Une jeune femme, partant en vacances, voulut nettoyer l’aquarium dans lequel un poisson rouge tournait en rond. Elle le mit dans la baignoire, et constata avec étonnement que dans sa vaste et nouvelle demeure, le poisson rouge continuait à tourner en rond…
« C’est ainsi que j’ai compris, me dit-elle, que nous nous enfermons dans des limitations que nous créons nous-mêmes. J’ai passé alors mon existence en revue et reconnu que, par crainte, par timidité, par manque d’élan et de générosité, par croyance en des obstacles que je fabriquais de toutes pièces, je tournais dans la vie comme mon poisson dans la baignoire, bien que je sois plongée comme lui dans un vaste univers où je suis décidée à évoluer à l’aise, maintenant que je me sais libre. »
Étant donné qu’il est beaucoup plus aisé de voir une paille dans l’œil de notre voisin qu’une poutre dans le nôtre, faites un tour d’horizon et voyez combien de gens, parmi ceux que vous connaissez, semblent s’être volontairement limités, rétrécis et condamnés à l’échec. Combien n’ont pas utilisé leurs dons ! Combien se contentent, en tout, de la médiocrité, alors qu’il leur suffirait d’un effort, d’une vision plus large et plus exigeante de la vie, en même temps que le souci de la perfection dans la plus humble des tâches quotidiennes, pour s’épanouir magnifiquement ! Cela demande, évidemment, un peu plus d’initiative que n’en possède un poisson rouge, ou un être humain ligoté par la peur, encroûté dans sa routine.
La vie est généreuse. Mais pour un cadeau, il faut être deux : celui qui donne et celui qui reçoit. Or, nous gâchons presque toujours ce que la vie met à notre portée, ou nous refusons ses dons. Apprenez à accepter ce que vous offre l’existence. Osez sortir du cercle que forment autour de vous vos égoïsmes, vos peurs, vos idées fausses sur vous-même et sur les autres, supprimez toute pensée de limitation et vous connaîtrez l’admirable liberté de ceux qui vivent en accord avec leur Moi réel invisible et parfait.
Source : Auclair, Marcelle. Le livre du bonheur, p. 24
Les seules limites, comme toujours, sont celles de la vision.
James Broughton
La blague du blog
Un couple de randonneurs à la campagne.
La femme : - Chéri...Ce paysage me laisse sans voix !
Un homme s'éloigne, s'arrête, se retourne pour voir la distance parcourue, il se rend compte qu'il n'y a pas de traces dans la neige. Où est-il ? D'où vient-il ? Où va-t-il ? Que se passe-t-il ? Soudainement, il se rend compte qu'il se trouve à un point décisif de sa vie, au milieu d'une tempête de neige, quelque part dans un champ. Peu importe d'où il vient, il peut choisir d'aller où il voudra. Tout est à faire, à imaginer, à rêver. Sa présence dans la neige, sans passé, sans futur établi, est le résultat d'une transformation silencieuse. L'homme a marché en ne pensant pas, en ne pensant plus, puis, il s'est retrouvé ici. Nulle part et partout.
Cet homme, cette personne, c'est chacun d'entre nous à un moment de notre existence... Comme dans une symphonie bien ordonnée, rien ne s'est signalé, rien ne s'est distingué et cette transformation, si importante, est demeurée invisible. Mais elle a tout de même eu lieu. Une autre année est passée.
L'année 2012 n'a pas été à votre goût ? Effacez les traces dans la neige et débutez l'année 2013 en fonçant vers une destination plus excitante. Vivez au lieu de simplement durer. Le début d'une nouvelle année est l'occasion d'un commencement, lorsque rien n'est joué, lorsque tout est encore possible.
La nouvelle année, tout comme la première fois, doit être entrevue comme un possible sans souvenirs. Laissez tomber le passé qui vous a retenu ou qui vous retient encore, émancipez-vous, vivez vos rêves au lieu de vivre ceux des autres.
Vivez.
Le premier mois de l'année peut devenir le lieu de la première fois en offrant le pivot de l'interprétation de l'œuvre de votre vie. S'il est parfois trop tard pour une dernière fois, il n'est jamais trop tard pour la première fois.
En continuant d'avancer dans la tempête, le passé disparaît sous la neige, seul le présent est visible, le futur, composé d'incertitude, est à créer, est à penser. Le présent vous permet de faire des choix maintenant afin que vous puissiez vivre autrement dans le futur.
Dans la neige, sans traces, au moment présent, plus rien ne compte, tout est à faire. Vous êtes devant un choix : reculer ou avancer ? Le statu quo n'existe pas. « Si vous n'êtes pas occupé à naître, c'est que vous êtes occupé à mourir », disait Bob Dylan. Alors, devez-vous reculer vers une incontestable certitude ou avancer dans l'incertitude la plus vague ? C'est Oscar Wilde qui avait raison lorsqu'il affirmait que « c'est l'incertitude qui nous charme et que tout devient plus beau dans la brume ». Il faut apprécier l'incertitude parce que, sans le savoir, la certitude est une prison où nous nous sommes enfermés nous-mêmes.
Alors, plutôt que de demeurer dans cette certitude, dans cette prison, pourquoi ne pas commencer quelque chose plutôt que de poursuivre vers la fin certaine ?
Rejouez le premier coup. Refaites vos débuts. Réapprenez les premières leçons. Tracez une nouvelle ligne d'horizon. Laissez-vous étonner.
Cessez d'inexister.
Montrez-vous.
Bonne année 2013 !
Source :René Villemure
La blague du blog
Un couple arrive dans un hôtel. Le valet monte leurs bagages dans la chambre et demande au monsieur :
- Avez-vous besoin de quelque chose ?
