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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 13:16

 

La peur de perdre est présente dans presque toutes les sphères de notre vie.

Nous avons peur de perdre notre conjoint, notre emploi, nos amis. Nous avons peur de perdre la face, de perdre une argumentation, nos biens, notre santé. Nous avons aussi peur de perdre notre confort et notre routine, devant des changements imminents.

À cause de ces peurs, nous nous crispons dans des attitudes plus rigides pour ne rien perdre; nous tentons de contrôler tous nos environnements, de tout planifier, tout prévoir, tout superviser. Nous refusons d’adhérer aux changements, nous développons une tendance plus forte au contrôle et à la résistance, puis, nous devenons plus jaloux et angoissés. Quand nous avons l’impression que nous sommes sur le point de vraiment perdre quelque chose, nous intensifions davantage nos comportements anxieux, alors, le stress nous ronge et nous épuise.

Et pourtant, est-ce que notre peur de perdre quelque chose nous a déjà préservés de perdre quelque chose?

Est-ce que parce que nous avons peur de perdre nous ne perdons jamais rien? Bien sûr que non! Certes, la peur peut nous amener à être plus prudent, mais bien souvent elle n’empêchera pas notre couple de s’étioler, notre emploi de se terminer, nos relations de s’appauvrir. Elle ne nous préservera pas de la faillite, des aléas de la vie quotidienne, des problèmes de santé, des changements…

Cependant, la peur de perdre nous garantit quand même certaines choses : entre autres, celles de gâcher notre présent, de ruiner notre humeur, de perturber notre sommeil. Elle risque aussi, parce que nous adopterons des comportements indésirables basés sur la peur, de nous faire perdre notre conjoint(e), nos relations, notre emploi. Assurément, elle nous fera perdre notre calme, notre sourire et notre confiance en la Vie. S’il n’y a pratiquement aucun gain à entretenir la peur de perdre, pourquoi la maintenons-nous dans notre Vie?

La peur de perdre est essentiellement liée à nos deux peurs fondamentales, celle de mourir…. et celle de vivre!

Parfois, pour certaines personnes, la peur de vivre est encore plus grande que celle de mourir : elle nourrit alors toutes les autres peurs.

Une peur a toujours une fonction vitale : elle nous indique clairement que nous ne nous faisons pas assez confiance à nos propres ressources et à la Vie. Il est donc possible, sans nous juger, d’accueillir nos peurs avec bienveillance pour ce qu’elles ont à nous enseigner, même si elles sont impuissantes pour ce qui est de changer la réalité. Si nous les accueillons, si nous nous accueillons avec nos peurs, nous saurons où nous avons besoin de nous aimer davantage… et nous aurons moins peur!

Alors, plutôt que de nous juger durement lorsque l’anxiété de la peur surgit, tentons de voir ce que ces peurs nous apprennent sur nous-mêmes. Car il y a au moins deux cadeaux lumineux dans chacune d’elles : Celui de nous rappeler de faire davantage confiance à la Vie et celui de nous enseigner à mieux nous aimer.


Source : Diane Gagnon, La solution est en vous

 

 

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Nicole Charest Nicole Charest - dans Divers
16 décembre 2016 5 16 /12 /décembre /2016 08:16

 

Chers abonnés et visiteurs, bonjour,

Je passe vous faire un petit coucou avant Noël. En septembre, je pensais être plus active sur mon blog mais force est d'admettre que ce ne fut pas le cas... Je ne vous oublie pas pour autant...

Comme le côté commercial des fêtes confrontent profondément mes valeurs, j'ai eu le goût de vous présenter deux textes susceptibles d'alimenter votre réflexion.

Le premier parle du pardon, ce qui va, bien sûr, avec le sens profond de la fête de Noël. Le deuxième parle de la consommation. Cet auteur me rejoint tellement que j'ai eu envie de vous le faire connaître. Les plus beaux cadeaux ne se trouvent pas dans les centres commerciaux...


J'en profite donc pour vous souhaiter de très joyeuses fêtes et que la vie vous soit belle et douce en 2017. Merci de faire partie de ma route virtuelle.

 

Votre webmestre, Nicole xox

Tant qu'on refuse de pardonner*

Tant qu’on refuse de pardonner, on maintient volontairement un lien très fort avec la personne qui, selon nous, nous a fait du mal.

Tant que nous ne pardonnons pas, nous rétrécissons notre capacité à aimer véritablement. Nous asséchons notre cœur en gardant rancune.

Tant que nous en voulons à l’autre, c’est à nous que nous faisons du mal. Pas à l’autre.

Pardonner ne signifie pas cautionner le geste que l’autre a commis ; cela ne veut pas dire que nous oublions ce qui a été fait ; cela ne signifie pas que ce n’était pas grave ce qui s’est passé.

Non. Pardonner, cela signifie que je m’aime assez pour me libérer des liens qui m’unissent à l’autre par mon manque de pardon. Cela signifie que je choisis de ME libérer de ce qui entrave mon bonheur. Cela signifie que dorénavant, ce qui s’est passé ne conditionnera plus mon présent pour m’empêcher d’être heureux, d’être bien.

Pardonner c’est voyager léger. C’est faire preuve de maturité. C’est prendre le dessus sur notre ego qui refuse de pardonner tant que justice n’a pas été rendue, selon lui. Si on écoute notre ego dans ces cas-là, nous signons un passeport pour le malheur pour le reste de notre vie. Car notre ego refuse de pardonner, puisqu’il est toujours dans le jugement.

Peu importe l’ampleur de la faute, peu importe son occurrence, peu importe notre douleur initiale, si nous ne pardonnons pas, nous ne nous libérons pas. Et nous restons coincés au moment où ces événements se sont produits, continuant de nous faire souffrir dans le présent pour ce qui fait déjà partie du passé, mais que nous maintenons actuel en alimentant notre rancune, en revivant inlassablement les mêmes événements, en les racontant, en nous identifiant à eux. C’est ce que vous avez envie de vivre pour le reste de vos jours ?

Vous aimerez-VOUS assez pour vous libérer de ce qui vous empêche d’être
heureux ? Ou laisserez-vous votre rancune détruire le reste de votre vie ?

Évidemment, on ne doit pas rester dans ce qui nous fait souffrir ni tolérer l’intolérable ; nous sommes mieux de nous éloigner de tout ce qui est toxique pour nous ; on est plus sage si on évite les personnes qu’on sait qui pourraient nous blesser à nouveau. On ne retourne pas se jeter dans la gueule du loup !

