Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 18:00

 

 

Un roi voulait à tout prix marier sa fille, mais celle-ci refusait les beaux partis qu'il lui présentait, car elle aimait en secret un petit cordonnier. Au bout de quelque temps, son père fut à bout de patience. Il l'obligea à se décider, sinon ce serait lui qui choisirait.

La princesse proposa alors un marché. Elle se marierait avec le prétendant qui lui ferait le plus beau cadeau. Son père fut très étonné. Il ne savait pas sa fille aussi attachée aux choses matérielles, mais il accepta devant toute la cour cette sage décision.

L'annonce fut alors proclamée et tous les prétendants se présentèrent au palais avec des cadeaux plus somptueux les uns que les autres : chevaux chamarrés et empanachés de rubans, rivières de diamants, soies des Indes, verres de Murano, diadèmes incrustés de pierreries, perroquets parlant latin... Bref ! Tout ce qu'on peut imaginer de plus luxueux lorsqu'on est prince, archiduc ou marquis.

Quant au petit cordonnier, il fut la risée de tous lorsqu'il lui porta de merveilleux escarpins de cuir qu'il avait fabriqués. Pourtant, ce fut lui qu'elle choisit. Et le roi eut beau tempêter, la fine mouche lui prouva que seul ce cadeau était recevable, car le cordonnier l'avait fait de ses mains. C'était cela FAIRE un cadeau, et non se contenter de sortir quelques deniers de sa bourse !

Le roi comprit que sa fille l'avait berné, mais, devant toute sa cour réunie, il ne put pas revenir sur sa parole. Alors il oublia sa colère et finit par se féliciter d'avoir mis au monde une enfant aussi pleine de sagesse. Avec un tel caractère, l'avenir de son royaume était assuré !

 


Source : Michel Piquemal, Le conteur philosophe, 2010
Trouvé sur le site
Le monde de la philo et de la poésie
         

Nous faisons plus facilement cadeau de notre bourse que de notre cœur.

Anton Tchekhov

Personne ne peut m'offrir de plus beau cadeau que celui de me sentir aimé.

Mercia Tweedale    

Les escarpins du cordonnier*
Les escarpins du cordonnier*

Témoignage de mon livre d'or

 

Je voulais vous dire que dernièrement, j’ai eu une rude épreuve à traverser dans ma vie et que mon moral était à son plus bas… jusqu'à ce que je découvre, par hasard, dans une librairie près de chez moi, votre livre.

Toutes les petites histoires et citations m’ont réellement fait du bien et mon humeur s’est vite améliorée! Vous m’avez vraiment aidé à passer par-dessus cette période de dépression et je vous remercie de tout mon cœur! Je suis certaine que votre livre a eu le même effet sur plusieurs autres personnes qui, comme moi, traversaient des phases difficiles dans leur vie.

Après avoir lu votre livre, je l’ai recommandé à tout le monde autour de moi et j’ai bien l’intention d’en parler à tous ceux qui traversent des moments difficiles. Je vous remercie et vous félicite pour ce magnifique ouvrage! - Maria
 

Les escarpins du cordonnier*

La blague du blog

On appelle l’instituteur au téléphone.

« Allô, je voulais vous dire que mon fils est malade et qu’il ne viendra pas à l’école aujourd’hui.

– Mais qui parle ?

– Mon père. »

 

 

Partager cet article
Repost0
16 novembre 2011 3 16 /11 /novembre /2011 18:00

C1 tome-2

 

Un homme planta une rose et prit soin de l'arroser fidèlement. Juste avant qu'elle fleurisse, il l'examina. Il vit le bouton en fleur et aussi les épines. Alors il pensa : « Comment est-il possible qu'une fleur si magnifique provienne d'une plante chargée d'autant d'épines piquantes? »

Cette pensée le rendit triste si bien qu’il négligea d'arroser la rose et comme elle était prête à fleurir, faute d’être abreuvée, elle mourut.

Il en est ainsi pour tant d’aspects de notre vie. À l'intérieur de chaque âme se trouve une rose. Les qualités divines semées en nous à la naissance grandissent parmi les épines de nos erreurs.

