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3 juin 2009 3 03 /06 /juin /2009 20:04

 

 

 

Aucun être n'arrive par hasard sur notre route. Chaque être, même le plus modeste et même le plus difficile, le plus mauvais, a quelque chose à nous apprendre et peut nous aider à forger notre caractère et à développer en nous le principe d'amour.

 

En ce sens, chaque être est un maître pour l'autre. Et tant que nous avons des conflits avec une personne, tant que nous ne sommes pas en harmonie avec elle, c'est qu'elle a encore quelque chose à nous apprendre, c'est que nous devons travailler, à son contact, un aspect de notre caractère.

 

Devant chaque conflit, devant chaque contrariété, que ce soit au travail ou en amour, il faut s'habituer à se poser la question : « Qu'est ce que cette situation, qu'est ce que cet être est venu m'apprendre? Pourquoi est-il sur ma route à ce moment de ma vie? »

 

Et lorsqu'on trouve la réponse, une nouvelle leçon est apprise, une nouvelle marche est gravie dans l'escalier infini de la sagesse… Et la difficulté, devenue inutile, disparaît instantanément…

 

Mais nous ignorons cette loi pourtant simple, nous ne tenons pas compte des autres, parce que nous manquons d'humilité et que nous sommes aveuglés, comme si nous nous promenions dans la vie avec, devant nous, un miroir dans lequel nous nous contemplons stérilement et qui nous empêche de voir les autres…

 

C'est pour cela que la plupart des gens sont persuadés qu'ils sont les seuls à avoir raison, que tous les autres ont tort…

 

Pour cette raison, il n'y a à peu près jamais de vraie conversation, et tous les êtres restent solitaires, enfermés dans leur propre filet mental. Par conséquent, les guerres, petites et grandes, se perpétuent à travers les siècles… Parce que personne ne veut prendre le temps de marcher dans les souliers d'un autre avant de juger… — Marc Fisher

 

Source : Très beau blog Émergence du coeur

 

Savoir se mettre au niveau des autres; voilà l'essence même de la vraie grandeur.

Chaque être est un maître pour l'autre*

La sagesse

Il faut s'incliner devant tout être qu'on rencontre, parce que chaque être est unique et possède une coupe qui contient la sagesse de son expérience.

Si je me place au-dessus de l'être que je rencontre, il ne peut déverser dans ma propre coupe le vin de la sagesse. Si au contraire je m'incline, sa sagesse se déverse naturellement en moi, par une sorte de loi de la gravité spirituelle. C'est ce que, dans le grand public, on appelle être à l'écoute des autres ».

Chaque être est un maître pour l'autre*

Témoignage de mon livre d'or

Bien chère Nicole,

En parcourant quelques pages de ton livre, je constate que j'ai un petit bijou entre les mains. Merci de partager ces textes et réflexions sublimes. À différentes étapes de notre vie, nous avons tous besoin de puiser à la source. Et quelle source que ce livre ! Rempli de tendresse, d'amitié et d'amour. Jour après jour je découvre ton site. Que de merveilles s'offrent à moi ! Merci ! Merci ! — Rose-Marie Morin, Laval

Chaque être est un maître pour l'autre*

La blague du blog

Le père : Trouvez-vous que mon fils me ressemble ?

L'ami : Oui, mais ce n'est pas grave; d'abord qu'il est en bonne santé.

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13 mai 2009 3 13 /05 /mai /2009 20:05

 

 

À la mort de Gandhi, le monde entier a été saisi d'une très grande leçon d'humilité. Quoi de plus impressionnant, en effet, que de voir sur une photo publiée dans presque tous les journaux du globe, les possessions d'un homme mieux connu sur la terre que n'importe quel chef d'état ou star de cinéma.

 

Lors de son décès, les biens matériels de Gandhi se limitaient à une paire de lunettes, une paire de sandales, quelques vêtements sobres, un rouet et un livre. Qu'importe, partout sur la planète, on apprenait qu'un homme, sans doute le plus riche, venait de nous quitter.

