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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 15:19

 

 

 

 

On peut être heureux partout. Il y a seulement des endroits où il semble qu’on peut l’être plus facilement qu’à d’autres. Cette facilité n’est qu’illusoire : ces endroits soi-disant privilégiés, sont généralement beaux, et il est de fait que le bonheur a besoin de beauté, mais il est souvent le produit d’éléments simples. Celui qui n’est pas capable de faire son bonheur avec la simplicité ne réussira que rarement à le faire, et à le faire durable, avec l’extrême beauté.

 

On entend souvent dire : « Si j’avais ceci, si j’avais cela, je serai heureux », et l’on prend l’habitude de croire que le bonheur réside dans le futur et ne vit qu’en conditions exceptionnelles. Le bonheur habite le présent, et le plus quotidien des présents. Il faut dire : « J’ai ceci, j’ai cela, je suis heureux. » Et même dire : « Malgré ceci et malgré cela, je suis heureux. » Les éléments du bonheur sont simples, et ils sont gratuits, pour l’essentiel.

 

Il n’est pas de condition humaine, pour humble ou misérable qu’elle soit, qui n’ait quotidiennement la proposition du bonheur : pour l’atteindre, rien n’est nécessaire que soi-même. Ni la Rolls, ni le compte en banque, ni Megève, ni Saint-Tropez ne sont nécessaires.

 

Au lieu de perdre son temps à gagner de l’argent ou telle situation d’où l’on s’imagine qu’on peut atteindre plus aisément les pommes d’or du jardin des Hespérides, il suffit de rester de plain-pied avec les grandes valeurs morales. Il y a un compagnon avec lequel on est tout le temps, c’est soi-même : il faut s’arranger pour que ce soit un compagnon aimable. Qui se méprise ne sera jamais heureux et, cependant, le mépris lui-même est un élément de bonheur : mépris de ce qui est laid, de ce qui est bas, de ce qui est facile, de ce qui est commun, dont on peut sortir quand on veut à l’aide de sens.

 

Dès que les sens sont suffisamment aiguisés, ils trouvent partout ce qu’il faut pour découper les minces lamelles destinées au microscope du bonheur. Tout est de grande valeur : une foule, un visage, des visages, une démarche, un port de tête, des mains, une main, la solitude, un arbre, des arbres, une lumière, la nuit, des escaliers, des corridors, des bruits de pas, des rues désertes, des fleurs, un fleuve, des plaines, l’eau, le ciel, la terre, le feu, la mer, le battement d’un cœur, la pluie, le vent, le soleil, le chant du monde, le froid, le chaud, boire, manger, dormir, aimer. Quand l’homme s’est fait une nature capable de fabriquer le bonheur, il le fabrique quelles que soient les circonstances, comme il fabrique des globules rouges.

 

Source : Giono, Jean. La chasse au bonheur, Recueil de chroniques écrites à la fin de sa vie, entre 1966 et 1970, Éditions Gallimard

La chasse au bonheur*

Nous sommes à quelques jours de célébrer la St-Valentin. Pour cette occasion, je vous présente une vidéo tout à fait indiquée dans les circonstances. Il s'agit d'un texte écrit par Yvon Dallaire, psychologue. Bon visionnement.

Pour revoir toutes mes vidéos, faites une visite sur ma chaîne Youtube.

 

La chasse au bonheur*

La blague du blog


Deux inconnus, homme et femme, doivent partager un wagon-lit.

Gênés mais fatigués, ils s'endorment vite. Lui sur la couchette du haut, elle en bas.

Durant la nuit l’homme réveille la dame :
— Pardon, mais j’ai froid. Pourriez-vous me donner la couverture dans le casier ?

— J’ai mieux. Faisons semblant que nous sommes tous deux mariés depuis 10 ans...

— Wow ! d’accord !

— Bon, va la chercher toi-même et ne me fais pas suer. 

 

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26 mai 2014 1 26 /05 /mai /2014 12:00

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Et si c'était la dernière fois que tu voyais, tu regarderais avec une telle attention que ton regard, d'un seul coup d'œil, embrasserait tout l'horizon.

Et si c'était la dernière fois que tu marchais, tu poserais tes pieds avec tant de douceur et de légèreté qu'ils deviendraient des ailes et tu pourrais voler.

Et si c'était la dernière fois que tu respirais, tu humerais l'air avec un tel allant que tu te trouverais vivant jusqu'à la fin des temps.

Et si c'était la dernière fois que tu t'éveillais, ce moment d'ultime conscience aurait tellement de force et de clarté qu'il éclairerait tes nuits jusqu'à l'éternité.

Et si c'était la dernière fois que tu pensais, la plus vulgaire de tes pensées s'auréolerait de tant d'innocence qu'elle te conduirait jusqu'à la source : au pays du silence.

Et si c'était la dernière fois que de la solitude tu souffrais, tu serais si reconnaissant de connaître l'absence que tu percevrais le parfum de l'éternelle présence.

Et si c'était la dernière fois que tu jugeais, tu serais si confus de ce penchant coupable que tu verrais le beau au sein du condamnable.

Et si c'était la dernière fois que tu te remémorais les bons moments et les mauvais, tu remercierais si fort de les avoir connus que tu verrais les fils entre les deux tendus.