Et pardonner ne signifie pas renouer avec qui nous a fait mal.

Quand on pardonne, pour de vrai, avec le cœur, on se libère du poids le plus lourd que nous puissions porter dans notre vie.

Prenez une roche pour chaque personne à qui vous refusez encore de pardonner, pour chaque événement. Traînez ces roches avec vous partout durant au moins 24 heures : quand vous mangez, quand vous dormez, quand vous vous brossez les dents, quand vous allez travailler, quand vous prenez votre bain, quand vous marchez, vous traînez toujours ces roches avec vous. Au bout de la journée, vous serez épuisés de porter votre sac rempli de roches tellement lourdes qu’elles ne vous donnent plus le goût d’avancer.

Et bien c’est exactement ce qui se produit au niveau spirituel : tout ce que vous refusez de pardonner, ce sont des roches que votre âme traîne continuellement, ce qui lui enlève à elle aussi le goût d’avancer, ce qui la rend lourde et l’épuise. Vous vous surprenez de stagner dans votre vie ? Vous trouvez que certains aspects de votre vie vont mal ? Alors qu’avez-vous à pardonner ? À vous ? Aux autres ?

Vous seul détenez la clé de votre bonheur : le Pardon.

Vous voulez vivre libres et heureux ? Cela se résume en un seul mot
: PARDONNEZ !

 


Auteure : Diane Gagnon

 

Tant qu'on refuse de pardonner*

Les diapos « Petites douceurs » de Noël

Désolée de ne pouvoir vous présenter un nouveau diaporama. Je compense un peu en vous joignant les fichiers d'anciennes créations mais dont le message est toujours très actuel.

Pour la mise en page, je suis incapable de faire les présentations comme avant la migration d'Over-blog vers sa nouvelle plate-forme (images avec liens intégrés). Ce qui, jadis, était un plaisir pour moi est maintenant devenu une grande source de frustration. Je dois toutefois vivre avec...

 

Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*

Livre En as-tu vraiment besoin?Extrait d'un article écrit par Pierre-Yves McSween, auteur du livre En as-tu vraiment besoin ?

On veut tous être généreux à Noël, mais la question qu’il faut se poser est : quel genre de vie voulez-vous mener ? Noël est un moment pour se retrouver, se reposer, et on a le droit de ne pas être esclave de la consommation.

Si vous dépensez à Noël de l’argent que vous n’avez pas, vous ne comprenez pas le jeu de l’argent. Et il n’y a pas juste l’argent, mais le stress que procure Noël. Ce serait un grand geste d’équité sociale que d’annuler les cadeaux de Noël et de dire aux gens : ne soyez pas gênés, venez chez nous sans cadeaux, sans même de cadeau d’hôtesse ! Il y a des gens qui n’ont pas les moyens de participer à Noël et qui sont tristes de ne pas pouvoir offrir de cadeaux. C’est aberrant.

La meilleure façon de donner accès à Noël à tout le monde, c’est d’éliminer le côté commercial de Noël. Ma famille et moi, on est affranchi de cela depuis quelques années, on ne se donne pas de cadeaux. Entre nous, on arrête de jouer à ce jeu à somme nulle. Des échanges de cadeaux avec des listes et des montants prédéterminés, c’est tellement inutile ! On met 50 $, voici la liste des cadeaux souhaités, alors tout le monde est en train de magasiner les 50 $ d’une autre personne !

Et que dire des cartes-cadeaux ? D’un point de vue purement économique, j’ai échangé de l’argent universel contre de l’argent échangeable qu’à un seul endroit, j’ai augmenté le niveau de risque de mon argent ! Déballer une carte-cadeau, c’est déballer 50 $, donne-moi donc 50 $ ! Donner de l’argent, c’est vulgaire, c’est ce qu’on va me dire ; et une carte-cadeau, ça ne l’est pas ?

Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
Tant qu'on refuse de pardonner*
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Nicole Charest Nicole Charest - dans Noël-Jour de l'an-Alcool Pardon-Reconnaissance
15 octobre 2016 6 15 /10 /octobre /2016 12:59

 

« Le seul véritable voyage, le seul bain de Jouvence, ce ne serait pas d'aller vers de nouveaux paysages, mais d'avoir d'autres yeux... » - Marcel Proust

Réapprendre à voir, quelle merveilleuse façon de se réinventer. Voir ne consiste pas à distinguer simplement les formes, les couleurs, les matières, les choses, les êtres, mais à regarder notre monde avec attention, avec curiosité, avec passion, avec un amour pur et désintéressé comme le font les enfants.

Combien de fois sommes-nous passés à côté d'une expérience extraordinaire, n'y voyant que du banal, de l'ordinaire ? On passe toujours trop vite à côté d'une fleur, d'un arbre, d'un papillon et des personnes que l'on aime. On oublie trop souvent de regarder autour de soi et on ne soulève plus les yeux au ciel pour voir plus grand que soi.

Tout, absolument tout ce qui nous entoure sur cette terre, mérite le même regard, la même présence, la même attention. Mais pour mériter la beauté de ce monde, il faut savoir l'accueillir. Pour l'accueillir, il faut rafraîchir notre regard et apprendre à voir avec amour. À voir dans un total abandon tout ce qui existe autour de nous.

D'avoir d'autres yeux signifie donc de rafraîchir le regard que l'on porte sur soi, sur les autres, sur le monde qui nous entoure. Vous et moi, nous pouvons réinventer notre manière de voir le monde. Voici quelques suggestions :

 

– Apprenons à voir les choses sans vouloir posséder.

– À regarder les gens sans les juger.

– À voir les évènements sans les comparer.

– À regarder notre monde sans le diviser.


Pour réinventer notre regard, chaque jour, il est essentiel de fermer les yeux quelques secondes pour rafraîchir notre vision du monde. Puis, avec un regard tout neuf, prendre le temps de contempler le visage de ceux qu'on aime et d'admirer la beauté du monde qui nous entoure.

Ce simple exercice, répété au quotidien, est d'une force incroyable pour renouveler notre engagement envers les autres, envers la vie.

Et lorsque nous traversons des périodes plus sombres, il nous faut aussi adoucir notre regard. C'est alors le moment de cultiver un regard empli de bienveillance, de douceur, de compassion envers nous-mêmes. S'observer, sans se juger, est un acte d'amour envers soi-même. Et c'est là le début d'une véritable transformation.

 

Nicole Bordeleau (Infolettre du mois d'août 2016)

Rafraîchir notre regard*
Rafraîchir notre regard*

La blague du blog

 

C'est un couple de vieux mariés qui fêtent leurs 50 ans de mariage...