Nous sommes plusieurs à nous regarder et à voir seulement nos épines, nos défauts. Nous désespérons, en pensant peut-être que rien de bon ne peut sortir de nous. Nous négligeons ainsi, à l’instar de cet homme pour sa rose, d'arroser le bien qui est en nous, et finalement, il meurt. Nous ne donnons jamais libre cours à notre potentiel.

Certains ne voient pas la rose à l'intérieur d'eux-mêmes, un autre doit la leur montrer. Un des dons les plus extraordinaires est la capacité de trouver la rose à l'intérieur d’autrui malgré les épines. C'est la caractéristique de l'amour de regarder une personne et, en dépit des erreurs commises, de reconnaître la noblesse de son âme. Nous l'aiderons ainsi à comprendre qu'elle peut dépasser ses erreurs.

Si nous lui montrons avant tout la rose splendide qu’elle est appelée à devenir, elle fera la conquête des épines et se pardonnera ses imperfections passées. Alors elle fleurira, et plus loin fleuriront trente, soixante, une centaine de plants comme celui qui lui a été donné.

Notre devoir en ce monde est d'aider les autres en leur dévoilant leurs roses et non leurs épines. Alors seulement, nous parviendrons à éprouver l'amour que nous devrions ressentir pour chacun, alors seulement nous fleurirons dans notre propre jardin.

Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 110 

La rose et les épines*
La rose et les épines*

La blague du blog

 

Une voyante prédit l’avenir à sa jeune cliente :

« Vous épouserez un homme beau, riche, jeune et intelligent !

– Ah ! Et mon fiancé, qu'est-ce qu'il va devenir ? »

 

 

Partager cet article
Repost0
2 novembre 2011 3 02 /11 /novembre /2011 18:07

logo 2012

 

On vous a heurté, on vous a blessé ou du  moins, vous avez cru l’être. Et votre amour-propre est à vif. Aussitôt vos traits se contractent, vous vous repliez sur vous-même et la muraille d’hostilité se ferme autour de vous.

 

Pour peu que vous soyez enclin à ce défaut, vous n’avez manqué de remarquer que la bouderie est une arme dangereuse dont un tranchant est tourné contre votre entourage et l’autre tranchant tourné contre vous. En boudant, vous vous retirez du milieu social ou familial, vous vous mettez délibérément en quarantaine.

 

Pour punir les autres d’un méfait souvent illusoire, vous vous punissez d’abord le premier. Dès que vous avez constaté un froissement et que vous sentez venir la vague de bouderie, ne cédez pas à ce sentiment, car il se fortifie à mesure qu’il est installé.

 

Faites taire d’office votre amour-propre irrité. Ne le laissez pas proférer une seule syllabe. En imposant d’emblée silence à l’amour-propre, vous coupez les ailes à la bouderie avant qu’elle ait pris essor. Mais si la bouderie est plus forte que vous et vous isole du monde, gardez-vous de l’alimenter par des pensées de dépit.

 

Prenez aussitôt un livre. Ou plongez-vous sans délai dans quelque travail mental. À peine votre esprit se sera-t-il détourné de l’objet de sa prévention, que molliront les fibres de la rancune. Et vous serez étonné du peu de consistance de vos griefs. Lorsque vous aurez fait cette constatation, n’hésitez pas. Allez aborder votre entourage et faites-lui la surprise d’un visage et ouvert. Les pires champs de glace fondront au contact de votre sourire.

 

– Source : Georges Barbarin, Le livre de chevet, 1984

 

Bouderie : une grève de gamins.

Jules Renard

Bouder*
Bouder*

La blague du blog

« Tiens, Robert, je t’ai acheté deux chemises pour ton anniversaire : une bleue et une verte !
– Merci, ma chérie… »
Le lendemain…
« Bonjour chérie! Bien dormi ?
– Pourquoi as-tu mis la chemise bleue, Robert, tu n’aimes pas la verte? »

 

 

Partager cet article
Repost0
19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 17:00

C1 tome-2



Avez-vous remarqué qu’on parle généralement du bonheur au passé ou au futur, mais rarement au présent?

 

Il suffit que nous jetions un regard sur notre enfance, sur notre jeunesse, sur nos premières années de vie conjugale, enfin sur ce qui n’est plus, pour que nous fassions l’aveu que nous avons déjà été heureux, que nous avons même connu des moments de grand bonheur.