Et si c'était la dernière fois que tu créais, ton inspiration serait si féconde que tu pourrais comprendre l'origine du monde.

Et si c'était la dernière fois que tu aimais, tu glorifierais l'instant avec un tel zèle qu'il emplirait ton cœur à jamais d'amour universel.

Et si c'était la dernière fois que tu riais, ton esprit tant se dilaterait qu'au mirage du petit « je », jamais plus ne se prendrait.

Et si c'était la dernière fois que face à toi-même tu te trouvais, tu rentrerais tant dans ce jeu de miroir que tu pourrais percer le secret de ton histoire.

Et si c'était la dernière fois que tu lisais, les mots au fond de toi prendraient âme et corps et donneraient naissance à l'Être que tu n'es pas encore.

Si tu fais toute chose avec autant de passion, d'attention et d'amour que si c'était la dernière fois, alors, ce sera la première fois où tu SERAS.

— Texte de Gérard Bellebon

Et si c'était la dernière fois*
Et si c'était la dernière fois*

Shakespeare a dit :

 

 « Je me sens toujours heureux, vous savez pourquoi ?
Parce que je n'attends rien de personne...
Les attentes font toujours mal, la vie est courte...
Aimez votre vie, soyez heureux, gardez le sourire et souvenez-vous :
Avant de parler, écoutez...
Avant d'écrire, réfléchissez...
Avant de prier, pardonnez...
Avant de blesser, considérez l'autre...
Avant de détester, aimez...
Et avant de mourir, vivez ! »

Et si c'était la dernière fois*

La blague du blog

Si la personne que tu aimes tremble quand tu la prends dans tes bras, si sa respiration est secouée de spasmes, si ses lèvres sur les tiennes sont ardentes comme la braise, si tu vois dans ses yeux briller une lueur spéciale, CASSE-TOI, c'est la GRIPPE!!!!!!!!!

 

 

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 17:10

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Voici un petit exercice de lâcher-prise tout simple et très parlant que vous pouvez reprendre à volonté chaque fois qu’une situation problématique se présente dans votre vie.

Imaginez que vous étendez un bras droit devant vous, le dos de la main fixant le ciel, tandis que vous tenez fermement dans votre paume un diamant précieux. Vous garderez, bien entendu, votre main solidement fermée, vos doigts s’agrippant au joyau pour ne pas le laisser s’échapper.

Alors si quelqu’un vous invite à lâcher prise, que ferez-vous ? Ouvrirez-vous la main au risque de laisser tomber le diamant ?

Que se passe-t-il dans votre tête si vous vous dites que vous devez laisser aller ce que vous avez de plus cher ? Croyez-vous que lâcher prise veuille dire laisser tomber, renoncer, capituler, jeter l’éponge, perdre la face ou abandonner la partie ? Si c’est le cas, pas étonnant que vous refusiez de vous y soumettre !

Or, le vrai lâcher-prise implique plutôt de voir les choses autrement, de vous ouvrir à de nouvelles avenues auxquelles vous n’avez pas encore songé par vous-même.

Dans le cas présent, il n’est pas nécessaire de garder la main tournée vers le sol pour l’entrouvrir : vous pouvez la retourner vers le haut, paume vers le ciel, et dénouer vos doigts afin de faire de la place aux nouvelles possibilités qui se présentent à vous.

Lâcher prise, c’est tout simplement lâcher le contrôle, faire confiance à la Vie et vous ouvrir pour recevoir les innombrables bienfaits qui pleuvent sur votre tête.

La prochaine fois que vous sentirez qu’il vous faut lâcher prise, refaites ce petit geste significatif : libérez-vous de votre souci en le remettant entre les mains de votre âme, de Dieu ou de toute autre personnes « là-haut » en qui vous avez confiance… Puis, tendez les mains droit devant vous, ouvertes et prêtes à accueillir de merveilleux joyaux sous forme de bénédictions providentielles ou de solutions parfaites !



Source : Dre Diane LeBlanc, Tout va mal ? Tant mieux ! Éditions Le Dauphin blanc, 2013, p. 173 

Exercice de lâcher-prise*

La blague du blog

Une patiente, à son médecin :

— Docteur, cela fait cinq minutes que vous m'avez demandé de tirer la langue et vous ne la regardez même pas !

— C'était juste pour être tranquille pendant que je rédige votre ordonnance.

 

 

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 17:03
         

Il était une fois deux femmes

Il était une fois deux femmes
Qui ne s'étaient jamais rencontrées.
L'une dont tu ne te souviens pas,
L'autre que tu appelles « Maman ».

Deux vies différentes
Dans l'accomplissement d'une seule, la tienne.
L'une fut ta bonne étoile,
L'autre est ton soleil.

La première te donna la vie,
La seconde t'appris comment la vivre.
La première créa en toi le besoin d'amour,
La seconde fut là pour le combler.

L'une te donna tes racines,
L'autre te donna son nom.
La première te transmit ses dons,
La seconde te proposa un but.

L'une fit naître en toi l'émotion,
L'autre calma tes angoisses.
L'une reçut ton premier sourire,
L'autre sécha tes larmes.

L'une t'offrit en adoption,
C'est tout ce qu'elle pouvait faire pour toi.
L'autre pria pour avoir un enfant,
Et le destin la mena vers toi.

