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17 novembre 2018 6 17 /11 /novembre /2018 09:13

 

Écouter est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions faire à quelqu’un. D’une certaine façon, c’est lui dire : « Tu es important pour moi, tu es intéressant, je suis heureux que tu sois là. Je suis disponible à ta présence. Je me sens touché par ce que tu es, parce que tu dis. »

 

Écouter, c’est commencer par se taire. Avez-vous remarqué combien de tentatives d’échange ou de pseudo-dialogues sont remplis d’expressions du genre : « Ah oui, c’est comme moi ! » ou « Moi aussi, j’ai eu affaire à telle situation. » Cette pseudo-compréhension, qui s’approprie le dit de l’autre pour mieux le phagocyter, n’est qu’une occasion pour parler de soi, pour s’emparer du discours de l’autre et développer le sien.

 

Écouter, c’est commencer par arrêter son petit cinéma intérieur, son monologue portatif, pour se laisser rejoindre et peut-être transformer par l’autre. C’est accepter qu’autrui entre dans notre intimité et mette en veilleuse nos pensées, nos ressentis, comme il entrerait dans notre maison et s’y installerait un instant, s’asseyant dans notre fauteuil et prenant ses aises, en sollicitant notre attention pour lui seul.

 

Écouter, c’est accepter. C’est laisser tomber ce qui nous occupe pour donner son temps à l’autre. L’écoute ouverte est semblable à une promenade avec un ami. On marche à son pas, proche mais sans gêner, on se laisse conduire par lui, on s’arrête à sa discrétion, on repart avec lui, on est là pour lui. Cela s’appelle cheminer en compagnie.

 

Écouter, ce n’est pas chercher à répondre à celui qui se cherche, se dit ou résonne devant nous. Il convient surtout de lui permettre de s’entendre, de se reconnaître, de se retrouver dans les errances ou le labyrinthe de ses pensées. C’est refuser de penser à sa place, de donner des conseils, et même de vouloir comprendre. C’est simplement entendre.

 

Écouter, c’est accueillir l’autre, le reconnaître tel qu’il se définit, sans se substituer à lui pour lui dire ce qu’il doit être. Bien sûr, il y a différents niveaux d’écoute. L’écoute active sera celle qui permet à celui qui parle d’entendre ce qu’il dit. L’écoute miroir, la plus rare et donc la plus recherchée, sera inconditionnelle; elle permet de vider les trop-pleins d’amertume et de regrets. L’écoute résonance sera celle qui amplifie le dit de l’autre en restant ouvert et positif à toutes les idées, à tous les sujets, à toutes les expériences, à toutes les solutions, sans interpréter, sans juger, laissant à celui qui s’exprime le temps et l’espace de trouver sa voie.

 

Écouter, ce n’est pas vouloir que quelqu’un soit comme ceci ou comme cela, c’est apprendre à se positionner silencieusement dans ce léger décalage entre ce qui est dit et ce qui est entendu.

 

Être attentif à quelqu’un qui souffre, ce n’est pas donner une solution ou une explication à sa souffrance, c’est lui permettre de la dire et de trouver lui-même son chemin pour s’en libérer ou continuer à la porter.

 

Apprendre à écouter dans cette liberté d’être, c’est l’exercice le plus utile que nous puissions faire pour nous libérer de nos détresses, en retrouvant la part d’universel dans l’unicité de chacun.

 

Écouter, c’est donner à l’autre ce que l’on ne nous a peut-être jamais donné : de l’attention, du temps, une présence bienveillante. C’est en apprenant à écouter les autres que nous arrivons à nous écouter nous-mêmes, dans notre corps, dans nos émotions. C’est le chemin pour apprendre à écouter la terre et la vie ardente. C’est devenir un poète de l’« humanitude », qui sent le cœur et voit l’âme des choses.

 

« À celui qui sait écouter est donné de ne plus vivre à la surface : il communie à la vibration intérieure du vivant. »

 

Texte écrit par Jacques Salomé

Écouter : l'art de se mettre en veilleuse*
Écouter : l'art de se mettre en veilleuse*
Écouter : l'art de se mettre en veilleuse*
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6 octobre 2018 6 06 /10 /octobre /2018 15:20

 

 

Chers abonnés,

Je suis heureuse de vous retrouver et de vous partager quelques nouveautés. Le sujet que j’aborde dans ce bulletin demeure sensible pour bien des gens. Toutefois, personne n’y échappe... Un jour ou l’autre, nous perdrons tous des êtres qui nous sont chers.



En faisant la mise à jour de ma page Vivre un deuil (voir encart ci-dessous), j’ai découvert une chanson dont le texte m’a tout de suite interpellée : Nos absents (par Grand corps malade). Présenté sous forme de poème, les propos sont riches, profonds, touchants et expriment ce que bien des gens ressentent (voir ci-dessous).

Merci de faire partie de ma route virtuelle,

Votre webmestre, 
Nicole xox

Nos absents*

Ce dossier sur le deuil a été conçu en 2008 et depuis, cette page est l'une des plus consultées de mon blog. Vous y retrouverez toutes les ressources que j'ai publiées au fil du temps : diaporamas, chansons, textes, liens utiles. Je vous invite à vous y référer au besoin ou à partager le lien avec des gens vivant un deuil.

 

 

Nos absents*

Voici la chanson dont je vous parlais en préambule. Les paroles sont juste en dessous. Bonne écoute!

Nos absents*
Nos Absents - par Grand Corps Malade

 

C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte,
qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte.
C'est ceux qu'on a aimés qui créaient un vide presque tangible,
car l'amour qu'on leur donnait est orphelin, il cherche une cible.

Pour certains on le savait, on s'était préparé au pire,
mais d'autres ont disparu d'un seul coup, sans prévenir.
On leur a pas dit au revoir, ils sont partis sans notre accord,
car la mort a ses raisons que notre raison ignore.

Alors on s'est regroupé d'un réconfort utopiste.
À plusieurs on est plus fort mais on est pas moins triste.
C'est seul qu'on fait son deuil, car on est seul quand on ressent.
On apprivoise la douleur et la présence de nos absents.

Nos absents sont toujours là, à l'esprit et dans nos souvenirs.
Sur ce film de vacances, sur ces photos pleines de sourires.
Nos absents nous entourent et resteront à nos côtés,
ils reprennent vie dans nos rêves, comme si de rien n'était.