 

Et quand nous songeons à l’avenir, c’est généralement pour édifier l’espoir d’autres bonheurs, des bonheurs différents, mais plus grands si possible que ceux déjà goûtés. Car, au fond, nous croyons toujours ne pas avoir obtenu de la vie notre part légitime de bonheur. Nous en exigeons beaucoup plus.

 

Le présent? Il ne signifie pour nous que déboires, malheurs, fatigues, ennuis et tout ce que l’on voudra, sauf le bonheur. Il existe le bonheur, mais seulement chez les autres, chez les gens d’en face, par exemple, ou encore chez le voisin d’à côté. Un vrai paradis sur terre pour certains, tandis que nous…

 

Tandis que nous, aveuglés par notre égoïsme, nous refusons de reconnaître le bonheur qui nous échoit quotidiennement. Si seulement nous nous donnions la peine de ne pas augmenter l’importance ou la gravité des petits chagrins, des petites souffrances ou des petites contrariétés enveloppant toujours le vrai bonheur…

 

Si, un matin, nous nous croyons vraiment malheureux, allons donc jeter un coup d’œil dans les salles d’urgence ou de consultations externes des hôpitaux.

 

Pour quelques instants, mettons-nous dans la peau de ceux qui attendent pour subir une intervention chirurgicale dont l’issue reste douteuse. Pour quelques instants, pensons au sort des personnes handicapées, de ceux qui ne peuvent se déplacer qu’assis dans un fauteuil roulant. Peut-être admettrons-nous alors que nous sommes heureux, que nous sommes même favorisés.

 

Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 94 

 

Heureuse est la personne qui sait quoi se rappeler du passé, quoi apprécier du présent, et quoi planifier pour l’avenir. 

Arnold H. Glasgow

Le passé plus que parfait*
Le passé plus que parfait*

Lecture complémentaire

 

Vous vous rappelez certaines situations problématiques que vous avez confiées à l'intelligence universelle? Vous aviez essayé plusieurs solutions qui ont eu plus ou moins de résultats et, un jour, vous avez admis que vous ne saviez plus quoi faire. Vous avez confié le problème à l'intelligence de l'univers. Vous avez connu une certaine paix intérieure puisque vous ne vous sentiez plus entièrement responsable de la situation. Pourtant, votre problème était toujours là.

 

Et puis, au moment où vous ne vous y attendiez plus, voilà que les événements ont pris une tournure favorable. Puisque vous lui en avez donné la chance, l'univers vous a guidé vers la solution idéale. Quand ce merveilleux moment arrive, vous rendez-vous compte à quel point votre foi dans les forces positives qui vous habitent est renforcée? Et avez-vous pensé à manifester votre gratitude pour la recette toute simple et infaillible que vous avez mise en œuvre?

 

Source : Un jour à la fois, Tome III

Le passé plus que parfait*

La blague du blog

Un instituteur fait remarquer à un de ses élèves : « C’est très curieux mais, sur ce devoir de mathématiques, il me semble reconnaître l’écriture de ton père.

– Ça ? Fait le gamin, ce n’est pas étonnant, je me suis servi de son stylo! »

 

 

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2011 3 05 /10 /octobre /2011 17:00

 

 

Il est temps d'admettre que, non seulement l’échec n'est pas un drame, mais qu'il peut bien souvent devenir un événement positif. Son premier atout, qui est loin d'être négligeable, consiste à nous remettre dans une attitude d'humilité face à la vie. Il nous contraint à accepter la vie telle qu'elle est et non pas telle que nous la voulons ou la rêvons.

 

La vraie souffrance naît de notre résistance au changement, au mouvement de la vie, à son flux. Alors, réjouissons-nous quand il y a des hauts; et quand des bas se présentent, acceptons-les et faisons en sorte qu'ils nous servent de tremplin.

 

En ce sens, il faut considérer nos échecs comme autant de maîtres spirituels, c'est-à-dire de guides qui nous aident à rectifier notre trajectoire. Ils appartiennent à la loi de la vie, et leur présence, qui nous est naturellement désagréable sur le moment, est néanmoins indispensable à la globalité de notre parcours.

 

Pour qu'ils soient de vrais maîtres, néanmoins nous devons transformer le regard que nous portons sur eux. Plutôt que vivre chaque échec comme un drame, entendons-le comme l’occasion d’un éveil, d’une prise de conscience.