Et maintenant, quand en pleurant,
Tu me poses l'éternelle question,
Héritage naturel ou éducation ?
De qui suis-je le fruit?
Ni de l'une ni de l'autre mon enfant,
Tout simplement de deux formes différentes de l'AMOUR

 

Jean-Vital de Monléon

Extrait du livre : Naître là-bas, grandir ici

 

Reçu par le site Nature et Poésie

 

 
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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 17:01

 

 

Quand j’ai les idées embrumées et que j’ai l’impression de flotter dans un monde étrange qui ressemble au Pays de Nulle Part… Quand la souffrance se réveille et englue mes sentiments de gris et de noir… c’est que je suis souvent rendue au bout de mes forces ! Je me suis laissée envahir par les tâches nombreuses et les chevaux de mon petit carrousel sont partis au galop ! C’est le tintamarre dans ma tête.

J’ai trouvé un bon moyen pour me recentrer. Je me ferme les yeux et je visualise une rivière qui coule sereinement… Je la suis en pensée jusqu’à la chute. Je me laisse entraîner vers le « lac de la sérénité »… là où coule une belle cascade…

Je la laisse m’inonder et me mouiller toute entière ! Elle me lave de tous mes soucis et j’en profite pour m’abreuver à celle-ci… À l’automne de ma vie, l’arbre que je suis… a perdu sa plus belle feuille ! Sa beauté, ses coloris chatoyants faisaient de celle-ci une feuille unique…

À chaque fois que mes pensées se dirigent vers elle, je l’imagine rendue au pied de sa cascade déferlante, tendant « sa » joue de feuille… à la caresse de l’onde bienfaisante… La rivière l’a sûrement emmenée à cet endroit magnifique que j’aime à m’imaginer ! Un grand bonheur jamais ne meurt car il continue de nous crier des « Je t’aime » en signe de « requiem ».

Me tenir tout près de l’eau vive et voir l’arc-en-ciel se dessiner… Imaginer des angelots qui voltigent de nuage en nuage… Voir la colombe de la Paix intérieure… battre des ailes juste pour moi… Toutes ces belles « pensées magiques » m’aident à me détendre et à retrouver le sourire confiant en la Vie !

C’est ainsi que je garde « l’espoir » bien vivant en moi. Que je me purifie les idées quand la grisaille m’envahit… Peu importe que je sois chez moi plutôt que dans la nature car je la visualise ! J’en fais une belle toile que je peux contempler quand je le veux… Sortez de votre « cadre » ! Venez me rejoindre ! À quand le rendez-vous ?

Jovette Mimeault

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22 avril 2014 2 22 /04 /avril /2014 17:00

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Rien ne stimule autant que des encouragements sincères. Ne vous imaginez pas pouvoir améliorer les autres en soulignant sans cesse leurs imperfections. Si vous avez déjà une si piètre opinion d'elle, pourquoi ferait-elle des efforts ? Pourquoi est-ce qu'une personne serait motivée à s'améliorer puisque vous la critiquez ?

Si vous critiquez régulièrement quelqu'un, il pourrait devenir complètement démotivé. Et vous obtiendrez l'effet contraire de vos critiques ; c'est-à-dire que plus vous critiquez et moins la personne veut s'améliorer. Critiquer est une mauvaise méthode dans la grande majorité des cas. Il est très souvent préférable de garder ses opinions négatives pour soi. Pour influencer positivement les autres, il faut les encourager même si la réalité n'est pas tellement fameuse.


Ceci ne signifie pas qu'on doit fermer les yeux et ne pas voir que quelqu'un est en train de se faire ou de vous faire du tort. Si vous devez absolument souligner certains éléments négatifs du comportement de quelqu'un, faites-le avec une grande diplomatie. Faites-le en mentionnant également les qualités de la personne. Et mettez l'accent sur celles-ci. Car si vous ne soulignez que les points négatifs de quelqu'un, vous perdrez en partie sa confiance.

En général, plutôt que de critiquer, il faut chercher à découvrir chez les autres des vertus et des qualités. Ces éléments positifs sont parfois cachés et quelquefois la personne elle-même ne les connaît même pas. Il faut prendre l'habitude de regarder profondément dans les êtres au lieu de se limiter aux apparences. Celles-ci sont souvent trompeuses. Il est facile et peu noble de trouver les défauts de quelqu'un. Mais pour trouver les qualités, il faut parfois une grandeur d'âme. Lorsque vous aurez développé cette habitude
, vous percevez les gens qui vous entourent différemment. Et vous aurez naturellement tendance à complimenter plutôt qu'à critiquer.
 


Source : Denis St-Pierre / Site Évolution 101 

La meilleure façon d'avoir de bonnes relations avec les autres est de se concentrer sur leurs qualités. Et ensuite de les aider à exprimer le mieux possible celles-ci. 

Allen J. Boone

La bonne façon de critiquer est...*
La bonne façon de critiquer est...*

La blague du blog

– Je vais acheter cette toile, dit le client au peintre.
– C'est une affaire, Monsieur. J'y ai passé dix ans de ma vie.
– Dix ans ? Quel travail !
– Eh oui, deux jours pour la peindre et le reste pour réussir à la vendre !
 

