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16 juin 2016 4 16 /06 /juin /2016 14:11

Lors de certaines périodes de notre vie, nous traversons des périodes intenses, remplies d’autant de grands bonheurs que de grandes souffrances. Nous pouvons alors avoir l’impression que ce n’est pas juste, que nos bonheurs sont gâchés par ces souffrances qui apparaissent au moment inopportun, comme si elles nous empêchaient de vivre pleinement notre bonheur.

Et pourtant, la Vie est ainsi constituée : bonheur et douleur en alternance. Quoi que nous fassions, c’est la Vie! Plus nous y résistons, plus les périodes douloureuses sont souffrantes. Accueillir ce que la Vie nous offre chaque jour est un merveilleux cadeau à se faire.


Cela s’appelle vivre dans le moment présent!

Respirer le bonheur et le savourer est aussi important que de respirer DANS la souffrance et la vivre pour comprendre son message. Vouloir éviter l’un de ces aspects c’est se priver des deux!

La Vie nous donne tout : des occasions de grandir et des occasions de savourer. Des moments pour recevoir et des moments pour rendre grâce. Des événements pour apprendre et des événements pour intégrer. Des périodes de travail sur soi et des périodes de repos. Des moments de bonheur et des moments de douleur. Tout est intégré.

Toute la Vie est construite sur ces deux pôles et nous naviguons sur cette mer en suivant le flot ou en y résistant, ce qui s’avère non seulement inutile mais terriblement souffrant.

En vivant intensément le moment présent, quel qu’il soit, nous savourons tout ce qui nous est offert, même si notre ego cherche à catégoriser le tout en bien ou mal, notre âme sait que tout nous est utile.

La douleur et le bonheur font équipe pour nous faire évoluer, pour nous apprendre à mieux aimer. Nous pouvons croire que le paradis et l’enfer se côtoient continuellement, mais c’est simplement la Vie qui se déploie POUR nous, telle qu’elle est, pour que nous explorions tout ce que nous sommes, pour que nous devenions Amour. Et tout est parfait!


 

Auteure : Diane Gagnon, coach, formatrice, conférencière

Suivez-la sur : Facebook ou encore via le site : La solution est en vous

Procurez-vous son nouveau livre : À moi de moi! (101 cadeaux à se faire avec amour pour développer l'estime de soi). Offert en version papier ou électronique.

Pour commander : Europe : Amazon.fr et Canada : Amazon.ca

 

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer*

François Lemay, spécialiste en enseignement de pleine conscience


En janvier 2016, j'ai découvert avec grand bonheur les capsules Youtube créées par François Lemay. Maître coach de formation en programmation neuro linguistique, François est un as de la communication et un excellent vulgarisateur. Il a ce don de créer de la raisonnance et de connecter avec son public et ce, avec une simplicité désarmante.

Si vous désirez devenir la meilleure version de vous-même, réservez-vous du temps pour écouter les capsules ci-dessous. Vous pouvez également le suivre sur sa page Facebook ou sur sa chaîne Youtube.

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer*

Quand le paradis et l'enfer semblent se côtoyer*
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1 avril 2015 3 01 /04 /avril /2015 09:50

 

Quel titre cliché, n'est-ce pas?

Nous savons ça depuis que nous sommes tout petits. C'est une telle évidence qu'on n'a pas besoin de le dire.

Cependant, est-il possible que ce soit ainsi partout? Non seulement dans la nature observable mais dans nos vies également?

Nous passons notre vie, de notre naissance à notre mort, à vivre des « petites morts ». Toutes, sans exception, mènent à une nouvelle vie. Et il faut dire qu'en général, cette nouvelle vie est meilleure que celle d'avant.

Ainsi, chaque deuil est une mort en soi. Rien d'agréable durant le processus, mais combien magnifique lorsque nous débouchons sur la nouvelle vie.

Nous restons pourtant centrés sur le deuil, sur la mort, sur la fin. Nous n'arrivons pas à nous centrer sur ce qui vient parce qu'on ne le voit pas, on ne l'imagine pas, on ne le devine pas.

Nous pouvons cependant nous y accrocher en se remémorant cette transition magnifique qui est celle du printemps. Nous savons que l'on va vers l'été. Nous savons que ce sera beau. Nous imaginons déjà les fleurs et la nature resplendissante.

