C'est tellement facile de juger ce qui ne fonctionne pas dans la vie des autres.
Nous nous disons souvent : « Si j'étais à sa place, je ferais telle chose, telle chose, telle chose ! »
Mais avons-nous déjà pensé que si nous étions réellement à la place de l'autre personne, vraiment dans ses souliers, nous serions aux prises avec ses émotions, ses préjugés, ses réactions, ses inquiétudes, ses ambitions, ses objectifs, ses inhibitions, ses instincts ; bref, nous aurions son passé, son présent et son avenir et il est fort probable que nous agirions exactement de la même façon qu'elle.
Avant de condamner quelqu'un, essayons non seulement de le comprendre, mais de vibrer au même diapason que lui et, nous constaterons alors que nos émotions ressemblent aux siennes.
Texte : Le monde de la philo et de la poésie
Ne juge jamais un homme avant d'avoir marché un mille dans ses souliers.
La blague du blogue
L'histoire se passe dans un train. Dans un des compartiments, se trouvent trois hommes et une jeune femme de toute beauté. La discussion s'engage rapidement entre les quatre passagers, puis, très vite prend une tournure plutôt érotique. D'ailleurs, à un moment, la jeune femme propose :
« Si chacun de vous me donne 10 euros, je suis prête à vous montrer mes mollets... »
Les hommes, sous le charme de la jeune femme, sortent tous les 10 euros de leurs portefeuilles. Là-dessus, la jeune femme s'exécute et leur montre ses mollets ravissants. La discussion continue, toujours plus érotique, puis la jeune femme relance :
« Si chacun de vous me donne 50 euros, je suis prête à vous montrer mes cuisses... »
Les hommes étant ce qu'ils sont, ils n'hésitent pas une seconde et sortent chacun 50 euros de leurs portefeuilles. La jeune femme remonte sa robe et leur laisse contempler le haut de ses jambes splendides. Puis la discussion reprend de plus bel. Très vite, la jeune femme leur dit :
« Si chacun de vous me donne 100 euros de plus, je vous montre où j'ai été opérée de l'appendicite... »
Naturellement, tous les trois lui donnent 100 euros de plus, et à ce moment-là, la jeune femme se tourne vers la fenêtre, et pointant du doigt un hôpital, elle dit :
« C'est là... »