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10 septembre 2013 2 10 /09 /septembre /2013 17:00

 

 

 

On entend souvent dire que la gratitude est l'attitude par excellence à adopter pour attirer à soi toujours plus d'abondance. Alors aujourd'hui, je vous propose un texte écrit par Fabrice Béal qui nous invite à faire un petit test...

 

1) Passez une journée à maugréer, à relever tout ce qui ne va pas et à faire l’inventaire de tout ce que vous n’avez pas, puis regardez ensuite comment vous vous sentez.

 

2) Passez une journée à remercier pour tout ce que vous avez et tout ce qui vous arrive de bénéfique depuis que vous êtes né et regardez ensuite comment vous vous sentez.

 

Dans les deux cas, vous avez raison, puisqu’il ne s’agit que de deux points de vue différents. Le premier n’est pas plus vrai que le second et vice versa… Seulement, votre point de vue détermine comment vous vous sentez. C’est quand même fort non, quand on y réfléchit ?

 

Votre bien-être dépend donc du degré de gratitude que vous ressentez en cet instant et tous les jours de votre vie depuis que vous êtes sur cette terre.

 

En fait, notre bonheur ne dépend que d’un point de vue et d’une habitude à prendre : celle de remercier constamment.

 

Le drame, c’est de ne pas avoir conscience à quel point nous sommes bénis. Pour la grande majorité d’entre nous, c’est au moment où nous perdons ce que nous avons que nous prenons soudain conscience de sa valeur. Mais nous ne sommes pas du tout obligés d’en arriver là pour comprendre que nous avons déjà tout pour être heureux.

 

Lorsque vous vous sentirez d'humeur à vous plaindre, repensez à tout ce que vous avez et dites merci pour toutes les bonnes choses dont vous jouissez chaque jour. Il y a une infinité de choses pour lesquelles vous pouvez remercier, à commencer par tout ce qui va bien et ne pose pas de problème particulier dans votre vie. La liste est longue, non ?

 

C’est en adoptant ce réflexe que vous attirerez encore davantage de bienfaits dans votre existence !

 

Fabrice Béal / www.operation-succes.com 

 

Le pouvoir de la gratitude*

La blague du blog
 

Un journaliste interroge un homme de 99 ans :

– J'espère vous revoir à l'occasion de votre centième anniversaire.

– Pourquoi pas
 ? Vous semblez jouir d'une excellente santé !

 

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 17:00

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Bébé 1 : Et toi, tu crois qu’il y a une vie après l’accouchement ?

Bébé 2 : Bien sûr. C’est évident que la vie après l’accouchement existe. Pour le moment, nous vivons ici dans l’utérus pour prendre des forces et nous préparer à ce qui nous attend dans l’autre monde, après l’accouchement.

Bébé 1 : Tout ça, c’est insensé. Selon moi, il n’y a rien après l’accouchement ! D’ailleurs, à quoi ressemblerait une vie hors de l’utérus ???

Bébé 2 : Eh bien, il se dit beaucoup de choses à propos de « l'autre côté »... On dit que, là-bas, il y a beaucoup de lumière, beaucoup de joie et d'émotions, des milliers de choses à faire, d’expériences à vivre... Par exemple, il paraît que là-bas, on va manger avec notre bouche.

Bébé 1 : Mais c’est n’importe quoi ! Nous avons un cordon ombilical et c’est par là qu’on se nourrit. Tout le monde le sait. On ne se nourrit pas par la bouche ! Et bien sûr, personne n’est jamais revenu dans l’utérus pour témoigner de ce qui se passe après l’accouchement donc, tout ce qu’on raconte, ce sont des balivernes. La vie se termine tout simplement à l’accouchement. C'est comme ça, il faut l'accepter.

Bébé 2 : Eh bien, permets-moi de penser autrement. C'est sûr, je ne sais pas exactement à quoi cette vie après l’accouchement va ressembler, et je ne peux rien te prouver. Mais j'aime croire que, dans la vie qui vient, nous verrons notre maman et elle prendra soin de nous.

Bébé 1 : « Maman » ? Tu veux dire que, sans l’avoir vue, tu crois en « maman » ? Ah ! Et dis-moi, si elle existe, où se trouve-t-elle en ce moment ?

Bébé 2 : Mais elle est partout, autour de nous ! Nous vivons en elle, nous sommes faits d'elle et c'est grâce à elle que nous vivons. Sans elle, nous ne serions pas là.

Bébé 1 : C’est absurde ! Je n’ai jamais vu aucune maman et donc pour moi, c’est évident, elle n’existe pas !

Bébé 2 : Je ne suis pas d’accord avec ton point de vue car parfois, lorsque tout devient calme, on peut l’entendre parler ou chanter. Et, sans la voir, on peut sentir sa présence quand elle caresse notre monde. Je suis bien ici mais je suis certain que notre Vraie vie va commencer après l’accouchement, dans l’autre monde qui nous attend...
 
 

Source : Dr Jean-Jacques Charbonier, Les 7 bonnes raisons de croire à l'au-delà

Dialogue entre bébés jumeaux*
Dialogue entre bébés jumeaux*

La blague du blog
 

Adam dit à Ève :

– Ève, m’aimes-tu? 

– Et qui d’autre pourrais-je aimer ?

 

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27 février 2013 3 27 /02 /février /2013 18:00

C1 tome-2

 

 

Il n'est pas difficile d'être malheureux ou mécontent; il suffit de s'asseoir, comme fait un prince qui attend qu'on l'amuse.

