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11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 09:35

Accepter ce qui est, c’est faire preuve de lucidité, c’est se « réveiller », devenir conscient, et considérer la réalité telle qu’elle est. C’est se désencombrer de ses programmations mentales, de ses croyances erronées, de ses œillères.


Accepter ce qui est, c’est chercher à voir comment faire face, c’est chercher – et trouver – des moyens d’améliorer la situation et surtout d’en faire quelque chose de positif toutes les fois que c’est possible. C’est cesser de demander : « Pourquoi ? Pourquoi moi ? » pour tenter de trouver « Pour quoi ? » – Pour en faire quoi ? »

Accepter ce qui est, c’est parfois n’avoir pas d’autre choix que de faire le deuil de ce qui était, de ce qui aurait pu être, de ce qui aurait dû être, pour vivre aussi pleinement que possible la réalité de l’instant présent et tenter de lui donner du sens.

Accepter ce qui est, c’est choisir de renoncer à la révolte, à la culpabilité, à la rancune, à la haine et à l’indifférence. En d’autres termes, c’est vivre debout dans toute sa dignité d’être humain.

Accepter ce qui est, c'est le prélude indispensable à toute croissance personnelle, à toute recherche de solution, à toute paix intérieure.

Source : Rosette Poletti et Barbara Dobbs, Accepter ce qui est, 2005

 

La vie vous donnera toutes les expériences qui seront utiles pour l’évolution de votre conscience. Comment savoir que c’est l’expérience dont vous avez besoin ? Parce que c’est l’expérience que vous rencontrez en ce moment.

Eckart Tolle

Accepter ce qui est*

Suggestions de livres


Ci-dessous, je vous présente 3 livres que j'ai lus avec beaucoup d'intérêt. Il en existe toutefois une panoplie d'autres sur le thème de l'acceptation.

À noter : afin d'être le plus « universelle » possible, je mets toujours un lien vers Amazon et non vers une librairie en particulier. Mes abonnés d'Europe doivent aller sur Amazon.fr, alors que mes abonnés du Canada doivent aller sur Amazon.ca.


Perso, je télécharge souvent des livres en version électronique. D'une part, je peux les avoir instantanément et d'autre part, ils sont souvent offerts à des prix dérisoires. Naturellement, c'est une option uniquement si vous avez une tablette ou une liseuse.

 

Accepter ce qui est*

Un exercice puissant!


Récemment, je vous ai parlé d’un livre merveilleux que je lis : La magie de Rhonda Byrne. Grosso modo, c’est un parcours de 28 jours sur la gratitude. À la 7e journée, elle propose un exercice qui complète très bien le thème de ce bulletin.

Elle nous suggère de choisir une situation dans notre vie qui est très difficile à vivre et d’y trouver 10 bénéfices. Oui, je sais, c’est loin d'être évident de voir le côté positif de certains événements. Toutefois, en faisant un effort sincère, on peut y arriver. Faites seulement penser à toutes ces qualités personnelles qui émergent suite à une épreuve.

Si vous arrivez à penser à la situation avec une sincère gratitude, vous vous sentirez mieux à l’intérieur et c’est alors que vous verrez la magie opérer son miracle dans le monde extérieur.


À titre d’exemple, voici ce qu’elle écrit par rapport au fait d’être sans emploi. Chaque phrase doit commencer par :

1) Je suis reconnaissant envers ma famille qui m’encourage et me soutient.
2)
Je suis reconnaissant d’avoir pu me reposer, car j’en avais besoin.
3)
Je suis reconnaissant d’avoir pu réaliser à quel point mon travail était important pour moi.
Etc, etc.

Terminez le tout avec cette affirmation : Merci, merci, merci pour la résolution parfaite.

Accepter ce qui est*

Prière pour s'apaiser

 

Ci-dessous, une courte prière qui a trouvé résonance en moi dès que je l'ai lue. Elle provient du premier livre de Micheline Ruch, L'alchimie du bonheur, auteure dont je parle plus haut. L'appellation Intelligence infinie peut, bien sûr, être remplacée par Dieu ou la puissance supérieure en laquelle vous croyez.

« L’Intelligence Infinie agit en moi et en chaque personne concernée par cette situation. Par Son action, la solution idéale s’accomplit. »

Cette courte prière positive est active pour n’importe quelle situation. Répétez-la trois fois le soir avant de vous endormir, puis accueillez le sommeil avec des pensées de joie du fait que la solution idéale s’accomplit. Durant la journée, à chaque fois que le mental ramène l’attention sur la difficulté avec des pensées négatives, rassurez-vous en vous répétant que l’Intelligence Infinie s’en occupe
.

Accepter ce qui est*
Accepter ce qui est*
Accepter ce qui est*

Un mari, à peine rentré chez lui, questionne :

– Qu'est-ce qu'on mange?

Aujourd'hui, répond sa femme, tu as le choix : les restes du ragoût de pattes d'hier.

C'est tout?

Oui.

Mais où est le choix là-dedans?

C'est à prendre ou à laisser.

 

 

 

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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 14:39


 

Après avoir beaucoup souffert, nous souhaitons tous trouver la bonne manière de guérir de nos blessures et d’amorcer au plus tôt notre processus de guérison.

Particulièrement si nous endurons la souffrance depuis longtemps, il nous semble que la guérison ne vient jamais assez vite! Nous voudrions que notre deuil soit court mais en même temps, nous ne voulons pas abandonner l’objet de notre deuil. Nous voulons pardonner à celui qui nous a trahi mais nous ressassons sans cesse la trahison dans notre tête en lui juxtaposant tous les scénarios imaginables. Nous voulons cesser d’avoir mal dans notre cœur mais ce chagrin immense qui nous envahit constamment nous semble parfois mieux que de ne plus rien ressentir du tout.

La guérison est un processus par lequel ce qui a été endommagé en nous se régénère pour permettre de créer une nouvelle région plus saine.

On ne guérit jamais complètement de nos blessures, on les cicatrise.