L'homme dit à sa femme :

- Après autant de temps passé ensemble, tu peux m'avouer si tu m'as trompé...

Sa femme hésitante lui dit :

- Tu te souviens que le prêt pour la maison nous avait été refusé et que, deux jours après, le banquier a sonné pour dire qu'il était accepté?

Ben...

- Ah, tu ne m'as trompé qu'une seule fois ?

- Ben non... La fois où tu as failli perdre ton job... La semaine d'après, ton chef t'a dit qu'il te gardait et tu n'as plus jamais été inquiété par la suite... Ben...

- Bah, deux fois et en plus, pour de bonnes causes, je te pardonne... C'est tout ?

- Ben non. Tu te souviens lorsque tu t'es mis sur les listes électorales ?

- Oui, et alors ?

- Ben, euh... Combien te manquait-il de voix donc...

 

 

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Nicole Charest Nicole Charest - dans Bonheur-Paix-Apprécier la vie
16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 14:11

Lors de certaines périodes de notre vie, nous traversons des périodes intenses, remplies d’autant de grands bonheurs que de grandes souffrances. Nous pouvons alors avoir l’impression que ce n’est pas juste, que nos bonheurs sont gâchés par ces souffrances qui apparaissent au moment inopportun, comme si elles nous empêchaient de vivre pleinement notre bonheur.

Et pourtant, la Vie est ainsi constituée : bonheur et douleur en alternance. Quoi que nous fassions, c’est la Vie! Plus nous y résistons, plus les périodes douloureuses sont souffrantes. Accueillir ce que la Vie nous offre chaque jour est un merveilleux cadeau à se faire.


Cela s’appelle vivre dans le moment présent!

Respirer le bonheur et le savourer est aussi important que de respirer DANS la souffrance et la vivre pour comprendre son message. Vouloir éviter l’un de ces aspects c’est se priver des deux!

La Vie nous donne tout : des occasions de grandir et des occasions de savourer. Des moments pour recevoir et des moments pour rendre grâce. Des événements pour apprendre et des événements pour intégrer. Des périodes de travail sur soi et des périodes de repos. Des moments de bonheur et des moments de douleur. Tout est intégré.

Toute la Vie est construite sur ces deux pôles et nous naviguons sur cette mer en suivant le flot ou en y résistant, ce qui s’avère non seulement inutile mais terriblement souffrant.

En vivant intensément le moment présent, quel qu’il soit, nous savourons tout ce qui nous est offert, même si notre ego cherche à catégoriser le tout en bien ou mal, notre âme sait que tout nous est utile.

La douleur et le bonheur font équipe pour nous faire évoluer, pour nous apprendre à mieux aimer. Nous pouvons croire que le paradis et l’enfer se côtoient continuellement, mais c’est simplement la Vie qui se déploie POUR nous, telle qu’elle est, pour que nous explorions tout ce que nous sommes, pour que nous devenions Amour. Et tout est parfait!


 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

Suivez-la sur : Facebook ou encore via le site : La solution est en vous

Procurez-vous son nouveau livre : À moi de moi! (101 cadeaux à se faire avec amour pour développer l'estime de soi). Offert en version papier ou électronique.

Pour commander : Europe : Amazon.fr et Canada : Amazon.ca

 

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer*

François Lemay, spécialiste en enseignement de pleine conscience


En janvier 2016, j'ai découvert avec grand bonheur les capsules Youtube créées par François Lemay. Maître coach de formation en programmation neuro linguistique, François est un as de la communication et un excellent vulgarisateur. Il a ce don de créer de la raisonnance et de connecter avec son public et ce, avec une simplicité désarmante.

Si vous désirez devenir la meilleure version de vous-même, réservez-vous du temps pour écouter les capsules ci-dessous. Vous pouvez également le suivre sur sa page Facebook ou sur sa chaîne Youtube.

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer*

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer*
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6 mai 2016 5 06 /05 /mai /2016 14:01

 

 

 

C’est un remède d’un genre nouveau. Son efficacité contre de nombreuses maladies est impressionnante. Il n’a aucun effet secondaire, à part vous rendre plus heureux.

Et pourtant, il faudra des années, probablement des décennies avant de le voir prescrit par la médecine officielle et noté noir sur blanc sur une ordonnance. Car il a un énorme défaut : il ne rapporte rien à personne !

Ce remède simple et gratuit consiste simplement à dire merci...


La gratitude est précieuse car elle nous conduit à reconnaître (au sens de constater, d’admettre) qu’il y a du bien dans son existence. La vie n’est jamais parfaite et est parfois cruelle. Mais elle comporte toujours des joies, des moments dignes d’être vécus.

La gratitude nous invite à célébrer ces moments, à reconnaître ce qui va bien dans notre vie plutôt que de ruminer ce qui va mal, à se concentrer sur le positif plutôt que le négatif.

Ce n’est pas de la simple « pensée positive ». Il ne s’agit pas de se voiler la face et d’ignorer les difficultés ou les défis de la vie quotidienne. Il s’agit de réaliser que même les épreuves peuvent nous apporter quelque chose, et que c’est sur cela qu’il faut se concentrer.

La gratitude permet aussi de bloquer net les émotions toxiques comme l’envie et l’amertume. Plutôt que de jalouser celui qui a plus, la gratitude nous fait apprécier ce que nous avons. Elle nous invite à nous réjouir en pensant à ceux qui souffrent davantage, bloquant ainsi notre tendance naturelle à lorgner sur ce que le voisin a en plus.

Plus profondément, la reconnaissance nous détourne de nous-même pour nous ouvrir à autrui. Nous reconnaissons que nous devons à autrui au moins une partie des bienfaits qui nous arrivent.

L’ingrat est arrogant, narcissique. Tout lui est dû. Pourquoi, dès lors, devrait-il se montrer reconnaissant envers ceux qui lui rendent service ?

Être reconnaissant, au contraire, c’est ne plus considérer comme acquis les bienfaits que les autres nous apportent. Plutôt que d’être froid et sec, notre lien à autrui n’en devient que plus chaleureux.

Et plus nous lui exprimons notre gratitude, plus notre entourage se réjouit de nous faire du bien. Et plus il le fait, plus nous avons de raisons de lui être reconnaissant… C’est un cercle vertueux sans fin !