 

Il n’est pas toujours facile d'être heureux; c'est un combat contre énormément d'événements et contre plusieurs d’hommes. Il se peut que l'on y soit vaincu; il y a sans doute des événements et des malheurs insurmontables; mais c'est le devoir le plus impérieux peut-être de ne point se dire vaincu avant d'avoir lutté de toutes ses forces. Et surtout, ce qui me paraît encore plus évident, c'est qu'il est impossible que l'on soit heureux si l'on ne veut pas l’être; il faut donc souhaiter son bonheur et le faire.

 

Ce que l'on n'a point assez dit, c'est que c'est un devoir aussi envers les autres que d'être heureux. Quoi de plus difficile à surmonter que l'ennui, la tristesse ou le malheur de ceux que l'on aime? Tout homme et toute femme devraient penser continuellement à ceci : que le bonheur, j'entends celui que l'on conquiert pour soi, est l'offrande la plus belle et la plus généreuse.

 

Alain, Propos sur le bonheur

 

Source : Charest, Nicole. Petites douceurs pour le cœur, p. 95

 

Refaites chaque jour le serment d’être heureux.

Le devoir d'être heureux*
Le devoir d'être heureux*

La blague du blog
 

Dans une rue de la capitale, une superbe blonde, très courtement vêtue, découvre largement ses cuisses tandis qu'elle monte dans un autobus. Une passante indignée dit à son mari :
– Tu ne trouves pas cela honteux, cette façon qu'ont les hommes de fixer l'arrière-train de cette fille qui monte dans l'autobus ?
Et le mari de répondre :
– Quel bus ?
 

 

 

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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 18:17
 

C1 tome-2

 

Pour me faire aimer, j’ai vraiment tout essayé. J’ai même changé de personnalité. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai acheté la paix, même si cette paix me troublait. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai pris tous les blâmes sur moi, même si je n’en étais pas la cause. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai tout accepté, même de pardonner l’impardonnable. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai accepté de me faire blesser verbalement sans jamais riposter. J’ai saigné abondamment et j’ai léché mes plaies. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai consenti à me faire rabaisser plus d’une fois. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, je n’ai rien dit afin de vous protéger et j’ai tout enduré. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, je vous ai comblés de cadeaux et vous en avez largement profité. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, je vous ai donné du temps que je n’avais pas. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai toujours fait les premiers pas, même si vous savez pertinemment que c’était à vous de les faire. Mais ça n’a rien donné.

Pour me faire aimer, j’ai essayé de vous faire comprendre tout en douceur, de différentes façons, mon besoin de vous, mon besoin de votre amour. Mais ça n’a rien donné.


Pour me faire aimer, j’ai finalement compris, après plusieurs années de travail acharné, que c’était moi que je devais tout simplement… aimer.

Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 44

 

Pour me faire aimer*
Pour me faire aimer*

La blague du blog

Un motard dur-à-cuire se promène sur sa Harley lorsqu'il a aperçoit une fille qui s'apprête à sauter en bas d'un pont. Il s'arrête et lui demande : « Qu'est-ce que tu fais ?

Elle lui répond : « Je vais me suicider ! »

Alors qu'il ne veut pas paraître insensible, il ne veut pas non plus passer à côté d'une bonne affaire. Il dit alors :

« Avant de sauter, pourquoi ne m'embrasserais-tu pas ? »

Elle l'embrasse alors avec volupté. Après cette embrassade, le motard lui dit :

« Wow! C'est la première fois qu'on m'embrasse de cette façon. C'est tout un talent que tu t'apprêtes à gaspiller. Tu pourrais devenir célèbre. Mais pourquoi veux-tu te suicider ?

– Parce que mes parents n'aiment pas que je m'habille en fille... » 

 

 

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30 janvier 2013 3 30 /01 /janvier /2013 18:16
Par YVON DALLAIRE, psychologue, sexologue
Auteur des excellents livres :
Qui sont ces hommes heureux?

Qui sont ces femmes heureuses?
Qui sont ces couples heureux ?
           

  Pour lire d'autres écrits de Yvon Dallaire, cliquez ici.

Articles dans les magazines québécois, cliquez ici.

En cliquant sur le menu Articles à gauche,
vous aurez accès à toutes ses autres publications (France, Suisse, etc.)

yvon-dallaire
   
   
   
 Article paru dans le Journal de Montréal, le 19 février 2012

 

Nous sommes toujours seul. Chacun naît seul, vit seul et meurt seul. La réelle maturité commence le jour où l’on se sent l’auteur et l’acteur de son existence.

Il existe peu de certitudes dans la vie. La mort constitue la première : tous voudraient bien l’éviter, mais elle est inexorable. Une autre certitude que tous, ou presque, cherchent à fuir est le fait que nous sommes tous condamnés à vivre seuls à l’intérieur du corps que nous avons. Nous sommes donc assurés de passer le reste de notre vie avec nous-mêmes.


LA SOLITUDE À DEUX


Moins nous nous aimons, plus nous recherchons l’amour de l’autre, des autres, comme si le fait de trouver l’illusoire « âme sœur » pouvait nous sortir de la solitude. Or, il n’y a pire solitude que celle que l’on peut vivre à deux.

Nous sommes seuls, et le plus tôt nous l’acceptons, le plus tôt nous pouvons apprendre à vivre heureux avec nous-mêmes, en devenant pour nous notre meilleur ami, notre meilleur amoureux. Nous aimant, nous aimantons les autres. Pour trouver l’autre, il faut donc partir à la recherche de soi. Or, cette recherche ne peut se faire que dans le silence et la solitude.

