« Modération, calme et bonne humeur ferment la porte au nez du docteur. »
Connaissiez-vous ce dicton?
Malheureusement, ce n'est pas aussi simple et en dépit de la modération, du calme et de la bonne humeur, il arrive fréquemment que nous ayons à consulter le médecin.
Néanmoins, ces trois états d'esprit assemblés diminuent considérablement nos risques de tomber malade.
Qui ne fatigue pas son cœur et tout son organisme en abusant, ou du plaisir ou du travail, en négligeant de se reposer et en s'imposant une certaine discipline de vie?
Qui n'épuise pas ses nerfs en tournant tout au tragique, en ne voulant rien accepter qui lui déplaise et en refusant de goûter, au moins quelques minutes de temps à autre, les bienfaits du silence et de l'isolement?
Qui ne se sent pas malheureux et ne fait pas de malheureux autour de lui en grognant et en protestant constamment?
Modération, calme et bonne humeur constituent trois atouts précieux dans le jeu de la vie : ils nous rendent l’existence plus agréable.
Source : Charest, Nicole, Petites douceurs pour le cœur, p. 68
N’abusons de rien. Sauf de la modération.
La chose la plus utile que vous puissiez faire lorsque vous faites face à une épreuve, c’est de conserver une attitude positive. Il y a toujours quelque chose de bien dans toutes les circonstances, même si vous ne pouvez le voir immédiatement.
En gardant la foi, vous élevez l’énergie de tous ceux qui vous entourent, de même que la situation elle-même. Un état d’esprit positif permet au corps de se détendre, ce qui, en retour, vous permet de réfléchir clairement et de faire preuve de créativité pendant les moments plus difficiles. En voyant les choses avec optimisme, vous inspirez les autres, et cela peut empêcher l’énergie d’entrer dans le cycle d’une spirale descendante. Veillez à demeurer optimiste aujourd’hui, peu importe la situation.
— Virtue, Doreen. Oracles des anges, p. 227
La blague du blog
Un vampire, couvert de sang, revient en zigzagant à sa grotte et se pose (ou plutôt se pend) pour piquer un somme. Mais les autres souris, réveillées par l'odeur du sang, le harcèlent pour savoir où il en a tant trouvé.
– Non ! Laissez-moi dormir ! Gémit le vampire ensanglanté.
– Si ! Si ! Dis-nous, dis-nous où tu as eu tout ce sang ! Hurlent les autres vampires.
Finalement la chauve-souris vampire ensanglantée cède et dit aux autres de la suivre. Après dix minutes de vol silencieux dans la nuit noire, ils plongent dans une vallée, puis dans une forêt. Et à l'entrée d'une clairière, le vampire ensanglanté dit :
– On y est ! Vous voyez cet arbre là-bas ?
– Oui ! Piaillent les autres, la salive à la bouche.
– Eh ben moi, je ne l’avais pas vu...