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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 17:00

C1 tome-2


                               
« Modération, calme et bonne humeur ferment la porte au nez du docteur. »

Connaissiez-vous ce dicton?

Malheureusement, ce n'est pas aussi simple et en dépit de la modération, du calme et de la bonne humeur, il arrive fréquemment que nous ayons à consulter le médecin.

Néanmoins, ces trois états d'esprit assemblés diminuent considérablement nos risques de tomber malade.

Qui ne fatigue pas son cœur et tout son organisme en abusant, ou du plaisir ou du travail, en négligeant de se reposer et en s'imposant une certaine discipline de vie?

Qui n'épuise pas ses nerfs en tournant tout au tragique, en ne voulant rien accepter qui lui déplaise et en refusant de goûter, au moins quelques minutes de temps à autre, les bienfaits du silence et de l'isolement?

Qui ne se sent pas malheureux et ne fait pas de malheureux autour de lui en grognant et en protestant constamment?

Modération, calme et bonne humeur constituent trois atouts précieux dans le jeu de la vie : ils nous rendent l’existence plus agréable.

Source : Charest, Nicole, Petites douceurs pour le cœur, p. 68

 

N’abusons de rien. Sauf de la modération.

Jean Dion

Trois atouts*
Trois atouts*

La chose la plus utile que vous puissiez faire lorsque vous faites face à une épreuve, c’est de conserver une attitude positive. Il y a toujours quelque chose de bien dans toutes les circonstances, même si vous ne pouvez le voir immédiatement.

 

En gardant la foi, vous élevez l’énergie de tous ceux qui vous entourent, de même que la situation elle-même. Un état d’esprit positif permet au corps de se détendre, ce qui, en retour, vous permet de réfléchir clairement et de faire preuve de créativité pendant les moments plus difficiles. En voyant les choses avec optimisme, vous inspirez les autres, et cela peut empêcher l’énergie d’entrer dans le cycle d’une spirale descendante. Veillez à demeurer optimiste aujourd’hui, peu importe la situation.

 

— Virtue, Doreen. Oracles des anges, p. 227

Trois atouts*

La blague du blog

Un vampire, couvert de sang, revient en zigzagant à sa grotte et se pose (ou plutôt se pend) pour piquer un somme. Mais les autres souris, réveillées par l'odeur du sang, le harcèlent pour savoir où il en a tant trouvé.
– Non ! Laissez-moi dormir ! Gémit le vampire ensanglanté.
– Si ! Si ! Dis-nous, dis-nous où tu as eu tout ce sang ! Hurlent les autres vampires.

Finalement la chauve-souris vampire ensanglantée cède et dit aux autres de la suivre. Après dix minutes de vol silencieux dans la nuit noire, ils plongent dans une vallée, puis dans une forêt. Et à l'entrée d'une clairière, le vampire ensanglanté dit :
– On y est ! Vous voyez cet arbre là-bas ?
– Oui ! Piaillent les autres, la salive à la bouche.
– Eh ben moi, je ne l’avais pas vu...

 

 

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 17:00

C1 tome-2



Avez-vous remarqué qu’on parle généralement du bonheur au passé ou au futur, mais rarement au présent?

 

Il suffit que nous jetions un regard sur notre enfance, sur notre jeunesse, sur nos premières années de vie conjugale, enfin sur ce qui n’est plus, pour que nous fassions l’aveu que nous avons déjà été heureux, que nous avons même connu des moments de grand bonheur.

 

Et quand nous songeons à l’avenir, c’est généralement pour édifier l’espoir d’autres bonheurs, des bonheurs différents, mais plus grands si possible que ceux déjà goûtés. Car, au fond, nous croyons toujours ne pas avoir obtenu de la vie notre part légitime de bonheur. Nous en exigeons beaucoup plus.

 

Le présent? Il ne signifie pour nous que déboires, malheurs, fatigues, ennuis et tout ce que l’on voudra, sauf le bonheur. Il existe le bonheur, mais seulement chez les autres, chez les gens d’en face, par exemple, ou encore chez le voisin d’à côté. Un vrai paradis sur terre pour certains, tandis que nous…

 

Tandis que nous, aveuglés par notre égoïsme, nous refusons de reconnaître le bonheur qui nous échoit quotidiennement. Si seulement nous nous donnions la peine de ne pas augmenter l’importance ou la gravité des petits chagrins, des petites souffrances ou des petites contrariétés enveloppant toujours le vrai bonheur…

 

Si, un matin, nous nous croyons vraiment malheureux, allons donc jeter un coup d’œil dans les salles d’urgence ou de consultations externes des hôpitaux.

 

Pour quelques instants, mettons-nous dans la peau de ceux qui attendent pour subir une intervention chirurgicale dont l’issue reste douteuse. Pour quelques instants, pensons au sort des personnes handicapées, de ceux qui ne peuvent se déplacer qu’assis dans un fauteuil roulant. Peut-être admettrons-nous alors que nous sommes heureux, que nous sommes même favorisés.

 

Source : Petites douceurs pour le cœur, tome 2, p. 94 

 

Heureuse est la personne qui sait quoi se rappeler du passé, quoi apprécier du présent, et quoi planifier pour l’avenir. 