Certes, des moments de fusion passionnelle peuvent parfois exorciser notre sentiment de solitude et surtout notre peur de la solitude, mais la passion ne dure jamais qu’un temps et nous retrouvons immanquablement notre solitude, notre état étant d’être unique, et donc seul.


VIVRE SEUL

Nous sommes toujours seuls. Chacun naît seul, vit seul et meurt seul. La réelle maturité commence le jour où l’on se sent l’auteur et l’acteur de son existence, le jour où l’on cesse de reporter la responsabilité de sa vie sur autrui, le jour où l’on n’attend plus rien d’autrui, mais où l’on profite de tout ce que l’on possède, de tout ce que nous sommes et de tout ce qu’autrui nous offre. Je deviens adulte le jour où je considère mon partenaire comme un invité tout à fait spécial dans ma vie et que je me considère comme tel pour lui.

Pourtant, la majorité des gens panique à l’idée de vivre seul, car, pour eux, solitude égale isolement ou enfermement, alors qu’elle est une ouverture sur la vie intérieure et la créativité. C’est pour fuir l’isolement que les gens vont dans des églises, s’impliquent socialement, regardent la télévision, écoutent la radio, font du clavardage dans leurs réseaux sociaux, vont dans les discothèques…

Pour vivre heureux à deux, il faut apprendre à vivre heureux seul. Le bonheur n’est pas associé à l’état civil. J’espère que les citations suivantes vous permettront de mieux apprécier ces doux moments que vous passez avec vous-mêmes et de le faire avec une sensation d’extase renouvelée.


 

 

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9 janvier 2013 3 09 /01 /janvier /2013 18:00

 

 

Une jeune femme, partant en vacances, voulut nettoyer l’aquarium dans lequel un poisson rouge tournait en rond. Elle le mit dans la baignoire, et constata avec étonnement que dans sa vaste et nouvelle demeure, le poisson rouge continuait à tourner en rond…

« C’est ainsi que j’ai compris, me dit-elle, que nous nous enfermons dans des limitations que nous créons nous-mêmes. J’ai passé alors mon existence en revue et reconnu que, par crainte, par timidité, par manque d’élan et de générosité, par croyance en des obstacles que je fabriquais de toutes pièces, je tournais dans la vie comme mon poisson dans la baignoire, bien que je sois plongée comme lui dans un vaste univers où je suis décidée à évoluer à l’aise, maintenant que je me sais libre. »

Étant donné qu’il est beaucoup plus aisé de voir une paille dans l’œil de notre voisin qu’une poutre dans le nôtre, faites un tour d’horizon et voyez combien de gens, parmi ceux que vous connaissez, semblent s’être volontairement limités, rétrécis et condamnés à l’échec. Combien n’ont pas utilisé leurs dons ! Combien se contentent, en tout, de la médiocrité, alors qu’il leur suffirait d’un effort, d’une vision plus large et plus exigeante de la vie, en même temps que le souci de la perfection dans la plus humble des tâches quotidiennes, pour s’épanouir magnifiquement ! Cela demande, évidemment, un peu plus d’initiative que n’en possède un poisson rouge, ou un être humain ligoté par la peur, encroûté dans sa routine.

La vie est généreuse. Mais pour un cadeau, il faut être deux : celui qui donne et celui qui reçoit. Or, nous gâchons presque toujours ce que la vie met à notre portée, ou nous refusons ses dons. Apprenez à accepter ce que vous offre l’existence. Osez sortir du cercle que forment autour de vous vos égoïsmes, vos peurs, vos idées fausses sur vous-même et sur les autres, supprimez toute pensée de limitation et vous connaîtrez l’admirable liberté de ceux qui vivent en accord avec leur Moi réel invisible et parfait.

Source : Auclair, Marcelle. Le livre du bonheur, p. 24

 

 

Les seules limites, comme toujours, sont celles de la vision.

James Broughton

Le poisson rouge*
Le poisson rouge*

La blague du blog
 

 

Un couple de randonneurs à la campagne.

La femme : - Chéri...Ce paysage me laisse sans voix !
 

Le mari : - Parfait, nous campons ici ! 

Le poisson rouge*
Le poisson rouge*
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28 décembre 2012 5 28 /12 /décembre /2012 18:01

 

 

Un homme s'éloigne, s'arrête, se retourne pour voir la distance parcourue, il se rend compte qu'il n'y a pas de traces dans la neige. Où est-il ? D'où vient-il ? Où va-t-il ? Que se passe-t-il ? Soudainement, il se rend compte qu'il se trouve à un point décisif de sa vie, au milieu d'une tempête de neige, quelque part dans un champ. Peu importe d'où il vient, il peut choisir d'aller où il voudra. Tout est à faire, à imaginer, à rêver. Sa présence dans la neige, sans passé, sans futur établi, est le résultat d'une transformation silencieuse. L'homme a marché en ne pensant pas, en ne pensant plus, puis, il s'est retrouvé ici. Nulle part et partout. 

 

Cet homme, cette personne, c'est chacun d'entre nous à un moment de notre existence... Comme dans une symphonie bien ordonnée, rien ne s'est signalé, rien ne s'est distingué et cette transformation, si importante, est demeurée invisible. Mais elle a tout de même eu lieu. Une autre année est passée.

 

L'année 2012 n'a pas été à votre goût ? Effacez les traces dans la neige et débutez l'année 2013 en fonçant vers une destination plus excitante. Vivez au lieu de simplement durer. Le début d'une nouvelle année est l'occasion d'un commencement, lorsque rien n'est joué, lorsque tout est encore possible.