- Non merci.
- Et pour votre femme ?
- Ah vous faites bien de m'y faire penser ! Montez-moi une carte postale et un timbre...
Le temps des fêtes est parfois rempli de la joie que nous associons à cette période de l’année. Tout se passe bien. Il y a de la magie dans l’air.
D’autres fois, c’est une période difficile et solitaire.
Voici quelques idées qui pourraient vous aider à passer à travers un temps des fêtes difficile.
Tenons compte de nos sentiments, mais ne nous appesantissons pas trop sur eux. Mettons cette période en perspective. Le jour de Noël n’est qu’une journée parmi les 365. Nous pouvons surmonter n’importe quelle période de 24 heures.
Trouvons et chérissons l’amour qui est disponible, même si ce n’est pas exactement celui que nous voulons. Y a-t-il une personne à qui nous pouvons donner de l’amour et de qui nous pouvons en recevoir ? Y a-t-il une famille qui aimerait partager leurs fêtes avec nous ? Allons-y !
Si nous vivons un temps des fêtes qui est loin d’être idéal, nous ne faisons pas partie d’une minorité. Comme il est facile, mais faux, de nous dire que le reste du monde vit des fêtes parfaites, et que nous sommes les seuls à être tristes.
Nous pouvons créer notre propre programme pour le temps des fêtes. Achetons-nous un cadeau. Trouvons quelqu’un à qui nous pouvons donner. Laissons se manifester notre côté aimant, réconfortant, et abandonnons-nous à l’esprit de Noël. Prenons ce qui est bon et lâchons prise face au reste.
Ce n'est pas d'avoir des problèmes,c'est de ne pas chercher de solutions;
Ce n'est pas d'avoir eu des échecs,c'est de ne pas continuer;
Ce n'est pas de tomber souvent,c'est de ne pas se relever plus souvent;
Ce n'est pas d'avoir peu d'argent,c'est de ne pas enrichir son esprit;
Ce n'est pas d'avoir été refusé,c'est de ne pas demander une fois de plus;
Ce n'est pas d'avoir été insulté,c'est de ne pas sourire;
Ce n'est pas d'avoir été déçu,c'est de ne pas espérer encore;
Ce n'est pas d'avoir été trahi,c'est de ne pas pardonner;
Ce n'est pas de manquer de maturité,c'est de ne pas chercher à mûrir;
Ce n'est pas d'avoir fait faillite,c'est de ne pas essayer une autre fois;
Ce n'est pas d'avoir des handicaps,c'est de ne pas les surmonter;
Ce n'est pas d'être laid,c'est de ne pas embellir sa vie;
Ce n'est pas d'être illettré,c'est de ne pas chercher à s'instruire;
Ce n'est pas d'avoir des difficultés,c'est de ne pas persévérer;
Ce n'est pas de perdre quelque chose,c'est de ne pas conserver son enthousiasme;
Ce n'est pas d'avoir manqué son départ,c'est de ne pas recommencer;
Ce n'est pas d'avoir manqué son objectif,c'est de ne pas avoir d'objectif;
Ce n'est pas de ne pas se sentir aimé,c'est de ne pas aimer les autres;
Ce n'est pas d'avoir peur,c'est de ne pas faire face à ce qui fait peur;
Ce n'est pas d'être seul au monde,c'est de ne pas aller vers les autres;
Ce n'est pas de n'être pas compris,c'est de ne pas comprendre les autres.
Source : Jean-Guy Lebœuf, Grains de sagesse, p. 202
Cette nuit, avant de vous endormir,confier à l’Esprit qui est en vous tous vos problèmes, départissez-vous d’eux pour le moment, et demandez-Lui de les élucider pour vous. N’envisagez vous-même aucune solution : vous devez Lui laisser le chemin libre et présenter votre coupe vide. Demandez-Lui également de vous délier de toutes les entraves qui vous ont jusqu’alors empêché d’accéder à la joie et Il s’en acquittera. Dès que vous aurez pris cette bonne habitude, vous serez surpris de trouver très souvent au réveil une réponse aux questions, grandes et petites, qui vous préoccupaient en état de veille.
— Auclair, Marcelle. Le livre du bonheur, p. 53
La blague du blog
Un homme vient d'acheter une voiture neuve, mais faute de garage, il est obligé de la laisser la nuit dans la rue. Et comme il sait que les voleurs d'autoradios n'hésitent pas à briser les vitres et à défoncer les portières, il met sur son pare-brise l'écriteau suivant : IL N'Y A PAS DE RADIO DANS CETTE VOITURE.
Et le lendemain matin, plus de voiture... À la place où elle se trouvait, il ne reste que l'écriteau sur lequel on a rajouté : Ce n'est pas grave, on en fera mettre une...
L’inquiétude nous donne l’illusion que nous faisons réellement quelque chose pour régler un problème ou éviter un tort. En réalité, tout ce que nous faisons, c’est augmenter au maximum notre niveau d’anxiété et créer un stress négatif en nous-mêmes. C’est comme faire tourner nos roues dans le sable — on dirait qu’il y a beaucoup de mouvement, mais nous n’allons nulle part. L’inquiétude est très amusante pour notre ego, mais elle est une absurdité totale pour notre esprit.
Nos sujets d’inquiétude peuvent varier de l’emploi de notre conjoint à l’économie mondiale. Nous nous en faisons peut-être pour des catastrophes qui ne se sont jamais produites et qui ne se produiront jamais. Nous nous inquiétons peut-être de ce qu’une autre personne devrait ou ne devrait pas penser, ressentir, vouloir, avoir ou faire.