 

Source : Projet Santé Corps Esprit

 

Pour guérir, dites ces cinq lettres*
Pour guérir, dites ces cinq lettres*
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31 mars 2016 4 31 /03 /mars /2016 12:46

 

Un jour, le ciel est bleu et le soleil est radieux. Le lendemain, un orage éclate et la pluie tombe à tout rompre. Un moment, tout va pour le mieux. Le moment suivant, on fait face à une séparation, à un conflit, à une maladie.

Dans cette précieuse vie humaine, rien n'est acquis et rien, ni personne ne sera épargné par les vagues du changement. Les saisons, les océans, les montagnes, bref tout ce qui existe est appelé à se transformer, à se réinventer.

Et dans la nature, rien ne résiste au cycle des transformations. Rien, sauf l'être humain. Car à moins qu'il ne provienne de sa volonté, l'être humain considère le changement comme un problème, un affront, un obstacle que la vie place sur sa route.

On peut ainsi s'agripper et résister de toutes nos forces pour repousser le changement dans nos corps et dans notre apparence, cela ne durera pas éternellement. On peut s'accrocher fermement à notre routine, à nos habitudes de vie, à des idées fixes, à de vieilles façons de faire, inévitablement un jour, on devra se résoudre à changer.

Ce refus de voir le changement comme étant un processus naturel de l'évolution coûte cher en énergie et en nuits d'insomnies, car la vie est une force puissante. Si on lui résiste, elle insiste. Si on persiste, elle nous déstabilise. Si on s'obstine et que l'on refuse de changer, elle nous y obligera, car refuser de changer, c'est comme refuser de vivre.

Aussi difficile soit-il de l'admettre, tout changement a sa raison d'être. Son but est de dégager ce qu'il y a en nous de force, de courage, de résilience pour poursuivre notre évolution. Sans cet apprentissage, il nous serait impossible de découvrir et de faire rejaillir les ressources insoupçonnées qui sommeillent encore en nous.

Bien que changer peut parfois sembler une douloureuse expérience à vivre, c'est souvent à partir de cette expérience que la sagesse émerge. La sagesse, c'est une prise de conscience. C'est la capacité de percevoir le sens profond d'une épreuve, d'une perte, d'une expérience douloureuse. La sagesse, c'est ce qui nous permet de faire face à toutes les vagues de l'existence avec sérénité.

Rien ne saurait freiner le changement, c'est l'élan même de la vie. De plus, sans changement, rien de meilleur ne pourrait survenir et nous serions constamment à vivre les mêmes expériences.
Alors, peu importe sous quelle forme le changement arrive, dites oui.

Si aujourd'hui, vous êtes appelé à vivre un changement important, dites-vous que c'est parce que vous avez en vous la force d'y faire face. Au lieu de le repousser, penchez-vous vers lui, prenez une profonde respiration et tenez bon, car la vie vous prépare à accueillir de quelque chose de beau et de grand.


Auteure : Nicole Bordeleau 

 

Dire OUI au changement*

Le moment présent

 

Ci-dessous, un extrait du film : La voie du guerrier pacifique de Dan Millman. J'ai lu bien des livres sur ce thème mais aucun ne m'a interpellée comme cette courte vidéo. Je vous encourage donc à trouver 3 petites minutes pour la visionner...

 

 
J'ai vidé ton esprit

Qu'est-ce que la PLEINE CONSCIENCE du Moment Présent ?Avez-vous lu le livre de Dan Millman "La Voie du guerrier pacifique" ou peut-être vu le film ? Il y a cette scène très drôle que je vous propose en vidéo qui raconte la 1ère leçon du héros : sortir les ordures de sa tête. Une scène qui dépeint magnifiquement un changement soudain et radical du mode de penser habituel à la pleine conscience.Dans cette histoire, inspirée de faits réels, Dan est un jeune athlète très prometteur. Il est décrit comme une personne égoïste, hautaine et très ambitieuse. Ce qui est assez courant chez les jeunes gens brillants ;-) Conditionné par son milieu, il s'imagine que l'accomplissement et le bonheur viendront à lui lorsqu'il obtiendra la gloire sportive…Et puis il rencontre un homme mur et éclairé - pour ne pas dire éveillé - qui travaille de nuit dans une petite station-service locale. Cet homme possède quelque chose que Dan ne possède pas et qui l'interpelle… Dan devient son élève.Un soir, dans une autre scène, celui que Dan a surnommé Socrate l'invite à aller s'asseoir sur le capot d'une épave et lui dit qu'il doit y rester jusqu'à ce qu'il ait - ENFIN - quelque chose de valeur à dire. Il faut dire que la tête de Dan est truffée de toutes sortes de sottises auxquelles l'éducation et le système nous préparent et, en plus, il a un caractère de chiotte ! ;-)Assis là, toute la nuit, sur le capot de la voiture, il pense à des choses "sages" qu'il a entendu dans des livres ou des films et, de temps en temps, il court débiter ses trouvailles à son mentor. Mais, à chaque fois, il se fait recaler et se retrouve à nouveau sur le capot de la voiture. :-DAprès des heures assis à enchainer pensée après pensée, à essayer sans succès citation après citation, le soleil se lève. Dan est épuisé. Trop fatigué pour continuer à penser, il lâche prise. Il s'allonge sur le dos et regarde le ciel…C'est alors que "quelque chose se déplace en lui". Dan observe un jeune couple qui arrive dans la station. Il les regarde s'embrasser et prend conscience… du geste d'amour et de tendresse qu'ils échangent ! À ce moment-là, il accueille totalement ce qui est là devant lui : LE MOMENT PRÉSENT.Après quelques instants assis là, en silence, il se rend tout content dans la boutique et regarde Socrate avec du bonheur dans les yeux : "il n'y a pas de moment banal", affirme-t-il doucement.C'est l'une des leçons que Dan devait apprendre. Une leçon apprise uniquement par l'expérience directe : lorsque Dan a laissé son aptitude à la pleine conscience observer l'ici et maintenant, il a soudain réalisé que chaque instant qu'il nous est donné de vivre est unique. Il a appris qu'il n'y a jamais "rien à faire" et que chaque instant de la vie est sacré, plein à ras-bord, débordant d'émerveillement et de mystère. ;-DMais, avec notre mode de vie à 100 km/h, nous n'en prenons conscience que si nous ralentissons suffisamment pour déguster le moment présent. Il n'y a rien à FAIRE ou à AVOIR qui puisse nous rendre durablement heureux. Il n'y a qu'à ÊTRE là, présent à ce qui est.Apprendre à "sortir les ordures de nos têtes" et à être pleinement présents, c'est ce que la #Mindfulness ou méditation de pleine conscience se propose de nous apprendre. ;-)Et vous, avez-vous eu des prises de conscience qui ont changé votre vie?Jean-Marc******************************https://www.facebook.com/MMindfulness.fr/EThttp://mmindfulness.frVoici le lien vers le film complet:https://youtu.be/FeBIkqoe87k

Posté par Mindfulness sur 12 janvier 2016
Dire OUI au changement*
Dire OUI au changement*
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15 mars 2016 2 15 /03 /mars /2016 18:37




Aujourd'hui, vous pouvez être la bonne nouvelle !