Pendant nos processus de deuil, aussi difficiles soient-ils, il faut se rappeler cette vérité toute simple. Si simple que plus personne ne la dit :

« Après l'hiver, le printemps... »

Dans la nature comme dans nos vies.

 

Notre destin ressemble parfois à un arbre fruitier en hiver, et pourtant, qui douterait qu'au printemps, ses branches reverdiront et fleuriront à nouveau.

Après l'hiver, le printemps*

De tout coeur avec toi...

 

Voici une vidéo qui fera du bien à toutes les personnes qui, présentement, sont « en plein hiver » dans leur vie et qui parfois doutent que le printemps puisse revenir... (Conception et texte : Nicole Charest, avril 2012)


 

Après l'hiver, le printemps*

Pensée à imprimer

 

Conçue en format photo, prête à faire développer, vous pouvez aussi imprimer cette pensée à partir de votre imprimante ou la joindre à un courriel en tant qu'image. Placez votre souris sur l'image et avec le bouton droit, cliquez sur Enregistrer l'image sous...

 

Après l'hiver, le printemps*
Après l'hiver, le printemps*
Après l'hiver, le printemps*
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16 mars 2011 3 16 /03 /mars /2011 18:06

Il arrive quelques fois que nous devons accepter une situation qui nous semble inacceptable, par exemple la mort d’un enfant, un divorce, un cancer, un licenciement, un incendie, etc., et nous ignorons si nous aurons la force d’y faire face.

Accepter une tragédie est très difficile. Il est alors normal, voire souhaitable, de rager contre le ciel ou le destin devant notre impuissance parce que cette étape fait partie du processus qui nous mène à accepter l’inacceptable. Mais afin de vraiment cicatriser une blessure émotive, physique ou spirituelle, il faut cesser toute résistance devant le fait accompli, car la résistance amplifie la souffrance.

Pour réussir à accepter l’inacceptable, nous pouvons nous représenter la vie comme une magnifique tapisserie. Si l’on regarde de trop près le motif qui nous occupe en ce moment, on n’a plus de vue sur l’ensemble.

Lorsque survient une chose qui nous paraît inacceptable, il faut nous rappeler qu’à courte distance nous ne pouvons pas voir comment ce motif s’intègre à l’ensemble et nous dire qu’avec du recul, la situation contribuera à notre épanouissement et rehaussera la beauté de la tapisserie toute entière.

Peut-être n’en connaîtrons-nous jamais la raison au cours de cette vie, mais il faut avoir confiance en la bienveillance de l’univers et, surtout en période de coups durs, croire qu’éventuellement le voile sera levé et qu’alors nous comprendrons.

Il est extrêmement ardu d’accepter une chose qui semble a priori inacceptable et, pour cette raison, nous ne devons pas nous brusquer devant cette éventualité. Relâcher sa résistance ouvre la voie à l’acceptation et à la sérénité.

Source : Sagesse de femme, Sue Patton Thoele, p. 92
  

 

Vous serez serein lorsque vous saurez accepter que votre vie ne se déroule pas comme prévu.

Accepter l'inacceptable*
Accepter l'inacceptable*

La blague du blog

Dieu envoie St-Pierre sur terre pour voir si tout va bien. St-Pierre revient en faisant son rapport.

« Chef, en gros, ça va bien en bas. Il y a juste une chose que je ne comprends pas. Il y a des hommes qui tapent avec des bâtons courbés sur une beaucoup trop petite balle et essaient de la rentrer dans un petit trou.

– Jeu bizarre, dit Dieu, quel est le nom de ce jeu ?

– Ca, je n'ai pas réussi à savoir, répond St-Pierre, mais je pense qu'il s'appelle MERDE! »
La blague du blog

Dieu envoie St-Pierre sur terre pour voir si tout va bien. St-Pierre revient en faisant son rapport.

« Chef, en gros, ça va bien en bas. Il y a juste une chose que je ne comprends pas. Il y a des hommes qui tapent avec des bâtons courbés sur une beaucoup trop petite balle et essaient de la rentrer dans un petit trou.

– Jeu bizarre, dit Dieu, quel est le nom de ce jeu ?

