron, un peu énervé, réplique : – Je t'ai déjà dit qu'il n'y en a pas ici ! Si tu reviens demain, je te cloue le bec sur le comptoir...
Le canard se représente le lendemain : – Vous avez des clous ?
Le patron répond que non.
Et le canard : – Et vous avez des cacahuètes ?
Savoir écouter l’autre apporte deux choses fondamentales. D’abord, vous lui montrez que vous vous souciez réellement de ce qu’il a à vous dire. Ce qui est sûrement le meilleur moyen de lui prouver que vous vous intéressez à lui et que vous le comprenez. C’est facile de répéter : « Je fais attention à toi », mais si vous avez la tête ailleurs, vous ne faites que démontrer que ce n’est pas votre priorité, que votre partenaire passe après le reste.
Quand on se sent écouté, et donc aimé, on cesse d’avoir l’impression de faire partie des meubles. Une bonne capacité d’écoute incite l’autre à se confier et à partager ses expériences, ce qui ne peut que vous rapprocher. Il est aussi agréable et stimulant de côtoyer quelqu’un qui vous écoute, qu’il est pénible et frustrant d’être avec une personne qui fait la sourde oreille.
Autre bienfait inhérent à l’art de savoir écouter : il réduit sensiblement notre propension à nous emporter pour un rien. Quand on est capable d’écouter son interlocuteur avec attention et sincérité, on évite les conclusions hâtives et les réactions brutales, qui se produisent précisément quand on croit savoir à l’avance ce que l’autre pense.
En prenant la peine et le temps d’écouter, vous entendrez des choses que vous ignoriez jusque-là, et que vous n’auriez jamais pu deviner par vous-même ou en vous contentant d’accorder à l’autre une oreille distraite.
La différence entre une écoute convenable et une écoute de « pro » est énorme. Se sentir écouté est un besoin tellement fort que, lorsqu’il n’est pas satisfait, il laisse une impression de grand vide. À l’inverse, quand l’autre personne se sent vraiment écoutée, elle s’estime facilement comblée et elle ne se sent jamais aussi bien qu’en votre compagnie.
La seule façon de devenir champion du monde dans cette discipline, c’est la bonne vieille méthode : beaucoup d’entraînement. Savoir écouter l’autre ne se réduit pas à être capable de répéter ce qu’il vient de dire. Cela implique d’être réellement « présent » dans vos discussions, comme de faire preuve de patience et de compréhension. Concrètement, efforcez-vous d’abord de comprendre ce qui est dit – sans couper la parole – avant de parler à votre tour et d’exprimer votre point de vue.
En mettant autant de soin – sinon plus – à écouter qu’à parler, vous ouvrirez la voie à une relation fondée sur le respect mutuel et le partage.
Source : Richard et Kristine Carlson, Ne vous noyez pas dans un verre d’eau (#3 - en amour)
« Parfois, quand je suis avec des gens, je me tais et je les écoute parler.
Je ne dis rien, je suis là, je souris et je hoche la tête.
On peut croire que je n’ai rien à dire, mais c’est le contraire.
C’est justement parce que j’ai quelque chose à dire que je me tais.
Les gens qui sont là sont trop occupés à parler pour pouvoir m’écouter. »
Auteur inconnu
Chaque main qui me touche est une main qui me guérit : Je suis un être précieux et l'Univers m'aime. À mesure qu'augmente l'amour que je me porte, le miroir de l'Univers augmente son amour pour moi.
Je sais que la Puissance Universelle est partout, en chaque personne, en chaque lieu et en chaque chose. Ce pouvoir d'amour, ce pouvoir guérisseur coule à travers la profession médicale et dans chaque main qui touche mon corps.
J'attire seulement sur le chemin de ma guérison les individus les plus évolués. Ma seule présence suscite les qualités spirituelles de mes médecins et du personnel infirmier. Tous sont étonnés de leur habileté quand ils travaillent à me guérir.
Source : Les pensées du cœur, Louise L. Hay, p. 37
La blague du blog
Chéri...
J'ai recousu le trou dans la poche de ton veston. Tu en as de la chance d'avoir une femme aussi prévenante que moi, hein ?
- Mmmmoui, c'est vrai ma chérie. Mais dis-moi, comment as-tu découvert qu'il y avait un trou dans ma poche ?
Ne vous imaginez pas que l'amour d'un homme et d'une femme, pour être vrai, doit être spectaculaire. Ce dont il a besoin, c'est de durer. Et pour durer, il faut que l'homme et la femme, au fil des années, continuent à s'aimer en vérité. L'amour vrai n'en finit pas de commencer.