Lorsque nous nous inquiétons au sujet des problèmes des autres, nous oublions d’avoir confiance qu’eux-mêmes et leur Puissance supérieure peuvent s’en occuper. Nous nous détournons de l’espoir et de la foi naturels de notre esprit et plutôt, nous laissons le champ libre à la tentative futile de notre ego pour contrôler des gens et des événements. Nous évitons aussi les pensées constructives au sujet de nous-mêmes et de nos propres problèmes. L’inquiétude est véritablement une perte de temps et d’énergie, mais elle est souvent notre réaction aux problèmes des autres.
Nous imaginons parfois tous les malheurs qui pourraient arriver à nos parents, nos enfants, notre conjoint, nos amis et nos collègues de travail. Nous avons peut-être l’impression que toute cette inquiétude les aide de quelque façon ou au moins, leur prouve que nous nous soucions d’eux. Nous croyons sans doute que notre inquiétude est naturelle et indépendante de notre volonté.
Nous pouvons apprendre à reconnaître la différence entre la bienveillance et une inquiétude inefficace. Nous pouvons renoncer à nos pensées anxieuses sur ce qui pourrait arriver aux personnes qui nous sont chères, et porter toute notre attention sur les véritables choix et les vrais problèmes auxquels nous avons à faire face. Nous pouvons renoncer à la peur de notre ego et la remplacer par la foi, l’espoir, l’amour et la confiance en notre esprit.
Source : Ray, Veronica. Choisir d’être heureux, p. 101
La seule façon d’être heureux est de cesser de s’inquiéter de ce qui se situe au-delà de notre bonne volonté.
Épictète
Exercice de visualisation
L’un des bagages les plus lourds à porter réside dans notre besoin de contrôler ceux qui nous entourent. Que nous cherchions à changer la manière de penser ou d’agir de nos épouses, maris, enfants, parents, frères et sœurs, amis ou autres, nous faisons fausse route...
Cliquez ici pour parcourir la suite du texte et découvrir l'exercice en question (pdf prêt à imprimer).
La blague du blog
Un gamin entre en trombe dans la maison familiale.
– Papa, papa ! – Oui mon chéri. – Tu peux me donner deux dollars pour un pauvre type qui crie dans la rue.
Le père, touché par la générosité de son fils, prend son porte monnaie et sort une pièce de 2 dollars. – Et que crie-t-il ce monsieur ? – Glaces : 2 dollars !
L’un des bagages les plus lourds à porter réside dans notre besoin de contrôler ceux qui nous entourent. Que nous cherchions à changer la manière de penser ou d’agir de nos épouses, maris, enfants, parents, frères et sœurs, amis ou autres, nous faisons fausse route.
En tentant de changer les gens (ce qui revient à essayer de les contrôler), nous allons à l’encontre de l’essence de ce qu’ils sont, à ce moment donné de leur existence. Nous ne tenons pas compte du fait qu’ils ont leur propre cheminement à accomplir, leurs propres leçons à apprendre, leurs propres capacités et leurs propres objectifs.
Ils sont venus sur Terre pour accomplir des choses différentes des nôtres. Par conséquent, ayons la sagesse de ne pas nous mêler de leurs vies et de les laisser devenir ce qu’ils doivent devenir.
L’exercice de visualisation suivant est extraordinaire pour aider à briser les liens de codépendance.
1- Fermez les yeux. Détendez votre corps. Visualisez la personne que vous cherchez à contrôler ou à changer. Imaginez qu’un cordon ombilical vous relie à elle, de sorte que lorsque que l’un de vous se déplace, l’autre doit lui aussi bouger. Sentez l’inconfort, la douleur et la sensation d’emprisonnement que provoque ce lien.
2- Maintenant, visualisez-vous en train de prendre une grande paire de ciseaux et de couper le cordon. Sentez le soulagement immédiat, la liberté et la paix qui en découlent. Inspirez profondément et remarquez que désormais, vous êtes libres l’un et l’autre. Déplacez-vous et constatez que l’autre n’est pas obligé de vous suivre. À l’inverse, lorsque l’autre bouge, vous êtes libre de rester là où vous êtes, à votre guise.
3- Répétez cet exercice de visualisation puissant à chaque fois que vous avez la tentation d’interférer dans la vie de quelqu’un ou que vous laissez une personne interférer dans votre vie, ce qui est l’autre facette du même problème.
L’amour inconditionnel implique la capacité à se mettre en retrait et à faire confiance à ceux que nous aimons, en les laissant suivre leur propre voie, quelle qu’en soit l’issue, sans les juger, ni les condamner, ni ressentir de la colère.
Bienheureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes. Ils n'ont pas fini de se réjouir.
Bienheureux ceux qui ont appris à distinguer une montagne d'une taupinière. Il leur sera épargné bien des tracas.
Bienheureux ceux qui sont capables de se reposer et de dormir sans avoir à s'excuser. Ils deviendront sages.
Bienheureux ceux qui peuvent se taire et écouter. Ils apprendront des choses nouvelles.
Bienheureux ceux qui ont la faculté de s'émerveiller. Ils conserveront longtemps leur âme d'enfant.
Bienheureux ceux qui ont compris l'importance de la communication. Ils préserveront la vitalité de leurs relations.
Bienheureux ceux qui sont assez humbles pour ne pas se prendre au sérieux. Ils seront appréciés de leur entourage.
Heureux êtes-vous si vous savez regarder sérieusement les choses anodines et légèrement les choses sérieuses.
Heureux êtes-vous encore si vous savez aborder simplement les choses complexes et attentivement les choses simples.