– Ca, je n'ai pas réussi à savoir, répond St-Pierre, mais je pense qu'il s'appelle MERDE! »

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20 octobre 2010 3 20 /10 /octobre /2010 17:01

 

La vie est parsemée de difficultés, des petites et des plus importantes. Nous sommes tous confrontés à divers obstacles ou épreuves.

Le problème est que nous attendons souvent des solutions immédiates à ces difficultés, en oubliant que la vertu céleste de la patience est nécessaire. La patience consiste à rester imperturbable en toute circonstance, sans vouloir réduire à néant toutes les formes d’adversité qui nous échoient.

Tous ceux qui aspirent à l’éveil se doivent de comprendre que, dans une existence, il doit y avoir des périodes d’accélération et d’autres de ralentissement. Alors, ne vous agacez plus contre l’attente, appréciez ce que vous vivez au rythme où cela se présente. Sachez vous libérer de vos impatiences inutiles qui ne changeront rien à ce qui doit être.

La patience, comme la méditation, s'acquiert et s'exerce. Elle demande un effort de concentration et de maîtrise de soi qui est opposé, en général, à l'agitation naturelle, à l'impatience innée. La patience n'est pourtant pas l'inertie. Elle est dynamique, elle avance toujours vers un but et elle est toujours accompagnée de paix.


La patience permet de se préparer à quelque chose et ce, au rythme nécessaire de son accomplissement. C’est un état d’esprit qui ne cherche pas à critiquer, comparer, juger, ou toujours saisir les situations liées aux émotions telles que la colère, la rancune, le ressentiment, la jalousie, etc. L’essentiel de la patience, c’est l’attitude d’esprit qui ne cherche pas à nuire à autrui et qui est dépourvue d’agressivité.

Dans le monde, la patience procure la beauté. Dans le silence et l’attente, quelque chose grandit en vous, votre être authentique se déploie.


– Extrait du livre « Tomber malade : un cri de l'âme » de Hélène Sayen, septembre 2009

 

C'est une grande force que d'attendre sans impatience que tout mûrisse.

Heinrich Pestalozzi

Patienter*
Patienter*

La blague du blogue

Un instituteur demande à ses élèves : « Quelle serait pour vous une belle mort ?
Ce à quoi une petite fille au fond de la classe répond :

– C'est mourir comme mon grand-père.
– Ah bon, réplique le maître. Et comment ton grand-père est-il mort ?
Il s'est endormi.
Là dessus le maître demande :
Et quelle serait alors, selon vous, une mort atroce ?
Et la même petite fille répond :
Ce serait mourir comme les copains de mon grand-père.
Le maître intrigué demande alors à la petite fille :
Et comment donc sont-ils morts ?
Ils étaient dans la voiture de mon grand-père quand il s'est endormi... »
 

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25 janvier 2010 1 25 /01 /janvier /2010 18:30

Le renoncement n'est pas forcément synonyme de manque de courage. Ce peut être aussi une grande sagesse. Savoir faire la part des choses, distinguer ce qui vaut la peine d'être conquis de ce qui ne le vaut pas, accepter sans regret ce qui est…

« Un homme sage doit savoir se faire un triomphe de sa propre défaite », rappelle Gracian. Il ne s'agit pas de baisser les bras ou de démissionner devant la moindre difficulté, mais plutôt de ne pas perdre son temps et s'user dans de vains combats.

Ainsi faut-il savoir renoncer à sa jeunesse ou à sa beauté et accepter le conseil des années. Il faut admettre que les choses ne se passent pas toujours comme on l'avait prévu et savoir se retirer de la partie, pas forcément pour la perdre, mais pour la voir en perspective.

Il faut laisser passer devant soi les plus jeunes et les plus rapides, même si c'est vous, avant, qui passiez devant les autres. Mais aussi apprendre à renoncer aux mondanités et préférer s'entourer d'amis fidèles, s'arrêter de courir après l'argent pour prendre le temps de vivre... 

Le renoncement est bien souvent une renaissance et une libération. Car en quittant une chose, on trouve forcément une autre. En acceptant, on avance. C'est le point de départ de retrouvailles avec soi-même.

Rambert, Catherine. Le livre de la sérénité, Éditiono1, 1999

 

La grâce, c'est peut-être de voir ce qu'il faut choisir et ce à quoi il faut renoncer.

