Une dame très âgée, au visage rayonnant, partagea à une amie le secret de son bonheur.
« Chère Rose, c’est simple, j’ai toujours tenu un agenda du bonheur.
— Un quoi?
— Eh oui, tu as bien compris, un agenda du bonheur... Il y a bien longtemps que j'ai appris ceci : aucune journée n'est si triste qu'elle ne renferme un quelconque rayon de lumière. Alors, chaque soir, j’écris toutes les petites choses heureuses qui m'arrivent.
Il renferme certes bien des détails insignifiants : une robe neuve, une conversation avec une amie, une attention de mon mari, une fleur, un livre, etc. Tout ceci figure dans mon agenda et quand je me sens un peu triste, j'en lis quelques pages pour me remémorer quelle heureuse femme je suis. Je peux te le montrer si ça t’intéresse.
Curieuse et intriguée, Rose ouvrit ce fameux agenda. Sur l’une des pages, on pouvait y lire ceci : « Reçu une gentille lettre de maman. Vu un beau lys dans une vitrine. Retrouvé la broche que je croyais avoir perdue.
— As-tu trouvé chaque jour un plaisir à noter? demanda Rose, perplexe.
— Oui, chaque jour.
Rose continua à tourner les pages et arriva à celle qui contenait ces mots : « Il mourut en tenant ma main dans la sienne et mon nom sur ses lèvres. »
— Tu vois Rose, conclut la vieille dame, même la mort contient sa part de positif…
Le plus souvent, on cherche le bonheur comme on cherche ses lunettes : quand on les a sur le bout du nez.
Créez-vous un pense-bête à l'heure du coucher
Tous les soirs, avant d’aller dormir, pensez à un mot ou deux exprimant votre reconnaissance pour tout ce qui vous a été donné pendant la journée écoulée. Les yeux fermés, répétez-vous le mot ou les mots que vous avez choisis. Souvent, je m’endors en pensant « Merci ». Ce rituel tout simple m’empêche de ressasser les petits riens contrariants ou ennuyeux qui m’auraient empêché de dormir. En répétant « Merci », je ne tarde pas à trouver le sommeil paisiblement.
Jeffers, Suzan. Osez vous réconcilier avec la vie
La blague du blog
L'étudiante, talons aiguilles et chandail moulant, entre dans le bureau du prof et ferme la porte. Elle s'élance à ses pieds...
— Monsieur, je suis prête à tout pour passer mon examen.
Elle enroule ses bras autour des jambes de l'homme, colle sa tête sur sa cuisse et le regarde droit dans les yeux, l'oeil chaud, la bouche humide.
— Je vous le dis. Je dois réussir. Je veux réussir.
— Vous avez dit tout?
— Oui.
— Vraiment?
— Ah oui...
— Alors, que diriez-vous d'étudier...