Refusez les pensées négatives, les paroles négatives et refusez de vous comporter négativement. Ne roulez pas des yeux, ne serrez pas les dents, ne serrez pas les poings et ne pointez personne du doigt aujourd'hui ! Oh ! Non ! Vous serez la bonne nouvelle !

Vous aurez quelque chose de bon à vous dire et à dire à chaque personne que vous rencontrerez. Pas d'inquiétude aujourd'hui ! Pas de jugements aujourd'hui ! Pas de commérages, pas de critiques ni de jugements aujourd'hui ! Pas vous ! Oh ! Non ! Vous êtes la bonne nouvelle aujourd'hui !

Vous serez le compliment que quelqu'un voulait entendre. Vous serez l'encouragement que quelqu'un attendait. Vous serez le sourire dont quelqu'un avait besoin. Vous serez le généreux pourboire que quelqu'un voulait recevoir. Vous serez une prière aujourd'hui. Vous serez une faveur aujourd'hui. Vous prendrez quelque chose qui n'allait nulle part et en ferez quelque chose de bien.

Vous ne vous attarderez pas à ce qui ne va pas dans votre vie. Vous ne vous plaindrez pas. Il n'y aura pas de crise, pas de drame ni de victimes aujourd'hui. Il n'y aura pas de tristesse, pas de mélancolie et pas d'air sinistre. Aujourd'hui, vous serez la bonne nouvelle !

Vous allez avoir quelque chose de bon à dire, quelque chose de bon à donner, quelque chose de bon à faire à quelqu'un. Aujourd'hui, vous allez réaliser que puisque vous êtes la bonne nouvelle, vous ne pouvez que profiter de ce que vous êtes.

Auteure : Iyanla Vansant, Recueil : Jusqu'à aujourd'hui

 

 

Aujourd’hui, vous êtes la bonne nouvelle!*

 

Aujourd’hui, vous êtes la bonne nouvelle!*

Que de sagesse dans le texte de cette image...

 

Aujourd’hui, vous êtes la bonne nouvelle!*
Aujourd’hui, vous êtes la bonne nouvelle!*

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18 février 2016 4 18 /02 /février /2016 18:00

Bien que nous sachions que ce soit utopique, nous souhaitons tous vivre une vie heureuse, sans problèmes et sans souffrances.

Pourtant, c’est souvent nous-mêmes qui alimentons inconsciemment certaines des souffrances que nous éprouvons. Nous ne le faisons pas intentionnellement, bien sûr, mais nous sommes trop souvent esclaves de nos émotions comme la résistance, la colère, la haine, la rancune, la jalousie, la peur, le jugement, la fermeture, et les autres interprétations erronées que l’on se fait à propos des gens et des événements.

En fait, c’est souvent notre résistance à accepter la réalité qui crée notre souffrance. Ainsi, face à cette prémisse, nous avons parfois envie de répondre que notre cas est pire, que ce n’est pas nous qui nous faisons souffrir, que l’enfer c’est les autres, que personne ne nous comprend… On résiste de toutes nos forces à ce qui nous fait mal, à ce qui nous dérange. On juge, on critique, on refuse d’accepter les aléas de la vie s’ils sont contraires à nos attentes. Pourtant, on s’épargnerait bien des souffrances si on acceptait dès maintenant le fait que tout ce qu’on désire n’est pas nécessairement fait pour nous et que tout ce qui nous arrive est précisément ce dont nous avons besoin !

Nous croyons faussement qu’une vie heureuse est une vie sans problèmes et sans souffrances.

Et pourtant, ceux-ci font partie de la Vie au même titre que la joie et les petits bonheurs : les uns ne vont pas sans les autres. Alors pourquoi résister de toutes nos forces face aux événements qui surviennent? La Vie est une suite de joies et de peines. C’est déprimant? Non, c’est la réalité! Plus tôt dans la vie nous acceptons ce fait, plus tôt nous devenons sereins face aux événements de la Vie.

Notre force se développe en faisant face aux événements difficiles, aux résistances, aux déceptions; elle nous indique aussi quel sera notre niveau de bonheur dans la vie.

Rien ne dure de manière permanente. Tout passe. Alors, apprécions les joies, apprenons des difficultés. Construisons ainsi notre bonheur. Le Bonheur n’arrive pas un jour soudainement dans notre vie: il se construit chaque instant par nos pensées et nos réactions.


Accepter ce qui est, composer avec la réalité, la modifier lorsque c’est possible, changer soi-même pour être plus heureux; c’est ça le secret du bonheur!

 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

 

Nos résistances*

Je vous ai souvent parlé de la puissance de la bénédiction (voir ma page). Pierre Pradervant a eu la bonne idée de faire une version audio du merveilleux texte qu'il a écrit il y a plusieurs années. Quelle belle façon de débuter la journée! 

Nos résistances*

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Nos résistances*
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25 novembre 2015 3 25 /11 /novembre /2015 12:10

 


Sachant qu’il n’est pas approprié de prendre la souffrance d’autrui sur nos épaules puisque, ce faisant, non seulement nous ne lui enlèverons pas le mal qu’il porte, mais même, nous pourrions le détourner de ses propres ressources intérieures, comment devons-nous réagir face à une ou des personnes qui souffrent ?

La meilleure attitude à adopter est simplement de demeurer centrés. Si donner notre pouvoir à l’autre n’est d’aucune utilité, alors donnons-lui l’exemple. En demeurant nous-mêmes en équilibre, en ne tombant pas dans les mécanismes de domination ou encore dans nos propres émotions, nous offrons un point d’ancrage à la personne qui souffre. Simplement en nous regardant, elle perçoit que les choses pourraient être autrement.

En nous impliquant émotionnellement avec l’autre, nous risquons de l’amener à ressasser ses pensées et sa douleur, tandis qu’en demeurant détachés, nous l’invitons à « décrocher » elle aussi. En demeurant disponible, mais la tête froide, nous aidons grandement nos proches à se sortir de leurs malaises.