Jacques de Bourbon Busset

La sagesse de renoncer*
La sagesse de renoncer*

La blague du blogue

« Je vois que ça va mieux avec ta femme !
— Qu’est-ce que tu dis là ?
— Je vous ai vus hier. Vous coupiez du bois ensemble pour le foyer.
— Du bois ? On partageait les meubles… »

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28 octobre 2009 3 28 /10 /octobre /2009 18:04

 

Rupture d'un amour. Mort d'un être cher. Cancer. Grave accident de voiture. Cataclysme. Personne n'est à l'abri de l'extrême. L'épreuve survient sans avertir.

Nous possédons tous cependant des ressources insoupçonnées, des forces cachées qui se mobilisent au moment de l'épreuve, qui déclenchent en nous des réactions de survie et nous rendent capables d'affronter le pire, puis de continuer à espérer, parfois même à savourer encore plus pleinement chaque instant de notre existence.

Ces forces cachées, ces réactions de survie, le professeur de psychologie sociale Gustave-Nicolas Fischer les nomme « ressorts invisibles » puisqu'elles nous permettent « de rebondir dans l'épreuve en faisant de l'obstacle un tremplin, de la fragilité une richesse, de la faiblesse une force, des impossibilités un ensemble de possibles », écrit-il dans son livre LE RESSORT INVISIBLE.

Par ailleurs, en nous confrontant à la douleur extrême, l'épreuve permet à la face cachée de notre être de se manifester, révélant toute notre beauté intérieure. Et l'on s'aperçoit que notre échelle de valeurs s'en trouve modifiée, donnant un autre sens à la vie.

Dans le cas d'une grave maladie, par exemple, la fragilisation du corps peut être un tremplin pour apprécier des valeurs qui l'étaient moins auparavant. Cela donne une tout autre philosophie de la vie. Pour sa part, Boris Cyrulnik, souligne dans son livre UN MERVEILLEUX MALHEUR :


« Quand un grain de sable pénètre dans une huître et l'agresse au point que, pour s'en défendre, elle doive sécréter la nacre arrondie, cette réaction de défense donne un bijou dur, brillant et précieux. »

Selon lui, il en va ainsi des humains : passer au travers de l'épreuve solidifie notre résistance tout en soulignant la beauté de notre âme. Nous ne devenons pas invulnérable pour autant, mais les blessures de la vie nous grandissent et nous invitent à vivre plus intensément.


Gustave-Nicolas Fischer, Le ressort invisible, Éditions du Seuil, 1994, 283 pages
Boris Cyrulnik, Un merveilleux malheur, Éditions Odile Jacob, 1999, 238 pages

Survivre à l'épreuve*

La blague du blogue

« Oh papa, regarde le joli bateau !
— Ce n'est pas un bateau, c'est un yacht, dit le père.
— Comment ça s'écrit yacht ?
— Tu as raison dit le père... C'est un bateau. »

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30 septembre 2009 3 30 /09 /septembre /2009 18:21

 

Quand vous attendez un enfant, c’est comme si vous prépariez des vacances en Italie. Vous êtes tout excités. Vous achetez un tas de guides touristiques, vous apprenez quelques phrases en italien afin de pouvoir vous débrouiller et, quand le moment arrive, vous faites vos bagages et vous vous rendez à l’aéroport… pour l’Italie.

Seulement quand vous atterrissez, l’hôtesse vous dit : « Bienvenue en Hollande ! »

Vous vous regardez, incrédules et scandalisés en disant : « En Hollande ? De quoi parlez-vous ? J’ai réservé pour l’Italie… »

On vous explique qu’il y a eu du changement, et que vous avez atterri en Hollande et que vous devez y rester. « Mais je ne sais rien de la Hollande ! Je ne veux pas y rester », dites-vous.

Mais vous y restez. Vous sortez et achetez quelques nouveaux guides ; vous apprenez de nouvelles phrases et vous rencontrez des gens dont vous ne soupçonniez même pas l’existence. La chose la plus importante est que vous n’êtes pas dans un quartier pauvre, sale et où règnent la peste et la famine. Vous êtes simplement dans un endroit différent de celui que vous aviez imaginé. Le rythme y est plus lent et moins tapageur qu’en Italie, mais quand vous y êtes depuis un petit moment, et que vous avez l’occasion de reprendre votre souffle, vous commencez à découvrir que la Hollande a des moulins à vent. La Hollande a des tulipes. La Hollande a même Rembrandt.