Ceci signifie que nous ne pouvons pas changer le passé ni enlever toute trace de nos blessures : nous devons apprendre à vivre avec la cicatrice que chacune a laissée. C’est cependant chacune de ces cicatrices qui nous a rendus plus forts, plus humains, qui a fait de nous ce que nous sommes devenus aujourd’hui. Et si nous trouvons que certaines cicatrices nous ont au contraire rendus plus amers ou ont refermé notre cœur, c’est le signe qu’elles ne sont pas encore guéries. Parce que toute blessure qui cicatrise bien devrait finir par nous rendre meilleurs. Si elle nous limite dans notre humanité, alors nous devons encore en prendre soin pour que le processus de cicatrisation se complète.

On ne peut pas effacer nos blessures, mais on peut construire sur les apprentissages qu’elles nous ont laissés. C’est ainsi que nous devenons plus solides et plus compatissants.

Dès qu’on commence à avoir envie de sortir de notre souffrance, le processus de guérison, de cicatrisation s’enclenche. Donnons-nous chaque jour un peu plus de temps pour vivre en dehors de notre zone de souffrance, ne serait-ce qu’à coups de 5 minutes à la fois. Chaque fois que nous laissons la Vie prendre un peu plus de place en nous, nous permettons à notre souffrance de cicatriser davantage.

Prendre soin de soi, ce n’est pas de l’égoïsme, c’est parfois une question de survie. Et d’amour de soi.


 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

 

Guérir*

Et si on envoyait nos problèmes dans l'Univers?

 

Sur mon fil d'actualité FB, j'ai vu apparaître le petit logiciel ci-dessous et je suis littéralement tombée sous le charme. Parfois, nous avons besoin d'un geste symbolique pour nous aider à lâcher prise par rapport à un problème, une inquiétude, un stress, une blessure, une rancune, etc. Et c'est justement ce pour quoi cet outil a été conçu.

Voici comment procéder. Dès que vous aurez cliqué sur le lien ou sur l'image, vous arriverez sur une page où scintillent des étoiles. Dans la case appropriée, inscrivez l'objet de votre problème et, au son d'une jolie musique et de phrases inspirantes, voyez-le disparaître dans l'univers. Le tout ne prend qu'une minute. Cette application est conçue en anglais mais comme il n'y a que quelques lignes à lire, c'est relativement facile à comprendre. Écrivez votre problème en français et ne vous limitez pas à un seul mot. Les caractères seront tout simplement plus petits.

Pour ma part, j'aime bien y jumeler un aspect spirituel, en ce sens que je vois mon problème être soumis à Dieu ou à la Puissance supérieure en laquelle vous croyez. Par la suite, faites confiance et ne ruminez plus vos problèmes.

N.B.: Une abonnée m'a mentionné qu'en faisant clic droit sur cette page, on pouvait demander la traduction en français. Avec Google chrome, ça a bien fonctionné. Merci Sandrine!

 

Guérir*
Guérir*
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28 mai 2015 4 28 /05 /mai /2015 12:06

 

 

Lorsque vous éprouvez de la gratitude pour les choses que vous avez, aussi petites soient-elles, vous recevrez en retour ces mêmes choses en plus grande quantité. Si vous éprouvez de la gratitude pour l’argent que vous avez, même si vous n’en avez pas beaucoup, vous recevrez davantage d’argent. Si vous éprouvez de la gratitude pour une relation que vous avez, même si elle n’est pas parfaite, cette relation s’améliorera. Si vous éprouvez de la gratitude pour votre travail, même s’il ne s’agit pas de l’emploi de vos rêves, vous recevrez de meilleures occasions professionnelles. Et c’est parce que la gratitude est le grand multiplicateur de la vie !

 

La gratitude commence par un mot tout simple – merci –, mais il faut ressentir cette gratitude de tout votre cœur. Plus vous direz merci, plus ce sentiment de gratitude sera grand et plus vous donnerez d’amour. Il y a trois façons d’utiliser le pouvoir de la gratitude dans votre vie, et chacune d’elles consiste à donner de l’amour.

 

1. Éprouver de la gratitude pour tout ce que vous avez reçu pendant votre vie (passé).

 

2. Éprouver de la gratitude pour tout ce que vous recevez dans la vie (présent).

 

3. Éprouver de la gratitude pour tout ce que vous voulez dans la vie, comme si vous l'aviez déjà reçu (avenir).

 

Pouvez-vous imaginer que quelque chose d’aussi simple que la gratitude puisse multiplier tout ce que vous aimez et ainsi, changer votre vie du tout au tout ? Si vous en éprouvez un peu, votre vie changera un peu. Si vous en éprouvez beaucoup chaque jour, votre vie changera comme vous ne pouvez pas l’imaginer. Non seulement la gratitude multiplie-t-elle tout dans votre vie, mais elle élimine aussi tout ce qui est négatif.

 

Peu importe la situation difficile dans laquelle vous vous trouvez, vous pouvez toujours trouver quelque chose envers quoi éprouver de la gratitude et chaque petite chose pour laquelle vous éprouverez de la gratitude contribuera à changer la situation.

 

Source : Byrne, Rhonda. Le pouvoir, Éditions Un monde différent, 2011

 

La gratitude pour l'abondance que vous avez reçue est la meilleure garantie d'une abondance qui ne tarira pas.

Mahomet

La gratitude, le grand multiplicateur*

Le caillou magique (ou la pierre de gratitude)


 

Je crois qu’il arrive à tout le monde de dire parfois : « Les choses ne tournent pas rond » ou « Les choses vont mal ». Un jour, alors que ma famille vivait des moments difficiles, j’ai trouvé un caillou et je me suis assis, le tenant dans ma main. Je l’ai ensuite enfoui dans ma poche et j’ai dit : « Chaque fois que je toucherai ce caillou, je penserai à une chose pour laquelle je suis reconnaissant. » Donc, chaque matin lorsque je me lève, je prends le caillou qui se trouve sur ma commode, je le mets dans ma poche et je passe en revue ce pour quoi j’ai de la gratitude. Le soir, que fais-je ? Je vide mes poches, et le place sur ma table de nuit.