On se rassure face à la souffrance qui nous serre le cou,
en se disant que là où ils sont, ils ont sûrement moins mal que nous.
Alors on marche, on rit, on chante, mais leur ombre demeure,
dans un coin de nos cerveaux, dans un coin de notre bonheur.

Nous on a des projets, on dessine nos lendemains.
On décide du chemin, on regarde l'avenir entre nos mains.
Et au cœur de l'action, dans nos victoires ou nos enfers,
on imagine de temps en temps que nos absents nous voient faire.

Chaque vie est un miracle, mais le final est énervant.
J'me suis bien renseigné, on en sortira pas vivant.
Faut apprendre à l'accepter pour essayer de vieillir heureux,
mais chaque année nos absents sont un petit peu plus nombreux.

Chaque nouvelle disparition transforme nos cœurs en dentelle,
mais le temps passe et les douleurs vives deviennent pastel.
Ce temps qui pour une fois est un véritable allié.
Chaque heure passée est une pommade, il en faudra des milliers.

Moi les morts, les disparus, je n'en parle pas beaucoup.
Alors j'écris sur eux, je titille mes sujets tabous.
Ce grand mystère qui nous attend, notre ultime point commun à tous.
Qui fait qu'on court après la vie, sachant que la mort est à nos trousses.

C'est pas vraiment des fantômes, mais leur absence est tellement forte,
qu'elle crée en nous une présence qui nous rend faible ou nous supporte.
C'est ceux qu'on a aimés qui créaient un vide presque infini
qu’inspirent des textes premier degré.

Faut dire que la mort manque d'ironie.

Nos absents*
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12 juillet 2018 4 12 /07 /juillet /2018 18:21



 

Il y a de ces petits bonheurs que l’on prend tellement pour acquis qu’on en oublie de les savourer. Chaque jour, nous vivons une multitude de bénédictions, de petits miracles, des moments magiques, mais comme nos sens sont sans cesse sur-stimulés et que nous sommes sans cesse habités par autre chose que le simple moment présent, il devient si facile de ne plus voir, de ne plus goûter, de ne plus ressentir…

 

Si vous étiez privés pendant des semaines ou ne serait-ce que pendant quelques jours : de vent, de soleil, d’arbres, de cours d’eau, d’animaux, du ciel, des fleurs, d’odeurs sucrées, de musique, de couleurs, de goûts, de sensations sur vos mains et sous vos pieds, de la chaleur et du froid, du son que fait la voix de la personne que vous aimez le plus au monde; si vous étiez privés de toutes ces choses, seriez-vous la même personne ? Et le monde alors, serait-il aussi beau, aussi bon, aussi majestueux ?
 

 

Le monde est GRANDIOSE ! 
 

Il est à couper le souffle, et nous, nous sommes souvent si ingrats, si aveugles, si sourds, si impassibles et si indifférents devant toute sa splendeur tellement elle nous est familière. On la croit nôtre alors on la banalise, on l’abîme, on la bafoue.

La nature est généreuse alors la moindre des choses serait que nous lui en soyons reconnaissants, n’est-ce pas ?

Prenons le temps d’être conscients de tout ce que l’on reçoit chaque jour. Prenons conscience de tout ce qu’on ne voit plus, ne goûte plus, ne touche plus, n’entend plus et surtout, prenons le temps de nous y arrêter.

Selon moi, le bonheur est là, dans ce souci de trouver en chaque chose ce qui nous émeut, ce qui nous émerveille, ce qui nous nourrit.

Faisons du monde notre plus belle histoire d’amour et reconquérons-le avec la même fougue chaque jour.

Mademoiselle Mymy, 12 décembre 2015

Le monde, ma plus belle histoire d'amour!*
Le monde, ma plus belle histoire d'amour!*
Le monde, ma plus belle histoire d'amour!*
Le monde, ma plus belle histoire d'amour!*
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2 avril 2018 1 02 /04 /avril /2018 09:18


Nous pourrions changer bien des choses en ce monde si nous portions attention à offrir le meilleur de ce que nous sommes à chaque rencontre.

Être totalement présent à l’autre, le regarder et l’écouter avec une attention complète, sans préparer nos réponses, sans donner de conseils non sollicités, sans plaindre ni juger, seulement être dans la meilleure qualité de présence que nous puissions lui offrir.

Lorsque nous arrivons à ralentir notre cadence pour être pleinement là, avec l’autre, sans nous soucier du « avant » ni du « après », apporte à la relation une profondeur et une intensité qui créent des liens forts et durables.

Lorsque nous écoutons attentivement ce que l’autre souhaite nous livrer comme message, nous lui donnons l’espace et le temps pour se déposer, pour se trouver, pour se confier et pour être en confiance. Nous enrichissons ainsi notre propre vécu, par ce partage du cœur que nous co-créons avec lui. N’avons-nous pas tous besoin de nous sentir vraiment écoutés ? Si nous l’offrons aux autres, nous attirerons à notre tour des gens qui porteront cette même qualité de présence.

En fait, nous pouvons aussi nous offrir cette même qualité de présence, à nous, chaque jour, et aussi souvent que nous le pouvons. Ralentir le rythme pour devenir pleinement présent à soi, écouter ce qui monte comme petite voix, lui laisser toute la place pour s’exprimer, sans la juger, sans la restreindre, simplement en l’accueillant. Laisser venir les émotions pour nous en libérer peu à peu. Laisser nos muscles se détendre pour que notre corps se repose et s’aligne mieux avec notre âme.

S’offrir le meilleur à soi, en étant bon pour soi, permet de développer une merveilleuse complicité avec la Vie. Car ainsi, nous attirons aussi le meilleur à nous. 

Diane Gagnon (extrait du ebook offert ci-dessous)

 

Offrir le meilleur!*

Voici mon nouveau diaporama.


L'engagement # 6 me rejoint beaucoup.

J'espère que les différentes ressources que j'ai placées sur mon blog au cours des 10 dernières années y auront contribué.

Cliquez sur le fichier ci-dessous.

Offrir le meilleur!*

Ebook de Diane Gagnon

 

71 pages de textes inspirants.

Un petit bijou à sauvegarder. 

Offrir le meilleur!*

 

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5 février 2018 1 05 /02 /février /2018 11:24

 

 

Un jour, on en aura assez de s'inquiéter pour tout, pour rien.