 

La nouvelle année, tout comme la première fois, doit être entrevue comme un possible sans souvenirs. Laissez tomber le passé qui vous a retenu ou qui vous retient encore, émancipez-vous, vivez vos rêves au lieu de vivre ceux des autres.

 

Vivez.

 

Le premier mois de l'année peut devenir le lieu de la première fois en offrant le pivot de l'interprétation de l'œuvre de votre vie. S'il est parfois trop tard pour une dernière fois, il n'est jamais trop tard pour la première fois.

 

En continuant d'avancer dans la tempête, le passé disparaît sous la neige, seul le présent est visible, le futur, composé d'incertitude, est à créer, est à penser. Le présent vous permet de faire des choix maintenant afin que vous puissiez vivre autrement dans le futur.

 

Dans la neige, sans traces, au moment présent, plus rien ne compte, tout est à faire. Vous êtes devant un choix : reculer ou avancer ? Le statu quo n'existe pas. « Si vous n'êtes pas occupé à naître, c'est que vous êtes occupé à mourir », disait Bob Dylan. Alors, devez-vous reculer vers une incontestable certitude ou avancer dans l'incertitude la plus vague ? C'est Oscar Wilde qui avait raison lorsqu'il affirmait que « c'est l'incertitude qui nous charme et que tout devient plus beau dans la brume ». Il faut apprécier l'incertitude parce que, sans le savoir, la certitude est une prison où nous nous sommes enfermés nous-mêmes.

 

Alors, plutôt que de demeurer dans cette certitude, dans cette prison, pourquoi ne pas commencer quelque chose plutôt que de poursuivre vers la fin certaine ?

 

Rejouez le premier coup. Refaites vos débuts. Réapprenez les premières leçons. Tracez une nouvelle ligne d'horizon. Laissez-vous étonner.

 

Cessez d'inexister.

 

Montrez-vous.

Bonne année 2013 !

Source :
René Villemure

Montre-moi*
Montre-moi*

La blague du blog

Un couple arrive dans un hôtel. Le valet monte leurs bagages dans la chambre et demande au monsieur :
- Avez-vous besoin de quelque chose ?
- Non merci.
- Et pour votre femme ?
- Ah vous faites bien de m'y faire penser ! Montez-moi une carte postale et un timbre...

 

 

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3 décembre 2012 1 03 /12 /décembre /2012 08:00

 

 

Le temps des fêtes est parfois rempli de la joie que nous associons à cette période de l’année. Tout se passe bien. Il y a de la magie dans l’air.

D’autres fois, c’est une période difficile et solitaire.

Voici quelques idées qui pourraient vous aider à passer à travers un temps des fêtes difficile.

Tenons compte de nos sentiments, mais ne nous appesantissons pas trop sur eux. Mettons cette période en perspective. Le jour de Noël n’est qu’une journée parmi les 365. Nous pouvons surmonter n’importe quelle période de 24 heures.

Trouvons et chérissons l’amour qui est disponible, même si ce n’est pas exactement celui que nous voulons. Y a-t-il une personne à qui nous pouvons donner de l’amour et de qui nous pouvons en recevoir ? Y a-t-il une famille qui aimerait partager leurs fêtes avec nous ? Allons-y !

Si nous vivons un temps des fêtes qui est loin d’être idéal, nous ne faisons pas partie d’une minorité. Comme il est facile, mais faux, de nous dire que le reste du monde vit des fêtes parfaites, et que nous sommes les seuls à être tristes.

Nous pouvons créer notre propre programme pour le temps des fêtes. Achetons-nous un cadeau. Trouvons quelqu’un à qui nous pouvons donner. Laissons se manifester notre côté aimant, réconfortant, et abandonnons-nous à l’esprit de Noël. Prenons ce qui est bon et lâchons prise face au reste.

Source : Beattle, Melody, Savoir lâcher prise 1, Béliveau éditeur

Le temps des fêtes*
Le temps des fêtes*

La blague du blog

Deux petits garçons visitent leur grand-mère à Noël. Le soir, avant d'aller au lit, ils font leur prière. Le premier, tout recueilli, dit :

« Mon Dieu, merci pour la belle journée que je viens de passer, bénissez mes parents, mon grand-père, ma grand-père, mon petit frère... »

Le deuxième crie à tue-tête : « MON DIEU, DONNEZ-MOI UN NOUVEAU I PAD, LA NOUVELLE WI ET UNE PAIRE DE PATINS NEUFS !!! »

Et le premier lui répond : « T'as besoin de crier fort comme ça, le Bon Dieu n'est pas sourd !

– Non, mais grand-maman, ELLE, elle l'est ! »

 

 

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23 octobre 2012 2 23 /10 /octobre /2012 17:01

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Ce n'est pas d'avoir des problèmes, c'est de ne pas chercher de solutions;

Ce n'est pas d'avoir eu des échecs, c'est de ne pas continuer;

Ce n'est pas de tomber souvent, c'est de ne pas se relever plus souvent;

Ce n'est pas d'avoir peu d'argent, c'est de ne pas enrichir son esprit;

Ce n'est pas d'avoir été refusé, c'est de ne pas demander une fois de plus;

Ce n'est pas d'avoir été insulté, c'est de ne pas sourire;

Ce n'est pas d'avoir été déçu,
c'est de ne pas espérer encore;

Ce n'est pas d'avoir été trahi, c'est de ne pas pardonner;

Ce n'est pas de manquer de maturité, c'est de ne pas chercher à mûrir;

Ce n'est pas d'avoir fait faillite, c'est de ne pas essayer une autre fois;

Ce n'est pas d'avoir des handicaps, c'est de ne pas les surmonter;

Ce n'est pas d'être laid, c'est de ne pas embellir sa vie;

Ce n'est pas d'être illettré, c'est de ne pas chercher à s'instruire;

Ce n'est pas d'avoir des difficultés, c'est de ne pas persévérer;

Ce n'est pas de perdre quelque chose, c'est de ne pas conserver son enthousiasme;

Ce n'est pas d'avoir manqué son départ, c'est de ne pas recommencer;

Ce n'est pas d'avoir manqué son objectif, c'est de ne pas avoir d'objectif;

Ce n'est pas de ne pas se sentir aimé, c'est de ne pas aimer les autres;

Ce n'est pas d'avoir peur, c'est de ne pas faire face à ce qui fait peur;

Ce n'est pas d'être seul au monde, c'est de ne pas aller vers les autres;

Ce n'est pas de n'être pas compris, c'est de ne pas comprendre les autres.