 

Essayons d’en tirer des leçons plutôt que de perdre notre énergie à ressasser ses causes et ses conséquences. Considérons d’emblée que la difficulté qui nous frappe n’est pas un drame, mais une occasion de réfléchir à notre vie, de l’appréhender autrement.

Source : Frédéric Lenoir, Petit traité de vie intérieure

La majorité des gens pensent que le succès et l'échec sont des opposés, alors qu'ils sont en fait deux ingrédients du même processus.

Patrick Leroux

L'échec n'est pas un drame*
L'échec n'est pas un drame*

La blague du blog

 

« Qu’est-ce que la légitime défense? Demande la maîtresse à Toto.

– C’est quand mes notes sont tellement mauvaises que je suis obligé de signer moi-même mon carnet. »

 

 

Partager cet article
Repost0
21 septembre 2011 3 21 /09 /septembre /2011 17:01

C1 tome-2

Un homme avait hérité d'un superbe terrain, au bout duquel se trouvait un érable magnifique.

Mais cet homme venait de la ville, et il ne connaissait rien aux arbres.

Il vint trouver l’érable vers la mi-juillet et lui dit : « Donne-moi de ta sève sucrée, que j’en fasse du sirop. »

L’érable lui répondit : « Mais je n’ai plus de sève à donner, elle est toute répartie dans mes feuilles. »

L’homme revint à la fin d’octobre et dit à l’érable : « C’est l’été des Indiens. Il fait chaud. Donne-moi de l’ombre. »

L’arbre lui répond : « Mais, je n’ai plus d’ombre à donner parce que le vent m’a pris toutes mes feuilles. »

Déçu, l’homme revint six mois plus tard, à la mi-mars.

Il dit à l’arbre : « Je suis fatigué de ne voir que le blanc de la neige. Donne-moi de tes belles couleurs d’or et de rouille. »

Mais l’érable était si occupé à pomper la vie dans ses bourgeons qu’il ne l’entendit même pas.

Furieux, l’homme le coupa et le brûla...

Source : Petites douceurs pour le coeur, tome 2, p. 102

 

Pour être heureux avec les êtres, il faut voir ce qu’ils peuvent offrir et non ce qu'ils ne peuvent donner. 

L'érable*
L'érable*

La blague du blog

 

Pour la première fois, Maurice est invité par les parents de sa petite amie. Un peu plus tard, il dit à Michèle :

« Je n’irais pas jusqu’à dire que ta mère cuisine mal, mais maintenant, je comprends pourquoi vous priez avant de vous mettre à table. »

 

Partager cet article
Repost0
7 septembre 2011 3 07 /09 /septembre /2011 17:01

logo 2012


            
J’aurais pu devenir riche si j’avais choisi l’or plutôt que mes amitiés.


 

J’aurais pu être célèbre si j’avais cherché la renommée pendant les heures où je m’appliquais à jouer.

 

Et me voici, assis à l’extrémité de ma vie, jetant un coup d’œil derrière moi pour voir tout ce que j’ai fait avec ces jours et ces années qui étaient miens et tout ce qui m’est arrivé.

 

Je n’ai pas vraiment de fortune à léguer à ceux qui porteront mon nom. Et je n’ai rien fait qui soit susceptible de m’assurer une place sur les registres de la renommée. Mais j’ai adoré le ciel et ses grands espaces bleus; j’ai vécu avec les arbres et les oiseaux; j’ai dédaigné l’or et l’argent pour partager des plaisirs comme ceux-là.

 

J’ai donné mon temps aux enfants qui sont venus; nous avons joué ensemble bruyamment. Et je n’échangerais pas les heures heureuses passées avec eux pour tout l’argent que j’aurais pu faire.

 

J’ai choisi d’être connu et aimé par quelques personnes, et j’ai fait la sourde oreille aux applaudissements des hommes; et je referais les mêmes choix si la chance m’était donnée de revivre ma vie.

 

J’ai vécu avec mes amis et j’ai partagé leurs joies, connu leurs peines avec toutes leurs larmes; j’ai fait une belle récolte avec les quelques arpents de ma vie, même si certains prétendent que j’ai gaspillé mon temps.