 

 

On en aura assez d'écouter cette voix mentale qui, comme un revendeur de drogue nous fournit, de la négativité à volonté.
 

 

On en aura assez d'être emprisonné par la peur de ne pas être assez ceci ou cela. D'être trop ceci ou cela.
 

 

Ce jour-là, on va s'arrêter et se dire :  « c'est assez ! »
 

 

À partir de là, progressivement, l'inquiétude diminuera, la peur faiblira, et l'insatisfaction disparaîtra.
 

 

On commencera alors à vivre cet instant en appréciant pleinement ce qui nous est donné, ici et maintenant.
 

 

C'est peut-être aujourd'hui, demain ou après-demain, mais ce jour s'en vient. 
 

 

En fait, il n'attend qu'un signal : « c'est assez ! »

 

 

Nicole Bordeleau

C'est assez!*
C'est assez!*
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15 décembre 2017 5 15 /12 /décembre /2017 13:01

 



Certaines étapes de vie nous semblent particulièrement difficiles. Quand nous ne trouvons plus de solutions, quand tout semble aller de travers, quand nous forçons pour arriver à nous en sortir et qu’il semble que rien ne fonctionne, nous avons parfois tendance à nous décourager.

 

Pourtant, il existe une solution tellement simple et pourtant si libératrice que nous serions insensés de nous en priver.

 

Quand ce qui nous dépasse nous paraît au-delà de nos forces, pourquoi ne pas nous en remettre à une force au-delà de nous-mêmes, justement ?

 

Déposer son fardeau là, devant soi, et demander à la Vie, à Dieu, à l’Univers, à l’Énergie, peu importe, demander au plus grand que soi de s’occuper de notre fardeau, est un geste humble mais tellement puissant !

 

Nous reconnaissons alors que la Vie est plus grande et plus sage que nous. Nous lui demandons humblement de nous indiquer le chemin. Nous remettons notre Foi entre ses mains et nous devenons l’instrument de son Amour.

 

Pas d’ego en jeu ici : juste une saine humilité et une acceptation que nous sommes actuellement dépassés par ce que nous vivons et que nous demandons à la Vie de nous aider, de nous guider, de nous supporter, de nous éclairer.

 

S’en remettre à plus grand que soi est un profond geste d’amour envers soi. Car alors, nous mettons de côté notre orgueil et notre ego et nous disons oui à la Vie, oui à sa grande sagesse, oui à son soutien magnanime.

 

Et dans l’ouverture ainsi créée, se tisse la Voie que nous devons suivre pour continuer notre chemin.

 

Diane Gagnon, Facebook, 28 octobre 2016

 

 

 

Comme vous le savez, Diane Gagnon est l'une de mes auteures préférées. Si vous ne connaissez pas son dernier livre, le voici. Une excellente idée de cadeau de Noël. Cliquez sur l'image pour en connaître plus. Offert en version électronique et papier.

S'en remettre à plus grand que soi*
S'en remettre à plus grand que soi*
S'en remettre à plus grand que soi*
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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 13:16

 

La peur de perdre est présente dans presque toutes les sphères de notre vie.

Nous avons peur de perdre notre conjoint, notre emploi, nos amis. Nous avons peur de perdre la face, de perdre une argumentation, nos biens, notre santé. Nous avons aussi peur de perdre notre confort et notre routine, devant des changements imminents.

À cause de ces peurs, nous nous crispons dans des attitudes plus rigides pour ne rien perdre; nous tentons de contrôler tous nos environnements, de tout planifier, tout prévoir, tout superviser. Nous refusons d’adhérer aux changements, nous développons une tendance plus forte au contrôle et à la résistance, puis, nous devenons plus jaloux et angoissés. Quand nous avons l’impression que nous sommes sur le point de vraiment perdre quelque chose, nous intensifions davantage nos comportements anxieux, alors, le stress nous ronge et nous épuise.

Et pourtant, est-ce que notre peur de perdre quelque chose nous a déjà préservés de perdre quelque chose?

Est-ce que parce que nous avons peur de perdre nous ne perdons jamais rien? Bien sûr que non! Certes, la peur peut nous amener à être plus prudent, mais bien souvent elle n’empêchera pas notre couple de s’étioler, notre emploi de se terminer, nos relations de s’appauvrir. Elle ne nous préservera pas de la faillite, des aléas de la vie quotidienne, des problèmes de santé, des changements…

Cependant, la peur de perdre nous garantit quand même certaines choses : entre autres, celles de gâcher notre présent, de ruiner notre humeur, de perturber notre sommeil. Elle risque aussi, parce que nous adopterons des comportements indésirables basés sur la peur, de nous faire perdre notre conjoint(e), nos relations, notre emploi. Assurément, elle nous fera perdre notre calme, notre sourire et notre confiance en la Vie. S’il n’y a pratiquement aucun gain à entretenir la peur de perdre, pourquoi la maintenons-nous dans notre Vie?

La peur de perdre est essentiellement liée à nos deux peurs fondamentales, celle de mourir…. et celle de vivre!

Parfois, pour certaines personnes, la peur de vivre est encore plus grande que celle de mourir : elle nourrit alors toutes les autres peurs.

Une peur a toujours une fonction vitale : elle nous indique clairement que nous ne nous faisons pas assez confiance à nos propres ressources et à la Vie. Il est donc possible, sans nous juger, d’accueillir nos peurs avec bienveillance pour ce qu’elles ont à nous enseigner, même si elles sont impuissantes pour ce qui est de changer la réalité. Si nous les accueillons, si nous nous accueillons avec nos peurs, nous saurons où nous avons besoin de nous aimer davantage… et nous aurons moins peur!

Alors, plutôt que de nous juger durement lorsque l’anxiété de la peur surgit, tentons de voir ce que ces peurs nous apprennent sur nous-mêmes. Car il y a au moins deux cadeaux lumineux dans chacune d’elles : Celui de nous rappeler de faire davantage confiance à la Vie et celui de nous enseigner à mieux nous aimer.


Source : Diane Gagnon, La solution est en vous

 

 

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Nicole Charest Nicole Charest - dans Divers
16 décembre 2016 5 16 /12 /décembre /2016 08:16

 

Chers abonnés et visiteurs, bonjour,

Je passe vous faire un petit coucou avant Noël. En septembre, je pensais être plus active sur mon blog mais force est d'admettre que ce ne fut pas le cas... Je ne vous oublie pas pour autant...