Arnold H. Glasgow

Le passé plus que parfait*
Le passé plus que parfait*

Lecture complémentaire

 

Vous vous rappelez certaines situations problématiques que vous avez confiées à l'intelligence universelle? Vous aviez essayé plusieurs solutions qui ont eu plus ou moins de résultats et, un jour, vous avez admis que vous ne saviez plus quoi faire. Vous avez confié le problème à l'intelligence de l'univers. Vous avez connu une certaine paix intérieure puisque vous ne vous sentiez plus entièrement responsable de la situation. Pourtant, votre problème était toujours là.

 

Et puis, au moment où vous ne vous y attendiez plus, voilà que les événements ont pris une tournure favorable. Puisque vous lui en avez donné la chance, l'univers vous a guidé vers la solution idéale. Quand ce merveilleux moment arrive, vous rendez-vous compte à quel point votre foi dans les forces positives qui vous habitent est renforcée? Et avez-vous pensé à manifester votre gratitude pour la recette toute simple et infaillible que vous avez mise en œuvre?

 

Source : Un jour à la fois, Tome III

Le passé plus que parfait*

La blague du blog

Un instituteur fait remarquer à un de ses élèves : « C’est très curieux mais, sur ce devoir de mathématiques, il me semble reconnaître l’écriture de ton père.

– Ça ? Fait le gamin, ce n’est pas étonnant, je me suis servi de son stylo! »

 

 

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20 juillet 2011 3 20 /07 /juillet /2011 17:00

bonété 2a

 

Chaque existence a sa propre histoire. Nous donnons tous une signification aux événements qui marquent notre vie, et nous décidons ensuite d’être heureux ou malheureux selon le sens positif ou négatif donné à ces expériences. Ce que beaucoup de gens ignorent, pourtant, c’est qu’ils sont libres de choisir le sens sous lequel ils interprètent chacune des expériences de leur vie.

 

Vous conférez constamment un sens aux événements que vous vivez, alors pourquoi ne pas choisir une signification positive et fortifiante, un sens qui n’engendre pas de stress ou d’angoisse?

 

Supposons que quelqu’un klaxonne et vous coupe la voie dans le trafic, vous pouvez penser que ce conducteur est un rustre égoïste ou que vous avez fait une fausse manœuvre. Mais vous pouvez aussi croire qu’aucune raison ne justifie son comportement ou encore imaginer qu’il vient d’apprendre que sa femme se prépare à accoucher et qu’il veut se rendre à l’hôpital à temps. Vous pouvez être mécontent et en colère ou bien éprouver de la compassion pour cet homme.

 

Puisqu’il vous est impossible d’interpréter ses motivations réelles, attribuez donc à ses gestes une signification qui ne vous portera aucun préjudice. Et donnez des significations à votre vie qui ne vous aliéneront pas!

– Source : Le coaching de l'âme - Denise Linn, p. 102

 

Si nous ne pouvons rien sur les événements, nous pouvons les modifier par la manière dont nous les acceptons.

Alfred Capus

Interpréter les événements*
Interpréter les événements*

La blague du blogue 
           
« Théo, tu as mangé tous les gâteaux sans penser à nous ! Tu aurais pu nous en laisser!

– Oh, au contraire, je n’ai cessé de penser à vous en les mangeant : j’avais trop peur de vous voir arriver ! »

 

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25 mai 2011 3 25 /05 /mai /2011 17:00

 

 

 

Tout pour fuir le moment présent. La société moderne a institué un culte de cette fuite. Nous attendons la fin de semaine avec impatience : sans doute que le plaisir sera au rendez-vous.

 

Notre enfance, quels regrets ! Si au moins nous étions né riche. Et nous imaginons que nous gagnerons à la loterie. Nos difficultés financières disparaîtront comme par enchantement. Et dans une semaine, nous aurons oublié ce qui nous inquiète tant aujourd'hui.

 

Arrêtons-nous un peu, prenons le temps de respirer. Considérons les beautés qui nous entourent. Une à une, dans le détail.

 

Nous avons tendance à n'apprécier la santé qu'après une douloureuse maladie. Apprécions ce corps pour ce qu'il a de beau et de bon aujourd'hui.

 

Soulignons davantage dans notre vie les possibilités de réalisation qui nous sont offertes maintenant, qui sont à la portée de notre main. En nous appliquant consciencieusement à réaliser le plein potentiel de cette journée, nous augmentons réellement la beauté de toutes celles qui viendront ensuite.

 

Ne les vivons donc pas par anticipation, elles seront bien meilleures quand nous aurons totalement révélé ce que doit être celle qui est maintenant en cours.

 

– Source : Patrick Gauthier, Réflexions sur le bonheur, p. 102

 

Nous oublions souvent de sentir la magie du moment présent et pourtant, c'est elle qui bâtit le scénario de notre vie.

Michel Bouthot

Ici et maintenant*
Ici et maintenant*

La blague du blogue

 

Une très belle femme frappe à la porte de son voisin et lui dit :

J'ai une envie folle de m'amuser, de me saouler et de faire la fête toute la nuit... Êtes-vous occupé ce soir?