 

Au moment de me mettre au lit, je prends le caillou magique dans la paume de ma main et je referme les doigts autour de lui. Je pense à toutes les bonnes choses qui se sont produites pendant la journée et je détermine laquelle m’inspire le plus de gratitude. Je prononce ensuite le mot magique Merci en pensant à cet événement. Je replace le caillou sur ma table, prêt à retourner dans ma poche le lendemain.


 

Source : Raconté par Lee Brower, présenté dans le livre Le Secret.

 

La gratitude, le grand multiplicateur*
La gratitude, le grand multiplicateur*
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22 mai 2015 5 22 /05 /mai /2015 11:45

Connaissez-vous l'histoire de cet homme, trempé jusqu'aux os, qui s'était perdu en pleine forêt?


Après avoir tourné en rond durant plus de quatre jours, le vieil homme découvre enfin une vieille cabane de chasseurs.

Tout heureux, il y entre, s'installe avec précipitation devant le poêle situé au beau milieu de la pièce et il attend. Il attend ainsi, sans bouger, durant plus de trois heures. Au bout de ce temps, toujours trempé et gagné par le froid intense, il ouvre la bouche pour dire au poêle : « Je t'avertis, si tu ne me donnes pas de chaleur, tu n'auras pas de bois! »

Le lendemain, des chasseurs, de passage dans la région, trouvèrent le vieil homme mort de froid, assis devant un poêle froid et vide, sans bois.

 

Source : Nicole Charest, Petites douceurs pour le coeur, p. 66

Donner avant de recevoir*

L’histoire ci-dessus m’a toujours fait sourire tellement la conclusion défie la logique et le bon sens. Pourtant, dans d’autres domaines de notre vie, ça semble beaucoup moins évident…

Lequel des deux cas ci-dessous vous représente le plus?

1) Vous désirez quelque chose et dès que vous l’avez reçu, vous remerciez. OU

2) Vous remerciez à l’avance pour l’accomplissement de votre désir, confiant que la magie opérera.

Vous aurez sans doute deviné que l’option #2 représente la façon la plus certaine et la plus rapide d’attirer la manifestation de nos souhaits. Pourquoi? Tout simplement parce qu’en fonction de la loi de l’attraction, plus nos pensées sont tournées vers l’appréciation et la gratitude, plus les circonstances heureuses se multiplient. L’inverse est aussi vrai. Plus nous focalisons notre attention sur ce qui manque dans notre vie, plus la Vie en sera l’écho.

Ce thème de la gratitude est présentement l’objet de toutes mes lectures et j’y reviendrai plus en détails la semaine prochaine. Entretemps, j’aimerais vous suggérer un livre merveilleux : La magie de Rhonda Byrne. Il s’agit d’un programme de 28 jours où l’auteure nous montre à appliquer le pouvoir de la gratitude à notre vie quotidienne.

Ci-dessous, quelques ressources que je trouve très intéressantes et que j’ai plaisir à partager avec vous.

Je vous souhaite une excellente semaine et vous remercie d’être présents-es sur ma route virtuelle.

Votre webmestre, Nicole

Donner avant de recevoir*

« Je n'ai ni bras ni jambes, mais je suis reconnaissant d'avoir cette aile de poulet... » OUF! Un témoignage comme celui-ci vaut la peine d'être écouté et réécouté...

Donner avant de recevoir*

Merci la vie ! - Chanson de Ginette Reno

Cliquez ici pour avoir les paroles et pourquoi pas, les chanter à tue-tête!

Donner avant de recevoir*
Donner avant de recevoir*
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13 mai 2015 3 13 /05 /mai /2015 09:30

 

Chers abonnés et visiteurs,

S’il est un outil de croissance personnelle qui m’a fait évoluer dans la vie, c’est bien « la technique du miroir ». J’y ai été sensibilisée il y a plus de 25 ans via le cours de Lise Bourbeau, Écoute ton corps. Ce fut une véritable révélation ! Vous êtes sûrement nombreux à connaître cette approche, toutefois, il est toujours bénéfique de s’en remémorer les grands principes.

Pour ce faire, je vous présente d’abord un texte qui illustre bien notre façon d’agir. En fait, nous désirons tellement éviter d’avoir le comportement que nous critiquons que nous l’interprétons à notre manière quand il s’agit de nous-mêmes. Nous trouvons mille et une excuses pour nous justifier et pour ne pas reconnaître que nous aussi, il nous arrive d’agir ainsi…

Dans un deuxième temps, si vous désirez toujours poursuivre en ce sens, je vous invite à télécharger un court document PDF (4 pages). C’est un extrait du livre de Nicole Dumont : Ô miroirs dites-moi? Je ne connaissais pas ce livre mais si je me fie à ce que j’y ai lu, c’est sûrement une auteure à découvrir.

Dans un troisième temps, deux vidéos de Géraldine Bergon (coach de vie, formatrice, conférencière) qui expliquent cette théorie du miroir. Encore là, ce fut une très belle découverte pour moi et je vous la partage avec joie.


Je vous souhaite une belle semaine et tout plein de précieuses découvertes sur vous-même!

Votre webmestre, Nicole

L'effet miroir*

Quand lui, quand moi...

 

Quand lui n'achève pas son travail, je me dis, il est paresseux. Quand moi, je n'achève pas mon travail, c'est que je suis trop occupé, trop surchargé.

Quand lui parle de quelqu'un, c'est de la médisance. Quand je le fais, c'est de la critique constructive.

Quand lui tient à son point de vue, c'est un entêté. Quand moi je tiens à mon point de vue, c'est de la fermeté.

Quand lui prend du temps pour faire quelque chose, il est lent. Quand moi je prends du temps pour faire quelque chose, je suis soigneux.

Quand lui est aimable, il doit avoir une idée derrière la tête. Quand moi je suis aimable, je suis vertueux.

Quand lui est rapide pour faire quelque chose, il bâcle. Quand moi je suis rapide pour faire quelque chose, je suis habile.