 

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 17:00

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Elle était belle, la maison d’Edgar, avec ses trois lucarnes, sa porte de chêne, sa galerie blanche qui courait tout autour. Edgar s’aperçut que la galerie était endommagée. Que faire ? La réparer, attendre, la remplacer ? Puis l’eau se mit à entrer par le toit, à s’infiltrer dans les lucarnes. Edgar, toujours, hésitait ; les réparations, ça coûte cher ! Et voilà que même la porte de chêne se défraîchit et se crevassa comme une vieille peau.

 

Finalement, à force d’hésiter, de se demander s’il réparait ou non, s’il y tenait ou non, Edgar finit par n’avoir plus sur les bras qu’un taudis. Au point de départ, ce qui a fait défaut chez Edgar, c’est qu’il n’avait pas pris la décision de garder sa maison et de la sauver, au besoin, par un entretien régulier.

 

Les relations humaines, c’est comme la maison d’Edgar... Que ce soit entre conjoints, entre amis, entre compagnons de travail, on s’aperçoit un jour que la relation a été abîmée par tel mot, puis par tel geste, puis encore par tel oubli. Et si on n’y prend garde, on se trouve avec une relation complètement détériorée, brisée, irréparable.

 

L’entretien quotidien d’une relation passe nécessairement par le pardon... presque quotidien. Mais à la base du pardon, il y a une décision d’aimer : « J’estime à ce point cette relation que je suis prêt à y mettre le coût, le temps qu’il faut pour bien l’entretenir. »

 

En régime humain, aimer, c’est nécessairement pardonner. C’est entretenir et réparer les relations qu’on abîme si facilement par des mots, des maladresses, des omissions. Mais n’oublions pas surtout qu’à la base du pardon, il n’y a pas d’abord le respect d’une loi ou un calcul humain, mais un amour de l’autre et un désir intense de garder et d’intensifier notre relation avec cet autre.

 

— Texte de George Madore (Merci M. Lapointe pour l’envoi)

 

Si tu veux parler à Dieu, arrête-toi, choisis un endroit calme et parle-Lui. Si tu veux Le voir,
envoie-Lui un TEXTO en conduisant...

Le pardon qui fait vivre*
Le pardon qui fait vivre*

La blague du blog

 

Au poste de police, le Capitaine croise un jeune policier fraîchement débarqué de l'école de police.
— Comment vous appelez-vous, mon garçon ?
— Yves, et vous ?
— Le capitaine, furieux, s'écrie :
— Mon petit bonhomme, je ne sais pas d'où vous arrivez, mais sachez que je suis le Capitaine et que je m'appelle Mon CAPITAINE. De même, dans ma compagnie, j'appelle les gens par leur nom de famille. Si vous vous appelez Yves Tartempion, je vous appellerai Tartempion, mais pas Yves. Me suis-je bien fait comprendre ?
— Oui, mon capitaine.
— Alors, c'est quoi votre nom de famille ?
— Montchéri.
— Très bien, Yves, au travail.

 

 

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12 mars 2014 3 12 /03 /mars /2014 18:00

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« J'ai toujours eu comme principe que la vie est une grande école. Les leçons que nous avons à apprendre sont parfois fort amères. On blâme alors les événements, les personnes, les rendant responsables de tous nos malheurs. Et si plutôt, on considérait chacun comme un « professeur de vie », placé sur notre route pour nous aider à faire certaines prises de conscience... »


***************

 
Le premier principe : « Quiconque vous rencontrez est la bonne personne. »


Ceci signifie que personne n’arrive dans notre vie par hasard. Tout personne près de nous, toute personne avec qui nous rentrons en contact, est là pour nous enseigner quelque chose ou pour nous aider à améliorer une situation présente.

Le second principe : « Peu importe ce qui est arrivé, c’est la seule chose qui pouvait arriver. »

Rien, absolument rien de ce que nous avons expérimenté n’aurait dû être autre chose. Il n’y a pas de « si seulement j’avais agi différemment, ça aurait été différent. » Non. Ce qui s’est passé est la seule chose qui aurait pu et a dû prendre place dans notre vie pour apprendre la leçon et avancer. Chacune des circonstances de notre vie est absolument parfaite, même si cela défie notre compréhension et notre ego.

Le troisième principe : « Chaque moment est le bon moment. »

Toute chose commence exactement au bon moment, ni trop tôt, ni trop tard. Quand nous sommes prêts pour quelque chose de nouveau dans notre vie, c’est là, prêt à débuter.

Quatrième et dernier principe : « Ce qui est terminé est terminé. »

C’est simple. Lorsque quelque chose se termine dans notre vie,
c’est que l’expérience nous a permis d’évoluer et de nous enrichir. Elle n’a donc plus d’utilité, il vaut mieux lâcher prise et avancer.

Soyez bon pour vous-même. Aimez de tout votre être. Soyez toujours heureux.

La sagesse de la vie est toujours plus profonde et plus large que la sagesse des hommes.

Maxime Gorki

Même un flocon de neige ne tombe accidentellement au mauvais endroit.

Les 4 principes de la spiritualité indienne*

Texte à réfléchir...