Comme le côté commercial des fêtes confrontent profondément mes valeurs, j'ai eu le goût de vous présenter deux textes susceptibles d'alimenter votre réflexion.

Le premier parle du pardon, ce qui va, bien sûr, avec le sens profond de la fête de Noël. Le deuxième parle de la consommation. Cet auteur me rejoint tellement que j'ai eu envie de vous le faire connaître. Les plus beaux cadeaux ne se trouvent pas dans les centres commerciaux...


J'en profite donc pour vous souhaiter de très joyeuses fêtes et que la vie vous soit belle et douce en 2017. Merci de faire partie de ma route virtuelle.

 

Votre webmestre, Nicole xox

Tant qu'on refuse de pardonner*

Tant qu’on refuse de pardonner, on maintient volontairement un lien très fort avec la personne qui, selon nous, nous a fait du mal.

Tant que nous ne pardonnons pas, nous rétrécissons notre capacité à aimer véritablement. Nous asséchons notre cœur en gardant rancune.

Tant que nous en voulons à l’autre, c’est à nous que nous faisons du mal. Pas à l’autre.

Pardonner ne signifie pas cautionner le geste que l’autre a commis ; cela ne veut pas dire que nous oublions ce qui a été fait ; cela ne signifie pas que ce n’était pas grave ce qui s’est passé.

Non. Pardonner, cela signifie que je m’aime assez pour me libérer des liens qui m’unissent à l’autre par mon manque de pardon. Cela signifie que je choisis de ME libérer de ce qui entrave mon bonheur. Cela signifie que dorénavant, ce qui s’est passé ne conditionnera plus mon présent pour m’empêcher d’être heureux, d’être bien.

Pardonner c’est voyager léger. C’est faire preuve de maturité. C’est prendre le dessus sur notre ego qui refuse de pardonner tant que justice n’a pas été rendue, selon lui. Si on écoute notre ego dans ces cas-là, nous signons un passeport pour le malheur pour le reste de notre vie. Car notre ego refuse de pardonner, puisqu’il est toujours dans le jugement.

Peu importe l’ampleur de la faute, peu importe son occurrence, peu importe notre douleur initiale, si nous ne pardonnons pas, nous ne nous libérons pas. Et nous restons coincés au moment où ces événements se sont produits, continuant de nous faire souffrir dans le présent pour ce qui fait déjà partie du passé, mais que nous maintenons actuel en alimentant notre rancune, en revivant inlassablement les mêmes événements, en les racontant, en nous identifiant à eux. C’est ce que vous avez envie de vivre pour le reste de vos jours ?

Vous aimerez-VOUS assez pour vous libérer de ce qui vous empêche d’être
heureux ? Ou laisserez-vous votre rancune détruire le reste de votre vie ?

Évidemment, on ne doit pas rester dans ce qui nous fait souffrir ni tolérer l’intolérable ; nous sommes mieux de nous éloigner de tout ce qui est toxique pour nous ; on est plus sage si on évite les personnes qu’on sait qui pourraient nous blesser à nouveau. On ne retourne pas se jeter dans la gueule du loup !

Et pardonner ne signifie pas renouer avec qui nous a fait mal.

Quand on pardonne, pour de vrai, avec le cœur, on se libère du poids le plus lourd que nous puissions porter dans notre vie.

Prenez une roche pour chaque personne à qui vous refusez encore de pardonner, pour chaque événement. Traînez ces roches avec vous partout durant au moins 24 heures : quand vous mangez, quand vous dormez, quand vous vous brossez les dents, quand vous allez travailler, quand vous prenez votre bain, quand vous marchez, vous traînez toujours ces roches avec vous. Au bout de la journée, vous serez épuisés de porter votre sac rempli de roches tellement lourdes qu’elles ne vous donnent plus le goût d’avancer.

Et bien c’est exactement ce qui se produit au niveau spirituel : tout ce que vous refusez de pardonner, ce sont des roches que votre âme traîne continuellement, ce qui lui enlève à elle aussi le goût d’avancer, ce qui la rend lourde et l’épuise. Vous vous surprenez de stagner dans votre vie ? Vous trouvez que certains aspects de votre vie vont mal ? Alors qu’avez-vous à pardonner ? À vous ? Aux autres ?

Vous seul détenez la clé de votre bonheur : le Pardon.

Vous voulez vivre libres et heureux ? Cela se résume en un seul mot
: PARDONNEZ !

 


Auteure : Diane Gagnon

 

Tant qu'on refuse de pardonner*

Les diapos « Petites douceurs » de Noël

Désolée de ne pouvoir vous présenter un nouveau diaporama. Je compense un peu en vous joignant les fichiers d'anciennes créations mais dont le message est toujours très actuel.

Pour la mise en page, je suis incapable de faire les présentations comme avant la migration d'Over-blog vers sa nouvelle plate-forme (images avec liens intégrés). Ce qui, jadis, était un plaisir pour moi est maintenant devenu une grande source de frustration. Je dois toutefois vivre avec...

 

Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
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Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
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Livre En as-tu vraiment besoin?Extrait d'un article écrit par Pierre-Yves McSween, auteur du livre En as-tu vraiment besoin ?

On veut tous être généreux à Noël, mais la question qu’il faut se poser est : quel genre de vie voulez-vous mener ? Noël est un moment pour se retrouver, se reposer, et on a le droit de ne pas être esclave de la consommation.

Si vous dépensez à Noël de l’argent que vous n’avez pas, vous ne comprenez pas le jeu de l’argent. Et il n’y a pas juste l’argent, mais le stress que procure Noël. Ce serait un grand geste d’équité sociale que d’annuler les cadeaux de Noël et de dire aux gens : ne soyez pas gênés, venez chez nous sans cadeaux, sans même de cadeau d’hôtesse ! Il y a des gens qui n’ont pas les moyens de participer à Noël et qui sont tristes de ne pas pouvoir offrir de cadeaux. C’est aberrant.