Heureux êtes-vous enfin si vous savez voir clairement les choses difficiles et profondément les choses claires.
Vous irez certainement très loin dans la vie, car la vie saura vous remercier de l'avoir aimée, ainsi elle vous entraînera à son tour.
Source : Lettres à l'intime de soi - Jacques Salomé
La blague du blog
Une femme rencontre un très beau gars dans un bar. Ils bavardent, s'intéressent et finissent par partir ensemble. Ils se rendent chez lui et comme il lui fait visiter son appartement, elle remarque que sa chambre est remplie à craquer de mignons oursons en peluche.
Des centaines de jolis petits oursons garnissent une tablette tout le long du plancher, de mignons oursons de grandeur moyenne sur une autre tablette un peu plus haut et d'énormes oursons sur la tablette en haut complètement.
La fille était surprise de découvrir que ce gars avait une telle collection d'oursons en peluche, mais elle décide de garder ses réflexions pour elle-même. Elle est en fait assez impressionnée par ce côté sensible de lui.
Elle se tourne vers lui, ils s'embrassent et passent une nuit entière d'étreintes et de passion.
Au petit matin, la fille se retourne et lui demande avec un sourire : « Et alors, comment c'était ? »
Le gars répond : « Va te choisir un prix dans la rangée du bas. »
S’inquiéter nuit à la santé et fait diminuer beaucoup la performance au travail, et le temps perdu à s’inquiéter n’est pas rentable pour la compagnie où vous travaillez.
Alors, je vous propose quelques moyens pour vous aider à moins vous inquiéter. N’importe quel de ces moyens peut apporter de très bons résultats. Le but est que vous puissiez passer agréablement votre journée de travail au lieu de vous inquiéter.
Premier moyen :
Placez sur un de vos poignets une bande élastique et tirez dessus lorsque vous vous inquiétez. Cela va vous faire mal et comme vous ne voulez pas ressentir de douleur, il vous sera plus facile de penser à cesser de vous inquiéter. Ce moyen est souvent demandé d’être utilisé en psychothérapie et fonctionne très bien.
Deuxième moyen :
Vous pouvez vous dire : « ne t’en fais pas, je sais que tu as appris à t’en faire, mais maintenant je vais t’aimer et t’accepter tel que tu es même si tu t’inquiètes. » Renvoyez vos pensées doucement et réconfortez-vous par des pensées plus réalistes et plus plaisantes.
Troisième moyen :
Vous pouvez volontairement vous critiquer et vous dire avec colère : « Est-ce que ça te sert à quelque chose de penser à ça ? Cesse d’y penser et fais autre chose ou pense à autre chose. » Se parler ainsi fait l’effet d’une douche froide. Ça ramène très rapidement dans la réalité. Personnellement c’est le moyen que j’utilise et ça fonctionne merveilleusement.
Quatrième moyen :
Pensez que vous possédez un pulvérisateur et dites-vous : « Je détruis mes inquiétudes en les pulvérisant d’insecticide. » J’imagine mes inquiétudes mourir systématiquement.
Cinquième moyen :
Pensez à deux ou trois inquiétudes que vous avez présentement et écrivez-les.
Par la suite, inscrivez « quand » vous désirez y penser durant la journée ainsi que « la durée » que vous voulez y allouer.
Exemple : je m’inquièterai de la prochaine réunion et je m’inquiéterai de ma fille qui est à l’hôpital de 7 h à 7 h 15 et de 20 h à 20 h 30. Si le temps alloué vous semble trop court après en avoir fait l’essai, vous pouvez l’augmenter.
Durant la journée, lorsqu’une de ces inquiétudes vous arrive en tête, faites le geste de la balayer de la main et dites-vous : « Ne t’en fais pas, je vais y penser à telle heure » et volontairement cesser d’y penser. Pratiquez cette activité pendant 4 à 5 jours.
À mesure qu’une inquiétude est résolue, vous n’y pensez plus et lorsque d’autres inquiétudes surviennent, vous pouvez les rajouter. Ensuite, diminuez très doucement « la durée » par jour allouée à toutes vos inquiétudes.
Prenez le temps de vous féliciter et de ressentir du plaisir chaque jour où vous y parvenez. Vous pouvez aussi vous récompenser pour vous encourager.
Le but de cet exercice est de voir comment vous pouvez passer facilement d’un état apathique à un état plus joyeux. Nous pouvons tous exercer notre merveilleux pouvoir de choisir nos idées.
Sixième moyen :
Faites-vous un petit plaisir afin de changer l’idée qui vous inquiète. Voici quelques exemples : lire une lecture qui vous intéresse, pratiquer votre sport favori, écouter une émission qui vous stimule ou en écouter une musique de danse et en profiter pour danser aide beaucoup à retrouver la bonne humeur.
Septième moyen :
Passez à l’action délibérément en chassant vos idées destructives, même si c’est la nuit, sortez de votre lit et agissez, réglez cette situation qui vous perturbe, écrivez sur ce sujet, renseignez-vous pour en savoir davantage pour vous aider, ensuite lâcher prise et agissez pour vous.
Expérimentez un de ces moyens vous aidera. Car moins on s’inquiète, plus on se sent en paix et libre. Mais, si vous n’arrivez pas à être heureux, il est important d’aller chercher de l’aide psychologique en utilisant les services d’une psychothérapeute par exemple afin de rétablir votre énergie et de retrouver le goût à la vie. La vie est super belle.
SOURCE : Diane Charbonneau conférencière, formatrice, psychothérapeute et auteure, aide les gens à devenir plus heureux et plus performants au travail et dans la vie. Elle est spécialisée en gestion du stress et en l’épuisement professionnel.