Quand lui fait quelque chose sans qu'on le lui dise, il s'occupe de ce qui ne le regarde pas. Quand moi je fais quelque chose sans qu'on me le dise, je prends des initiatives.

Quand lui défend ses droits, c'est un mauvais esprit. Quand moi je défends mes droits, je montre du caractère.

Quand même bizarre, non?


Auteur : Pierre Descouvemont, Guide des difficultés de la vie quotidienne

 

 

Pensées à méditer

« Ce que tu es parle si fort que je n'entends plus ce que tu dis. »

« Ce que Pierre pense de Paul en dit plus sur Pierre que sur Paul. »

 

L'effet miroir*

L'effet miroir - Guide d'utilisation

Voici le document PDF dont je vous ai parlé (Nicole Dumont). Cliquez ici ou sur le titre pour le télécharger et l'imprimer, si vous le désirez. Il y a aussi un chapitre complet sur ce thème dans le livre de Lise Bourbeau : Écoute ton corps Encore... (la suite).

 

L'effet miroir*
L'effet miroir*
L'effet miroir*
L'effet miroir*
L'effet miroir*
L'effet miroir*
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7 mai 2015 4 07 /05 /mai /2015 10:24

 

 

« Vos enfants ne sont pas vos enfants », disait Khalil Gibran. Mais pour les parents, leurs enfants resteront toujours leurs enfants!

Nous les avons conçus, portés, mis au monde. Nous les avons bercés, consolés, cajolés. Nous avons embrassé leurs bobos, soigné leur estime d’eux-mêmes, joué avec eux, réservé des surprises, enseigné la Vie.

Nous les avons aimés avec une fibre d’amour tellement forte et puissante que nous ignorions jusque-là que nous pouvions aimer autant. Cet amour de nos enfants surpasse toute autre forme d’amour que nous avions connu jusqu’ici dans notre Vie.

Nous les avons vus grandir, avons accepté d’être contestés, avons discuté des grandes choses de la Vie et des petites choses du quotidien.

Nous avons encaissé les reproches, accueilli leurs élans d’amour, réparé leurs gaffes, soutenu leurs projets, défendu leur réputation.

Nous avons accepté les colères, les blâmes, les silences, les distances. Certains de ces enfants ont eu besoin de rejeter tout ce que nous leur avions transmis, afin de pouvoir faire leur propre tri de ce qu’ils avaient envie de garder dans leur Vie.

Nous avons soufflé sous leurs ailes, les regarder se déployer, puis s’envoler pour vivre leur vie à leur tour. Nous avons été fiers de leur autonomie mais émus de les voir partir.

Ils nous ont enseigné l’amour, le vrai, l’inconditionnel, l’indestructible. Même si nous-mêmes n’avions pas connu cet amour de la part de nos parents, nous avons su aller le puiser loin dans notre cœur, parfois le créer de toutes pièces, pour nos enfants.

Et au soir de notre Vie, peu importe le succès, la popularité, la richesse que nous aurons connus, les amours que nous aurons vécus, nos dernières pensées, notre dernier élan d’amour sera pour nos enfants.

Chers enfants du monde entier - et les miens - si vous saviez combien vous êtes aimés!


 

Auteure : Diane Gagnon

Nos enfants*

Diaporama et vidéo youtube : Les mères sont des anges


Créé en 2012, ce diaporama est toujours d'actualité. C'est donc à voir ou à revoir...

Nos enfants*

Hommage à nos mamans disparues

 

S'il est vrai que des fleurs poussent au paradis,
et que les espèces les plus rares s'y trouvent réunies,
alors Seigneur, svp, soyez bon, soyez gentil,
et portez attention à la mission que je Vous confie.

Cueillez les plus belles et faites-en des bouquets géants
que Vous remettrez à nos douces et chères mamans...
En les serrant chacune très fort dans vos bras aimants,
rappelez-leur qu'elles nous manquent terriblement...

Ah oui, peut-être pourriez-Vous aussi rajouter ceci,
— Ces mots qu'on ne leur a jamais assez dits —
« Chères mamans, nous vous aimons et vous disons
MERCI
pour votre générosité et votre amour sans compromis... »

Nicole Charest

Nos enfants*
Nos enfants*
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17 avril 2015 5 17 /04 /avril /2015 10:00

 

La reine Malika et le roi Kosala étaient très amoureux. Par une belle soirée romantique, le roi se pencha tendrement vers la reine et lui demanda : « Qui aimes-tu le plus au monde ? » La réponse fut loin d’être celle qu’il attendait quand elle lui dit : « Eh bien, c’est moi que j’aime le plus au monde ! » Surpris de cette réponse, le roi réfléchit un court instant et dit à sa compagne : « Moi aussi, je suis celui que j’aime le plus au monde. »

Un peu dépités devant leurs réponses réciproques, ils décidèrent d’aller en parler à Bouddha. Le maître spirituel les félicita chaleureusement de s’être posé une question aussi importante. Il leur déclara qu’en fait, chacun devrait être celui qu’il aime le plus au monde.

Il précisa ensuite : « Si vous comprenez cette vérité, vous cesserez de vous manipuler l’un l’autre ou de vous exploiter. Quand on pratique l’amour de soi, la compétition n’a plus sa place. Vous n’aurez nul besoin de défendre votre valeur personnelle, nul besoin de vous disputer. Quand on s’aime soi-même, on se libère du piège d’exiger que les autres nous aiment.