Dans tous les cas, il s’agit d’imposer une distance émotionnelle, pas complète, mais du moins raisonnable. Ce n’est pas facile. En tant que mère, je peux vous le dire ! Cependant, j’ai fini par réaliser que souffrir avec mes enfants ne donnait rien de plus que de me vider de mon énergie, moi aussi.

Il y a une différence entre l’empathie et la sympathie. Vous pouvez compatir à la situation que vit un proche, mais lorsque vous en venez à partager ses émotions, vous ne lui êtes plus d’aucune aide.

Je l’ai appris à mes dépens, tant comme thérapeute que comme mère. Afin de vous aider à prendre du recul face à la souffrance de gens qui vous entourent, vous pouvez lire (et relire) le petit « mémo » qui suit. Il vous rappellera le potentiel de ceux que vous aimez, tout comme le vôtre dans les moments difficiles…

« J’ai foi en toi ! Peu importe les problèmes que tu traverses actuellement, tu sais que ce n’est qu’une étape de plus dans ton long cheminement de vie. Jusqu’à maintenant, tu as toujours réussi à relever avec brio tous les défis qui se sont présentés. La preuve : tu es encore debout sur tes pieds ! Tu as toujours su trouver les bonnes solutions, la bonne façon de t’en sortir et de remporter la victoire ! Je suis convaincu que, cette fois-ci encore, tu sauras puiser en toi les ressources qui te permettront de retrouver la sérénité et la paix du cœur.

Tu as tant à offrir ! Choisis de dévoiler au monde cette belle lumière qui t’habite : tes talents cachés, cette force inépuisable qui te caractérise, cette manière différente de voir les choses… pour enfin te révéler dans toute ta splendeur ! Tu es un être magnifique, majestueux et exceptionnel ! Aie foi en toi-même, tout comme moi je crois en ton potentiel. Mon amour et mes bénédictions t’accompagnent, peu importe le choix que tu feras… car je sais que tout est parfait ici et maintenant ! »

 

Auteure : Diane LeBlanc ©
Chronique trouvée sur lapressegalactique.org

 

Choisir de donner l'exemple*
Choisir de donner l'exemple*
Choisir de donner l'exemple*

Ci-dessous, une vidéo « coup de coeur ». Récemment, je l'ai visionnée avec mes petits-enfants et j'ai pu engager une conversation vraiment intéressante avec eux. Grosso modo, l'auteure y présente les 4 accord toltèques mais dans un langage et un style parfaitement adaptés pour les enfants.

Juste en-dessous, le lien vers la page de mon site créée à ce sujet il y a de cela quelques années. Je vous invite à la revoir à nouveau.

 

Choisir de donner l'exemple*
Choisir de donner l'exemple*

Choisir de donner l'exemple*
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12 novembre 2015 4 12 /11 /novembre /2015 11:00

 

La seule fois où nous souffrons est quand nous croyons une pensée qui est en conflit avec ce qui est. Quand l'esprit est parfaitement clair, ce qui est, est ce que nous voulons.

Si vous voulez que la réalité diffère de ce qu'elle est, vous pourriez aussi bien apprendre à aboyer à un chat. Vous pouvez essayer et essayer encore, au bout du compte le chat vous regardera et vous dira « Miaou ». Vouloir que la réalité soit différente de ce qu'elle est, est sans espoir. Vous pouvez passer le reste de votre vie à tenter d'apprendre à aboyer à un chat.

Et pourtant, si vous y prenez garde, vous remarquerez que vous avez de telles pensées des dizaines de fois par jour.
« Les gens devraient être plus aimables. » « Les enfants doivent être bien élevés. » « Mes voisins devraient mieux entretenir leur pelouse. » « La queue à l'épicerie devrait diminuer plus vite. » « Mon mari (ou ma femme) doit être d'accord avec moi. » « Je dois être plus mince (ou plus jolie, ou avoir plus de succès). » Ces pensées sont des façons de vouloir que la réalité soit différente de ce qu'elle est. Si vous trouvez que cela semble déprimant, vous avez raison. Tout le stress que nous ressentons est causé par ce conflit avec ce qui est.

Après m'être réveillée à la réalité en 1986, les gens ont souvent parlé de moi comme la femme s'étant prise d'amitié avec le vent. Barstow est une ville désertique où le vent souffle le plus souvent, et tout le monde détestait cela, les gens déménageaient même de là, car ils ne pouvaient pas supporter le vent. La raison pour laquelle j'ai fait du vent mon ami — et de la réalité — est que j'ai découvert que je n'avais pas le choix. J'ai réalisé la folie que de s'y opposer. Quand je me dispute avec la réalité, je perds — mais seulement 100% du temps. Comment puis-je savoir que le vent devrait souffler ? Il est en train de souffler !


Je suis une amoureuse de ce qui est, non pas parce que je suis une personne spirituelle, mais parce que ça fait mal quand je me débats avec la réalité. Nous pouvons savoir que la réalité est bonne juste comme elle est, parce que lorsque nous nous disputons avec elle, nous expérimentons de la tension et de la frustration. Nous ne nous sentons pas naturels ou équilibrés. Quand nous cessons de nous opposer à la réalité, l'action devient simple, fluide, bienveillante et dénuée de toute peur.
 

 

Byron Katie, auteure internationale
Extrait du livre : Aimer ce qui est : Quatre questions qui peuvent changer votre vie

 

Quand vos pensées sont en conflit avec la réalité*

J'ai reçu cet article en étant abonnée au site ci-dessous. Si vous désirez recevoir des textes provenant des plus grands auteurs spirituels de notre temps (Eckart Tolle, Wayne Dyer, Deepak Chopra, etc.), inscrivez-vous à leur newsletter.

 

Quand vos pensées sont en conflit avec la réalité*

Le secret du bonheur selon Richard Gere

 

Il existe un exercice puissant, assez simple, que j’ai commencé à utiliser il y a de nombreuses années.

Lorsque sur mon chemin, je rencontre soit une personne, un animal ou même un insecte, la première pensée qui me vient est :
« Je vous souhaite le bonheur »  « Je te souhaite du bonheur. » Cela change complètement ce qui se passe entre vous et cette personne. Je dis cela par expérience personnelle.

Quand vous rencontrez un ennemi, quand vous vous trouvez face à une situation difficile inattendue, cela est difficile, très difficile. Et à ce stade, vous voyez comment cette émotion négative apparaît... Avant qu’elle n’envahisse votre être entier, vous avez le temps de la changer… Vous verrez les choses telles qu’elles sont, soit quelqu’un dans l’ignorance, la colère… mais pas vous ! Laissez l’amour transformer votre vis-à-vis.