La meilleure façon de donner accès à Noël à tout le monde, c’est d’éliminer le côté commercial de Noël. Ma famille et moi, on est affranchi de cela depuis quelques années, on ne se donne pas de cadeaux. Entre nous, on arrête de jouer à ce jeu à somme nulle. Des échanges de cadeaux avec des listes et des montants prédéterminés, c’est tellement inutile ! On met 50 $, voici la liste des cadeaux souhaités, alors tout le monde est en train de magasiner les 50 $ d’une autre personne !

Et que dire des cartes-cadeaux ? D’un point de vue purement économique, j’ai échangé de l’argent universel contre de l’argent échangeable qu’à un seul endroit, j’ai augmenté le niveau de risque de mon argent ! Déballer une carte-cadeau, c’est déballer 50 $, donne-moi donc 50 $ ! Donner de l’argent, c’est vulgaire, c’est ce qu’on va me dire ; et une carte-cadeau, ça ne l’est pas ?

Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
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Nicole Charest Nicole Charest - dans Noël-Jour de l'an-Alcool Pardon-Reconnaissance
15 octobre 2016 6 15 /10 /octobre /2016 12:59

 

« Le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne serait pas d'aller vers de nouveaux paysages, mais d'avoir d'autres yeux... » - Marcel Proust

Réapprendre à voir, quelle merveilleuse façon de se réinventer. Voir ne consiste pas à distinguer simplement les formes, les couleurs, les matières, les choses, les êtres, mais à regarder notre monde avec attention, avec curiosité, avec passion, avec un amour pur et désintéressé comme le font les enfants.

Combien de fois sommes-nous passés à côté d'une expérience extraordinaire, n'y voyant que du banal, de l'ordinaire ? On passe toujours trop vite à côté d'une fleur, d'un arbre, d'un papillon et des personnes que l'on aime. On oublie trop souvent de regarder autour de soi et on ne soulève plus les yeux au ciel pour voir plus grand que soi.

Tout, absolument tout ce qui nous entoure sur cette terre, mérite le même regard, la même présence, la même attention. Mais pour mériter la beauté de ce monde, il faut savoir l'accueillir. Pour l'accueillir, il faut rafraîchir notre regard et apprendre à voir avec amour. À voir dans un total abandon tout ce qui existe autour de nous.

D'avoir d'autres yeux signifie donc de rafraîchir le regard que l'on porte sur soi, sur les autres, sur le monde qui nous entoure. Vous et moi, nous pouvons réinventer notre manière de voir le monde. Voici quelques suggestions :

 

– Apprenons à voir les choses sans vouloir posséder.

– À regarder les gens sans les juger.

– À voir les évènements sans les comparer.

– À regarder notre monde sans le diviser.


Pour réinventer notre regard, chaque jour, il est essentiel de fermer les yeux quelques secondes pour rafraîchir notre vision du monde. Puis, avec un regard tout neuf, prendre le temps de contempler le visage de ceux qu'on aime et d'admirer la beauté du monde qui nous entoure.

Ce simple exercice, répété au quotidien, est d'une force incroyable pour renouveler notre engagement envers les autres, envers la vie.

Et lorsque nous traversons des périodes plus sombres, il nous faut aussi adoucir notre regard. C'est alors le moment de cultiver un regard empli de bienveillance, de douceur, de compassion envers nous-mêmes. S'observer, sans se juger, est un acte d'amour envers soi-même. Et c'est là le début d'une véritable transformation.

 

Nicole Bordeleau (Infolettre du mois d'août 2016)

Rafraîchir notre regard*
Rafraîchir notre regard*

La blague du blog

 

C'est un couple de vieux mariés qui fêtent leurs 50 ans de mariage...

L'homme dit à sa femme :

- Après autant de temps passé ensemble, tu peux m'avouer si tu m'as trompé...

Sa femme hésitante lui dit :

- Tu te souviens que le prêt pour la maison nous avait été refusé et que, deux jours après, le banquier a sonné pour dire qu'il était accepté?

Ben...

- Ah, tu ne m'as trompé qu'une seule fois ?

- Ben non... La fois où tu as failli perdre ton job... La semaine d'après, ton chef t'a dit qu'il te gardait et tu n'as plus jamais été inquiété par la suite... Ben...

- Bah, deux fois et en plus, pour de bonnes causes, je te pardonne... C'est tout ?

- Ben non. Tu te souviens lorsque tu t'es mis sur les listes électorales ?

- Oui, et alors ?

- Ben, euh... Combien te manquait-il de voix donc...

 

 

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Nicole Charest Nicole Charest - dans Bonheur-Paix-Apprécier la vie
16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 14:11

Lors de certaines périodes de notre vie, nous traversons des périodes intenses, remplies d’autant de grands bonheurs que de grandes souffrances. Nous pouvons alors avoir l’impression que ce n’est pas juste, que nos bonheurs sont gâchés par ces souffrances qui apparaissent au moment inopportun, comme si elles nous empêchaient de vivre pleinement notre bonheur.

Et pourtant, la Vie est ainsi constituée : bonheur et douleur en alternance. Quoi que nous fassions, c’est la Vie! Plus nous y résistons, plus les périodes douloureuses sont souffrantes. Accueillir ce que la Vie nous offre chaque jour est un merveilleux cadeau à se faire.


Cela s’appelle vivre dans le moment présent!

Respirer le bonheur et le savourer est aussi important que de respirer DANS la souffrance et la vivre pour comprendre son message. Vouloir éviter l’un de ces aspects c’est se priver des deux!

La Vie nous donne tout : des occasions de grandir et des occasions de savourer. Des moments pour recevoir et des moments pour rendre grâce. Des événements pour apprendre et des événements pour intégrer. Des périodes de travail sur soi et des périodes de repos. Des moments de bonheur et des moments de douleur. Tout est intégré.

Toute la Vie est construite sur ces deux pôles et nous naviguons sur cette mer en suivant le flot ou en y résistant, ce qui s’avère non seulement inutile mais terriblement souffrant.

En vivant intensément le moment présent, quel qu’il soit, nous savourons tout ce qui nous est offert, même si notre ego cherche à catégoriser le tout en bien ou mal, notre âme sait que tout nous est utile.

La douleur et le bonheur font équipe pour nous faire évoluer, pour nous apprendre à mieux aimer. Nous pouvons croire que le paradis et l’enfer se côtoient continuellement, mais c’est simplement la Vie qui se déploie POUR nous, telle qu’elle est, pour que nous explorions tout ce que nous sommes, pour que nous devenions Amour. Et tout est parfait!