 

Gandhi nous faisait comprendre ce que Henry David avait dit un jour : « L'homme n'est riche qu'en proportion de ce qu'il peut abandonner. » À ce compte, Gandhi était multimillionnaire.

 

Depuis 40 ans, ou peut-être davantage, nous sommes captivés par le besoin de posséder plus et toujours plus. Constamment, nous luttons pour notre confort, notre sécurité matérielle, nous convoitons ce que le voisin possède et rêvons au luxe que nous renvoient les images de la télévision.

 

Dans cette course effrénée de possession, nous oublions l'essentiel. Trop pressés, trop fatigués, nous ne voyons plus où se trouve la vraie richesse. Elle est à l'intérieur de nous-mêmes, de notre famille ; elle passe par l'émerveillement de nos enfants, la satisfaction d'avoir réalisé quelque chose d'important, le plaisir de revoir des amis. 

 

Le secret du bonheur, c'est de vivre juste au-dessous de ses moyens. Le secret de la réussite sociale, c'est de vivre juste au-dessus de ses moyens.

Michel Polac

La vraie richesse*

Vous n'avez pas besoin...

Vous n’avez pas besoin d’autant de choses que vous le pensiez, ce qui veut dire que…

Vous n’avez pas besoin d’acheter autant de choses, ce qui veut dire que…

Vous n’avez pas besoin d’autant de place, ce qui veut dire que…

Vous n’avez pas besoin d’une maison plus grande, ce qui veut dire que…

Vous n’avez pas besoin de gagner autant d’argent, ce qui veut dire que…

Vous n’avez pas besoin de travailler autant, ce qui veut dire que…

Vous avez plus de temps et plus d’énergie, ce qui veut dire que…

… Vous pouvez déposer les armes et vous réconcilier avec la vie! 

Jeffers, Suzan. Osez vous réconcilier avec la vie.

La vraie richesse*

La blague du blog

Deux voitures entrent en collision dans un dangereux carrefour. Le chauffeur qui pense être en droit sort de sa voiture et lance à l'autre :

« Connard ! 

Et l'autre chauffeur de lui répondre :

Enchanté, moi c'est Dupont ! »

 

 

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22 avril 2009 3 22 /04 /avril /2009 22:00

 

 

Une femme était dans le coma et se mourait. Elle eût soudain l'impression qu'on l'amenait au ciel et qu'elle se trouvait au lieu du jugement.

« Qui êtes-vous? demanda une voix.
— Je suis la femme du maire, répondit-elle.

— Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la femme, mais bien qui vous êtes.
— Je suis la mère de quatre enfants.

— Je ne vous ai pas demandé de qui vous êtes la mère, mais bien qui vous êtes.
— Je suis maîtresse d'école.

— Je ne vous ai pas demandé qu'elle est votre profession, mais bien qui vous êtes.
— Je suis chrétienne.

— Je ne vous ai pas demandé votre religion, j'ai demandé qui vous êtes.
— Je suis celle qui a toujours aidé les pauvres et les miséreux.

— J'ai demandé non pas ce que vous avez fait, mais qui vous êtes. »

Elle a manifestement échoué à l'examen puisqu'on l'a renvoyée sur terre. Quand elle se remit de sa maladie, elle décida de découvrir qui elle était. Et cela fit toute la différence.

Votre tâche consiste à ÊTRE. Pas à être quelqu'un, pas à n'être personne, pas à être ceci ou cela et ainsi devenir conditionné, mais juste à ÊTRE.  


Texte trouvé sur le blog Se souvenir des belles choses

 

Découvrez qui vous êtes et vous n'aurez plus aucune envie de devenir quelqu'un d'autre. 