Non! répond le voisin, tout heureux!

Alors, vous pouvez garder mon chien??? »

 

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15 décembre 2010 3 15 /12 /décembre /2010 18:01

 

 

Je continuerai à croire, même si tout le monde perd espoir.

Je continuerai à aimer, même si les autres distillent la haine.

Je continuerai à construire, même si les autres détruisent.

Je continuerai à parler de paix, même au milieu d’une guerre.

Je continuerai à illuminer, même au milieu de l’obscurité.

Je continuerai à semer, même si les autres piétinent la récolte.

Et je continuerai à crier, même si les autres se taisent.

Et je dessinerai des sourires sur des visages en larmes.

Et j’apporterai le soulagement, quand on verra la douleur.

Et j’offrirai des motifs de joie là où il n’y a que tristesse. J’inviterai à marcher celui qui a décidé de s’arrêter... Et je tendrai les bras à ceux qui se sentent épuisés.

Car au milieu de la désolation, il y aura toujours un enfant qui nous regardera, plein d’espoir, attendant quelque chose de notre part...

 

 

Puisse l’arbre de notre vie être fermement enraciné dans le terreau de l’amour. Que les bonnes actions soient les feuilles de cet arbre. Puissent les paroles de bienveillance former ses fleurs et puisse la paix en être le fruit.

Amma

Je continuerai*
Je continuerai*

La blague du blog

 

Une dame va renouveler son passeport. Le fonctionnaire lui demande :
« Combien d'enfants avez-vous ?

- 10.
- Et leurs prénoms ?
- Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard, Bernard et Bernard.

- Ils s'appellent tous Bernard ? Et comment vous faites pour les appeler quand ils jouent tous dehors, par exemple ?
- Très simple, je crie Bernard et ils rentrent tous.
- Et si vous voulez qu'ils passent à table ?
- Pareil. Je crie Bernard et tous se mettent à table.
- Et si vous voulez parler particulièrement avec l'un d'entre eux ? Comment faites-vous ?
- Ah! Dans ce cas-là, je l'appelle par son nom de famille... »

 

 

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 18:01

 

 

Jean-Yves Leloup posa la question suivante au Pape Shénouda III, patriarche d'Alexandrie et successeur de saint Marc : « Comment connaître aujourd'hui la paix du coeur ? »

 

Pape Shénouda III : « Si nous sommes troublés par des événements ou des agressions extérieurs, c'est de notre propre responsabilité. Jean Chrysostome disait qu'on ne peut pas blesser quelqu'un si celui-ci ne veut pas être blessé.

 

Si une personne vous met en colère, ce n'est pas elle la responsable, c'est qu'il y a de la colère en vous. S'il n'y avait pas de colère en vous, qu'est-ce qui lui aurait répondu ?

 

Mettez du feu dans l'eau, le feu ne brûle pas l'eau, le feu n'est pas nourri par l'eau. Mettez du feu dans du coton, le feu est nourri, il s'enflamme. La colère qui est en vous nourrit la flamme, la paix qui est en vous l'éteint.

 

Cessez de dire: « Cette personne m'énerve » ; dites plutôt je m'énerve avec elle.

 

Elle ne peut réveiller que ce qui est déjà en vous. C'est pour cela que le sage n'accuse jamais personne, il s'accuse lui-même.

 

Mettez des cendres dans un verre, celui-ci sera pollué. Mettez ces mêmes cendres dans un océan, elles seront vite oubliées.

 

Avez-vous le coeur comme un verre d'eau ou comme un océan ? ».

 

– L'ATTENTION Prendre Soin de l'Être (Revue) - N° 8 Hiver 1995 Revue trimestrielle publiée par Le Fennec éditeur

 

La paix du coeur*
La paix du coeur*

Témoignage de mon livre d'or

 

Petites douceurs pour le coeur! Quel livre réconfortant pour tous ! Chacun vit des moments dans une vie où ce livre sera un réel réconfort. Ce livre est simplement le reflet de Nicole. Son cœur a regroupé toutes ces histoires afin d'apporter dans les cœurs un rayon de soleil. Merci Nicole pour ce que tu es et merci pour ta générosité. – Richard Lachance

La paix du coeur*

La blague du blog

Le mari dit à sa femme sur le point d'accoucher :

« Si le bébé te ressemble, cela va être extraordinaire.

La femme répond :

Si le bébé te ressemble, cela va être un miracle. »
 

 

 

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6 octobre 2010 3 06 /10 /octobre /2010 17:02

 

 

 

Quand le phare projette sa lumière, il ne mesure pas l'intensité de l'orage, ni ne le juge.

 

Avant de faire briller sa lumière, il ne se dit pas à lui-même : « Je dois comprendre où va ma lumière et pourquoi ? »

 

Tout ce qu'il sait, c'est qu'il a été construit pour supporter l'obscurité, le vent puissant et les vagues qui se briseront sans fin sur sa structure.

 

De plus, il n'a pas peur. Il ne sait pas quand l'orage finira, et quel sera son degré d'intensité. Il ne sait pas pour quelle raison cet orage a été créé.