 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

Suivez-la sur : Facebook ou encore via le site : La solution est en vous

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Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer*

François Lemay, spécialiste en enseignement de pleine conscience


En janvier 2016, j'ai découvert avec grand bonheur les capsules Youtube créées par François Lemay. Maître coach de formation en programmation neuro linguistique, François est un as de la communication et un excellent vulgarisateur. Il a ce don de créer de la raisonnance et de connecter avec son public et ce, avec une simplicité désarmante.

Si vous désirez devenir la meilleure version de vous-même, réservez-vous du temps pour écouter les capsules ci-dessous. Vous pouvez également le suivre sur sa page Facebook ou sur sa chaîne Youtube.

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer*

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer*
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6 mai 2016 5 06 /05 /mai /2016 14:01

 

 

 

C’est un remède d’un genre nouveau. Son efficacité contre de nombreuses maladies est impressionnante. Il n’a aucun effet secondaire, à part vous rendre plus heureux.

Et pourtant, il faudra des années, probablement des décennies avant de le voir prescrit par la médecine officielle et noté noir sur blanc sur une ordonnance. Car il a un énorme défaut : il ne rapporte rien à personne !

Ce remède simple et gratuit consiste simplement à dire merci...


La gratitude est précieuse car elle nous conduit à reconnaître (au sens de constater, d’admettre) qu’il y a du bien dans son existence. La vie n’est jamais parfaite et est parfois cruelle. Mais elle comporte toujours des joies, des moments dignes d’être vécus.

La gratitude nous invite à célébrer ces moments, à reconnaître ce qui va bien dans notre vie plutôt que de ruminer ce qui va mal, à se concentrer sur le positif plutôt que le négatif.

Ce n’est pas de la simple « pensée positive ». Il ne s’agit pas de se voiler la face et d’ignorer les difficultés ou les défis de la vie quotidienne. Il s’agit de réaliser que même les épreuves peuvent nous apporter quelque chose, et que c’est sur cela qu’il faut se concentrer.

La gratitude permet aussi de bloquer net les émotions toxiques comme l’envie et l’amertume. Plutôt que de jalouser celui qui a plus, la gratitude nous fait apprécier ce que nous avons. Elle nous invite à nous réjouir en pensant à ceux qui souffrent davantage, bloquant ainsi notre tendance naturelle à lorgner sur ce que le voisin a en plus.

Plus profondément, la reconnaissance nous détourne de nous-même pour nous ouvrir à autrui. Nous reconnaissons que nous devons à autrui au moins une partie des bienfaits qui nous arrivent.

L’ingrat est arrogant, narcissique. Tout lui est dû. Pourquoi, dès lors, devrait-il se montrer reconnaissant envers ceux qui lui rendent service ?

Être reconnaissant, au contraire, c’est ne plus considérer comme acquis les bienfaits que les autres nous apportent. Plutôt que d’être froid et sec, notre lien à autrui n’en devient que plus chaleureux.

Et plus nous lui exprimons notre gratitude, plus notre entourage se réjouit de nous faire du bien. Et plus il le fait, plus nous avons de raisons de lui être reconnaissant… C’est un cercle vertueux sans fin !


 

Source : Projet Santé Corps Esprit

 

Pour guérir, dites ces cinq lettres*
Pour guérir, dites ces cinq lettres*
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31 mars 2016 4 31 /03 /mars /2016 12:46

 

Un jour, le ciel est bleu et le soleil est radieux. Le lendemain, un orage éclate et la pluie tombe à tout rompre. Un moment, tout va pour le mieux. Le moment suivant, on fait face à une séparation, à un conflit, à une maladie.

Dans cette précieuse vie humaine, rien n'est acquis et rien, ni personne ne sera épargné par les vagues du changement. Les saisons, les océans, les montagnes, bref tout ce qui existe est appelé à se transformer, à se réinventer.

Et dans la nature, rien ne résiste au cycle des transformations. Rien, sauf l'être humain. Car à moins qu'il ne provienne de sa volonté, l'être humain considère le changement comme un problème, un affront, un obstacle que la vie place sur sa route.

On peut ainsi s'agripper et résister de toutes nos forces pour repousser le changement dans nos corps et dans notre apparence, cela ne durera pas éternellement. On peut s'accrocher fermement à notre routine, à nos habitudes de vie, à des idées fixes, à de vieilles façons de faire, inévitablement un jour, on devra se résoudre à changer.

Ce refus de voir le changement comme étant un processus naturel de l'évolution coûte cher en énergie et en nuits d'insomnies, car la vie est une force puissante. Si on lui résiste, elle insiste. Si on persiste, elle nous déstabilise. Si on s'obstine et que l'on refuse de changer, elle nous y obligera, car refuser de changer, c'est comme refuser de vivre.

Aussi difficile soit-il de l'admettre, tout changement a sa raison d'être. Son but est de dégager ce qu'il y a en nous de force, de courage, de résilience pour poursuivre notre évolution. Sans cet apprentissage, il nous serait impossible de découvrir et de faire rejaillir les ressources insoupçonnées qui sommeillent encore en nous.

Bien que changer peut parfois sembler une douloureuse expérience à vivre, c'est souvent à partir de cette expérience que la sagesse émerge. La sagesse, c'est une prise de conscience. C'est la capacité de percevoir le sens profond d'une épreuve, d'une perte, d'une expérience douloureuse. La sagesse, c'est ce qui nous permet de faire face à toutes les vagues de l'existence avec sérénité.

Rien ne saurait freiner le changement, c'est l'élan même de la vie. De plus, sans changement, rien de meilleur ne pourrait survenir et nous serions constamment à vivre les mêmes expériences.
Alors, peu importe sous quelle forme le changement arrive, dites oui.

Si aujourd'hui, vous êtes appelé à vivre un changement important, dites-vous que c'est parce que vous avez en vous la force d'y faire face. Au lieu de le repousser, penchez-vous vers lui, prenez une profonde respiration et tenez bon, car la vie vous prépare à accueillir de quelque chose de beau et de grand.


Auteure : Nicole Bordeleau 

 

Dire OUI au changement*

Le moment présent

 

Ci-dessous, un extrait du film : La voie du guerrier pacifique de Dan Millman. J'ai lu bien des livres sur ce thème mais aucun ne m'a interpellée comme cette courte vidéo. Je vous encourage donc à trouver 3 petites minutes pour la visionner...

