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Avez-vous déjà vécu une situation où vous avez préféré conserver votre peine plutôt que de ressentir le poids du vide ? Ce vide qui semble plus insoutenable encore que la douleur elle-même... Parfois, nous nous accrochons à notre chagrin, comme si cette souffrance était la seule manière de maintenir un lien avec ce que nous avons perdu. Continuer de pleurer sur notre perte semble être une forme de résistance à la réalité, une manière de retarder la séparation définitive.
Il est difficile de lâcher prise, surtout lorsqu’on a l’impression que cette peine est tout ce qui nous reste de l’objet de notre chagrin. La souffrance nous rappelle ce qui n’est plus là, mais paradoxalement, elle nous garde également dans l’illusion que la personne, la situation ou le rêve perdu est toujours à portée de main. On se convainc, parfois sans même en être conscient, que si nous cessons de pleurer, cela signifiera qu’on a oublié, que ce qui comptait tant pour nous n’avait pas vraiment de valeur.
Mais, en nous accrochant à cette douleur, nous risquons de rester enfermés dans le passé, empêchés de vivre pleinement dans le présent. Le véritable défi réside dans la capacité à honorer ce que nous avons perdu, sans être prisonnier de la souffrance. Le processus de guérison commence quand nous acceptons de faire de la place au vide, non pas comme un vide à combler, mais comme un espace pour accueillir de nouvelles expériences, de nouvelles formes d’amour et de croissance.
Et si, au lieu de pleurer sur ce qui n’est plus, nous choisissions de vivre avec ce vide, en sachant que celui-ci fait aussi partie de notre chemin vers la paix et la résilience ?
© Nicole Charest
Souvent, nous refusons de laisser partir notre peine, comme si continuer de pleurer sur notre perte ramènerait l’objet de notre chagrin, ou comme si arrêter de la pleurer signifiait qu’elle n’avait pas d’importance.
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UN MOMENT DE GRATITUDE
la gratitude envers soi-même : « Cette semaine, faites une pause pour reconnaître vos propres efforts. Était-ce un défi que vous avez relevé, une décision courageuse que vous avez prise ou simplement un jour où vous avez fait de votre mieux ? Ces gestes, même discrets, méritent votre gratitude. Et si vous choisissiez aujourd’hui de vous remercier avec indulgence et bienveillance, en honorant votre persévérance et votre cœur ? »
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Avez-vous déjà remarqué que nous avons souvent tendance à généraliser une déception à tout ce qui l’entoure ? Lorsque quelque chose nous blesse, il est facile de laisser ce sentiment s’étendre à d’autres aspects de notre vie. Pourtant, chaque moment porte sa propre vérité et mérite d’être accueilli avec un regard neuf. En choisissant de ne pas réduire l’avenir à une expérience passée, nous nous offrons une chance de réapprendre à aimer, à rêver et à espérer.
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