Mais tous ceux que vous connaissez vont en Italie et en reviennent. Ils se vantent tous du bon temps qu’ils ont eu là-bas et pendant le reste de votre vie, vous direz : « Oui, c’est là que j’allais. C’est ce que j’avais prévu. »

Le chagrin que vous en ressentez ne s’effacera jamais. Vous devez accepter cette peine, parce que la perte de ce rêve, la perte de ce projet est très importante. Mais si vous passez le reste de votre vie à pleurer le fait que vous n’avez pas été en Italie, vous ne serez jamais libre de profiter des choses très spéciales et très jolies que l’on trouve en Hollande.


Diane Crutcher

Bienvenue en Hollande!*
Bienvenue en Hollande!*

La blague du blogue

À l'école.
— Toto, avoue que ton père t'a aidé à faire ton devoir ?
— Ben, non m'sieur, je vous jure !
— C'est bien vrai ? Sûr ?
— Oui, j'en suis sûr. Il l'a fait tout seul...

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22 janvier 2009 4 22 /01 /janvier /2009 00:00

 

 

Lorsque dans votre vie, rien ne va plus, que les problèmes tourmentent votre esprit et que l'angoisse vous envahit... Reposez-vous, s'il le faut, mais restez debout.

Lorsque tout votre univers menace de s'écrouler et que, fatigué, vous sentez la confiance vous abandonner... Reposez-vous, s'il le faut, mais restez debout.

Vous savez, la vie est parfois étrange, avec son lot de surprises et d'imprévus, et il ne nous est pas donné de savoir à l'avance combien d'étapes nous devrons franchir ni combien d'obstacles nous devrons surmonter avant d'atteindre le bonheur et la réussite.

Combien de gens ont hélas cessé de lutter alors qu'un seul petit pas de plus aurait transformé un échec en réussite? Et pourtant, faire un pas à la fois n'est jamais trop difficile.

Vous devez donc avoir le courage et la ténacité nécessaires pour faire ce petit pas de plus, en affirmant que la vie est une grande et puissante amie, se tenant toujours à vos côtés, prête à vous porter secours.

Vous verrez alors que cette attitude appellera, du plus profond de vous-même, des forces de vie que vous ne soupçonniez même pas et qui vous aideront à réaliser ce que vous entreprendrez.

Alors, rappelez-vous bien ceci : « Quand, dans la vie, vous vivez des moments difficiles… Reposez-vous, s'il le faut, mais restez debout. » (Petites douceurs pour le coeur, p. 180)


 

Pensée de la semaine : Ce qui sauve, c'est de faire un pas et encore un pas...

Saint-Exupéry

Restez debout...*

N’arrêtez jamais de chanter !

 

Avez-vous déjà observé l’attitude des oiseaux face à l’adversité? Pendant des jours et des jours, ils font leur nid, recueillant des matériaux parfois ramenés de très loin. Et lorsqu’ils ont terminé et qu’ils sont prêts à déposer les œufs, les intempéries ou l’œuvre de l’être humain ou d’un quelconque animal le détruisent et envoient au sol ce qu’ils ont réalisé avec tant d’efforts.

Que fait l’oiseau? Il se paralyse et abandonne la tâche? En aucune façon. Il recommence encore et encore jusqu’à ce que les premiers œufs apparaissent dans le nid.

Parfois — très souvent — avant que naissent les oisillons, un animal, un enfant ou une tempête détruit une fois de plus le nid, mais cette fois avec son précieux contenu. Cela fait mal de recommencer depuis zéro.

Même ainsi, l’oiseau ne se tait jamais, ni ne recule; il continue de chanter et de construire.

Êtes-vous fatigué de recommencer, du gaspillage de la lutte quotidienne, de la confiance trahie, des buts non atteints alors que vous étiez sur le point d’y arriver?

Ne vous préoccupez pas si dans la bataille, vous recevez une blessure. Il faut s’y attendre. Réunissez les morceaux de votre espérance, reconstruisez-la et foncez de nouveau. Peu importe ce qui se passe… Ne faiblissez pas, allez de l’avant.