 

 
J'ai vidé ton esprit

Qu'est-ce que la PLEINE CONSCIENCE du Moment Présent ?Avez-vous lu le livre de Dan Millman "La Voie du guerrier pacifique" ou peut-être vu le film ? Il y a cette scène très drôle que je vous propose en vidéo qui raconte la 1ère leçon du héros : sortir les ordures de sa tête. Une scène qui dépeint magnifiquement un changement soudain et radical du mode de penser habituel à la pleine conscience.Dans cette histoire, inspirée de faits réels, Dan est un jeune athlète très prometteur. Il est décrit comme une personne égoïste, hautaine et très ambitieuse. Ce qui est assez courant chez les jeunes gens brillants ;-) Conditionné par son milieu, il s'imagine que l'accomplissement et le bonheur viendront à lui lorsqu'il obtiendra la gloire sportive…Et puis il rencontre un homme mur et éclairé - pour ne pas dire éveillé - qui travaille de nuit dans une petite station-service locale. Cet homme possède quelque chose que Dan ne possède pas et qui l'interpelle… Dan devient son élève.Un soir, dans une autre scène, celui que Dan a surnommé Socrate l'invite à aller s'asseoir sur le capot d'une épave et lui dit qu'il doit y rester jusqu'à ce qu'il ait - ENFIN - quelque chose de valeur à dire. Il faut dire que la tête de Dan est truffée de toutes sortes de sottises auxquelles l'éducation et le système nous préparent et, en plus, il a un caractère de chiotte ! ;-)Assis là, toute la nuit, sur le capot de la voiture, il pense à des choses "sages" qu'il a entendu dans des livres ou des films et, de temps en temps, il court débiter ses trouvailles à son mentor. Mais, à chaque fois, il se fait recaler et se retrouve à nouveau sur le capot de la voiture. :-DAprès des heures assis à enchainer pensée après pensée, à essayer sans succès citation après citation, le soleil se lève. Dan est épuisé. Trop fatigué pour continuer à penser, il lâche prise. Il s'allonge sur le dos et regarde le ciel…C'est alors que "quelque chose se déplace en lui". Dan observe un jeune couple qui arrive dans la station. Il les regarde s'embrasser et prend conscience… du geste d'amour et de tendresse qu'ils échangent ! À ce moment-là, il accueille totalement ce qui est là devant lui : LE MOMENT PRÉSENT.Après quelques instants assis là, en silence, il se rend tout content dans la boutique et regarde Socrate avec du bonheur dans les yeux : "il n'y a pas de moment banal", affirme-t-il doucement.C'est l'une des leçons que Dan devait apprendre. Une leçon apprise uniquement par l'expérience directe : lorsque Dan a laissé son aptitude à la pleine conscience observer l'ici et maintenant, il a soudain réalisé que chaque instant qu'il nous est donné de vivre est unique. Il a appris qu'il n'y a jamais "rien à faire" et que chaque instant de la vie est sacré, plein à ras-bord, débordant d'émerveillement et de mystère. ;-DMais, avec notre mode de vie à 100 km/h, nous n'en prenons conscience que si nous ralentissons suffisamment pour déguster le moment présent. Il n'y a rien à FAIRE ou à AVOIR qui puisse nous rendre durablement heureux. Il n'y a qu'à ÊTRE là, présent à ce qui est.Apprendre à "sortir les ordures de nos têtes" et à être pleinement présents, c'est ce que la #Mindfulness ou méditation de pleine conscience se propose de nous apprendre. ;-)Et vous, avez-vous eu des prises de conscience qui ont changé votre vie?Jean-Marc******************************https://www.facebook.com/MMindfulness.fr/EThttp://mmindfulness.frVoici le lien vers le film complet:https://youtu.be/FeBIkqoe87k

Posté par Mindfulness sur 12 janvier 2016
Dire OUI au changement*
Dire OUI au changement*
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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 18:37




Aujourd'hui, vous pouvez être la bonne nouvelle !

Refusez les pensées négatives, les paroles négatives et refusez de vous comporter négativement. Ne roulez pas des yeux, ne serrez pas les dents, ne serrez pas les poings et ne pointez personne du doigt aujourd'hui ! Oh ! Non ! Vous serez la bonne nouvelle !

Vous aurez quelque chose de bon à vous dire et à dire à chaque personne que vous rencontrerez. Pas d'inquiétude aujourd'hui ! Pas de jugements aujourd'hui ! Pas de commérages, pas de critiques ni de jugements aujourd'hui ! Pas vous ! Oh ! Non ! Vous êtes la bonne nouvelle aujourd'hui !

Vous serez le compliment que quelqu'un voulait entendre. Vous serez l'encouragement que quelqu'un attendait. Vous serez le sourire dont quelqu'un avait besoin. Vous serez le généreux pourboire que quelqu'un voulait recevoir. Vous serez une prière aujourd'hui. Vous serez une faveur aujourd'hui. Vous prendrez quelque chose qui n'allait nulle part et en ferez quelque chose de bien.

Vous ne vous attarderez pas à ce qui ne va pas dans votre vie. Vous ne vous plaindrez pas. Il n'y aura pas de crise, pas de drame ni de victimes aujourd'hui. Il n'y aura pas de tristesse, pas de mélancolie et pas d'air sinistre. Aujourd'hui, vous serez la bonne nouvelle !

Vous allez avoir quelque chose de bon à dire, quelque chose de bon à donner, quelque chose de bon à faire à quelqu'un. Aujourd'hui, vous allez réaliser que puisque vous êtes la bonne nouvelle, vous ne pouvez que profiter de ce que vous êtes.

Auteure : Iyanla Vansant, Recueil : Jusqu'à aujourd'hui

 

 

Aujourd’hui, vous êtes la bonne nouvelle!*

 

Aujourd’hui, vous êtes la bonne nouvelle!*

Que de sagesse dans le texte de cette image...

 

Aujourd’hui, vous êtes la bonne nouvelle!*
Aujourd’hui, vous êtes la bonne nouvelle!*

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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 18:00

Bien que nous sachions que ce soit utopique, nous souhaitons tous vivre une vie heureuse, sans problèmes et sans souffrances.