 

Tout ce que le phare sait ou connaît, c'est qu'il est en sécurité et qu'il doit faire briller sa lumière dans l'obscurité, afin d'aider les autres à trouver la sécurité du port.

 

Il ne cherche pas à comprendre de quelle façon il est devenu une lumière, mais il sait ce qu'il est et ce qu'il doit faire.

 

Il sait également que la lumière qu'il diffuse est attendue par ceux qui sont dans l'obscurité et qui la recherchent.

 

L'être humain est pareil à ce phare : il lui suffit d'ouvrir pleinement son cœur pour que rayonne sa lumière intérieure, transformant instantanément l'obscurité alentour en une douce et intense lumière d'Amour...

 

Trouvé sur le site Un Monde Arc-en-ciel

 

En faisant scintiller notre lumière, nous offrons aux autres la possibilité d'en faire autant.

Nelson Mandela

Le phare*
Le phare*

La blague du blog

 

Un pauvre type, qui avait promis à se femme de ne pas rentrer au-delà de 1 heure du matin, arrive, en fait, à 5 heures. Il ne fait pas un bruit, et au moment de se glisser dans le lit, voilà que l'horloge se met à sonner et réveille sa femme... Dong... dong... dong

 

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31 mars 2010 3 31 /03 /mars /2010 17:03

 

 

 

Vous êtes au cœur de toutes vos relations, ce qui ne veut pas dire au centre... Vous êtes donc responsable de l'estime, de l'amour et du respect que vous vous portez.

 

Vous êtes responsable aussi de l'amélioration possible de la qualité de vos relations, ce qui ne veut pas dire que vous êtes responsable de toute la relation. Vous avez la charge ou le plaisir de votre épanouissement et de votre bonheur.

 

Ne comptez pas uniquement sur l'autre pour vous prendre en charge, pour assurer et combler vos besoins, pour apaiser vos craintes ou protéger vos peurs.

 

N'attendez pas de l'autre la réponse, interrogez vos questions, prolongez vos perceptions, écoutez votre ressenti et faites ainsi confiance à l'imprévisible qui vous habite.

 

Osez vous définir et marquez la différence quand l'autre tente de vous définir... à partir de sa vision à lui. Osez refuser ou encore amplifier tout ce qui vient de l'autre, quoi qu'il vienne de l'autre.

 

Prenez soin de vous réellement, journellement. Vous êtes unique et extraordinaire... même si vous l'avez oublié.

 

La pire des solitudes n'est pas d'être seul, c'est d'être un compagnon épouvantable pour soi-même... en s'ennuyant en sa propre compagnie. Alors n'hésitez plus, soyez un bon compagnon pour vous... Votre vie vous le rendra au centuple.

 

 Jacques Salomé - Extrait du livre Si je m’écoutais, je m’entendrais...

 

Soyez un bon compagnon pour vous-même!*
Soyez un bon compagnon pour vous-même!*

La blague du blogue

 

Une nuit, un homme surprend un cambrioleur. Il lui demande : « Qu'est-ce que vous cherchez ? 

— De l'argent!


— Bonne idée!... Je cherche avec vous! » 

 

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18 février 2010 4 18 /02 /février /2010 08:00

 

 

 

J’aide les gens à trouver le bonheur, disait un vieil homme. Il est à la portée de tous, pourvu qu’on en ait vraiment envie.

 

Du plafond où elles étaient accrochées, tombaient une grosse chaîne et une corde épaisse.

 

« Considérez cette corde et cette chaîne, peut-être bien qu’elles ont quelque chose à vous raconter. »

 

Ils regardèrent attentivement cette scène et constatèrent que rien ne se produisait. Ils regardèrent de plus près. Chaque maillon de la chaîne, chaque brin torsadé de la corde, représentaient pourtant une notion très importante…

 

Leur hôte leur expliqua : « La plupart des gens commettent une redoutable erreur. Dans leur esprit, ils confectionnent une sorte de chaîne avec tout ce qu’ils estiment important pour leur bonheur et quand un des maillons vient à se rompre, ce qui n’est pas rare, toute leur chaîne se démantibule et leur bonheur est par terre!

 

Tous les autres maillons de la chaîne ont beau être intacts, ils n’ont plus aucune valeur. C’est pourquoi une telle personne, victime d’un banal incident, comme celui d’égarer une clef, a l’impression que le monde entier est en train de s’écrouler.

 

— Que faut il faire alors?

 

— Il faut apprendre à tresser les cordes du bonheur, de telle sorte que si un brin vient à casser et que la solidité de la corde s’en trouve diminuée, rien ne lâche, ni ne s’écroule. Et c’est bien plus facile à réparer. »

 

Benson, Bernard. Le Chemin du bonheur

 

Le chemin du bonheur*
Le chemin du bonheur*

La blague du blogue

Une femme dit à son époux : « Chéri, chaque matin, notre voisin embrasse sa femme avant de partir à son travail. Tu ne crois pas que tu devrais en faire autant ?

Le mari : – Mais chérie, je ne connais pas sa femme, moi ! »

 

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9 décembre 2009 3 09 /12 /décembre /2009 13:02

 

 

Comment le bonheur pourrait-il être « petit » ? 