« JE TE SOUHAITE DU BONHEUR ! »

Quand vos pensées sont en conflit avec la réalité*
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5 novembre 2015 4 05 /11 /novembre /2015 11:52

 

Prenez, chaque matin, la résolution de tirer le meilleur parti de ce jour-là, non pas de quelque autre jour alors que vous vous porterez mieux, que vous aurez une famille, ou que vos enfants seront élevés, ou que vous aurez surmonté toutes vos difficultés. Vous ne les surmonterez jamais toutes. Vous ne pourrez jamais éliminer toutes les choses qui vous ennuient, vous troublent, et créent des frottements dans votre vie. Vous ne serez jamais débarrassé de tous les petits ennemis de votre bonheur, des 1001 désagréments de l’existence, mais vous pourrez tirer le meilleur parti des choses telles qu’elles sont.

Ce qui fait que nos vies sont si mesquines et si peu productives, c’est que nous ne vivons pas dans le moment présent ; nous ne concentrons pas nos énergies, nos ambitions, notre attention, notre enthousiasme sur le moment actuel.

Soyez fermement résolu à jouir du jour d’aujourd’hui, et ne permettez pas aux soucis et aux appréhensions du lendemain de venir vous dérober ce qui vous appartient aujourd’hui : votre droit inaliénable est d’être heureux aujourd’hui.

Ayez un dialogue intime avec vous-même chaque matin, et dites-vous :
« Peu importe ce qui m’arrivera ou ne m’arrivera pas aujourd’hui, il y a une chose dont je suis sûr : c’est que je veux tirer le meilleur parti de cette journée. Je ne permettrai pas que quoi que ce soit vienne me dérober mon bonheur ; j’ai le droit de vivre vraiment pendant cette journée, et non pas seulement d’exister.

« Peu m’importe ce qui surviendra, je ne permettrai pas aux ennuis, aux difficultés qui pourront entraver mon chemin, de me priver de ma paix et de mon repos d’esprit. Quoi qu’il arrive, je ne veux pas être malheureux aujourd’hui. Je veux vivre et jouir complètement de ce jour.

« Je ne permettrai pas aux ennemis de mon bonheur de venir le ternir. Aucun des malheurs du passé, rien de ce qui m’est arrivé de désagréable ou de tragique ne pénétrera dans mon esprit. Seules, les bonnes pensées, la joie, les amis de mon bonheur, de ma paix, de mon succès, pourront trouver accès dans mon âme aujourd’hui.

« Je détruirai les vilains tableaux que les ennemis de mon bonheur ont suspendus aux murailles de mon esprit, et je les remplacerai par des peintures de choses qui encouragent, qui réjouissent et qui augmentent l’énergie. Tout ce qui m’a entravé et m’a rendu malheureux sera exclu. Et quand le soir viendra, je pourrai dire : J’ai vécu aujourd’hui. »


Cette orientation nouvelle, optimiste, renouvelée chaque matin, changera rapidement notre manière de concevoir la vie et accroîtra beaucoup notre énergie. Il s’agit de maîtriser notre cerveau, de former de nouvelles associations de pensées, pour préparer ainsi la voie à une nouvelle conception du bonheur.

 

Auteur : Orison Swett Marden
Extrait du ebook offert ci-dessous, pp. 12-13-14

 

Si vous ne trouvez pas le bonheur en vous-même, vous ne le trouverez jamais.

Vivez dans le moment présent*

Pour imprimer le texte ci-dessus, cliquez sur le premier trombone.

Pour imprimer le eBook complet (20 pages), cliquez sur le deuxième fichier.

 

Ebook de 20 pages : Vivons dans le moment présent - Orison Swett Marden

Vivez dans le moment présent*
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15 octobre 2015 4 15 /10 /octobre /2015 12:28

 

Du plus profond de moi-même, je rends grâce pour l’amour que je suis. Pour l’amour qui est dans ma vie et pour l’amour qui m’entoure, Merci!

Merci pour le miracle de vie que je suis. Pour le merveilleux cadeau de la vie qui m’habite et qui m’entoure,
Merci!

Merci pour ce corps parfait. Pour ma santé et pour mon bien-être, Merci!

Merci pour l’abondance que je suis. Merci pour l’abondance que je vois tout autour de moi. Merci pour toutes ces richesses. Pour la richesse de ma vie, Merci!

Merci pour le flot d’argent qui se dirige vers moi et qui s’écoule à travers moi.

Pour l’aventure de ma vie et les myriades de merveilleuses possibilités et probabilités qui s’offrent à moi, Merci!


Merci pour l’émerveillement, Merci pour la joie, Merci pour la beauté et l’harmonie, Merci pour la paix et la tranquillité, Merci pour les rires et Merci pour les divertissements.

Et
Merci pour le privilège de servir et de partager le cadeau que je suis, Merci! Merci! Merci!

Merci, Merci et Merci encore pour cette vie magnifique où j’ai la possibilité de me développer et de croître au plus haut degré de perfection dans la grâce et l’aisance, la paix, l’amour et la lumière. Merci la vie!

 

Source : Dr Randall Robirds (traduit par Sophie Merle)

 

Croyez-moi, les bienfaits que vous obtiendrez de la lecture de ce texte vous surprendront autant qu’ils vous raviront. Vous aurez la preuve formelle de ce qu’une dose de gratitude peut faire pour améliorer votre vie!

Sophie Merle

Action de grâces*
Action de grâces*
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30 septembre 2015 3 30 /09 /septembre /2015 14:17

Chacun a le pouvoir de rendre le monde plus doux et moins violent. Comment ? En redécouvrant les vertus de la gentillesse !

Il est frappant de constater à quel point cette qualité de cœur essentielle est dépréciée, parfois même méprisée. Par quelle étrange malice, l’attribue-t-on à de la faiblesse, voire de la bêtise ? Pourtant, qui ne se souvient pas d’une parole gentille venue à point nommé nous réconforter ? D’une main tendue qui nous a secourus au cœur de l’adversité ? D’un regard compatissant qui nous réchauffe le cœur ? Et pour cause !

La gentillesse est un rempart contre l’indifférence et l’égoïsme. Il est donc temps de lui redonner ses lettres de noblesse et de la pratiquer tous les jours. Il est temps de déposer les armes. Car la gentillesse est toute simple : elle se niche dans un sourire, une attention aux autres, un regard indulgent, dans notre capacité à lâcher prise et à pardonner. Quand nous sommes plus doux et plus gentils, tout change et s’adoucit comme par enchantement.