Pourtant, c’est souvent nous-mêmes qui alimentons inconsciemment certaines des souffrances que nous éprouvons. Nous ne le faisons pas intentionnellement, bien sûr, mais nous sommes trop souvent esclaves de nos émotions comme la résistance, la colère, la haine, la rancune, la jalousie, la peur, le jugement, la fermeture, et les autres interprétations erronées que l’on se fait à propos des gens et des événements.

En fait, c’est souvent notre résistance à accepter la réalité qui crée notre souffrance. Ainsi, face à cette prémisse, nous avons parfois envie de répondre que notre cas est pire, que ce n’est pas nous qui nous faisons souffrir, que l’enfer c’est les autres, que personne ne nous comprend… On résiste de toutes nos forces à ce qui nous fait mal, à ce qui nous dérange. On juge, on critique, on refuse d’accepter les aléas de la vie s’ils sont contraires à nos attentes. Pourtant, on s’épargnerait bien des souffrances si on acceptait dès maintenant le fait que tout ce qu’on désire n’est pas nécessairement fait pour nous et que tout ce qui nous arrive est précisément ce dont nous avons besoin !

Nous croyons faussement qu’une vie heureuse est une vie sans problèmes et sans souffrances.

Et pourtant, ceux-ci font partie de la Vie au même titre que la joie et les petits bonheurs : les uns ne vont pas sans les autres. Alors pourquoi résister de toutes nos forces face aux événements qui surviennent? La Vie est une suite de joies et de peines. C’est déprimant? Non, c’est la réalité! Plus tôt dans la vie nous acceptons ce fait, plus tôt nous devenons sereins face aux événements de la Vie.

Notre force se développe en faisant face aux événements difficiles, aux résistances, aux déceptions; elle nous indique aussi quel sera notre niveau de bonheur dans la vie.

Rien ne dure de manière permanente. Tout passe. Alors, apprécions les joies, apprenons des difficultés. Construisons ainsi notre bonheur. Le Bonheur n’arrive pas un jour soudainement dans notre vie: il se construit chaque instant par nos pensées et nos réactions.


Accepter ce qui est, composer avec la réalité, la modifier lorsque c’est possible, changer soi-même pour être plus heureux; c’est ça le secret du bonheur!

 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

 

Nos résistances*

Je vous ai souvent parlé de la puissance de la bénédiction (voir ma page). Pierre Pradervant a eu la bonne idée de faire une version audio du merveilleux texte qu'il a écrit il y a plusieurs années. Quelle belle façon de débuter la journée! 

Nos résistances*

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Nos résistances*
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25 novembre 2015 3 25 /11 /novembre /2015 12:10

 


Sachant qu’il n’est pas approprié de prendre la souffrance d’autrui sur nos épaules puisque, ce faisant, non seulement nous ne lui enlèverons pas le mal qu’il porte, mais même, nous pourrions le détourner de ses propres ressources intérieures, comment devons-nous réagir face à une ou des personnes qui souffrent ?

La meilleure attitude à adopter est simplement de demeurer centrés. Si donner notre pouvoir à l’autre n’est d’aucune utilité, alors donnons-lui l’exemple. En demeurant nous-mêmes en équilibre, en ne tombant pas dans les mécanismes de domination ou encore dans nos propres émotions, nous offrons un point d’ancrage à la personne qui souffre. Simplement en nous regardant, elle perçoit que les choses pourraient être autrement.

En nous impliquant émotionnellement avec l’autre, nous risquons de l’amener à ressasser ses pensées et sa douleur, tandis qu’en demeurant détachés, nous l’invitons à « décrocher » elle aussi. En demeurant disponible, mais la tête froide, nous aidons grandement nos proches à se sortir de leurs malaises.

Dans tous les cas, il s’agit d’imposer une distance émotionnelle, pas complète, mais du moins raisonnable. Ce n’est pas facile. En tant que mère, je peux vous le dire ! Cependant, j’ai fini par réaliser que souffrir avec mes enfants ne donnait rien de plus que de me vider de mon énergie, moi aussi.

Il y a une différence entre l’empathie et la sympathie. Vous pouvez compatir à la situation que vit un proche, mais lorsque vous en venez à partager ses émotions, vous ne lui êtes plus d’aucune aide.

Je l’ai appris à mes dépens, tant comme thérapeute que comme mère. Afin de vous aider à prendre du recul face à la souffrance de gens qui vous entourent, vous pouvez lire (et relire) le petit « mémo » qui suit. Il vous rappellera le potentiel de ceux que vous aimez, tout comme le vôtre dans les moments difficiles…

« J’ai foi en toi ! Peu importe les problèmes que tu traverses actuellement, tu sais que ce n’est qu’une étape de plus dans ton long cheminement de vie. Jusqu’à maintenant, tu as toujours réussi à relever avec brio tous les défis qui se sont présentés. La preuve : tu es encore debout sur tes pieds ! Tu as toujours su trouver les bonnes solutions, la bonne façon de t’en sortir et de remporter la victoire ! Je suis convaincu que, cette fois-ci encore, tu sauras puiser en toi les ressources qui te permettront de retrouver la sérénité et la paix du cœur.

Tu as tant à offrir ! Choisis de dévoiler au monde cette belle lumière qui t’habite : tes talents cachés, cette force inépuisable qui te caractérise, cette manière différente de voir les choses… pour enfin te révéler dans toute ta splendeur ! Tu es un être magnifique, majestueux et exceptionnel ! Aie foi en toi-même, tout comme moi je crois en ton potentiel. Mon amour et mes bénédictions t’accompagnent, peu importe le choix que tu feras… car je sais que tout est parfait ici et maintenant ! »

 

Auteure : Diane LeBlanc ©
Chronique trouvée sur lapressegalactique.org

 

Choisir de donner l'exemple*
Choisir de donner l'exemple*
Choisir de donner l'exemple*

Ci-dessous, une vidéo « coup de coeur ». Récemment, je l'ai visionnée avec mes petits-enfants et j'ai pu engager une conversation vraiment intéressante avec eux. Grosso modo, l'auteure y présente les 4 accord toltèques mais dans un langage et un style parfaitement adaptés pour les enfants.

Juste en-dessous, le lien vers la page de mon site créée à ce sujet il y a de cela quelques années. Je vous invite à la revoir à nouveau.

 

Choisir de donner l'exemple*
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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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