Qui êtes-vous?*
Quand nous mourrons et frapperons aux portes du Paradis, notre Créateur ne nous demandera pas : « Pourquoi n'as-tu pas trouvé le traitement de telle ou telle maladie? Pourquoi n'es-tu pas devenu le Messie? » La seule question qu'il nous posera en cet instant précieux, c'est : « Pourquoi n'es-tu pas devenu toi-même? »
 
Vous êtes un individu unique. Jamais il n'y a eu et jamais il n'y aura d'être humain comme vous. Il n'y a rien d'ordinaire en vous. Et si vous vous sentez banal, ordinaire, c'est parce que vous avez choisi de cacher aux yeux du monde les parties de vous-même qui sont extraordinaires. Peut-être même avez-vous oublié leur existence, elle ne se sont pas manifestées depuis tellement longtemps.
 
Mais écoutez bien... Elle vous appellent... ces voix qui sont au fond de vous-même... Elles crient pour être reconnues, pour que vous les rassembliez. « Libère-nous », disent-elle, « et nous te montrerons le chemin de la plénitude. »

De Angelis, Barbara. Les moments vrais.
Qui êtes-vous?*

La blague du blog

Un médecin apprend à son malade qu'il n'a plus que 12 heures à vivre. L'homme rentre chez lui et annonce la nouvelle à sa femme :

— Chérie, voici ce que j'aimerais faire pendant ces douze heures : un bon dîner, ensuite aller boire et danser tout le reste de la nuit.

— Oh! la! la! répond sa femme. C'est facile pour toi... On voit bien que tu n'auras pas à te lever demain matin. »

 

 

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8 avril 2009 3 08 /04 /avril /2009 22:00

 

 

 

Régulièrement, Paul allait chez son ami le barbier et tout en se faisant couper les cheveux, ils échangeaient de tout et de rien. Un beau matin, ils abordèrent le sujet de Dieu…

Le barbier dit : « Écoute, tu prétends que Dieu existe, mais moi, je n’y crois pas.

— Et pourquoi dis-tu cela? demanda Paul.

— Eh bien, c'est facile. Tu n'as qu'à sortir dans la rue pour comprendre que Dieu n'existe pas. Si Dieu existait, y aurait-il tant de gens malades et tant d'enfants abandonnés? Non, si Dieu existait, il n'y aurait ni souffrance ni peine. Je ne peux penser à un Dieu qui permet toutes ces choses. »

Au lieu de confronter son ami barbier, Paul resta silencieux et réfléchit à la meilleure façon de lui faire voir les choses autrement. Il sortit du salon et dès qu’il fut sur le seuil de la porte, il vit un homme dans la rue avec de longs cheveux et une barbe.

Il retourna donc à l’intérieur et dit à son ami : « Tu sais quoi? Les barbiers n'existent pas. »


— Comment ça, les barbiers n'existent pas? N’en suis-je pas la preuve vivante?

— Non, répondit Paul. Ils n'existent pas parce que s'ils existaient, il n'y aurait pas de gens avec de longs cheveux et la barbe longue comme cet homme qui marche dans la rue.

— Voyons Paul! Ce qui arrive, c'est que les gens ne viennent pas à moi.

— Exactement! Alors tu vois, pour Dieu, c’est la même chose. Dieu existe, ce qui arrive, c'est que les gens ne vont pas vers Lui et ne Le cherchent pas; c'est pourquoi il y a tant de souffrance dans le monde. »


 

Pensée de la semaine : L'univers m'embarrasse et je ne puis penser que cette horloge existe et n'ait point d'horloger.

Saint Voltaire

Le barbier et Dieu*

Dieu, si Tu existes...

Parle-moi! Et aussitôt un oiseau chanta...
Montre-moi un miracle! Et une vie naquit...
Donne-moi un signe! Et le tonnerre gronda...
Laisse-moi te voir! Et une étoile scintilla dans le ciel...
Laisse-moi savoir que tu es là! Et un papillon se posa sur elle…Mais la personne ne remarqua rien de tout ça et continua à demander à
Dieu une preuve de son existence...


Petites douceurs pour le cœur, p. 107

Le barbier et Dieu*

La blague du blog


Deux enfants passent devant un panneau : « Ralentir! Ecole primaire ».

L'un des deux garçons dit : « Tu te rends compte! Ils ne croient tout de même pas qu'on va y aller en courant! »

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Bienvenue Sur Mon Blog!

  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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