La vie est comme un voyage dans un train : on monte et on descend; il y a des arrêts, des imprévus, des retards, des pannes, des accidents, …
Quand on naît et qu'on monte dans le train, nous rencontrons des personnes qui, croyons-nous, resteront avec nous pendant tout le voyage : ce sont nos parents. Malheureusement la vérité est toute autre car il arrive qu’ils descendent dans une gare plus rapprochée, sans nous prévenir de cette sortie subite…
Il y a d'autres personnes qui montent à bord et dont la présence sera déterminante : ce sont nos frères et nos sœurs, nos amis, nos proches. Quand certaines d’entre elles descendent, elles laissent en nous une nostalgie pour toujours.
D'autres montent et descendent tout de suite. C’est à peine si nous avons le temps de les croiser et de les connaître. Et d’autres qui, épuisés par le voyage, veulent prématurément sortir du train...
Parfois, on s’étonne de voir que certains passagers que nous aimons, s'assoient dans un autre wagon. Ils nous laissent voyager seul et ce, même s’ils savent que nous les cherchons partout dans le train. Et quand nous les retrouvons, la place à côté d’eux est déjà prise…
Le grand mystère du voyage est que nous ne connaissons pas le moment où nous descendrons du train pour toujours, pas plus que nous ne connaissons celui de nos compagnons de voyage ou même, de celui qui est assis juste à côté de nous.
Essayons donc de faire le plus beau voyage possible, de partager nos différentes découvertes, d’égayer mutuellement notre trajet et surtout, de nous entraider quand nos bagages deviennent trop lourds…
Pour ma part, quand je quitterai ce grand train de la vie, oui, je serai triste. Par contre, je serai en paix car j’aurai fait mon possible pour être un bon compagnon de voyage...
Chaque personne que je rencontre, c'est Dieu habillé d'une façon différente.
Comment reconnaître la nuit du jour?
Un professeur demande à ses étudiants : « Comment reconnaître le moment où la nuit s'achève et le jour se lève?
— Lorsque l'on peut distinguer un mouton d'un loup, répondit un étudiant.
— Non, ce n'est pas la réponse, dit le professeur.
— Quand on peut faire la différence entre un figuier et un olivier, suggéra un autre.
— Non, ce n'est pas la réponse, dit le rabbin.
— Alors comment, demandèrent les étudiants en chœur?
— Au moment où, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin. »
La blague du blog Toto va voir sa maman : — Maman, Maman... je me suis fait mal ! — Où ça ? — Là-bas !
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