 

Pourtant, l'évidence s'impose. Tous les surdoués du bonheur insistent sur ces petits bonheurs : « À l'instar de l'or, que l'on trouve en pépites, le bonheur se présente sous forme de miettes : faut-il pour autant le dédaigner ? »

 

Les instants de bonheur sont du bonheur à part entière. Encore faut-il, que nous en soyons conscients et que nous sachions ouvrir les yeux sur eux, pour transformer des instants bénins en moments de conscience heureuse.

 

Tous les travaux scientifiques confirment d'ailleurs que la fréquence des instants heureux est plus importante que leur intensité : mieux vaut de nombreux petits bonheurs qu'un grand bonheur unique.

 

On sait que la croyance « un grand amour, sinon rien » a causé des ravages considérables dans les âmes romantiques. Il en est de même pour le bonheur : inutile de vouloir hiérarchiser les bonheurs. Il faut s'efforcer d'accueillir toutes les prémices de bonheur.

 

On peut parfaitement être un peu heureux, ou ressentir un petit bonheur : il n'en reste pas moins un bonheur. 

 

Dans une existence ordinaire, le contraire du bonheur n'est pas toujours le malheur, mais l'indifférence au monde, qui finit par aboutir à l'ennui et à l'aveuglement.

 

Le bonheur repose donc sur un mélange complexe de vigilance et de réceptivité, d'efforts et d'abandons, qui rendent possible la survenue de ces petits bonheurs...

 

André, Christophe, Vivre heureux, psychologie du bonheur, Ed Odile Jacob, 2003

 

 Le grand obstacle au bonheur, c’est de s’attendre à un trop grand bonheur.

Bernard Fontenelle

Les « petits bonheurs »*

Réflexion supplémentaire

 

90 personnes attrapent la grippe A H1N1 et tout le monde veut porter un masque.
5 millions de personnes ont le SIDA et personne ne veut porter de condom.
1000 personnes meurent de la grippe A dans un pays riche, c'est une pandémie.
Des millions meurent de la malaria en Afrique, c'est leur problème...

Les « petits bonheurs »*

Quelle que soit la nouvelle difficulté que nous rencontrions, c’est l’accueil que nous lui faisions, l’attitude mentale que nous adoptons vis-à-vis d’elle, qui détermine entièrement l’effet qu’elle aura sur nous.

 

Ce ne sont pas les personnes, ou les choses, ou les circonstances en elles-mêmes qui importent, ce sont uniquement les pensées que nous entretenons à leur égard. Ce n’est pas la conduite des autres, ce sont nos propres idées qui nous rendent forts ou faibles.

 

Nous écrivons l’histoire future de notre vie avec nos pensées d’aujourd’hui. Nous façonnons notre destin nous-mêmes, de jour en jour, entièrement par la manière dont nous réagissons aux événements qui se présentent. Réagir comme il convient, c’est l’art suprême de la vie.



— Fox, Emmet. Le sermon sur la montagne, p. 78

Les « petits bonheurs »*

La blague du blogue

Un agent de police s'arrête devant un musicien jouant dans le métro.

« Avez-vous un permis pour jouer de l'accordéon ici ?
— Non monsieur l'agent...
— Alors, accompagnez-moi s'il vous plaît !
— Bien sûr, monsieur l'agent ! Que voulez-vous chanter ? »

 

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 18:46

 

 

Y avez-vous déjà réfléchi ? Les expressions usuelles sont pleines de souhaits de bonheur. BONJOUR ! Cela ne signifie-t-il pas : « Je vous souhaite une bonne journée ? » BONSOIR ! Cela ne veut-il pas dire : « Je vous souhaite une bonne soirée ? »

 

Il convient de considérer qu'on trouve ces vœux dans toutes les langues, en anglais, en italien, en espagnol, en grec ancien et moderne, en allemand, et sans doute dans toutes celles dont je ne connais pas le moindre mot.

 

C'est ainsi que lorsque nous saluons l'être au monde qui nous est le plus indifférent, nous prononçons pour lui un appel au bonheur, et si nous nous libérons de la routine pour ranimer en nous le sens profond de ce qui nous disons, il en résulte une pluie de bénédictions. Car toute bonne pensée porte ses fruits pour celui qui l'émet et celui qui la reçoit.

 

Ne perdons donc pas une occasion de dire : « BON JOUR ». Il fut un temps où nul n’aurait pénétré dans un wagon, dans une salle d’attente, sans dire BONJOUR aux personnes présentes. Rares sont ceux qui ont conservé cette coutume. Pourquoi ne pas la ressusciter ? D'abord, c'est être poli. Ensuite, c'est faire doucement vibrer un peu de bienveillance, un peu d'amour, dans cet univers qui en a tant besoin.

 

Vous n'êtes pas sans savoir qu’un éternuement nous attire souvent un « À vos souhaits ! » ou « Dieu vous bénisse ! ». D'où vient cette coutume, si ce n'est du besoin d'annuler par des paroles bénéfiques la naissance d'un rhume ? 