Source : Jean-Guy Lebœuf, Grains de sagesse, p. 202

Ce qui est désolant*
Ce qui est désolant*

Cette nuit, avant de vous endormir, confier à l’Esprit qui est en vous tous vos problèmes, départissez-vous d’eux pour le moment, et demandez-Lui de les élucider pour vous. N’envisagez vous-même aucune solution : vous devez Lui laisser le chemin libre et présenter votre coupe vide. Demandez-Lui également de vous délier de toutes les entraves qui vous ont jusqu’alors empêché d’accéder à la joie et Il s’en acquittera. Dès que vous aurez pris cette bonne habitude, vous serez surpris de trouver très souvent au réveil une réponse aux questions, grandes et petites, qui vous préoccupaient en état de veille.

— Auclair, Marcelle. Le livre du bonheur, p. 53

Ce qui est désolant*

La blague du blog

Un homme vient d'acheter une voiture neuve, mais faute de garage, il est obligé de la laisser la nuit dans la rue. Et comme il sait que les voleurs d'autoradios n'hésitent pas à briser les vitres et à défoncer les portières, il met sur son pare-brise l'écriteau suivant : IL N'Y A PAS DE RADIO DANS CETTE VOITURE.

Et le lendemain matin, plus de voiture... À la place où elle se trouvait, il ne reste que l'écriteau sur lequel on a rajouté : Ce n'est pas grave, on en fera mettre une...

 

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27 septembre 2012 4 27 /09 /septembre /2012 17:01

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L’inquiétude nous donne l’illusion que nous faisons réellement quelque chose pour régler un problème ou éviter un tort. En réalité, tout ce que nous faisons, c’est augmenter au maximum notre niveau d’anxiété et créer un stress négatif en nous-mêmes. C’est comme faire tourner nos roues dans le sable — on dirait qu’il y a beaucoup de mouvement, mais nous n’allons nulle part. L’inquiétude est très amusante pour notre ego, mais elle est une absurdité totale pour notre esprit.

 

Nos sujets d’inquiétude peuvent varier de l’emploi de notre conjoint à l’économie mondiale. Nous nous en faisons peut-être pour des catastrophes qui ne se sont jamais produites et qui ne se produiront jamais. Nous nous inquiétons peut-être de ce qu’une autre personne devrait ou ne devrait pas penser, ressentir, vouloir, avoir ou faire.

 

Lorsque nous nous inquiétons au sujet des problèmes des autres, nous oublions d’avoir confiance qu’eux-mêmes et leur Puissance supérieure peuvent s’en occuper. Nous nous détournons de l’espoir et de la foi naturels de notre esprit et plutôt, nous laissons le champ libre à la tentative futile de notre ego pour contrôler des gens et des événements. Nous évitons aussi les pensées constructives au sujet de nous-mêmes et de nos propres problèmes. L’inquiétude est véritablement une perte de temps et d’énergie, mais elle est souvent notre réaction aux problèmes des autres.

 

Nous imaginons parfois tous les malheurs qui pourraient arriver à nos parents, nos enfants, notre conjoint, nos amis et nos collègues de travail. Nous avons peut-être l’impression que toute cette inquiétude les aide de quelque façon ou au moins, leur prouve que nous nous soucions d’eux. Nous croyons sans doute que notre inquiétude est naturelle et indépendante de notre volonté.

 

Nous pouvons apprendre à reconnaître la différence entre la bienveillance et une inquiétude inefficace. Nous pouvons renoncer à nos pensées anxieuses sur ce qui pourrait arriver aux personnes qui nous sont chères, et porter toute notre attention sur les véritables choix et les vrais problèmes auxquels nous avons à faire face. Nous pouvons renoncer à la peur de notre ego et la remplacer par la foi, l’espoir, l’amour et la confiance en notre esprit.

 

Source : Ray, Veronica. Choisir d’être heureux, p. 101

 

La seule façon d’être heureux est de cesser de s’inquiéter de ce qui se situe au-delà de notre bonne volonté. 

Épictète

L'inquiétude*
L'inquiétude*

Exercice de visualisation
 

 

L’un des bagages les plus lourds à porter réside dans notre besoin de contrôler ceux qui nous entourent. Que nous cherchions à changer la manière de penser ou d’agir de nos épouses, maris, enfants, parents, frères et sœurs, amis ou autres, nous faisons fausse route...

Cliquez ici pour parcourir la suite du texte et découvrir l'exercice en question (pdf prêt à imprimer).

L'inquiétude*

La blague du blog

Un gamin entre en trombe dans la maison familiale.
– Papa, papa !

Oui mon chéri.
Tu peux me donner deux dollars pour un pauvre type qui crie dans la rue.
Le père, touché par la générosité de son fils, prend son porte monnaie et sort une pièce de 2 dollars.