Aux fêtes, une amie m'a fait parvenir un texte magnifique :
Si je ne lui dis pas... (Merci Odette B.). Comme il est un peu trop long pour faire office de texte principal et trop beau pour demeurer dans mes archives, j'ai pensé vous en faire une version PDF. Pour le lire, cliquez ici. (3 pages) - Tiré de Sélection du Reader's Digest.

Les 4 principes de la spiritualité indienne*

La blague du blog

Un policier arrête une automobiliste.

— Vous n'aviez pas vu le feu rouge ?

— Si, c'est vous que je n'avais pas vu ! 

 

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18 février 2014 2 18 /02 /février /2014 15:25

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Vous arrive-t-il de prier le ciel pour obtenir un miracle, d’implorer Dieu, les anges, l’Univers entier pour faire advenir LA solution parfaite à un problème particulier ? Qu’il s’agisse d’une maladie grave, d’un souci financier, d’un conflit avec une personne chère à vos yeux ou de toute autre difficulté existentielle, le réflexe bien humain n’est-il pas de se tourner vers une force plus grande que la sienne ?

 

Vous le savez maintenant, le négatif attire le négatif et le manque attire le manque. Bien souvent, lorsque vous en venez à demander qu’un miracle survienne, c’est parce que vous êtes vous-même désespéré. Vous sentez que vous avez tout essayé et que vous devenez de plus en plus démuni, impuissant, angoissé ou anéanti par la situation « extérieure » qui vous oppresse. Le sentiment de « vide intérieur » que vous ressentez alors finit par vous inciter à demander de l’aide : d’abord autour de vous, si possible, puis auprès d’« instances supérieures »…

 

Plus l’urgence est grande, plus le miracle demandé est important… et tarde à venir. Pourquoi ? Parce que toute votre attention est focalisée sur la souffrance ressentie et non sur l’occasion qui vous est offerte de faire émerger votre magie intérieure, de mettre votre âme à contribution et de vous abandonner à la puissance miraculeuse qui VOUS habite. Dans le langage des oiseaux, la magie ne pourrait-elle pas se dire aussi l’âme agit ?

 

Et si la solution se trouvait à l’intérieur de vous plutôt qu’à l’extérieur ? Que le vrai miracle ne consistait pas nécessairement à résoudre votre problème « imminent » (des difficultés, vous en affronterez tous les jours !) mais bien à retrouver l’attitude positive qui attirera à vous les meilleures solutions (réponses, ressources, soins, etc.) en tout temps ?

 

Laisser la magie s’installer, laisser agir son âme, c’est faire confiance que tout arrive pour le mieux et qu’il ne sert donc à rien de s’inquiéter pour quoi que ce soit dans l’immédiat. De la même façon que lorsque la tempête fait rage sur l’océan, les profondeurs de la mer demeurent imperturbables – les poissons vaquent à leurs occupations comme si de rien n’était – vous avez la possibilité de plonger en vous-même pour retrouver la paix et la sérénité auxquelles vous aspirez : il vous suffit de « lâcher prise ».

 

Lâcher prise, c’est prendre le temps de considérer tous les miracles déjà présents dans votre vie, apprécier toutes les personnes merveilleuses qui vous entourent et éprouver de la gratitude pour tous les petits bonheurs qui donnent un sens à votre existence. La joie attire la joie. Plus vous vous appliquez à voir la magie à l’œuvre dans votre quotidien, plus vous attirerez, tel un aimant, des moments magiques : des solutions apparaissent comme par « enchantement », des personnes croisent votre route pour votre plus grand bonheur, des possibilités auxquelles vous n’auriez jamais osé rêver arrivent…



Source : Dre Diane LeBlanc, Tout va mal ? Tant mieux ! Le Dauphin blanc, 2013, pp 171-174

 

Miracle ou lâcher-prise?*
Miracle ou lâcher-prise?*

La blague du blog

Pierre : – Dis moi, si je couche avec ta femme, on est amis ?
Paul : – Non !
Pierre : – On est copains ?
Paul : – Non !
Pierre : – On est ennemis ?
Paul : – Non !
Pierre : – On est quoi alors ?
Paul : – On est « quittes » !

 

 

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29 janvier 2014 3 29 /01 /janvier /2014 19:20

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Lorsque vous souffrez, quand vous êtes malheureux, restez complètement avec ce qui est, au Présent. Le malheur ou les problèmes ne peuvent survivre dans le Présent.

La souffrance est déclenchée lorsque vous apposez mentalement à une situation l’étiquette d’indésirable ou de mauvaise. Vous avez du ressentiment face à une situation, et ce ressentiment la personnalise et amène un « moi » réactif.

On a l’habitude de nommer et de cataloguer, mais on peut rompre avec cette manie. Commencez une pratique de « non-étiquetage » par de petites choses. Si vous ratez l’avion, cassez une tasse ou glissez dans la boue, pouvez-vous vous retenir d’appliquer à cette expérience l’étiquette de « mauvaise » ou de « pénible » ? Pouvez-vous immédiatement accepter l’instant tel qu’il est ?

Le fait de donner à une chose l’étiquette de « mauvaise » provoque en vous une contraction émotionnelle. Lorsque vous la laissez être, sans la qualifier, un pouvoir énorme est soudain mis à votre disposition.

La contraction vous sépare de ce pouvoir, du pouvoir de la Vie même.