Pour ma part, j’ai besoin de l’amour des autres mais je ne peux pas le commander. Si mon besoin d’amour n’est pas comblé par les autres, je m’assure d’être dans l’amour de moi-même. Ainsi, je laisse les autres libres de me donner ou non leur amour. »

Bouddha poursuivit ensuite son enseignement : « Pour atteindre cet idéal d’estime de vous-même, vous devrez abandonner l’idée de vous croire meilleur ou inférieur aux autres ou même leur égal. Quel choix vous reste-t-il si vous n’êtes ni supérieur, ni inférieur, ni égal ? L’idéal est de rester vous-même. Quand on est soi-même, sans chercher à se comparer à personne, on a tout le loisir de créer une relation parfaite. »

Source : La vie est un jeu quantique – Dr Christian Bourit

 

Qui aimes-tu le plus au monde?*

Un ebook à télécharger : Le droit d'ÊTRE

 

En rapport avec le texte présenté ci-haut, voici un excellent document écrit en 2009 par Jules Bureau, psychologue clinicien, sexologue, auteur. Depuis près de cinquante ans, il a rencontré en thérapie des milliers de personnes aux prises avec des difficultés de vivre. Je vous laisse sur ce petit extrait de son eBook (67 pages).

 

« L’acceptation de ce que l’on est, de ce que l’on est avec toutes nos petites faiblesses et toutes nos petites misères est cruciale dans la libération de cette bataille intérieure avec l’image, entre l’authentique personne que l’on est et l’image que nous portons et qui veut que l’on soit parfait, toujours en maîtrise, toujours correct ou comme il se doit d’être. Le droit d’être et non le doit être. »

Qui aimes-tu le plus au monde?*
Qui aimes-tu le plus au monde?*
Qui aimes-tu le plus au monde?*
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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 09:50

 

Quel titre cliché, n'est-ce pas?

Nous savons ça depuis que nous sommes tout petits. C'est une telle évidence qu'on n'a pas besoin de le dire.

Cependant, est-il possible que ce soit ainsi partout? Non seulement dans la nature observable mais dans nos vies également?

Nous passons notre vie, de notre naissance à notre mort, à vivre des « petites morts ». Toutes, sans exception, mènent à une nouvelle vie. Et il faut dire qu'en général, cette nouvelle vie est meilleure que celle d'avant.

Ainsi, chaque deuil est une mort en soi. Rien d'agréable durant le processus, mais combien magnifique lorsque nous débouchons sur la nouvelle vie.

Nous restons pourtant centrés sur le deuil, sur la mort, sur la fin. Nous n'arrivons pas à nous centrer sur ce qui vient parce qu'on ne le voit pas, on ne l'imagine pas, on ne le devine pas.

Nous pouvons cependant nous y accrocher en se remémorant cette transition magnifique qui est celle du printemps. Nous savons que l'on va vers l'été. Nous savons que ce sera beau. Nous imaginons déjà les fleurs et la nature resplendissante.

Pendant nos processus de deuil, aussi difficiles soient-ils, il faut se rappeler cette vérité toute simple. Si simple que plus personne ne la dit :

« Après l'hiver, le printemps... »

Dans la nature comme dans nos vies.

 

Notre destin ressemble parfois à un arbre fruitier en hiver, et pourtant, qui douterait qu'au printemps, ses branches reverdiront et fleuriront à nouveau.

Après l'hiver, le printemps*

De tout coeur avec toi...

 

Voici une vidéo qui fera du bien à toutes les personnes qui, présentement, sont « en plein hiver » dans leur vie et qui parfois doutent que le printemps puisse revenir... (Conception et texte : Nicole Charest, avril 2012)


 

Après l'hiver, le printemps*

Pensée à imprimer

 

Conçue en format photo, prête à faire développer, vous pouvez aussi imprimer cette pensée à partir de votre imprimante ou la joindre à un courriel en tant qu'image. Placez votre souris sur l'image et avec le bouton droit, cliquez sur Enregistrer l'image sous...

 

Après l'hiver, le printemps*
Après l'hiver, le printemps*
Après l'hiver, le printemps*
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25 mars 2015 3 25 /03 /mars /2015 09:10


Chers abonnés,

C’était en avril 2001. Alors que je me dirigeais vers le comptoir-caisse de la librairie où je fouinais depuis déjà une bonne heure, mon regard fut attiré par le titre d’un livre se trouvant sur un petit présentoir : Le pouvoir de la bénédiction. Je m’empressai de le feuilleter sans toutefois prendre la décision de l’acheter. Après tout, j’en avais déjà 3 en mains. Toutefois, rendue à mon auto, j’entendais toujours cette petite voix dans ma tête qui me disait : « Humm, tu vas le regretter… ».

Sachant à quel point cette voix peut devenir harcelante, je m’empressai de retourner à la librairie et achetai ledit livre. Je n’ai jamais regretté une seconde d’avoir obéi à cette voix qui, en fait, n’était rien d’autre que celle de mon intuition profonde.


Qu’est-ce au juste que cet art de la bénédiction? Outre le fait d'être un outil pratico-pratique qui permet, entre autres, de nous apaiser, de nous libérer, de transcender notre impuissance, de renouer avec notre force intérieure, de dissoudre nos problèmes, de changer le cours des choses; la bénédiction est un mode de vie qui génère en nous une nouvelle façon d'être, de penser et d'agir.

La meilleure façon pour moi de vous sensibiliser à cette pratique est de vous faire découvrir le magnifique texte écrit par Pierre Pradervand et présenté dans la vidéo ci-dessous. Merci Manuela de me l'avoir transmise. Il fait de plus l'objet spécifique de son livre : Vivre sa spiritualité au quotidien.



Au menu donc :


Qui est Pierre Pradervand? Entrevue réalisée par La télé de Lilou;

Vidéo conçue par Jane Young et présentant le texte de Pierre Pradervand;

Vidéo conçue par Nicole Charest et présentant le texte de Micheline Ruch;

Site à découvrir : Le simple art de bénir;

Trois textes sur la bénédiction à imprimer (pdf) / Trois livres à lire;

Page de mon site regroupant d'autres ressources;

Photo ou image à imprimer (texte de Marianne Williamson)

Que mille et une bénédictions rejaillissent sur vous,

Votre webmestre, Nicole

Fondateur des ateliers Vivre autrement, Pierre Pradervand a exercé, au cours d'une carrière de plus de trente ans, des métiers aussi divers que sociologue, journaliste, responsable de programmes de développement, consultant international et formateur d'adultes. Auteur de plusieurs livres, il a écrit notamment le célèbre Vivre sa spiritualité au quotidien, livre qui a popularisé la pratique par chacun de la bénédiction.