Et que crie-t-il ce monsieur ?
Glaces : 2 dollars !

 

 

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27 septembre 2012 4 27 /09 /septembre /2012 17:00

 

 

 

L’un des bagages les plus lourds à porter réside dans notre besoin de contrôler ceux qui nous entourent. Que nous cherchions à changer la manière de penser ou d’agir de nos épouses, maris, enfants, parents, frères et sœurs, amis ou autres, nous faisons fausse route.



En tentant de changer les gens (ce qui revient à essayer de les contrôler), nous allons à l’encontre de l’essence de ce qu’ils sont, à ce moment donné de leur existence. Nous ne tenons pas compte du fait qu’ils ont leur propre cheminement à accomplir, leurs propres leçons à apprendre, leurs propres capacités et leurs propres objectifs.



Ils sont venus sur Terre pour accomplir des choses différentes des nôtres. Par conséquent, ayons la sagesse de ne pas nous mêler de leurs vies et de les laisser devenir ce qu’ils doivent devenir.



L’exercice de visualisation suivant est extraordinaire pour aider à briser les liens de codépendance.

1- Fermez les yeux. Détendez votre corps. Visualisez la personne que vous cherchez à contrôler ou à changer. Imaginez qu’un cordon ombilical vous relie à elle, de sorte que lorsque que l’un de vous se déplace, l’autre doit lui aussi bouger. Sentez l’inconfort, la douleur et la sensation d’emprisonnement que provoque ce lien.



2- Maintenant, visualisez-vous en train de prendre une grande paire de ciseaux et de couper le cordon. Sentez le soulagement immédiat, la liberté et la paix qui en découlent. Inspirez profondément et remarquez que désormais, vous êtes libres l’un et l’autre. Déplacez-vous et constatez que l’autre n’est pas obligé de vous suivre. À l’inverse, lorsque l’autre bouge, vous êtes libre de rester là où vous êtes, à votre guise.



3- Répétez cet exercice de visualisation puissant à chaque fois que vous avez la tentation d’interférer dans la vie de quelqu’un ou que vous laissez une personne interférer dans votre vie, ce qui est l’autre facette du même problème.



L’amour inconditionnel implique la capacité à se mettre en retrait et à faire confiance à ceux que nous aimons, en les laissant suivre leur propre voie, quelle qu’en soit l’issue, sans les juger, ni les condamner, ni ressentir de la colère.

 

 

 

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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 17:05

bonété 2a

 

 

Bienheureux ceux qui savent rire d'eux-mêmes. Ils n'ont pas fini de se réjouir.

Bienheureux ceux qui ont appris à distinguer une montagne d'une taupinière. Il leur sera épargné bien des tracas.

Bienheureux ceux qui sont capables de se reposer et de dormir sans avoir à s'excuser. Ils deviendront sages.

Bienheureux ceux qui peuvent se taire et écouter. Ils apprendront des choses nouvelles.

Bienheureux ceux qui ont la faculté de s'émerveiller. Ils conserveront longtemps leur âme d'enfant.

Bienheureux ceux qui ont compris l'importance de la communication. Ils préserveront la vitalité de leurs relations.

Bienheureux ceux qui sont assez humbles pour ne pas se prendre au sérieux. Ils seront appréciés de leur entourage.

Heureux êtes-vous si vous savez regarder sérieusement les choses anodines et légèrement les choses sérieuses.

Heureux êtes-vous encore si vous savez aborder simplement les choses complexes et attentivement les choses simples.

Heureux êtes-vous enfin si vous savez voir clairement les choses difficiles et profondément les choses claires.

Vous irez certainement très loin dans la vie, car la vie saura vous remercier de l'avoir aimée, ainsi elle vous entraînera à son tour.

Source : Lettres à l'intime de soi - Jacques Salomé

Bienheureux êtes-vous...*
Bienheureux êtes-vous...*

La blague du blog

 

Une femme rencontre un très beau gars dans un bar. Ils bavardent, s'intéressent et finissent par partir ensemble. Ils se rendent chez lui et comme il lui fait visiter son appartement, elle remarque que sa chambre est remplie à craquer de mignons oursons en peluche.

Des centaines de jolis petits oursons garnissent une tablette tout le long du plancher, de mignons oursons de grandeur moyenne sur une autre tablette un peu plus haut et d'énormes oursons sur la tablette en haut complètement.

La fille était surprise de découvrir que ce gars avait une telle collection d'oursons en peluche, mais elle décide de garder ses réflexions pour elle-même. Elle est en fait assez impressionnée par ce côté sensible de lui.

Elle se tourne vers lui, ils s'embrassent et passent une nuit entière d'étreintes et de passion. 

Au petit matin, la fille se retourne et lui demande avec un sourire : « Et alors, comment c'était ? »

Le gars répond : « Va te choisir un prix dans la rangée du bas. »

 

 

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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 17:04

 

 

7 TRUCS POUR CESSER DE S’INQUIÉTER

 
 
S’inquiéter nuit à la santé et fait diminuer beaucoup la performance au travail, et le temps perdu à s’inquiéter n’est pas rentable pour la compagnie où vous travaillez.

Alors, je vous propose quelques moyens pour vous aider à moins vous inquiéter. N’importe quel de ces moyens peut apporter de très bons résultats. Le but est que vous puissiez passer agréablement votre journée de travail au lieu de vous inquiéter.


 

Premier moyen :

Placez sur un de vos poignets une bande élastique et tirez dessus lorsque vous vous inquiétez. Cela va vous faire mal et comme vous ne voulez pas ressentir de douleur, il vous sera plus facile de penser à cesser de vous inquiéter. Ce moyen est souvent demandé d’être utilisé en psychothérapie et fonctionne très bien.