Il y a vingt ans, je conduisais un taxi pour gagner ma vie. Lorsque je suis arrivé à 2 h 30, l'immeuble était sombre, à l’exception d’une petite lumière provenant d’une fenêtre du rez-de chaussée. Dans ces circonstances, plusieurs chauffeurs auraient seulement klaxonné une ou deux fois, attendu une minute et seraient repartis. Mais, j'avais trop vu de gens démunis et qui n’avaient d’autre moyen de se voyager que les taxis. Je me suis donc dirigé vers la porte et j’ai cogné doucement.
Après une longue pause, la porte s'est ouverte. Une dame âgée d’environ 80 ans se tenait devant moi et à ses côtés, une valise de nylon qu’elle avait péniblement traînée jusqu’à la porte. L'appartement était désert, comme si personne n'y avait vécu depuis des années.
J'ai porté la valise jusqu'au taxi, puis je suis retourné vers la femme. Elle a pris mon bras et nous avons marché lentement vers le trottoir. Elle ne cessait de me remercier pour ma gentillesse.
« Ce n'est rien, lui ai-je répondu, j'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée... »
— Oh, vous êtes le genre de bon garçon », m’a-t-elle dit alors.
Quand nous sommes montés dans le taxi, elle m'a donné une adresse, puis m’a demandé si je pouvais la conduire en ville.
« Ce n'est pas le chemin le plus court », lui dis-je.
— Oh, ça ne me dérange pas, je ne suis pas pressée. Je suis en route pour un hospice. Il ne me reste pas de famille et le docteur dit que je n'en ai pas pour longtemps. »
J'ai tranquillement éteint le compteur et lui ai demandé quelle était la route qu’elle désirait que je prenne.
Pendant les deux heures qui ont suivi, nous nous sommes promenés dans la ville. Elle m'a montré les édifices où elle avait travaillé, le quartier où elle et son mari avaient vécu, … Parfois, elle me demandait de ralentir en avant d'un immeuble particulier, comme pour se remémorer une tranche de vie.
Puis nous nous sommes rendus à l'adresse qu'elle m'avait donnée. Deux infirmiers sont venus l’accueillir avec une chaise roulante. Elle a précautionneusement placé sa petite valise sur elle, comme si toute sa vie se résumait dans ces quelques vêtements et objets. Puis, elle m’a demandé combien elle me devait.
« Rien, ai-je répondu.
— Mais vous devez gagner votre vie.
— Il y a d'autres passagers…
Je me suis alors penché et l'ai serrée dans mes bras, lui offrant peut-être ainsi l’une des dernières étreintes de sa vie.
« Vous venez de donner à une vieille femme un grand moment de bonheur. Merci. »
Je lui ai serré la main, puis j'ai marché dans la faible lumière du matin. Derrière moi, une porte s'est refermée. C'était le son de la fermeture d'une vie.
Incapable de parler et complètement perdu dans mes pensées, je n'ai pris aucun autre passager de la journée.
« Que serait-il arrivé à cette femme si elle était tombée sur un chauffeur fâché, ou impatient de finir son quart de travail? Et si j'avais refusé de prendre cette course, ou que j’étais reparti après avoir klaxonné une fois? »
Je me suis donc arrêté pour remercier la vie de m’avoir permis de vivre ce moment inoubliable. Ce n’est certes pas un événement qui fera la une des journaux; toutefois, dans le livre dans ma vie, il figurera parmi mes moments les plus heureux et les plus vrais. Merci Mme Chiasson!
Les gens vont oublier ce que vous avez dit.
Les gens vont oublier ce que vous avez fait.
Mais jamais ils n’oublieront comment
ils se sont sentis avec vous.
Faites une liste de ce que vous désirez, pas de ce que vous aimeriez avoir ou ce que vous avez besoin, ces mots impliquent un manque plutôt qu’une abondance. En disant/pensant/écrivant « Je désire que (ceci) ou quelque chose d’encore mieux se manifeste pour le bien de tous ceux concernés», vous créez un espace pour de plus grandes possibilités.
Rappelez-vous un souvenir d’abondance que vous avez connu.
Si vous réalisez que vous ressassez un mauvais souvenir ou que vous n’arrivez pas à faire disparaître une idée qui n’est pas la bienvenue, rappelez à votre mémoire un souvenir différent où vous vous sentiez riche, beau, capable et plein de succès… n’importe quel état d’esprit auquel vous aspirez.
Agissez en fonction de vos passions.
Même si vous ne faites qu’un tout petit pas vers un but, une passion qui vous nourrit, vous allez vous sentir rafraîchi, plus énergique et avec des idées plus claires, et vous ferez du progrès dans l’obtention de votre but. Dieu a un plan pour votre vie et Son plus grand désir pour Sa création…vous…est votre prospérité.
Regardez vers l’avenir.
Faites la liste de vos rêves les plus chers et de vos souhaits immédiats. Encore mieux, sortez des photos d’un moment passé où vous étiez heureux, découpez des images provenant d’une revue qui représentent des bonnes choses que vous désirez pour le futur et collez-les dans un journal ou un carton et regardez-les dans vos moments de réflexion.
Simplifiez votre vie continuellement.
Laissez aller les situations et les désordres qui ne sont pas en accord avec vos aspirations.
Passez du temps avec des gens positifs.
N’écoutez pas les « chialeux ». Vous travaillez à surpasser les limites de vos propres croyances, alors pourquoi travailler aussi sur celles des gens négatifs? Éloignez-vous mais avec bonté.
Choisissez vos sources d’information avec soin et limitez votre temps d’écoute.