Dépassez le bien et le mal en vous empêchant de donner à quoi que ce soit l’étiquette mentale de « bon » ou de « mauvais ». Lorsque vous dépassez l’habitude d’étiqueter, la force de l’univers passe par vous. Lorsque vous êtes en relation non réactive avec des expériences, ce que vous auriez appelé « mauvais » reçoit un redressement rapide, sinon immédiat, par la force de la Vie même.

Observez ce qui a lieu lorsque vous n’utilisez pas l’étiquette de « mauvaise » et que vous choisissez plutôt une acceptation intérieure, un « oui » intérieur, et laissez cette chose être telle qu’elle est.

— Source :
Eckart Tollé, Quiétudes

Quelle que soit votre situation dans la vie, comment vous sentiriez-vous si vous l’acceptiez telle quelle – dès maintenant ?

Pratiquez le « non-étiquetage »*

La blague du blog

Dans un supermarché, deux gars entrent en collision avec leur panier d’épicerie. Indigné, l'un des deux s’exclame :

– Hé ! Vous ne pouvez pas faire attention ?
– Excusez-moi, je ne vous ai pas vu. Je cherchais ma femme.
– Tiens ! Quelle coïncidence ! Moi aussi, je cherche la mienne ! Et elle est comment, votre femme ?
– Eh bien, elle est grande, brune, les yeux d'un bleu très profond, des jambes extrêmement bien faites, une poitrine généreuse, des lèvres charnues. Elle porte un tailleur noir très serré et décolleté, un petit peu trop peut-être…, et un chemisier transparent. Et la vôtre, comment est-elle ?
– Oh, laissez tomber ! Allons trouver la vôtre... !

 

 

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 18:00

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Il n’est pas nécessaire que vous fassiez de grandes choses pour changer le monde ; vous n’avez qu’à vous changer vous-même. Une attitude positive et déterminée crée des expériences de vie positives, et quand plusieurs d’entre nous se concentrent sur cet objectif, leurs pensées donnent naissance à des événements mondiaux positifs.

 

La même chose se produit quand vous pensez sans cesse à ce qui va mal dans le monde. En vous concentrant sur votre dégoût de la guerre et des décisions qu’elle implique, vous ne ferez jamais advenir une paix durable. Même si vous souhaitez la venue d’un monde de paix, vous alimentez le conflit.

 

Un amour de la paix et des manifestations de paix dans votre propre vie sont une formule beaucoup plus efficace pour instaurer une paix durable. Le fait d’être en paix avec vous-même vous inspirera à parler et à agir différemment, ce qui aura un effet domino non seulement sur les gens avec qui vous entrez en contact, mais aussi sur des personnes vivant dans d’autres parties du monde.

 

Faire preuve de tolérance et essayer de comprendre les actions des autres contribuent davantage à l’avènement d’un monde de paix qu’un désir de paix alimenté par la haine de la guerre et de tout ce qu’elle représente.

 

La prochaine fois que vous vous surprendrez en train de parler en mal d’une personne ou de réagir avec colère quand on vous parle de quelqu’un ou quelque chose, arrêtez-vous et demandez-vous ce que vous êtes en train de faire, et quel sera l’impact de vos paroles sur votre vie et celle des autres.

 

Vous savez ce que vous faites subir à votre corps en ayant constamment des pensées négatives, alors que croyez-vous que nous faisons chaque jour à notre monde quand des millions d’entre nous se concentrent sur des choses négatives et passent leur journée à alimenter des conflits mentaux et émotionnels entre eux et les autres ?

 

Nous sommes tous intimement liés à tous les atomes de l’univers. Nous sommes tous importants et nos pensées, émotions et paroles sont extrêmement puissantes. La personne que nous choisissons d’être à partir d’aujourd’hui aura un effet sur le monde. Alors, qui choisissez-vous d’être ?

 

Source : David R. Hamilton, C’est la pensée qui compte, Éditions AdA Inc., 2008

Inspirer la paix*
Inspirer la paix*

Shakespeare a dit un jour : « Je me sens toujours heureux, vous savez pourquoi ? Parce que je n'attends rien de personne... Les attentes font toujours mal, la vie est courte... Aimez votre vie, soyez heureux, gardez le sourire et souvenez vous :
 

 

Avant de parler, écoutez...

Avant d'écrire, réfléchissez...

Avant de prier, pardonnez...

Avant de blesser, considérez l'autre...

Avant de détester, aimez...

Et avant de mourir, vivez !

Inspirer la paix*

La blague du blog

Pendant qu'elle se baladait dans la rue, une belle jeune femme se rend compte qu'elle est suivie depuis 20 minutes par un aussi beau jeune homme. Troublée, elle prend quelques instants de réflexions, se retourne et dit finalement au jeune homme :

– Tout de même monsieur, vous n'allez pas me suivre jusque chez moi, au numéro 21, de la rue St-Joseph, au 3e étage chambre 305, la 5e porte au fond à droite après l'ascenseur...

 

 

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11 décembre 2013 3 11 /12 /décembre /2013 19:43

 



Vous arrive-t-il de vous demander pourquoi nous crions lorsque nous sommes fâchés ? Voici de quoi réfléchir...