 

– Catherine Rambert, Petite philosophie de la gentillesse

Le plus grand réconfort de ma vieillesse, et qui m'apporte la plus grande satisfaction, c'est le souvenir agréable de tous les bienfaits et services amicaux
que j'ai donnés aux autres.

Caton

La gentillesse*
La gentillesse*
La gentillesse*
La gentillesse*
La gentillesse*

Reflet des temps modernes...

La gentillesse*
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16 septembre 2015 3 16 /09 /septembre /2015 08:45

 

 

La vie véritable est faite de « maintenant ». Elle n’est pas faite d'« hier » disparus et de lendemains incertains. Ce que nous avons est comparable à l’argile dans les mains d’un sculpteur ou à une once d’or dans celles d’un joaillier. À partir de cela, nous pouvons créer ce que nous voulons.

 

En ce moment, que faisons-nous du temps que nous avons? Pensons-nous à autre chose? Sommes-nous en train d’élaborer des opinions sur les gens assis à nos côtés ou sur la personne qui nous parle?

 

Sommes-nous occupés à rendre notre vie parfaite, à nous enrichir, à nous élever, à nous rapprocher du divin, et à nous éveiller à l’intérieur de nous-même, nous déployant et brillant de cette lumière redécouverte? Que sommes-nous en train de faire en ce moment?

 

Cet instant, cette idée, cette parole, ce fait, cette vérité sont la vérité la plus incroyable de la vie. La vie est faite de cet instant et de cet instant seulement, non d'« hier » morts et de lendemains à venir.

 

Votre vie, à chacun d’entre vous, n’est pas même aujourd’hui, elle est cet instant. Cet instant est ce que nous avons réellement. Les autres aspects du temps sont ce que vous imaginez avoir. Les autres aspects du temps sont présents dans votre esprit en tant qu’idées et concepts et ce sont des idées extrêmement trompeuses.

 

Si vous faites de cet instant tout ce qu’il doit être, il apportera une amélioration à l’instant suivant. Si vous êtes déjà enrichi par cet instant, le suivant, qui sera fondé sur lui, sera plus haut d’une nuance : chaque instant peut être une marche ascendante. Chaque instant devrait être une manifestation d’une lumière plus brillante provenant de votre être intérieur.

 

– Swami Chidananda

Instant par instant*
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19 juin 2015 5 19 /06 /juin /2015 13:10

 

Une des plus grandes preuves d’amour que nous puissions avoir envers autrui, c’est de le laisser faire ses propres erreurs.

Qu’il est difficile parfois de voir ceux qu’on aime faire des choix qui semblent aller à l’encontre de leur bien-être. Que d’amour devons-nous déployer pour les laisser apprendre leurs propres leçons.

Contrairement à ce que nous avons tendance à croire, nous ne savons pas ce qui est bon pour l’autre. Peut-être a-t-il besoin de vivre des expériences difficiles pour se renforcer et devenir ainsi plus solide face aux évènements de sa vie. Peut-être a-t-il besoin de se prouver ce dont il est capable. Peut-être doit-il aller jusqu’à subir les inconvénients d’une vie qui ne lui convient pas pour apprendre à mieux se connaître et à savoir ce qu’il veut vraiment pour lui-même. Bien des gens se décident à changer vraiment seulement quand ils touchent le fond. Notre amour inconditionnel peut alors les aider à se relever et à ramasser leurs morceaux. Mais le changement permanent provient de l’intérieur de chacun et ça, nous ne pouvons pas le leur donner.

Quand ceux qu’on aime semblent faire des choix qui nous inquiètent, le mieux que nous puissions faire est de les aimer inconditionnellement. De donner notre avis s’il est sollicité mais de ne pas forcer d’autres choix qui nous conviennent, à nous. Aimons-les assez pour les laisser faire leurs propres apprentissages, même si nous sommes déjà passés par là : notre leçon n’est pas nécessairement la leur.

Chacun a besoin de ses propres jalons pour avancer sur son propre chemin : laissons-les poser eux-mêmes les marches de leur évolution personnelle.

C’est leur Vie, pas la nôtre.


 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

Suivez-la sur : Facebook ou encore via le site : La solution est en vous

Procurez-vous son merveilleux livre : Apprendre à s'aimer, un jour à la fois (366 réflexions quotidiennes). Offert en version papier ou électronique.

Pour commander : Europe : Amazon.fr et Canada : Amazon.ca

Une grande preuve d'amour*

« Il y a des moments où, malgré notre désir de venir en en aide à une personne en particulier, nous ne pouvons rien faire. Ou bien les circonstances ne nous permettent pas de l'approcher, ou bien la personne est fermée à tout geste de solidarité et de soutien.

Le maître dit : « II nous reste l'amour. Dans les moments où tout le reste est inutile, nous pouvons encore aimer, sans attendre de récompense, de changement, de remerciements. Si nous parvenons à agir ainsi, l'énergie de l'amour commence à transformer l'univers qui nous entoure. Lorsque cette énergie apparaît, elle fait toujours son travail. »

PAULO COELHO

 

Une grande preuve d'amour*

Ci-dessous, un lien qui mène vers un article écrit par Marie-Pier Charron. Quelle auteure inspirée et inspirante que cette femme! Elle nous suggère une façon d'agir et de penser lorsque nous nous sentons impuissants devant une situation. Voici un court extrait :


« Dans l’autre situation, une personne proche de moi vivait de grandes difficultés. Non, je ne pouvais pas prendre sa vie en charge. Non, je ne pouvais pas prendre les décisions qu’elle ne prenait pas. Je ne pouvais pas encaisser les coups pour elle, non plus. Cela dit, voici ce que personne ne pouvait m’empêcher de faire : je pouvais lui transmettre de l’amour et de l’énergie à distance. Et dès que j’en ai pris conscience, j’ai remplacé mon sentiment d’impuissance par des pratiques spirituelles. J’ai commencé à méditer pour elle chaque matin, ainsi que le soir. Je l’enveloppais de lumière et de belles énergies, en suivant diverses techniques apprises et improvisées. C’était délicieux, et j’en ressortais avec le sentiment profond de l’avoir vraiment aidée. »

 

Une grande preuve d'amour*

Vidéo : Aimer la main ouverte

 

Cette vidéo n'est pas nouvelle mais elle complète trop bien le texte présenté ci-haut.

 

Pour la version diaporama (.pps), cliquez ici.

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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