Comment une lampe brille-t-elle, si ce n'est pas par l'apport continuel de petites gouttes d'huile? Qu'il n'y ait plus de gouttes d'huile, il n'y aura plus de lumière, et l'époux ou l'épouse dira : « Tu n'es plus celui ou celle que j'ai aimé ou aimée. Je ne te connais plus. »
Mes amis, que sont ces gouttes d'huile dans nos lampes? Ce sont les petites choses de la vie de tous les jours : la gaieté, la joie de vivre dont nous rayonnons, les petites paroles de bonté, les gestes de tendresse, une simple prière ou pensée de l'un pour l'autre, l'humilité et la patience. Aussi, parfois : notre manière de faire silence, d'écouter l'autre, de pleurer, de pardonner. Voilà les véritables gouttes d'amour qui font brûler toute une vie d'une vive flamme!
Ne cherchez donc pas toujours l'amour dans les grandes choses. L'amour est simple. Veillez et entretenez bien la lampe.
– Source : Petites douceurs pour le cœur, p. 162 / Mère Teresa de Calcutta
L'amitié, comme l'amour, demande beaucoup d'efforts, d'attention et de constance ; elle exige surtout de savoir offrir ce que l'on a de plus cher dans la vie : du temps.
La blague du blog
Trois filles sont poursuivies par des méchants. Elles entrent dans un cabanon et se cachent dans des sacs de patates. Les voleurs entrent et donnent des coups de pied sur le premier sac.
La noire répond : Miaou! - Ah, c'est un chat.
La brune répond : Wouf! - Ah, c'est juste un chien.
La blonde perçoit le coup de pied et crie : C'est des patates!
Par YVON DALLAIRE, psychologue Pour lire d'autres écrits de Yvon Dallaire, cliquez ici. Articles dans les magazines québécois, cliquez ici. | ![]() |
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Garder une femme
Messieurs, au cas où vous l’ignoreriez, plus d’un couple sur deux divorce et 65 % à 80 % de ces divorces sont initiés par la femme.
Votre princesse s’est aussi transformée lorsqu’elle est devenue enceinte. La grossesse, l’enfantement et l’allaitement constituent un véritable ouragan hormonal chez une femme. Et ce n’est pas fini: un tsunami hormonal l’attend à sa ménopause. Comme le disait un homme à sa femme ménopausée :« Qu’as-tu fait à ma femme ? » Après, les tempêtes diminuent grandement. Conclusion : vous devez non pas apprendre à vivre avec votre femme, mais bien avec « vos » femmes et à accepter chacune d’elles.
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Mesdames, il est beaucoup plus facile de garder un homme pour la vie si vous le désirez. Il faut toutefois que vous renonciez au syndrome de Cendrillon: le prince charmant, celui qui transformera radicalement votre vie, n’existe que dans vos têtes. Aucun homme ne fera de vous une reine, mais plusieurs pourraient devenir un excellent partenaire de vie. |
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Seulement 15% à 20% des couples sont véritablement heureux à long terme. Qu’ont-ils de différent des autres couples ? Que font-ils que les autres couples ne font pas ?
Ils préfèrent être heureux plutôt que d’avoir raison sur l’autre. Ils se disent 5 à 10 fois plus de compliments que de reproches. Ils ne croient pas à la toute-puissance de la communication et ne cherchent pas le consensus à tout prix. Ils reconnaissent leurs différences et les mettent au service du couple. Ils se mettent d’accord pour vivre avec des désaccords à vie. Ils ont appris à négocier des ententes à double gagnant. Ils acceptent d’être influencés par l’autre. Ils ne croient pas à l’existence de l’« âme sœur ». Ils ne sont pas fusionnels. Ils ne cherchent pas à se faire comprendre de l’autre : ils cherchent à comprendre l’autre. Ils ne doutent pas de l’amour et de la bonne foi de l’autre. Ils savent que l’engagement est une conséquence, non une prémisse. Ils savent que l’amour est une décision, non de la passion. Ils partagent un grand nombre d’aspirations communes. Ils ne cherchent pas à savoir « qui a commencé ». Les deux sont exigeants, pour eux-mêmes et pour l’autre, et ils font le moins de compromis possible. Ils prennent chacun la responsabilité de leurs réactions émotives et acceptent de se remettre en question. Ils sont fidèles. Ils aiment l’autre pour ce qu’il est, pas pour ce qu’il pourrait être. Ils s’adaptent aux « défauts » de l’autre. Leur relation est basée sur une profonde amitié. Ils ne sont pas exempts de conflits, mais ne se laissent pas envahir par ceux-ci. Ils utilisent des techniques de rapprochement lors de conflits. Ils savent qu’il y a toujours deux responsables lors de