Ne lisez qu’un journalisme responsable, soucieux du vrai, ce qui n’est pas le cas de la plupart des nouvelles offertes à la télévision. Vous n’allez pas perdre de temps ainsi avec de vilaines histoires qui engendrent des sentiments négatifs et des réponses physiologiques nocives. Vous vous sentirez beaucoup mieux.
Pratiquez la proverbiale «attitude de gratitude».
Énumérez vos bénédictions. Pensez souvent à toutes les bonnes choses que vous avez dans la vie. Dites «Merci» plus d’une fois par jour. Regardez les domaines de votre vie dans lesquels vous réussissez bien; utilisez ces talents et appliquez-les à ce que vous voulez améliorer.
Exprimez votre gratitude.
Remerciez les autres fréquemment, avec des cartes de remerciement, des courriels expressifs, des gestes d’encouragement et des sourires. Les gens apprécient toujours la bonté et les belles manières, spécialement quand la politesse n’est pas courante.
Souriez!
Quand vous répondez au téléphone, affichez un sourire sur votre figure et dans votre voix. Accueillez les gens dans votre vie, même si ce n’est que pour un court moment. Laissez-les ressentir votre chaleur humaine. Quand vous réalisez que vous travaillez avec un air renfrogné, arrêtez-vous pour respirer par le nez et remettez un beau sourire sur votre figure!
Carolyn Blakeslee publie l’édition du Centre de la Floride de la revue Natural Awakenings / www.NaturalAwakeningsncfl.com
La société des intimidés disparus par Stéphane Laporte
Texte paru dans le Journal La Presse le 5 décembre 2011suite au suicide de la jeune Marjorie Raymond, victime d'intimidation
Avant de m'apprendre l'alphabet ou la table de trois, l'école m'a appris que j'étais repoussant. Le taupin de la 1re année ne cessait de me pousser pour me faire tomber, ce qui faisait rire une bonne partie de la classe. Ce fut pour moi un choc. À la maison, j'étais tant aimé que je ne pouvais comprendre qu'à l'école, je sois aussi malmené.
Pourquoi moi? Pourquoi c'était moi qui subissais les humiliations de mes camarades et pas un autre? Ça devait être parce que j'étais moins bon que les autres. C'est cette constatation qui fait le plus mal. Beaucoup plus que les coups. Mais elle ne m'a pas hanté longtemps. J'ai vite compris que si la petite brute s'en prenait à moi, c'est juste parce que j'avais les jambes croches et que c'était facile de me faire tomber. Les petites brutes aiment la facilité. C'est pour ça qu'elles s'attaquent à ceux qui ont l'air les plus vulnérables. Ce n'est que ça qui détermine le choix des victimes. On s'attaque aux fragiles. Aux sensibles. Pas aux moins bons, juste aux moins solides. C'est la lâcheté des bourreaux. Heureusement pour moi, si mes jambes étaient faibles, mon caractère était fort. J'étais un faux fragile. Un résistant. Et quand l'intimidant a constaté qu'il avait beau m'accrocher les pieds, jamais il ne ferait tomber ma tête, il a abandonné.
Au fil des ans, il y en a d'autres qui se sont essayés. Étant un handicapé allant à l'école des enfants normaux, j'étais toujours le différent de la gang. Et la différence attire ceux qui ont un trop-plein de haine à expulser. Ces épisodes d'intimidation n'ont jamais duré longtemps. Mon imperturbabilité décourageait les plus acharnés. Je n'ai pas de mérite. C'est la nature qui m'a donné une tête de cochon!
Malheureusement, il y a plein d'enfants qui n'ont que des petits cœurs d'anges. Plein d'enfants que les agissements des persécuteurs minent, marquent et détruisent. À jamais.
Ce qui est paniquant quand on est victime de la méchanceté, c'est l'isolement. Il n'y a personne pour nous défendre. Chacun sauve sa peau. Quand je me faisais jeter à terre, il y avait les cons qui riaient, mais il y avait surtout les autres qui regardaient ailleurs. Ces autres qui avaient assez d'humanité pour réaliser que ce n'était pas correct, ce que faisait le terroriste en culottes courtes, mais pas assez de courage pour s'en mêler. Ils ne voulaient surtout pas être à ma place. Et en venant à ma rescousse, ils risquaient de l'être. Pourtant, s'ils étaient tous venus, la bonté aurait gagné. Mais la bonté est difficile à faire bouger. Alors, les pas fins en profitent.
Les plus faibles dans les histoires d'intimidation ne sont pas ceux que l'on pense. Ce ne sont pas ceux qui sont attaqués, ce sont tous ceux qui laissent faire, ce sont tous ceux qui laissent défaire.
Le principal rôle de l'école, ce n'est pas d'apprendre aux enfants le français, l'histoire, les mathématiques ou la chimie, c'est d'apprendre aux enfants à vivre ensemble. À peine sevré, on quitte sa famille pour passer ses journées avec des dizaines d'étrangers. Pouvez-vous nous montrer comment nous apprivoiser? Apprenez-nous la responsabilité. Des actes que l'on fait. Et des actes que l'on ne fait pas. Il faut connaître les conséquences de nos coups, et les conséquences de notre indifférence.
Il faut se servir du français, de l'histoire, des mathématiques et de la chimie pour nous apprendre la connaissance de soi et la connaissance des autres.
Adulte, quand on est victime d'intimidation, on peut décider de quitter notre emploi, notre club de hockey ou notre mari. Enfant, quand on est victime d'intimidation, on ne peut pas décider de quitter l'école. L'école a le monopole de notre destin. Changer d'école ne change souvent pas grand-chose. Chaque école a son quota de gentils, de tièdes et de mauvais. On est pris dans le cul-de-sac du malheur. Et il n'y a qu'une façon de s'en échapper...