Pour en connaître un peu plus sur lui, écoutez l'entrevue qu'il a accordée à La télé de Lilou.

Vidéo de Jane Young / Texte de Pierre Pradervand

Le simple art de bénir

Vidéo de Nicole Charest / Texte de Micheline Ruch


La version diaporama (.pps) est disponible sur la page de mon site.

Le simple art de bénir

Site à découvrir : Le simple art de bénir


Le texte de Pierre Pradervand y est traduit en douze langues. De plus, il y a des témoignages, des exemples de bénédictions, des textes à méditer, un blogue, etc. Ils sont également présents sur Facebook. Recherchez Le simple art de bénir.

Le simple art de bénir

Trois textes à imprimer / Trois livres à lire


J'ai personnellement lu les trois livres ci-dessous et je les recommande chaleureusement à toute personne qui désire mieux comprendre la puissance de cette pratique et en découvrir les nombreux et précieux bienfaits. 

— Texte de Pierre Pradervand - Vivre sa spiritualité au quotidien
— Texte de Micheline Ruch / L'alchimie du bonheur
— Texte de Madeleen Dubois / Le pouvoir de la bénédiction

Version pdf prête à imprimer (9 pages)

Le simple art de bénir
Le simple art de bénir

Photo ou image à imprimer


Magnifique texte écrit par Marianne Williamson. Je me permets de vous faire une petite suggestion. J'ai conçu cette image en haute résolution et dans un format photo (4x6 po ou 10x15 cm). Ça me permet donc de la faire développer comme toute autre photo et de m'en servir comme signet, de l'apposer sur un miroir, etc. Vous pouvez également l'imprimer à partir de votre imprimante personnelle.

Pour la sauvegarder, positionnez votre souris sur l'image et avec le bouton droit, cliquez sur : Enregistrer l'image sous... Choisissez l'endroit approprié pour la sauvegarde et voilà, le tour est joué.

 

Le simple art de bénir
Le simple art de bénir
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6 mars 2015 5 06 /03 /mars /2015 12:18

 

Il est très important de s’arrêter pour se recueillir, pour méditer et pour prier, indépendamment de la religion que l’on pratique. Il nous faut trouver l’Être avec lequel nous nous sentons complices.

L’important, dans cet exercice, ce n’est pas de prier, mais d’avoir la foi en quelque chose, car il est primordial de croire en quelque chose de plus puissant que nous pour notre bien-être psychologique. Il s’agit en quelque sorte d’un partage d’énergie.

Si nous nous sentons seuls, il est possible que notre moral ne soit pas à son plus haut et que nos énergies soient déficientes pour accomplir ce que nous souhaitons. Le but, donc, est de croire en quelque chose.

Pour quelle raison ? Parce que cela agit sur notre subconscient. En effet, plus notre foi est importante, plus nous aurons de l’énergie pour concrétiser nos rêves — et nous verrons que les éléments de notre vie semblent se placer comme les pièces d’un puzzle. Cependant, il est important de ne pas utiliser le recueillement pour maugréer contre sa vie et quémander des services sans arrêt. Soyons reconnaissants envers la vie et envers cette puissance supérieure à laquelle nous nous adressons, et notre destin sera positif, d’une façon ou d’une autre.

Peu importent nos croyances et comment ce mécanisme peut opérer, il n’y a que les résultats qui comptent. Que nous soyons une personne croyante ou non, chacun devrait s’entendre sur le fait que nous sommes ici en partie (grande ou petite selon nos valeurs) pour échanger avec les autres. La prière et le recueillement sont des moyens de le faire, de façon fantastique, avec des forces et des énergies très puissantes.


Source : Huston, John. Les 50 règles pour métamorphoser sa vie, Les éditions Québécor, 2005, p. 117

 

 

« Ne pas avoir le temps de méditer,
c'est n'avoir pas le temps de regarder son chemin,
tout occupé à sa marche. »

Antonin Sertillanges

Apprenez à vous recueillir*

Retrouvez toutes mes créations sur ma chaîne : www.youtube.com/ncharest56.

Apprenez à vous recueillir*

Document audio : Prière à l'univers de Nicole Bordeleau

 

En lien avec le texte présenté au début, voici une très belle prière composée par Nicole Bordeleau, Maître en yoga, auteure, conférencière. Je vous invite d'ailleurs à visiter son site : www.yogamonde.com

 

Cliquez sur l'icône ci-dessous pour l'écoute

 

Apprenez à vous recueillir*

Blague du blog
 

Un couple se balade sur les Champs-Élysées quand tout à coup, la femme s'arrête net devant une vitrine de robes.

Elle est émerveillée par une robe et le fait comprendre à son mari ! Son mari lui demande :

— Elle te plaît ? ...
— Oh oui, elle est magnifique !
— Si tu veux demain, on revient et tu pourras encore la regarder.

 

 

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9 février 2015 1 09 /02 /février /2015 15:19

 

 

 

 

On peut être heureux partout. Il y a seulement des endroits où il semble qu’on peut l’être plus facilement qu’à d’autres. Cette facilité n’est qu’illusoire : ces endroits soi-disant privilégiés, sont généralement beaux, et il est de fait que le bonheur a besoin de beauté, mais il est souvent le produit d’éléments simples. Celui qui n’est pas capable de faire son bonheur avec la simplicité ne réussira que rarement à le faire, et à le faire durable, avec l’extrême beauté.

 

On entend souvent dire : « Si j’avais ceci, si j’avais cela, je serai heureux », et l’on prend l’habitude de croire que le bonheur réside dans le futur et ne vit qu’en conditions exceptionnelles. Le bonheur habite le présent, et le plus quotidien des présents. Il faut dire : « J’ai ceci, j’ai cela, je suis heureux. » Et même dire : « Malgré ceci et malgré cela, je suis heureux. » Les éléments du bonheur sont simples, et ils sont gratuits, pour l’essentiel.