 

J’ai été à même de bien profiter de mes belles choses, et je crois avoir ainsi rempli ma vie de mon mieux. Et au crépuscule de ma vie, je ne regrette pas tout l’or que j’aurais pu posséder.

 

Source : Bouillon de poulet pour l'âme des aînés.

 

Les jours les plus beaux et les plus doux ne sont pas ceux où il se passe des choses particulièrement belles, merveilleuses ou passionnantes. Ce sont ceux qui apportent des plaisirs simples, qui se succèdent en douceur.

Lucy Maud Montgomery

Rétrospective*
Rétrospective*

La blague du blog

« Maman, Luc m’a invité chez lui pour le week-end !
– Il va sans doute te présenter à ses parents ?
– Mais non, ils sont en voyage ! »

Partager cet article
Repost0
3 août 2011 3 03 /08 /août /2011 17:00

 

 

Un orchestre arriva un jour dans une ville pour tenir la parade annuelle. Malheureusement, le jeune qui jouait du trombone tomba soudainement malade.

 

Le chef d’orchestre, en désespoir de cause, s’adressa à la foule, juste avant le début de la parade. Il s’informa si quelqu’un savait jouer du trombone et pouvait venir remplacer le jeune garçon malade. Parmi la foule, un adolescent d’une douzaine d’années leva alors sa main et cria : « Oui, oui, moi je peux, moi je peux! » En toute hâte, le chef d’orchestre lui remit le trombone et les partitions de musique qu’il devait jouer.

 

Peu de temps après le commencement de la parade, le chef d’orchestre s’aperçut que le jeune garçon ne savait pas jouer du trombone du tout. Il avait même de la difficulté à tenir son instrument, il était incapable de rester dans les rangs avec les autres musiciens, mais le pire de tout, c’est qu’il effectuait toutes sortes de bruits bizarres avec son trombone. Il faisait tout, sauf jouer ses partitions.

 

Tout de suite après la fin de la parade, le chef d’orchestre s’empressa d’aller voir le jeune en question et lui demanda sur un ton assez hostile : « Pourquoi m’as-tu dit que tu savais jouer du trombone, alors que de toute évidence, tu ne sais vraiment pas en jouer? »

 

Et le jeune garçon, innocemment, répliqua : « Comment vouliez-vous que je le sache, je n’avais jamais essayé auparavant! »

 

Source : Pour le cœur et pour l'esprit - Patrick Leroux

 

 Il y a pire dans la vie que de ne pas avoir réussi, c’est de ne pas avoir essayé. 

Le petit garçon et le chef d'orchestre*
Le petit garçon et le chef d'orchestre*

La blague du blogue
           
 

« Rémi, je t’ai déjà dit que, quand tu tousses, tu dois mettre la main devant ta bouche !

Oui, je sais mais j’ai essayé plusieurs fois et ça ne m’a jamais empêché de tousser ! »

 

 

Partager cet article
Repost0
20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 17:00

bonété 2a

 

Chaque existence a sa propre histoire. Nous donnons tous une signification aux événements qui marquent notre vie, et nous décidons ensuite d’être heureux ou malheureux selon le sens positif ou négatif donné à ces expériences. Ce que beaucoup de gens ignorent, pourtant, c’est qu’ils sont libres de choisir le sens sous lequel ils interprètent chacune des expériences de leur vie.

 

Vous conférez constamment un sens aux événements que vous vivez, alors pourquoi ne pas choisir une signification positive et fortifiante, un sens qui n’engendre pas de stress ou d’angoisse?

 

Supposons que quelqu’un klaxonne et vous coupe la voie dans le trafic, vous pouvez penser que ce conducteur est un rustre égoïste ou que vous avez fait une fausse manœuvre. Mais vous pouvez aussi croire qu’aucune raison ne justifie son comportement ou encore imaginer qu’il vient d’apprendre que sa femme se prépare à accoucher et qu’il veut se rendre à l’hôpital à temps. Vous pouvez être mécontent et en colère ou bien éprouver de la compassion pour cet homme.

 

Puisqu’il vous est impossible d’interpréter ses motivations réelles, attribuez donc à ses gestes une signification qui ne vous portera aucun préjudice. Et donnez des significations à votre vie qui ne vous aliéneront pas!

– Source : Le coaching de l'âme - Denise Linn, p. 102

 

Si nous ne pouvons rien sur les événements, nous pouvons les modifier par la manière dont nous les acceptons.