disputes. Ils ont des contacts physiques asexués quotidiens. Ils se rappellent leurs souvenirs heureux et ne ressassent pas leurs mauvais souvenirs. Ils considèrent l’autre comme un invité spécial dans leur vie. Ils développent un sentiment de solidarité contre les « ennemis » naturels du couple : les enfants, les beaux-parents, les amis, l’argent… Ils expriment leurs besoins (sexuels et autres) de façon directe. Ils s’entraident à réaliser leurs rêves personnels respectifs. Ils ont appris à dire « merci ». Ils ont des rituels familiaux. Ils utilisent la technique « sandwich » lors d’un grief : un compliment, le grief, un compliment. Ils ne croient pas à la critique, même dite constructive. Ils partagent équitablement les tâches ménagères. Ils confirment les interventions de l’autre auprès des enfants. Ils s’informent de leur journée avant de partir le matin. Ils planifient une discussion déstressante en fin de journée. Ils séparent vie professionnelle et vie privée. Ils ont un rendez-vous hebdomadaire de 2 h 30 en tête-à-tête. Ils savent que l’amour se construit. Leur lit est un lieu de détente et un terrain de jeux, jamais un champ de bataille. Ils ont une bonne estime d’eux-mêmes. Ils ne sont pas sur la défensive. Ils ne sont pas nécessairement plus intelligents que les autres couples. L’un ne change pas radicalement pour faire plaisir à l’autre. Leur relation amoureuse a progressé lentement, mais sûrement. Ils ne comparent pas ce que l’un fait et l’autre pas. En fait, les membres des couples heureux préfèrent brasser des fleurs, car ils savent que le bonheur est une question d’odeur… et de décision. |
Chaque fois que nous dépassons le stade de la bienveillance et de la compassion pour vraiment essayer de régler les problèmes d’une autre personne, nous nous retrouvons en plein cœur d’une lutte d’ego. Nous nous sentons attaqués par le manque de sérénité de l’autre, sa tristesse et la réalité de ses problèmes. La personne peut se sentir attaquée par le problème, par notre tentative d’aide ou par notre incapacité à y réussir. Nous pouvons nous sentir à la fois sur la défensive et amers.
Nous ne pouvons pas prendre soin de nous, de notre véritable bonheur, de notre tranquillité d’esprit et de notre bien-être tout en essayant de contrôler la vie d’une autre personne, ses problèmes ou ses sentiments. Nous ne pouvons pas rendre une autre personne heureuse, et nous n’avons pas besoin de son bonheur pour trouver le nôtre. Si nous nous rappelons que le bonheur — notre bien-être suprême — provient de l’intérieur de chacun de nous, nous pouvons voir que toutes nos manipulations extérieures sont futiles.
Lorsque nous reconnaissons les réactions défensives de notre ego aux problèmes des autres, nous pouvons commencer à nous tourner vers notre esprit pour adopter un autre point de vue. Le point de vue de notre esprit est aimant et généreux, mais pas d’une façon obsessionnelle, contrôlante ou menée par la culpabilité. Il est également aussi aimant envers nous-mêmes qu’envers les autres. Dans certaines relations comme celles des parents et des enfants-adultes, nous sommes particulièrement exposés au point de vue de notre ego plutôt qu’à celui de notre esprit.
Source : Ray, Veronica, Choisir d’être heureux, Béliveau éditeur, 1998
La blague du blog
Un soir, une adolescente amène son nouveau copain à la maison pour rencontrer ses parents. Manteau de cuir, bottes de moto, tatouages et pearcing dans le nez. Les parents amènent leur fille à l’écart et lui disent inquiets : « Il n’a pas l’air très gentil… »
La jeune fille répond : « S’il n’était pas gentil, est-ce qu’il ferait 5 000 heures de travaux communautaires? »
L’amour est la force de guérison la plus puissante qui soit.
Envoyons des pensées de réconfort, d’acceptation, de soutien et d’amour à tous ceux que nous connaissons. Soyons conscient que lorsque nous émettons ces pensées, nous les recevons également en retour.
Enveloppons tous les membres de notre famille dans un cercle d’amour, qu’ils soient encore de ce monde ou non. Incluons nos amis, nos collègues et toutes les personnes de notre passé, ainsi que tous ceux à qui nous aimerions pardonner, même si nous ne savons pas comment nous y prendre.
Envoyons de l’amour à toutes les personnes qui souffrent dans leur corps ou dans leur âme ; à toutes celles qui désespèrent.
Envoyons de l’amour à toutes les personnes malades, ainsi qu’à toutes celles qui les accompagnent, les soignent, les protègent et les défendent.