 

Il n’est pas de condition humaine, pour humble ou misérable qu’elle soit, qui n’ait quotidiennement la proposition du bonheur : pour l’atteindre, rien n’est nécessaire que soi-même. Ni la Rolls, ni le compte en banque, ni Megève, ni Saint-Tropez ne sont nécessaires.

 

Au lieu de perdre son temps à gagner de l’argent ou telle situation d’où l’on s’imagine qu’on peut atteindre plus aisément les pommes d’or du jardin des Hespérides, il suffit de rester de plain-pied avec les grandes valeurs morales. Il y a un compagnon avec lequel on est tout le temps, c’est soi-même : il faut s’arranger pour que ce soit un compagnon aimable. Qui se méprise ne sera jamais heureux et, cependant, le mépris lui-même est un élément de bonheur : mépris de ce qui est laid, de ce qui est bas, de ce qui est facile, de ce qui est commun, dont on peut sortir quand on veut à l’aide de sens.

 

Dès que les sens sont suffisamment aiguisés, ils trouvent partout ce qu’il faut pour découper les minces lamelles destinées au microscope du bonheur. Tout est de grande valeur : une foule, un visage, des visages, une démarche, un port de tête, des mains, une main, la solitude, un arbre, des arbres, une lumière, la nuit, des escaliers, des corridors, des bruits de pas, des rues désertes, des fleurs, un fleuve, des plaines, l’eau, le ciel, la terre, le feu, la mer, le battement d’un cœur, la pluie, le vent, le soleil, le chant du monde, le froid, le chaud, boire, manger, dormir, aimer. Quand l’homme s’est fait une nature capable de fabriquer le bonheur, il le fabrique quelles que soient les circonstances, comme il fabrique des globules rouges.

 

Source : Giono, Jean. La chasse au bonheur, Recueil de chroniques écrites à la fin de sa vie, entre 1966 et 1970, Éditions Gallimard

La chasse au bonheur*

Nous sommes à quelques jours de célébrer la St-Valentin. Pour cette occasion, je vous présente une vidéo tout à fait indiquée dans les circonstances. Il s'agit d'un texte écrit par Yvon Dallaire, psychologue. Bon visionnement.

Pour revoir toutes mes vidéos, faites une visite sur ma chaîne Youtube.

 

La chasse au bonheur*

La blague du blog


Deux inconnus, homme et femme, doivent partager un wagon-lit.

Gênés mais fatigués, ils s'endorment vite. Lui sur la couchette du haut, elle en bas.

Durant la nuit l’homme réveille la dame :
— Pardon, mais j’ai froid. Pourriez-vous me donner la couverture dans le casier ?

— J’ai mieux. Faisons semblant que nous sommes tous deux mariés depuis 10 ans...

— Wow ! d’accord !

— Bon, va la chercher toi-même et ne me fais pas suer. 

 

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26 mai 2014 1 26 /05 /mai /2014 12:00

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Et si c'était la dernière fois que tu voyais, tu regarderais avec une telle attention que ton regard, d'un seul coup d'œil, embrasserait tout l'horizon.

Et si c'était la dernière fois que tu marchais, tu poserais tes pieds avec tant de douceur et de légèreté qu'ils deviendraient des ailes et tu pourrais voler.

Et si c'était la dernière fois que tu respirais, tu humerais l'air avec un tel allant que tu te trouverais vivant jusqu'à la fin des temps.

Et si c'était la dernière fois que tu t'éveillais, ce moment d'ultime conscience aurait tellement de force et de clarté qu'il éclairerait tes nuits jusqu'à l'éternité.

Et si c'était la dernière fois que tu pensais, la plus vulgaire de tes pensées s'auréolerait de tant d'innocence qu'elle te conduirait jusqu'à la source : au pays du silence.

Et si c'était la dernière fois que de la solitude tu souffrais, tu serais si reconnaissant de connaître l'absence que tu percevrais le parfum de l'éternelle présence.

Et si c'était la dernière fois que tu jugeais, tu serais si confus de ce penchant coupable que tu verrais le beau au sein du condamnable.

Et si c'était la dernière fois que tu te remémorais les bons moments et les mauvais, tu remercierais si fort de les avoir connus que tu verrais les fils entre les deux tendus.

Et si c'était la dernière fois que tu créais, ton inspiration serait si féconde que tu pourrais comprendre l'origine du monde.

Et si c'était la dernière fois que tu aimais, tu glorifierais l'instant avec un tel zèle qu'il emplirait ton cœur à jamais d'amour universel.

Et si c'était la dernière fois que tu riais, ton esprit tant se dilaterait qu'au mirage du petit « je », jamais plus ne se prendrait.

Et si c'était la dernière fois que face à toi-même tu te trouvais, tu rentrerais tant dans ce jeu de miroir que tu pourrais percer le secret de ton histoire.

Et si c'était la dernière fois que tu lisais, les mots au fond de toi prendraient âme et corps et donneraient naissance à l'Être que tu n'es pas encore.

Si tu fais toute chose avec autant de passion, d'attention et d'amour que si c'était la dernière fois, alors, ce sera la première fois où tu SERAS.

— Texte de Gérard Bellebon

Et si c'était la dernière fois*
Et si c'était la dernière fois*

Shakespeare a dit :

 

 « Je me sens toujours heureux, vous savez pourquoi ?
Parce que je n'attends rien de personne...
Les attentes font toujours mal, la vie est courte...
Aimez votre vie, soyez heureux, gardez le sourire et souvenez-vous :
Avant de parler, écoutez...
Avant d'écrire, réfléchissez...
Avant de prier, pardonnez...
Avant de blesser, considérez l'autre...
Avant de détester, aimez...
Et avant de mourir, vivez ! »

Et si c'était la dernière fois*

La blague du blog

Si la personne que tu aimes tremble quand tu la prends dans tes bras, si sa respiration est secouée de spasmes, si ses lèvres sur les tiennes sont ardentes comme la braise, si tu vois dans ses yeux briller une lueur spéciale, CASSE-TOI, c'est la GRIPPE!!!!!!!!!