Un sage hindou, en visite au Gange pour prendre un bain, remarque un groupe de personnes criant les unes après les autres.

Il se tourne alors vers ses disciples, sourit et demande : « Savez-vous pourquoi les gens crient les uns après les autres lorsqu'ils sont en colère ? »

Les disciples réfléchissent pendant un moment et l'un d'eux dit finalement : « C'est parce que nous perdons notre calme. »

« Mais, pourquoi criez-vous quand l'autre personne est juste à côté de vous ?, demande le guide. Vous pourriez tout aussi bien lui dire ce que vous avez à dire d'une manière plus douce. »

Puisqu’aucune des réponses des disciples n'était suffisamment satisfaisante pour le sage, il a finalement expliqué :

« Quand deux personnes sont en colère l'une contre l'autre, leurs cœurs sont séparés par une grande distance. Pour couvrir cette distance, elles doivent crier, sinon elles sont incapables de s'entendre l'une et l'autre. Alors plus elles sont en colère, plus elles auront besoin de crier fort.

« Qu'est-ce qui se passe lorsque deux personnes tombent en amour
 ? Elles ne crient pas l’une après l'autre. Elles se parlent doucement parce que leurs cœurs sont très proches. La distance entre eux est soit inexistante, soit très faible. »

Et le sage continua...

« Quand elles s'aiment encore plus, que se produit-il ? Elles ne se parlent pas, elles chuchotent et obtiennent encore plus de proximité et plus d'amour. Enfin, vient un moment où elles n'ont même plus besoin de chuchoter, elles se regardent seulement et se comprennent. »

Puis il regarda ses disciples et leur dit :

« Ainsi, quand vous discutez les uns avec les autres, ne laissez pas vos cœurs s'éloigner. Ne dites pas les mots qui vous éloignent davantage, ou bien viendra un jour où la distance sera si grande que vous ne trouverez plus le chemin du retour. »
 

 

 

Pourquoi crions-nous?*

La blague du blog

Il y a quatre âges dans la vie de l'homme :

celui où il croit au Père Noël ;
celui où il ne croit plus au Père Noël ;
celui où il est le Père Noël ;
celui où il ressemble au Père Noël.

Le papa de Jérome lui demande ce qu'il a demandé au père Noël, et David lui répond :
– Je lui ai demandé qu'il vienne plus souvent...

 

 

 

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13 novembre 2013 3 13 /11 /novembre /2013 19:00

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Si vous construisiez une maison pour votre famille, vous prendriez un intérêt extrême aux plans de votre architecte et vous insisteriez pour que l’entrepreneur se conforme à ses plans. Vous surveilleriez les matériaux et ne choisiriez que le meilleur bois, le meilleur acier ; vous voudriez en tout la première qualité.

Que faites-vous de votre maison mentale et de vos plans mentaux pour votre bonheur et votre abondance ? Tout ce qui entre dans votre vie dépend de la nature des matériaux dont vous vous servez pour la construction de votre demeure mentale.

Si vos plans sont pleins de concepts mentaux de peur, de souci, d’anxiété ou de pénurie et si vous êtes déprimé, plein de doute et de cynisme, alors la texture du matériau mental que vous tissez dans votre esprit se manifestera sous la forme d’un accroissement de labeur, de soucis, de tension, d’anxiété et de limitations de toutes sortes.

L’activité fondamentale par excellence et de plus grande portée dans la vie est celle que vous élaborez à chaque heure de jour dans votre mentalité.

Sans cesse vous construisez votre demeure mentale et votre pensée et votre imagerie mentale constituent vos plans. D’heure en heure, d’instant en instant, vous pouvez élaborer la santé radieuse, le succès et le bonheur au moyen de pensées que vous entretenez, des idées que vous accueillez, des croyances que vous acceptez et des scènes que vous répétez dans le studio secret de votre esprit. Ce majestueux édifice, dans la construction duquel vous êtes perpétuellement engagé, c’est votre personnalité, votre identité sur le plan extérieur, toute l’histoire de votre vie sur cette terre.

Faites des plans nouveaux ; construisez silencieusement en prenant conscience de la paix, de l’harmonie, de la joie et de la bonne volonté dans le moment présent. En méditant sur ces choses-là, en les revendiquant, votre subconscient va accepter votre nouveau plan et va manifester dans votre vie ces qualités.

Source : Joseph Murphy, La puissance de votre subconscient, p. 72
 

Dans le studio secret de votre esprit*

La blague du blog

Une fillette et un garçonnet jouent à cache-cache. La fillette dit au jeune garçon : « Si tu me trouves, je te donne un bec, et si tu ne me trouves pas, je serai dans la garde-robe ! »

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23 octobre 2013 3 23 /10 /octobre /2013 17:00

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Le pouvoir réside toujours dans l’instant présent. Vous n’êtes jamais coincé. C’est ici que les changements s’effectuent : ici et maintenant, dans notre propre esprit ! Peu importe depuis combien de temps nous entretenons des pensées négatives, une mauvaise santé, des relations décevantes, une situation financière précaire ou un manque d’amour pour nous-mêmes : nous pouvons amorcer un changement aujourd’hui !