Laissons ce cercle d’amour envelopper la planète. Envoyons de l’amour à tous les peuples de la terre : ceux qui luttent pour leur liberté, leur survie ou qui doivent rebâtir leur pays. Voyons tout le monde vivre avec dignité, dans la paix et la joie.
Envoyons de l’amour à tous nos jeunes : ceux qui noient ou gèlent leurs trop grandes souffrances ; ceux qui sont désabusés et qui n’entrevoient aucun espoir dans l’avenir.
Envoyons de l’amour à tous ceux qui nous ont fait souffrir ou qui nous ont déçus.
Plaçons-nous dans ce cercle d’amour. Pardonnons-nous. Nous sommes dignes d’amour. Nous sommes beaux. Nous sommes puissants. Qu’il en soit ainsi.
Louise Hay
La blague du blog
Un gars saoul sonne à une porte à 4 heures du matin. Un homme ouvre et lui demande : « Qu'est-ce que tu veux? L'homme saoul répond : « Viens me pousser. » L'homme répond : « Oublie ça ! »
Sa femme lui dit : « Chéri, t'aurais pu aller le pousser. Ça t'est déjà arrivé d'être en panne. » Alors le gars, pris de remords, s'habille, descend, ouvre la porte et crie : « Ok, je vais te pousser, té où ? » Le gars saoul répond : « Chu icitte man dans la balancoire ! »
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Si Noël, c’est la Paix, |
La blague du blog
Un employé demande à son patron :
- Chef, pourrais-je quitter le bureau trois heures plus tôt, pour pouvoir aller faire du shopping avec ma femme ?
- Il n’en est pas question !
- Merci, Chef. Je savais que vous ne me laisseriez pas tomber.
Un roi voulait à tout prix marier sa fille, mais celle-ci refusait les beaux partis qu'il lui présentait, car elle aimait en secret un petit cordonnier. Au bout de quelque temps, son père fut à bout de patience. Il l'obligea à se décider, sinon ce serait lui qui choisirait.
La princesse proposa alors un marché. Elle se marierait avec le prétendant qui lui ferait le plus beau cadeau. Son père fut très étonné. Il ne savait pas sa fille aussi attachée aux choses matérielles, mais il accepta devant toute la cour cette sage décision.
L'annonce fut alors proclamée et tous les prétendants se présentèrent au palais avec des cadeaux plus somptueux les uns que les autres : chevaux chamarrés et empanachés de rubans, rivières de diamants, soies des Indes, verres de Murano, diadèmes incrustés de pierreries, perroquets parlant latin... Bref ! Tout ce qu'on peut imaginer de plus luxueux lorsqu'on est prince, archiduc ou marquis.
Quant au petit cordonnier, il fut la risée de tous lorsqu'il lui porta de merveilleux escarpins de cuir qu'il avait fabriqués. Pourtant, ce fut lui qu'elle choisit. Et le roi eut beau tempêter, la fine mouche lui prouva que seul ce cadeau était recevable, car le cordonnier l'avait fait de ses mains. C'était cela FAIRE un cadeau, et non se contenter de sortir quelques deniers de sa bourse !
Le roi comprit que sa fille l'avait berné, mais, devant toute sa cour réunie, il ne put pas revenir sur sa parole. Alors il oublia sa colère et finit par se féliciter d'avoir mis au monde une enfant aussi pleine de sagesse. Avec un tel caractère, l'avenir de son royaume était assuré !
Source : Michel Piquemal, Le conteur philosophe, 2010
Trouvé sur le site Le monde de la philo et de la poésie
Nous faisons plus facilement cadeau de notre bourse que de notre cœur.
Personne ne peut m'offrir de plus beau cadeau que celui de me sentir aimé.
Je voulais vous dire que dernièrement, j’ai eu une rude épreuve à traverser dans ma vie et que mon moral était à son plus bas… jusqu'à ce que je découvre, par hasard, dans une librairie près de chez moi, votre livre.
Toutes les petites histoires et citations m’ont réellement fait du bien et mon humeur s’est vite améliorée! Vous m’avez vraiment aidé à passer par-dessus cette période de dépression et je vous remercie de tout mon cœur! Je suis certaine que votre livre a eu le même effet sur plusieurs autres personnes qui, comme moi, traversaient des phases difficiles dans leur vie.
Après avoir lu votre livre, je l’ai recommandé à tout le monde autour de moi et j’ai bien l’intention d’en parler à tous ceux qui traversent des moments difficiles. Je vous remercie et vous félicite pour ce magnifique ouvrage! - Maria
La blague du blog
On appelle l’instituteur au téléphone.
« Allô, je voulais vous dire que mon fils est malade et qu’il ne viendra pas à l’école aujourd’hui.
– Mais qui parle ?
– Mon père. »