 

 

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 17:10

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Voici un petit exercice de lâcher-prise tout simple et très parlant que vous pouvez reprendre à volonté chaque fois qu’une situation problématique se présente dans votre vie.

Imaginez que vous étendez un bras droit devant vous, le dos de la main fixant le ciel, tandis que vous tenez fermement dans votre paume un diamant précieux. Vous garderez, bien entendu, votre main solidement fermée, vos doigts s’agrippant au joyau pour ne pas le laisser s’échapper.

Alors si quelqu’un vous invite à lâcher prise, que ferez-vous ? Ouvrirez-vous la main au risque de laisser tomber le diamant ?

Que se passe-t-il dans votre tête si vous vous dites que vous devez laisser aller ce que vous avez de plus cher ? Croyez-vous que lâcher prise veuille dire laisser tomber, renoncer, capituler, jeter l’éponge, perdre la face ou abandonner la partie ? Si c’est le cas, pas étonnant que vous refusiez de vous y soumettre !

Or, le vrai lâcher-prise implique plutôt de voir les choses autrement, de vous ouvrir à de nouvelles avenues auxquelles vous n’avez pas encore songé par vous-même.

Dans le cas présent, il n’est pas nécessaire de garder la main tournée vers le sol pour l’entrouvrir : vous pouvez la retourner vers le haut, paume vers le ciel, et dénouer vos doigts afin de faire de la place aux nouvelles possibilités qui se présentent à vous.

Lâcher prise, c’est tout simplement lâcher le contrôle, faire confiance à la Vie et vous ouvrir pour recevoir les innombrables bienfaits qui pleuvent sur votre tête.

La prochaine fois que vous sentirez qu’il vous faut lâcher prise, refaites ce petit geste significatif : libérez-vous de votre souci en le remettant entre les mains de votre âme, de Dieu ou de toute autre personnes « là-haut » en qui vous avez confiance… Puis, tendez les mains droit devant vous, ouvertes et prêtes à accueillir de merveilleux joyaux sous forme de bénédictions providentielles ou de solutions parfaites !



Source : Dre Diane LeBlanc, Tout va mal ? Tant mieux ! Éditions Le Dauphin blanc, 2013, p. 173 

Exercice de lâcher-prise*

La blague du blog

Une patiente, à son médecin :

— Docteur, cela fait cinq minutes que vous m'avez demandé de tirer la langue et vous ne la regardez même pas !

— C'était juste pour être tranquille pendant que je rédige votre ordonnance.

 

 

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 17:03
         

Il était une fois deux femmes

Il était une fois deux femmes
Qui ne s'étaient jamais rencontrées.
L'une dont tu ne te souviens pas,
L'autre que tu appelles « Maman ».

Deux vies différentes
Dans l'accomplissement d'une seule, la tienne.
L'une fut ta bonne étoile,
L'autre est ton soleil.

La première te donna la vie,
La seconde t'appris comment la vivre.
La première créa en toi le besoin d'amour,
La seconde fut là pour le combler.

L'une te donna tes racines,
L'autre te donna son nom.
La première te transmit ses dons,
La seconde te proposa un but.

L'une fit naître en toi l'émotion,
L'autre calma tes angoisses.
L'une reçut ton premier sourire,
L'autre sécha tes larmes.

L'une t'offrit en adoption,
C'est tout ce qu'elle pouvait faire pour toi.
L'autre pria pour avoir un enfant,
Et le destin la mena vers toi.

Et maintenant, quand en pleurant,
Tu me poses l'éternelle question,
Héritage naturel ou éducation ?
De qui suis-je le fruit?
Ni de l'une ni de l'autre mon enfant,
Tout simplement de deux formes différentes de l'AMOUR

 

Jean-Vital de Monléon

Extrait du livre : Naître là-bas, grandir ici

 

Reçu par le site Nature et Poésie

 

 
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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 17:01

 

 

Quand j’ai les idées embrumées et que j’ai l’impression de flotter dans un monde étrange qui ressemble au Pays de Nulle Part… Quand la souffrance se réveille et englue mes sentiments de gris et de noir… c’est que je suis souvent rendue au bout de mes forces ! Je me suis laissée envahir par les tâches nombreuses et les chevaux de mon petit carrousel sont partis au galop ! C’est le tintamarre dans ma tête.

J’ai trouvé un bon moyen pour me recentrer. Je me ferme les yeux et je visualise une rivière qui coule sereinement… Je la suis en pensée jusqu’à la chute. Je me laisse entraîner vers le « lac de la sérénité »… là où coule une belle cascade…

Je la laisse m’inonder et me mouiller toute entière ! Elle me lave de tous mes soucis et j’en profite pour m’abreuver à celle-ci… À l’automne de ma vie, l’arbre que je suis… a perdu sa plus belle feuille ! Sa beauté, ses coloris chatoyants faisaient de celle-ci une feuille unique…

À chaque fois que mes pensées se dirigent vers elle, je l’imagine rendue au pied de sa cascade déferlante, tendant « sa » joue de feuille… à la caresse de l’onde bienfaisante… La rivière l’a sûrement emmenée à cet endroit magnifique que j’aime à m’imaginer ! Un grand bonheur jamais ne meurt car il continue de nous crier des « Je t’aime » en signe de « requiem ».

Me tenir tout près de l’eau vive et voir l’arc-en-ciel se dessiner… Imaginer des angelots qui voltigent de nuage en nuage… Voir la colombe de la Paix intérieure… battre des ailes juste pour moi… Toutes ces belles « pensées magiques » m’aident à me détendre et à retrouver le sourire confiant en la Vie !

C’est ainsi que je garde « l’espoir » bien vivant en moi. Que je me purifie les idées quand la grisaille m’envahit… Peu importe que je sois chez moi plutôt que dans la nature car je la visualise ! J’en fais une belle toile que je peux contempler quand je le veux… Sortez de votre « cadre » ! Venez me rejoindre ! À quand le rendez-vous ?

Jovette Mimeault

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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