 

Aujourd'hui, lorsque nous disons « À vos souhaits ! », c'est avec un sourire ironique, de crainte de paraître vulgaire. Mais faisons notre profit de l'enseignement que nous apportent ces anciennes traditions : elles nous apprennent que dans le passé, les lois de la pensée et de la parole créatrice étaient connues de tous et utilisées en toutes circonstances.

 

APPLICATION : « Bonjour, Bonsoir, Bonne nuit, Bonne fête, Bonne année, Bonne chance, Bon voyage... » En prononçant désormais ces formules usuelles, ravivez-en le sens, en les chargeant d'un désir profond d'apporter quelque chose de « bon ». Et donner, comme vous le savez, c’est recevoir !

 

Auclair, Marcelle. Le livre du bonheur

 

« Bon Jour! »*

On ne peut arrêter le cours de la vie. Les arbres ont beau aimer le calme, le vent n'arrête pas pour autant de souffler ! Et vous ne pouvez pas changer de nature. On transforme plus facilement les fleuves et les montagnes que la nature humaine.

 

Ce que vous pouvez faire, c'est distinguer clairement la route à suivre et utiliser les énergies de votre vie pour relever le défi.

 

Étudiez votre colère. Trouvez ce qu'elle a d'utile et rejetez le reste. Observez votre peur. Elle ne vous sert à rien. Laissez-la passer. Acceptez votre chagrin. Il est justifié. Puis abandonnez-le, parce qu'il ne servira pas ce que vous avez à faire.

« Bon Jour! »*

Témoignage de mon livre d'or

Nicole, je tiens à vous remercier pour votre livre Petites douceurs pour le cœur. Il est extraordinaire, ça fait longtemps que je cherchais un livre comme ça. Chaque jour, je lis une page.

Ce livre est pour moi un cheminement. Que je sois triste ou heureuse, je le lis. Il m'apporte beaucoup, et faites sûr que je dis souvent à mes enfants de le lire. Je l'ai même offert en cadeau. Je vous le dis encore : j'adore votre livre, c'est ma bible de tous les jours... Je trouve cela tellement réconfortant. — Michelle Larivière

« Bon Jour! »*

La blague du blogue

 

Toto se plaint à un ami :
— Ma mère m'a puni pour une chose que je n'ai même pas faite.
— Ah oui ? Qu'est-ce que c'est ?
— Mes devoirs...

 

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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 18:30

 

 

Lorsque j'avais environ sept ans, mon grand-père m'amena à l'étang et me demanda de jeter une pierre dans l'eau. Il me demanda d'observer les cercles créés par la pierre, puis de me percevoir comme étant cette pierre.

 

« Tu peux créer de nombreux clapotements dans ta vie, mais les ondes engendrées par ces clapotements perturberont la paix de tous tes semblables », dit-il.

 

Rappelle-toi que tu es responsable de ce que tu places dans ton cercle et que ton cercle touchera beaucoup d'autres cercles. Tu devras vivre d'une manière qui permette au bien venant de ton cercle de transmettre la paix aux autres cercles. Le clapotement provenant de la colère ou de la jalousie transmettra ces sentiments aux autres cercles. Dans les deux cas, tu es responsable. »

 

Ce fut la première fois que je réalisai combien chaque personne crée intérieurement la paix ou la discorde qui s'écoule dans le monde.

 

Nous ne pouvons pas créer la paix mondiale si nous grouillons de conflit, de haine, de doute ou de colère intérieure.

 

Nous rayonnons les sentiments et les pensées que nous entretenons en nous, que nous les exprimions ou pas.

 

Tout ce qui clapote en nous se déverse dans le monde et crée la beauté ou la discorde dans tous les autres cercles de vie.
 

Créé ta vie - Feuille d'information de la création délibérée

 

Les clapotements de la vie*

Ne gaspille pas ton temps et tes forces à combattre les insuccès et les difficultés depuis l'extérieur mais, devant les obstacles, tourne-toi vers l'intérieur, adopte une attitude juste envers la vie, affirme ta supériorité et l'abondance du bien et marche courageusement vers ton but. Tous les obstacles seront alors réduits à néant, comme les ténèbres lorsque la lumière se met à luire.

— Schmidt, K.O. Le hasard n'existe pas, Éditions Astra, 1956

Les clapotements de la vie*

L'effet d'ondulation (Le battement de coeur pour l'Éternité!)


« Chacun de nous porte en lui la capacité de changer le monde, petit à petit, pour le meilleur et pour le pire !

Chaque acte de charité, chaque voeu, chaque pensée positive, peut onduler de coeur en coeur et provoquer des changements dans le temps et l'espace. »

Les clapotements de la vie*

La blague du blogue
 

— Allô ! C'est le surveillant général ?
— Lui-même.
— Monsieur le surveillant général, je vous téléphone pour vous prévenir que Toto est très grippé et qu'il ne viendra pas en classe aujourd'hui...
— Ah bon ! Mais qui téléphone ?
— C'est papa...
      