 

Deuxième moyen :

Vous pouvez vous dire : « ne t’en fais pas, je sais que tu as appris à t’en faire, mais maintenant je vais t’aimer et t’accepter tel que tu es même si tu t’inquiètes. » Renvoyez vos pensées doucement et réconfortez-vous par des pensées plus réalistes et plus plaisantes.

 

Troisième moyen :

Vous pouvez volontairement vous critiquer et vous dire avec colère : « Est-ce que ça te sert à quelque chose de penser à ça ? Cesse d’y penser et fais autre chose ou pense à autre chose. » Se parler ainsi fait l’effet d’une douche froide. Ça ramène très rapidement dans la réalité. Personnellement c’est le moyen que j’utilise et ça fonctionne merveilleusement.

 

Quatrième moyen :

Pensez que vous possédez un pulvérisateur et dites-vous : « Je détruis mes inquiétudes en les pulvérisant d’insecticide. » J’imagine mes inquiétudes mourir systématiquement.

 

Cinquième moyen :

Pensez à deux ou trois inquiétudes que vous avez présentement et écrivez-les.

Par la suite, inscrivez « quand » vous désirez y penser durant la journée ainsi que « la durée » que vous voulez y allouer.

Exemple : je m’inquièterai de la prochaine réunion et je m’inquiéterai de ma fille qui est à l’hôpital de 7 h à 7 h 15 et de 20 h à 20 h 30. Si le temps alloué vous semble trop court après en avoir fait l’essai, vous pouvez l’augmenter.

Durant la journée, lorsqu’une de ces inquiétudes vous arrive en tête, faites le geste de la balayer de la main et dites-vous : « Ne t’en fais pas, je vais y penser à telle heure » et volontairement cesser d’y penser. Pratiquez cette activité pendant 4 à 5 jours.

À mesure qu’une inquiétude est résolue, vous n’y pensez plus et lorsque d’autres inquiétudes surviennent, vous pouvez les rajouter. Ensuite, diminuez très doucement « la durée » par jour allouée à toutes vos inquiétudes.

Prenez le temps de vous féliciter et de ressentir du plaisir chaque jour où vous y parvenez. Vous pouvez aussi vous récompenser pour vous encourager.

Le but de cet exercice est de voir comment vous pouvez passer facilement d’un état apathique à un état plus joyeux. Nous pouvons tous exercer notre merveilleux pouvoir de choisir nos idées.

 

Sixième moyen :

Faites-vous un petit plaisir afin de changer l’idée qui vous inquiète. Voici quelques exemples : lire une lecture qui vous intéresse, pratiquer votre sport favori, écouter une émission qui vous stimule ou en écouter une musique de danse et en profiter pour danser aide beaucoup à retrouver la bonne humeur.

 

Septième moyen :

Passez à l’action délibérément en chassant vos idées destructives, même si c’est la nuit, sortez de votre lit et agissez, réglez cette situation qui vous perturbe, écrivez sur ce sujet, renseignez-vous pour en savoir davantage pour vous aider, ensuite lâcher prise et agissez pour vous.

Expérimentez un de ces moyens vous aidera. Car moins on s’inquiète, plus on se sent en paix et libre. Mais, si vous n’arrivez pas à être heureux, il est important d’aller chercher de l’aide psychologique en utilisant les services d’une psychothérapeute par exemple afin de rétablir votre énergie et de retrouver le goût à la vie. La vie est super belle.

 

SOURCE : Diane Charbonneau conférencière, formatrice, psychothérapeute et auteure, aide les gens à devenir plus heureux et plus performants au travail et dans la vie. Elle est spécialisée en gestion du stress et en l’épuisement professionnel.

 

 

info@dianecharbonneau.com / www.dianecharbonneau.com

 

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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 17:03

 

 

La course en taxi
 

 

Il y a vingt ans, je conduisais un taxi pour gagner ma vie. Lorsque je suis arrivé à 2 h 30, l'immeuble était sombre, à l’exception d’une petite lumière provenant d’une fenêtre du rez-de chaussée. Dans ces circonstances, plusieurs chauffeurs auraient seulement klaxonné une ou deux fois, attendu une minute et seraient repartis. Mais, j'avais trop vu de gens démunis et qui n’avaient d’autre moyen de se voyager que les taxis. Je me suis donc dirigé vers la porte et j’ai cogné doucement.

Après une longue pause, la porte s'est ouverte. Une dame âgée d’environ 80 ans se tenait devant moi et à ses côtés, une valise de nylon qu’elle avait péniblement traînée jusqu’à la porte. L'appartement était désert, comme si personne n'y avait vécu depuis des années.

J'ai porté la valise jusqu'au taxi, puis je suis retourné vers la femme. Elle a pris mon bras et nous avons marché lentement vers le trottoir. Elle ne cessait de me remercier pour ma gentillesse.

« Ce n'est rien, lui ai-je répondu, j'essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée... »

— Oh, vous êtes le genre de bon garçon », m’a-t-elle dit alors.

Quand nous sommes montés dans le taxi, elle m'a donné une adresse, puis m’a demandé si je pouvais la conduire en ville.

« Ce n'est pas le chemin le plus court », lui dis-je.

— Oh, ça ne me dérange pas, je ne suis pas pressée. Je suis en route pour un hospice. Il ne me reste pas de famille et le docteur dit que je n'en ai pas pour longtemps. »

J'ai tranquillement éteint le compteur et lui ai demandé quelle était la route qu’elle désirait que je prenne.