 

Il n’est plus nécessaire que vos problèmes demeurent votre réalité. Ils peuvent disparaître comme ils sont apparus. Vous en avez le pouvoir. Souvenez-vous : vous êtes le seul maître de vos pensées et de votre esprit ! Vous possédez le pouvoir et l’autorité dans votre monde !

 

Vos pensées et croyances passées ont créé cet instant, et tous ceux qui l’ont précédé. Ce que vous choisissez maintenant de croire, de penser et de dire créera l’instant suivant, le jour suivant, le mois suivant, et tout votre avenir.

 

C’est maintenant que se déclenche le nouveau processus. Chaque instant est un nouveau commencement, c’est ici et maintenant que se produit le nouveau commencement! Cet instant est celui du pouvoir!

 

Arrêtez-vous un moment et prenez conscience de vos pensées. À quoi pensez-vous en cet instant ? S’il est vrai que vos pensées façonnent votre vie, désireriez-vous que cette pensée devienne réalité pour vous ? S’il s’agit d’un sentiment de crainte, d’un souci, d’un désir de vengeance, comment croyez-vous que cette pensée se répercutera en vous ?

 

Il serait stupide de choisir des pensées qui engendreront de la douleur ou des problèmes. C’est comme choisir de la nourriture que nous ne supportons pas. Après un ou deux essais malheureux, nous nous en abstenons. Il en va de même avec les pensées. Cessons d’utiliser les pensées qui causent problèmes et douleur.

 

Source : Louise L. Hay, Transformez votre vie, p. 55

 

Chaque instant est un nouveau commencement*
Chaque instant est un nouveau commencement*

La blague du blog

 

Un homme d'affaires rentre à la banque pour solliciter un emprunt. « Bonjour, dit-il au directeur. Il fait beau aujourd'hui, hein ?  »

Tout au long de son entretien, l'homme d'affaires ne cesse de répéter : « Comme il fait beau ! » en regardant à la fenêtre. Irrité, le directeur lui demande enfin : « Pourquoi parlez-vous toujours de la température ? »

« Parce que lors de mon dernier emprunt, vous m'aviez dit : « Avant que je te prête d'autre argent, il va falloir qu'il fasse beau en maudit ! »

 

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2 octobre 2013 3 02 /10 /octobre /2013 17:00

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L’inquiétude est quelque chose que nous connaissons tous et qui apporte un sentiment bien pesant, voire extrêmement oppressant. Mais à quoi sert-elle cette inquiétude? À RIEN!

 

Non seulement l’inquiétude ne nous protégera pas d’éventuelles difficultés (il arrivera de toute façon ce qui doit arriver, et ce n’est pas le fait d’être inquiet ou pas qui changera quoi que ce soit) mais en plus, quand nous sommes dans l’inquiétude, nous sommes tellement absorbés par elle que nous ne pouvons être disponibles à l’instant présent, ce qui nous empêche de profiter des bonnes choses (petites ou grandes) qui surviennent entretemps sur notre route.

 

L’inquiétude arrive lorsque nos pensées nous emmènent vers des projections négatives sur l’avenir. On craint de voir arriver un événement fâcheux ou douloureux, mais concrètement, il ne s’agit que d’une illusion, d’une possibilité oui, mais absolument pas d’une certitude sur l’avenir. Ce n’est qu’un scénario possible parmi tellement d’autres envisageables et plus positifs.

 

Si quelque chose de négatif devait arriver, il sera toujours temps de s’en préoccuper. Il ne sert donc à rien de se tracasser pour quelque chose qui n’existe pas ici et maintenant et qui n’existera sans doute jamais. L’inquiétude n’est pas une fatalité; c’est à chacun d’agir pour recadrer ses pensées sur ce qui existe vraiment et dire «stop» lorsque son esprit s’apprête à l’emmener vers un futur imaginaire fort sombre.

 

Tout est question de discipline intérieure. Plus on s’entraîne à barrer la route à ces pensées d’inquiétude qui ne font que nous pourrir la vie; plus vite, on y parvient. Cependant, rien ne se fera contre notre volonté... Chacun demeure libre de choisir sa route: soit de rester dans l’inquiétude ou de tenter une autre approche pour en sortir.

 

— Laure Zanella / Blog Lavie, etc.

 

 Lorsque vous imaginez des scénarios négatifs, faites aussi l’effort d’imaginer les autres possibilités, incluant les scénarios positifs. 

Se défaire de l'inquiétude*

La méthode Coué

 

Émile Coué est un pharmacien français né en 1857 à Troyes. Il fut à l’origine de la pensée positive. La méthode qu’il a conçue s’appuie sur une base simple : celle de l’autosuggestion, qui est une manière d’imprégner son subconscient par la répétition d’affirmations. Les guérisons qu’on lui attribue sont nombreuses et spectaculaires, comme en font foi de très nombreux témoignages.

Ci-dessous, une petite vidéo bien amusante qui vous permettra de débuter votre journée sur le bon pied. Suggestion : faites-la écouter à vos enfants afin de les sensibiliser dès leur jeune âge à la puissance des pensées.

 

Se défaire de l'inquiétude*

La blague du blog

Une maman moustique prévient ses petits :
– Ne vous approchez jamais des humains, ils essaieront de vous tuer.
– C'est faux, maman. Hier, il y en a un qui a passé la soirée à m'applaudir !

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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