 

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10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 20:04

 

 

La vie est comme un voyage dans un train : on monte et on descend; il y a des arrêts, des imprévus, des retards, des pannes, des accidents, …

 

Quand on naît et qu'on monte dans le train, nous rencontrons des personnes qui, croyons-nous, resteront avec nous pendant tout le voyage : ce sont nos parents. Malheureusement la vérité est toute autre car il arrive qu’ils descendent dans une gare plus rapprochée, sans nous prévenir de cette sortie subite…

 

Il y a d'autres personnes qui montent à bord et dont la présence sera déterminante : ce sont nos frères et nos sœurs, nos amis, nos proches. Quand certaines d’entre elles descendent, elles laissent en nous une nostalgie pour toujours.

 

D'autres montent et descendent tout de suite. C’est à peine si nous avons le temps de les croiser et de les connaître. Et d’autres qui, épuisés par le voyage, veulent prématurément sortir du train...

 

Parfois, on s’étonne de voir que certains passagers que nous aimons, s'assoient dans un autre wagon. Ils nous laissent voyager seul et ce, même s’ils savent que nous les cherchons partout dans le train. Et quand nous les retrouvons, la place à côté d’eux est déjà prise…

 

Le grand mystère du voyage est que nous ne connaissons pas le moment où nous descendrons du train pour toujours, pas plus que nous ne connaissons celui de nos compagnons de voyage ou même, de celui qui est assis juste à côté de nous.

 

Essayons donc de faire le plus beau voyage possible, de partager nos différentes découvertes, d’égayer mutuellement notre trajet et surtout, de nous entraider quand nos bagages deviennent trop lourds…

 

Pour ma part, quand je quitterai ce grand train de la vie, oui, je serai triste. Par contre, je serai en paix car j’aurai fait mon possible pour être un bon compagnon de voyage...

 

Chaque personne que je rencontre, c'est Dieu habillé d'une façon différente.

Le train de la vie*

Comment reconnaître la nuit du jour?

 

Un professeur demande à ses étudiants : « Comment reconnaître le moment où la nuit s'achève et le jour se lève?

Lorsque l'on peut distinguer un mouton d'un loup, répondit un étudiant.

Non, ce n'est pas la réponse, dit le professeur.


Quand on peut faire la différence entre un figuier et un olivier, suggéra un autre.
Non, ce n'est pas la réponse, dit le rabbin.

Alors comment, demandèrent les étudiants en chœur?

Au moment où, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin.
»

Le train de la vie*

La blague du blog
 

Toto va voir sa maman :

— Maman, Maman... je me suis fait mal !

— Où ça ?

— Là-bas !

 

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27 mai 2009 3 27 /05 /mai /2009 20:04

 

 

Imaginez la vie comme un jeu dans lequel vous jonglez avec cinq balles. Vous pouvez les appeler : Travail - Famille - Santé - Amis - Esprit.

 

Vous comprendrez vite que le travail est une balle en caoutchouc. Si vous la laissez tomber, elle rebondit. Mais les quatre autres balles : Santé - Famille - Amis - Esprit, sont en verre. Si vous en laissez tomber une, elle va à coup sûr rester par terre, à vos pieds, se fendre, s'abîmer ou même se fracasser. Elle ne sera plus jamais la même.

 

Vous devez comprendre cela et être vigilant pour maintenir un équilibre entre chaque domaine de votre vie. Comment ?

 

— Ne sous-estimez pas votre valeur en vous comparant aux autres. C'est parce que nous sommes tous différents que chacun de nous est spécial.

 

— N'établissez pas vos buts en fonction de ce que les autres jugent important. Il n'y a que vous qui sachiez ce qui est important pour vous.

 

— Ne considérez pas comme acquises les choses les plus proches de votre cœur. Accrochez-vous à elles, comme si votre vie en dépendait. Sans elles, votre vie n'a pas de sens.

 

— Ne laissez pas votre vie vous glisser entre les doigts, en vivant dans le passé ou le futur. En vivant une journée à la fois, vous vivez TOUS les jours de votre vie.

 

— N'abandonnez pas quand vous avez encore quelque chose à donner. Rien n'est jamais perdu tant que vous essayez.

 

— N'ayez pas peur d'admettre que vous n'êtes pas parfait. C'est le fil fragile de notre imperfection qui nous relie les uns aux autres.

 

— N'ayez pas peur de prendre des risques. C'est en prenant des risques qu'on apprend à être courageux.

 

— Ne fermez pas votre vie à l'amour en disant que c'est impossible à trouver. Donner est la façon la plus rapide de recevoir l'amour et le retenir trop fort, le moyen le plus rapide de le perdre. Le meilleur moyen de garder l'amour, c'est de lui donner des ailes.

 

— Ne traversez pas la vie en courant si vite que vous en oubliez, non seulement d'où vous venez, mais aussi où vous allez.

 

— N'oubliez pas que le plus grand besoin émotionnel d'une personne est de se sentir appréciée.

 

— N'ayez pas peur d'apprendre. Le savoir n'a pas de poids, c'est un trésor que vous pouvez emmener partout avec vous.

 

— Faites attention à ne gaspiller ni le temps ni les mots. Ni l'un ni l'autre ne peuvent être récupérés.

 

— La vie n'est pas une course mais un voyage à savourer pas à pas.

