Certaines personnes entrent dans notre vie et laissent une empreinte sur notre cœur, et nous ne sommes plus jamais les mêmes.
Certaines personnes entrent dans notre vie et s'en vont rapidement... Certaines restent quelque temps et embrassent nos rêves silencieux.
Elles nous aident à prendre conscience des vents délicats de l'espoir... et nous découvrons que chaque esprit humain cache des ailes qui aspirent à voler.
Elles aident notre cœur à voir que le seul escalier qui mène aux étoiles est tissé de nos rêves... et nous nous découvrons sans peur pour gagner les hauteurs.
Elles célèbrent l'essence vraie de qui nous sommes... et ont la foi en tout ce que nous pouvons devenir.
Certaines personnes nous éveillent à de nouvelles et plus profondes réalisations... car nous recevons la perspicacité du chuchotement de leur sagesse.
Durant toute notre vie, de précieuses âmes nous sont envoyées... visant à partager notre voyage. Que leur séjour soit bref ou long, elles nous rappellent pourquoi nous sommes ici.
Pour apprendre... pour enseigner... pour nourrir... pour aimer.
Certaines personnes entrent dans notre vie pour éclairer régulièrement notre chemin et guider chacun de nos pas. Leur foi brillante en nous nous aide à croire en nous-mêmes.
Certaines personnes entrent dans notre vie pour nous enseigner l'amour... l'amour qui réside en nous-mêmes.
Allons vers les autres et ressentons le bonheur suprême du don car l'amour est bien plus riche en action qu'il ne l'est en paroles.
Certaines personnes entrent dans notre vie et poussent nos âmes à chanter et font danser notre esprit. Elles nous aident à voir que tout sur la terre fait partie de l'incroyable de la vie... et qu'il nous est toujours possible d'en ressentir la joie.
Certaines personnes entrent dans notre vie et laissent une empreinte sur notre cœur et nous ne sommes plus jamais les mêmes.
Flavia Weedn / Source : Marcelle della Faille
La blague du blogue
Entre Montréal et Vancouver, un homme et une femme qui ne se connaissent pas doivent partager une même unité de wagon-lit.
Bien qu'un peu gênés d'avoir à partager autant d'intimité, les deux sont fatigués et tombent bien vite endormis ; lui sur la couchette du haut ; elle sur celle du bas.
Vers 1 heure du matin, l'homme se penche au-dessus de la couchette du bas et réveille la dame : « Madame, Madame, excusez-moi de vous déranger mais j'ai terriblement froid. Auriez-vous la gentillesse de me donner la couverture qui se trouve dans le casier ? »
— J'ai une bien meilleure idée, répond la femme, faisons semblant que nous sommes tous deux mariés, juste pour cette nuit. Ça vous va ?
— Wow ! Quelle idée intéressante ! s'exclame l'homme. Je suis bien d'accord !
— Bon, dit-elle alors, va la chercher toi-même cette putain de couverture ! »