Voilà pourquoi l'école doit être le milieu le plus sain du monde. Voilà pourquoi l'école ne doit pas être un endroit où on apprend tout par cœur, mais tout avec le cœur. Nos enfants y abandonnent leur jeunesse, en échange, donnons-leur le meilleur de nous-mêmes.
Il faut créer la Société des intimidés disparus. À la mémoire des âmes fragiles qui n'ont pas su résister au climat hostile qui règne dans plusieurs des établissements scolaires. Il faut être attentif, prévenant et pacificateur. Il faut que cette société regroupe tous les profs, tous les élèves, tous les parents, tous les intervenants, tous ceux qui sont passés par là. Que ce soit la priorité numéro un. Que le plus important de tous les savoirs soit le savoir-vivre.
Bien sûr, il y aura encore des taupins. Bien sûr, il y aura encore des victimes. Mais s'il y en a seulement un peu moins, tous ces efforts ne seront pas vains.
Il aura fallu le suicide d'une enfant pour éveiller les consciences. Pourtant, ceux qui continuent de vivre malgré les blessures du rejet devraient aussi nous émouvoir.
Donnons leur raison d'avoir cru en la vie, d'avoir cru en eux, d'avoir cru en nous.
Arrêtons d'être complices par omission de tous les actes d'intimidation.
Pas besoin d'avoir les jambes croches pour avoir du mal à se tenir debout.
Que tout le monde se lève. Que tout le monde se tienne.
« Modération, calme et bonne humeur ferment la porte au nez du docteur. »
Connaissiez-vous ce dicton?
Malheureusement, ce n'est pas aussi simple et en dépit de la modération, du calme et de la bonne humeur, il arrive fréquemment que nous ayons à consulter le médecin.
Néanmoins, ces trois états d'esprit assemblés diminuent considérablement nos risques de tomber malade.
Qui ne fatigue pas son cœur et tout son organisme en abusant, ou du plaisir ou du travail, en négligeant de se reposer et en s'imposant une certaine discipline de vie?
Qui n'épuise pas ses nerfs en tournant tout au tragique, en ne voulant rien accepter qui lui déplaise et en refusant de goûter, au moins quelques minutes de temps à autre, les bienfaits du silence et de l'isolement?
Qui ne se sent pas malheureux et ne fait pas de malheureux autour de lui en grognant et en protestant constamment?
Modération, calme et bonne humeur constituent trois atouts précieux dans le jeu de la vie : ils nous rendent l’existence plus agréable.
Source : Charest, Nicole, Petites douceurs pour le cœur, p. 68
N’abusons de rien. Sauf de la modération.
Jean Dion
La chose la plus utile que vous puissiez faire lorsque vous faites face à une épreuve, c’est de conserver une attitude positive. Il y a toujours quelque chose de bien dans toutes les circonstances, même si vous ne pouvez le voir immédiatement.
En gardant la foi, vous élevez l’énergie de tous ceux qui vous entourent, de même que la situation elle-même. Un état d’esprit positif permet au corps de se détendre, ce qui, en retour, vous permet de réfléchir clairement et de faire preuve de créativité pendant les moments plus difficiles. En voyant les choses avec optimisme, vous inspirez les autres, et cela peut empêcher l’énergie d’entrer dans le cycle d’une spirale descendante. Veillez à demeurer optimiste aujourd’hui, peu importe la situation.
— Virtue, Doreen. Oracles des anges, p. 227
La blague du blog
Un vampire, couvert de sang, revient en zigzagant à sa grotte et se pose (ou plutôt se pend) pour piquer un somme. Mais les autres souris, réveillées par l'odeur du sang, le harcèlent pour savoir où il en a tant trouvé.
– Non ! Laissez-moi dormir ! Gémit le vampire ensanglanté.
– Si ! Si ! Dis-nous, dis-nous où tu as eu tout ce sang ! Hurlent les autres vampires.
Finalement la chauve-souris vampire ensanglantée cède et dit aux autres de la suivre. Après dix minutes de vol silencieux dans la nuit noire, ils plongent dans une vallée, puis dans une forêt. Et à l'entrée d'une clairière, le vampire ensanglanté dit :
– On y est ! Vous voyez cet arbre là-bas ?
– Oui ! Piaillent les autres, la salive à la bouche.
– Eh ben moi, je ne l’avais pas vu...
Plus précieuses que l’or
Plus pures que le diamant
Toutes ciselées par le temps
Toutes ridées par l’effort
Mains de ma mère, je vous vénère.
Porteuses à mon enfance
Compagnes à mes jeux
Témoins de mes rêves printaniers
Mains fortes au levain
Amoureuses au devoir
Attachantes à la vie
Secourables au fardeau
Mains de ma mère, je vous honore.
Ces mains qui ont chevauché
À travers vents et marées
Toutes sillonnées de lumière
Ces mains oubliées au cœur entr’ouvert
Ces mains inclinées pour soutenir et partager
Ces mains fidèles à l’époux
Divines aux enfants
Ces mains comme un livre ouvert
Où l’homme fidèle a connu son chemin
Mains jointes comme une prière dans l’attente
Mains qui scelleront nos mains à jamais
Mains de ma mère, soyez bénies.
(Source : Revue Chantecler - mars-avril 1996)
La blague du blog
Trois frères quittent la maison en Italie pour aller s'installer en Amérique et prospérer. Ils se retrouvent plus tard et discutent des cadeaux qu'ils ont pu envoyer à leur vieille mère en Italie.