Alfred Capus

Interpréter les événements*
Interpréter les événements*

La blague du blogue 
           
« Théo, tu as mangé tous les gâteaux sans penser à nous ! Tu aurais pu nous en laisser!

– Oh, au contraire, je n’ai cessé de penser à vous en les mangeant : j’avais trop peur de vous voir arriver ! »

 

Partager cet article
Repost0
6 juillet 2011 3 06 /07 /juillet /2011 17:00

bonété4

 

À l’intérieur de votre « home », vous ne passez pas vos journées près de l’évier, ni dans l’ombre de la cave. Vous faites en ces lieux les gestes strictement indispensables, puis, le reste du temps, vous en oubliez jusqu’au souvenir.

 

Par contre, vous recherchez dans votre maison les pièces dont le séjour est le plus agréable, c’est-à-dire où règnent une disposition heureuse, le plus confortable ameublement, la meilleure vue, le soleil.

 

Alors pourquoi restez-vous continuellement penché sur les coins d’obscurité et les sentines qui sont au fond de vous-même et ruminez-vous dans votre pensée uniquement les peines, les échecs, les rancœurs, le désespoir ?

 

N’y a-t-il pas dans votre esprit d’autres endroits d’élection ornés de vos espérances, meublés de vos joies, tapissés de vos réussites ? Que n’êtes-vous constamment à celles des fenêtres de votre âme qui donnent sur la lumière et sur le ciel ?

 

– Barbarin, Georges, Le livre de chevet, p. 82 

Choisissez vos pensées*
Choisissez vos pensées*

Le bonheur! Tout le monde le cherche et le recherche. Laissons Deepak Chopra, auteur internationalement connu et reconnu, nous livrer 5 importantes clés. Voici la deuxième.

 

2) Restez conscient que le monde extérieur reflète votre réalité intérieure. Les gens qui suscitent en vous des réactions intenses, qu’elles soient d’amour ou de colère, sont des projections de votre monde intérieur. Ce que vous détestez le plus reflète ce que vous niez le plus en vous-même. Ce qui vous aimez le plus reflète ce que vous voulez le plus pour vous-même. Servez-vous du miroir de vos relations comme d’un guide pour votre évolution, afin d’apprendre à vous connaître parfaitement. Une fois que vous y serez parvenu, vous aurez acquis ce que vous voulez le plus, et ce que vous aimez le moins disparaîtra.

 

Source : Les secrets de la sagesse, Éditions AdA Inc., p. 121

Choisissez vos pensées*

La blague du blogue

Un facteur arrive devant une maison. Il est accueilli par un énorme chien qui n’arrête pas d’aboyer.

« N’ayez pas peur, dit sa maîtresse, vous connaissez le proverbe : "Chien qui aboie ne mord pas".

– Oui, répond le facteur. Moi je connais le proverbe, mais lui, est-ce qu’il le connaît? »

 

Partager cet article
Repost0
8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 17:00

 

 

N'ayez pas peur de vous réveiller et de regarder de quoi vous êtes fait. Personne ne peut le faire pour vous. Vous seul avez ce pouvoir.

 

Vous pouvez croire qu'être en santé, c'est être toujours joyeux, rationnel, gentil, bon ; ne jamais pleurer, ne jamais montrer son désappointement, ne jamais être en colère. Cette croyance à elle seule peut vous amener à nier les mouvements spontanés et naturels qui font partie de votre personnalité.

 

Être en santé, c'est s'aimer tel qu'on est, dans tous les moments successifs de sa vie, que ce soit en colère, heureux, malheureux, triste, rieur, fou, logique, rationnel, intuitif, créatif. C'est s'aimer avec ses manques, son manque d'amour de soi et des autres, ses refus de s'ouvrir, son plaisir à le faire.

 

On ne peut atteindre une vie spirituelle intense, on ne peut accéder au bonheur en niant la nature de ses émotions, de ses pensées, et de sa réalité physique. N'ayez pas peur de ce qui surgit de vous... Donnez-vous la permission de vous sentir. Soyez votre propre laboratoire.