 

« Hier, c'est de l'histoire. Demain est un mystère. Aujourd'hui est un cadeau. C'est pour cela qu'on l'appelle le présent. »

 

Ce texte a été écrit par Brian DYON, PDG de la firme Coca Cola, et présenté lors d'un discours à l'occasion de la remise de diplômes dans une université américaine, le 6 septembre 1991. 

 

 

Certains montent l'échelle du succès échelon après échelon toute leur vie pour arriver en haut et s'apercevoir finalement que leur échelle était appuyée sur le mauvais mur... 

Jongler avec la vie!*

Juste une petite heure de vie...

 

Un avare avait accumulé cinq cent mille dinars et se préparait à une année de vie agréable avant de se décider sur la manière d'investir son argent, lorsque soudain l'Ange de la mort lui apparut pour lui reprendre sa vie.

L'homme pria, supplia et usa de mille arguments pour qu'on lui accordât un petit peu de vie, mais l'Ange était inflexible.

« Donnez-moi trois jours de vie et je vous donne ma fortune », supplia l'homme. L'Ange ne voulut rien entendre et commença à l'attirer vers lui.

« Donnez-moi juste un jour, je vous prie et vous pourrez avoir tout ce que j'ai accumulé au prix de tant d'efforts et de sueur. »

Il ne réussit qu'à extorquer qu'une toute petite concession à l'Ange — quelques intants pour rédiger la note suivante :

« Ô vous qui découvrez la présente note, ne gâchez pas votre vie en accumulant des fortunes. Vivez! Mes cinq cent mille dinars n'ont pu m'acheter une seule heure de vie. »

Jongler avec la vie!*

La blague du blog

 

Dès qu'elle monte dans la voiture de son nouveau chum, Marie-Denise l'avertit :
— Ma mère m'a fait jurer de répondre énergiquement « Non » à tout ce que tu me proposeras.
— Très bien. Vois-tu une objection à ce que je t'embrasse?
— Non!

 

 

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29 avril 2009 3 29 /04 /avril /2009 22:00

 

 

 

J'ai appris qu'il faut beaucoup de temps pour devenir la personne que l'on souhaite être...

J'ai appris qu'il est possible d'aller loin au-delà de ses propres limites...

J'ai appris que nous sommes responsables de nos actes, quelles que soient nos humeurs...

J'ai appris qu'il suffit d'un instant pour faire quelque chose qui vous brisera le cœur pour le reste de la vie...

J'ai appris que si l'on ne contrôle pas son comportement, c'est lui qui devient le maître...

J'ai appris que les héros sont ceux qui font ce qu'il faut faire, quelles qu'en soient les conséquences...

J'ai appris que même si une colère peut être légitime, cela ne donne pas le droit d'être cruel...

J'ai appris que le milieu et les circonstances peuvent nous avoir influencés, mais nous sommes responsables de ce que nous sommes devenus...

J'ai appris qu'il ne suffit pas toujours d'être pardonné, il faut aussi parfois savoir pardonner...


J'ai appris qu'il suffit qu'une personne te dise un mot gentil pour que ta journée soit meilleure...

J
'ai appris que tu peux toujours prier pour quelqu'un quand tu n'as pas la force de l'aider autrement...

J'ai appris que souvent, ce dont une personne a besoin, c'est une main qui se tend et un cœur qui écoute...

J'ai appris qu'ignorer les faits ne changent pas les faits...

J'ai appris que ce sont les petites choses de la vie qui la rendent si belle...

J'ai appris que sous le blindage de chacun, il y a toujours quelqu'un qui désire être aimé et respecté...

J'ai appris que quand tu veux te venger de quelqu'un, laisse-le continuer à faire du mal...

J'ai appris que c'est l'amour et non pas seulement le temps qui soigne les blessures...

J'ai appris qu'être bon est plus important qu'être fort...

J'ai appris que quand tu nourris rancune et amertume, le bonheur change de trottoir...

J'ai appris que nous voulons tous vivre en haut de la montagne mais que le vrai bonheur est dans son ascension, pendant l'escalade...


 

Remettant toujours au lendemain la quête de l'essentiel, nous risquons de laisser la vie filer entre nos doigts, sans l'avoir jamais vraiment goûtée. 

J'ai appris...*

Où sont les vraies merveilles?

 

« Les hommes voyagent pour s'émerveiller de la hauteur des montagnes, des vagues gigantesques de la mer, du long cours des rivières, de l'immensité des océans, du mouvement circulaire des étoiles... et ils passent les uns devant les autres sans s'émerveiller. »

Jeffers, Suzan. Osez vous réconcilier avec la vie

J'ai appris...*

La blague du blog
 

Alcide conduisait son auto et était tout trempé de sueur, tant il était nerveux à l'idée d'arriver en retard à son rendez-vous, car il n'arrivait pas à trouver une seule place de stationnement.

Levant les yeux au ciel, il pria Dieu : « Seigneur, aie pitié de moi. Si Tu me trouves une place de stationnement, je Te promets d'aller à la messe tous les dimanches et de laisser la bière pour le reste de ma vie. »

Miraculeusement, une place se libère sur-le-champ. Alcide lève les yeux au ciel de nouveau et dit à Dieu : « Laisse faire, j'en ai trouvé une ! »

 

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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