Le premier dit : « J'ai fait bâtir une grande maison pour mère. »
Le deuxième dit : « Je lui ai envoyé une Mercedes avec un chauffeur. »
Le troisième sourit et dit : « Je vous ai battu tous les deux. Vous savez à quel point Mère aime la Bible, et vous savez qu'elle ne voit plus très bien. Je lui ai envoyé un perroquet qui peut réciter toute la Bible. Ça a pris 12 ans à 20 moines dans un monastère pour lui enseigner ça. J'ai dû payer 1 000 000 $ !
Un peu plus tard, la mère envoie des lettres de remerciements.
« Marco, écrit-elle au premier fils, la maison que tu m'as fait bâtir est trop grande. Je ne vis que dans une pièce mais je dois entretenir toute la maison.
Angelo, écrit-elle au deuxième fils, je suis trop vieille pour voyager. Je reste à la maison tout le temps, alors je n'utilise jamais la Mercedes. Et le chauffeur s'ennuie beaucoup ! »
Marcello, écrit-elle à son troisième fils, tu as été le seul de mes fils à vraiment comprendre ce que ta mère désirait. Ton poulet était vraiment délicieux ! »
Il existe différents types de désordre. Bien sûr, le plus visible est le désordre ménager, mais il y a aussi celui qui peut régner dans votre ordinateur : de vieux fichiers ou des documents qui ne vous servent jamais. Votre sac à main peut être encombré de vieilles factures, d’articles de maquillage défraîchis, de mouchoirs utilisés et ainsi de suite. Des plantes mortes et des déchets peuvent également joncher le sol de votre jardin ou de votre cour.
Par ailleurs, le désordre peut tout aussi bien être interne : votre horaire est surchargé et vous êtes dépassé par les événements, par exemple. Parler sans cesse et ne jamais écouter les autres est également un comportement issu d’un désordre intérieur.
Si vous ne prenez jamais la peine de vous ressourcer en silence pour entendre votre voix intérieure et passez le plus clair de votre temps à réfléchir, analyser, rationaliser ou à vous inquiéter, votre désordre interne est évident. Il est aujourd’hui temps de vous pencher sur ces autres types de désordre.
– Source : Le coaching de l'âme - Denise Linn
Témoignage de mon livre d'or
Je voulais vous dire que je suis en train de lire vos Petites douceurs pour le coeur (tome 2). À mes yeux, c'est le meilleur livre sur le sujet écrit.
Je suis bénévole dans un CHSLD, et aujourd'hui, je me suis servie de votre livre pour lire des textes aux résidents. « Être âgé ou être vieux... » est un des textes que je leur ai lus. Ce livre a été écrit pour toutes les catégories d'âges, que je pense à mon fils de 20 ans, à moi-même ou bien pour les résidents des centres, il nous rejoint tous. J'espère donc, pour moi et les autres, qu'il y aura un troisième tome.
Merci beaucoup et entre-temps, je continue de lire chaque jour votre bouquet.
Nicole Gohier
La blague du blog
Andréest célibataire et vit avec son vieux père tout en travaillant pour la compagnie de ce dernier.
Quand il a su qu'il hériterait d'une immense fortune au décès de son père malade, il a décidé qu'il serait temps de se trouver une femme avec qui il pourrait partager sa fortune.
Un soir, au cours d'une rencontre d'investissement, il fit la connaissance de la femme la plus belle qu'il n'avait jamais vue. Sa superbe beauté naturelle lui coupa le souffle.
« J'ai peut-être l'air d'un gars ben ordinaire, lui dit-il, mais dans quelques années, quand mon vieux père va mourir, je vais hériter de 65 millions de dollars. »
Impressionnée, la femme lui demanda sa carte d'affaires et trois jours plus tard... elle devint sa belle-mère.
Donner fait autant partie de la nature humaine que bouger, de la nature animale. Nous avons souvent l'impression que donner concerne uniquement les biens matériels. C'est pourquoi nous croyons que nous pouvons tout racheter, y compris nos maladresses ou notre incapacité à aimer, en donnant des choses ou de l'argent.
Donner s'étend bien au-delà du monde matériel. C'est un verbe qui s'applique à tous les aspects de la nature humaine : donner de son temps, donner son approbation, donner son attention, donner la priorité, donner un conseil, donner une chance, donner de l'affection, donner raison, donner une explication.
Voilà autant de manières d'exprimer notre véritable nature, qui tend toujours vers l'union. Ne craignons pas d'aller vers nos semblables et de donner le meilleur de nous-mêmes, c'est ce qui rend heureux.
Je m'émerveille devant la multitude de manières mises à ma disposition pour m'unir aux autres.
Source : Un jour à la fois, tome IV
Qui attend le superflu pour donner aux autres ne leur donnera jamais rien.
Proverbe chinois
Le don de soi
Puissé-je devenir en tout temps, maintenant et à jamais;
Un protecteur pour ceux qui sont sans protection;
Un guide pour ceux qui ont perdu leur route;
Une barque pour ceux qui ont des océans à traverser;
Un pont pour ceux qui ont des rivières à franchir;
Un asile pour ceux qui sont en danger;
Une lampe pour ceux qui n’ont pas de lumière;
Un refuge pour les sans-abri;
Et un serviteur pour tous ceux qui sont dans le besoin.
Le dalaï-lama
Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 79
La blague du blog
Un gendarme demande à un chauffard de se garer sur le bas côté.
Le gendarme : - Bonjour monsieur, gendarmerie nationale, papiers du véhicule s’il vous plaît. Vous n’avez pas vu le feu rouge ?
Le conducteur de la voiture : - Si, le feu rouge oui, c’est vous que je n’avais pas vu !
Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.