 

– Labonté, Marie-Lise, S'autoguérir... c'est possible, p. 184

Être en santé, c'est...*
Être en santé, c'est...*

La blague du blogue

Pour son anniversaire, la marraine de Cédric lui offre un jouet qui ne lui plaît pas vraiment…

« Merci pour ton cadeau! C’est très gentil! lui dit le petit Cédric.

– Il n’y a pas de quoi!, répond fièrement la marraine.


– Je suis bien de ton avis, mais c’est maman qui tenait absolument à ce que je te remercie. »

 

 

Partager cet article
Repost0
25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 17:00

 

 

 

Tout pour fuir le moment présent. La société moderne a institué un culte de cette fuite. Nous attendons la fin de semaine avec impatience : sans doute que le plaisir sera au rendez-vous.

 

Notre enfance, quels regrets ! Si au moins nous étions né riche. Et nous imaginons que nous gagnerons à la loterie. Nos difficultés financières disparaîtront comme par enchantement. Et dans une semaine, nous aurons oublié ce qui nous inquiète tant aujourd'hui.

 

Arrêtons-nous un peu, prenons le temps de respirer. Considérons les beautés qui nous entourent. Une à une, dans le détail.

 

Nous avons tendance à n'apprécier la santé qu'après une douloureuse maladie. Apprécions ce corps pour ce qu'il a de beau et de bon aujourd'hui.

 

Soulignons davantage dans notre vie les possibilités de réalisation qui nous sont offertes maintenant, qui sont à la portée de notre main. En nous appliquant consciencieusement à réaliser le plein potentiel de cette journée, nous augmentons réellement la beauté de toutes celles qui viendront ensuite.

 

Ne les vivons donc pas par anticipation, elles seront bien meilleures quand nous aurons totalement révélé ce que doit être celle qui est maintenant en cours.

 

– Source : Patrick Gauthier, Réflexions sur le bonheur, p. 102

 

Nous oublions souvent de sentir la magie du moment présent et pourtant, c'est elle qui bâtit le scénario de notre vie.

Michel Bouthot

Ici et maintenant*
Ici et maintenant*

La blague du blogue

 

Une très belle femme frappe à la porte de son voisin et lui dit :

J'ai une envie folle de m'amuser, de me saouler et de faire la fête toute la nuit... Êtes-vous occupé ce soir?

Non! répond le voisin, tout heureux!

Alors, vous pouvez garder mon chien??? »

 

Partager cet article
Repost0
10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 17:00

 

 

Les nombreuses demandes auxquelles nous devons faire face peuvent nous mener à l’épuisement émotif et physique. Nous contribuons à notre propre déficit lorsque nous donnons plus que nous ne recevons. Étant donné que nous avons été programmés pour donner et que le fait de recevoir nous paraît égoïste, il nous faut beaucoup de courage pour doser ce qu’il est juste et raisonnable de donner.

 

Considérez votre vie comme un compte bancaire : combien de retraits et de dépôts quotidiens pouvez-vous porter à votre compte, en termes d’efforts physiques, de sentiments, d’intelligence et d’esprit? En fait, notre vie est un compte bancaire sur lequel nous retirons ou permettons aux autres d’effectuer de trop nombreux retraits.

 

Afin de rétablir l’équilibre budgétaire, nous devons encaisser les crédits à profusion et consentir aux débits avec parcimonie. Si les sommes débitables aux plans physique, émotif, mental ou spirituel sont trop nombreuses, alors notre compte devient à découvert.

 

Il en résulte de la frustration, de la colère, de l’épuisement. Mais lorsque nous portons à notre crédit en fonction de limites réalistes, nous avons plus à donner. Même s’il nous est difficile de nous occuper de nous-mêmes, cela s’avère un excellent investissement. En veillant de la sorte sur nous-mêmes, nous nous assurons de n’avoir pas de découvert.

 

En établissant des limites réalistes, j’investis sur mon existence. Je peux choisir ce que je donnerai et ce que je ne donnerai pas. J’instaure l’équilibre en veillant à mes besoins d’ordre physique, émotionnel, mental et spirituel.

 

Source : Sagesse de femme, Sue Patton Thoele, 1995, p. 26

Notre vie est un compte bancaire*
Notre vie est un compte bancaire*

La blague du blogue  

– Le prof : Claude, combien pèse un éléphant de trois tonnes?
– Claude : Euh…
– Le prof : Bon, je vais t’aider. Écoute bien : De quelle couleur était le cheval blanc de Napoléon?
– Claude : Blanc
– Le prof : Très bien! Maintenant, combien pèse un éléphant de trois tonnes?
– Claude : Blanc?