Pendant les deux heures qui ont suivi, nous nous sommes promenés dans la ville. Elle m'a montré les édifices où elle avait travaillé, le quartier où elle et son mari avaient vécu, … Parfois, elle me demandait de ralentir en avant d'un immeuble particulier, comme pour se remémorer une tranche de vie.

Puis nous nous sommes rendus à l'adresse qu'elle m'avait donnée. Deux infirmiers sont venus l’accueillir avec une chaise roulante. Elle a précautionneusement placé sa petite valise sur elle, comme si toute sa vie se résumait dans ces quelques vêtements et objets. Puis, elle m’a demandé combien elle me devait.

« Rien, ai-je répondu.

— Mais vous devez gagner votre vie.

— Il y a d'autres passagers…

Je me suis alors penché et l'ai serrée dans mes bras, lui offrant peut-être ainsi l’une des dernières étreintes de sa vie.

« Vous venez de donner à une vieille femme un grand moment de bonheur. Merci. »

Je lui ai serré la main, puis j'ai marché dans la faible lumière du matin. Derrière moi, une porte s'est refermée. C'était le son de la fermeture d'une vie.

Incapable de parler et complètement perdu dans mes pensées, je n'ai pris aucun autre passager de la journée.

« Que serait-il arrivé à cette femme si elle était tombée sur un chauffeur fâché, ou impatient de finir son quart de travail? Et si j'avais refusé de prendre cette course, ou que j’étais reparti après avoir klaxonné une fois? »

Je me suis donc arrêté pour remercier la vie de m’avoir permis de vivre ce moment inoubliable. Ce n’est certes pas un événement qui fera la une des journaux; toutefois, dans le livre dans ma vie, il figurera parmi mes moments les plus heureux et les plus vrais. Merci Mme Chiasson!


Les gens vont oublier ce que vous avez dit.
Les gens vont oublier ce que vous avez fait.
Mais jamais ils n’oublieront comment
ils se sont sentis avec vous.
 

 
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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 17:02

 

 

10 étapes vers l’abondance

Par Carolyn Blakeslee

Tiré de la revue Natural Awakenings

 

Faites une liste de ce que vous désirez.

Faites une liste de ce que vous désirez, pas de ce que vous aimeriez avoir ou ce que vous avez besoin, ces mots impliquent un manque plutôt qu’une abondance. En disant/pensant/écrivant « Je désire que (ceci) ou quelque chose d’encore mieux se manifeste pour le bien de tous ceux concernés», vous créez un espace pour de plus grandes possibilités.


Rappelez-vous un souvenir d’abondance que vous avez connu.

Si vous réalisez que vous ressassez un mauvais souvenir ou que vous n’arrivez pas à faire disparaître une idée qui n’est pas la bienvenue, rappelez à votre mémoire un souvenir différent où vous vous sentiez riche, beau, capable et plein de succès… n’importe quel état d’esprit auquel vous aspirez.


Agissez en fonction de vos passions.

Même si vous ne faites qu’un tout petit pas vers un but, une passion qui vous nourrit, vous allez vous sentir rafraîchi, plus énergique et avec des idées plus claires, et vous ferez du progrès dans l’obtention de votre but. Dieu a un plan pour votre vie et Son plus grand désir pour Sa création…vous…est votre prospérité.


Regardez vers l’avenir.

Faites la liste de vos rêves les plus chers et de vos souhaits immédiats. Encore mieux, sortez des photos d’un moment passé où vous étiez heureux, découpez des images provenant d’une revue qui représentent des bonnes choses que vous désirez pour le futur et collez-les dans un journal ou un carton et regardez-les dans vos moments de réflexion.


Simplifiez votre vie continuellement.

Laissez aller les situations et les désordres qui ne sont pas en accord avec vos aspirations.


Passez du temps avec des gens positifs.

N’écoutez pas les « chialeux ». Vous travaillez à surpasser les limites de vos propres croyances, alors pourquoi travailler aussi sur celles des gens négatifs? Éloignez-vous mais avec bonté.


Choisissez vos sources d’information avec soin et limitez votre temps d’écoute.

Ne lisez qu’un journalisme responsable, soucieux du vrai, ce qui n’est pas le cas de la plupart des nouvelles offertes à la télévision. Vous n’allez pas perdre de temps ainsi avec de vilaines histoires qui engendrent des sentiments négatifs et des réponses physiologiques nocives. Vous vous sentirez beaucoup mieux.


Pratiquez la proverbiale «attitude de gratitude».

Énumérez vos bénédictions. Pensez souvent à toutes les bonnes choses que vous avez dans la vie. Dites «Merci» plus d’une fois par jour. Regardez les domaines de votre vie dans lesquels vous réussissez bien; utilisez ces talents et appliquez-les à ce que vous voulez améliorer.


Exprimez votre gratitude.

Remerciez les autres fréquemment, avec des cartes de remerciement, des courriels expressifs, des gestes d’encouragement et des sourires. Les gens apprécient toujours la bonté et les belles manières, spécialement quand la politesse n’est pas courante.


Souriez!

Quand vous répondez au téléphone, affichez un sourire sur votre figure et dans votre voix. Accueillez les gens dans votre vie, même si ce n’est que pour un court moment. Laissez-les ressentir votre chaleur humaine. Quand vous réalisez que vous travaillez avec un air renfrogné, arrêtez-vous pour respirer par le nez et remettez un beau sourire sur votre figure!

 

 
Carolyn Blakeslee publie l’édition du Centre de la Floride de la revue Natural Awakenings / www.NaturalAwakeningsncfl.com
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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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