L
a vie est un défi constant, mais cela vaut la peine de l’accepter.  Et surtout… N’arrêtez jamais de chanter.

Restez debout...*
La blague du blog

Un petit garçon revient de l'école, vers 16 h. Sa mère. lui demande : « Qu'as -tu fait, ce matin à l'école?
— Ce matin , maman, j'ai li! »
Sa mère lui répond : « On ne dit pas J'ai li. On dit J'ai lu. Et, cet après-midi, qu'as tu fait?
— J'ai écru, maman!!!

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10 septembre 2008 3 10 /09 /septembre /2008 23:00

 

 

1. Décider de guérir 

Pour guérir, il ne suffit pas de le désirer, il faut le décider! Si nous désirons simplement guérir, alors nous vivons dans l'espoir et l'attente. Nous ne sommes pas maître des évènements, nous les subissons. Nous sommes dans l'expectative. Pour guérir, nous devons transformer notre désir en décision. Cette décision est le début de notre guérison.

 

2. Devenir l'acteur principal de notre guérison 

Nous sommes l'acteur principal de notre maladie, nous devenons l'acteur principal de notre guérison! Par nos comportements et nos pensées erronés, nous créons nos maladies et nous préparons le terrain favorable à l'apparition de toutes sortes de dysfonctionnements. Nous faisons ensuite appel à des spécialistes — thérapeutes, médecins, guérisseurs — pour nous guérir. Nous sommes donc initialement l'acteur principal de nos maladies, mais nous demeurons spectateur de notre processus de guérison. Pour guérir, nous devons d'abord changer de rôle, et devenir l'acteur principal de notre guérison. Les thérapies, techniques ou traitements deviennent à ce moment des aides précieuses que nous pourrons utiliser pour notre guérison. 

 

3. Adopter de nouvelles attitudes 

Nos anciennes attitudes nous ont rendu malade, les nouvelles nous permettent de guérir! La guérison est un processus de transformation. Celui qui est guéri n'est plus le même que celui qui était malade. La guérison nécessite au minimum de profonds changements et, le plus souvent, une véritable transformation. Elle s'accomplit en adoptant les nouvelles attitudes nécessaires à notre guérison. Notre résistance au changement est un obstacle majeur à notre guérison. 

 

4. Cultiver des pensées positives 

C'est en devenant un optimiste incurable qu'on se guérit! On ne guérit pas dans la tristesse et le pessimisme, mais dans la joie et l'optimisme. Nous devons choisir d'être heureux, et cultiver des pensées positives qui suscitent des émotions dynamisantes. Ainsi nous créons l'environnement propice à notre guérison. Bannissez les pensées négatives, et devenez un optimiste incurable! 

 

5. Agir avec confiance et détermination 

Quand notre détermination est totale, notre guérison est inévitable! L'efficacité de notre pouvoir de guérison dépend de la confiance que nous lui prêtons et de notre détermination à toute épreuve. Quand celles-ci sont totales, notre pouvoir de guérison est sans limites. 

 

6. Utiliser son pouvoir de guérison 

Nous avons le pouvoir de nous rendre malade, mais aussi de nous guérir! Chacun a déjà fait l'expérience de son pouvoir créateur en se rendant malade par des pensées et des attitudes négatives. C'est ce même pouvoir créateur que nous pouvons utiliser consciemment pour nous guérir. 

 

7. Persévérer jusqu'à la réussite 

Notre persévérance est le gage de notre réussite! La guérison commence dès qu'on le décide réellement. Mais de même que les maladies se déclarent après une période d'incubation, la guérison devient totalement manifeste après un temps de gestation. Les effets de la guérison peuvent être immédiats dans certains cas, ou se manifester par étapes pour d'autres aspects, selon les attitudes de chacun et les causes de la maladie. Notre persévérance nous garantit une guérison totale et durable. (Petites douceurs pour le cœur, p. 142)

Les 7 piliers de la guérison*
La blague du blog

 

C'est l'anniversaire du père à Toto, et le papa dit à Toto : 

— Ce qui me ferait le plus plaisir Toto pour mon anniversaire, c'est que tu travailles bien à l'école. Toto dit :

— Trop tard je t'ai déjà acheté une cravate!

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Bienvenue Sur Mon Blog!

  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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