 

Partager cet article
Repost0
28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 17:06

 

 

Ta bienveillance a exercé une influence incommensurable sur tout ce que j’ai accompli, tout ce que j’accomplis et tout ce que j’accomplirai.

Ton âme pleine de douceur a laissé une marque indélébile sur tout ce que j’ai été, tout ce que je suis et tout ce que je serai.

Par conséquent, tu fais partie de tout ce que j’accomplis et de tout ce que je suis.

Quand je prête secours à mon prochain, c’est un peu toi qui lui tends la main.

Quand je réconforte une amie, c’est un peu à toi qu’elle est redevable.

Quand je montre à un enfant une meilleure façon de faire, que ce soit par mes paroles ou mon exemple, c’est un peu toi qui lui enseignes.

Tous les gestes que je pose sont teintés des valeurs que tu m’as inculquées ; par conséquent, les erreurs que je répare, les cœurs que je réconforte, les cadeaux que je partage et les fardeaux que j’allège te rendent un modeste hommage.

Tu m’as donné la vie et, plus important encore, tu m’as enseigné à vivre ; par conséquent, tu es la source d’où jaillit tout le bien que je peux apporter en ce monde.

Pour tout ce que tu es et tout ce que je suis, merci, maman.



Source : David L. Weatherford, Bouillon de poulet pour l’âme d’une mère      

 

Le cœur d'une mère est la salle de classe d'un enfant. 

Henry Ward Beecher

Hommage aux mères*
Hommage aux mères*
Hommage aux mères*

La blague du blog

 

Le professeur demande à ses élèves d’écrire un texte de 100 mots sur leur animal préféré.

Noémie se concentre, ferme les yeux, réfléchit longuement puis écrit :

« L’autre jour, mon chat s’est sauvé de la maison. Je suis sortie, inquiète, et j’ai crié : Minou! Minou! Minou! Minou! Minou! Minou! Minou!... »

 

 

Partager cet article
Repost0
28 avril 2011 4 28 /04 /avril /2011 17:05

 

 

La critique est inévitable dans toute relation interpersonnelle. Si elle peut être constructive, encore faut-il apprendre à la formuler et à l’accepter.

Bien exprimée, la critique permet à l'autre de connaître ses points faibles et les aspects qu'il devrait améliorer, que ce soit dans ses relations avec les autres, son travail ou même, dans le sport. Avoir le sens critique est en soi une grande qualité. Les spécialistes des relations interpersonnelles s'entendent pour dire que la critique est une bonne chose, à condition de la « manipuler avec soin ». Dans la mesure où elle est objective et bien dirigée, elle évite d'accumuler les frustrations et, du même coup, de se retrouver au cœur d'un conflit.

Avant de critiquer quelqu'un, il faut vous préparer et vous demander si vos observations sont légitimes. Dans un premier temps, réfléchissez aux raisons qui vous poussent à intervenir. Quelles sont vos attentes ? Votre objectif est-il clair ? La remarque est-elle constructive ? Risque-t-elle davantage de blesser l'autre que de l'inciter à s'améliorer ? Il vous faut ensuite choisir votre moment. Pas question de tout balancer en pleine réunion d'équipe ou entre deux rendez-vous.

Attention, enfin, de ne pas vous laisser emporter. Une critique lancée sous le coup de la colère peut dépasser votre pensée et provoquer le contraire de l'effet recherché. Soyez sûr de pouvoir assumer vos affirmations, de rendre votre interlocuteur réceptif et d'accepter à votre tour un point de vue divergent.

 

 

Sources : Service Vie

Claude Sévigny, andragogue, formateur en entreprise et auprès des adultes

Ghislaine Labelle, conférencière et psychologue organisationnelle

 

Partager cet article
Repost0

Bienvenue Sur Mon Blog!

  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.

Rechercher Dans Ce Blog

Collection « Petites douceurs »

 

Petites douceurs
pour le coeur
  eBooks gratuits
     

    

icone-pour-blog-copie-1.gif

Les diapos « Petites douceurs »


montage_diapos.gif