Dans un monde où le temps s'enfuit à toute allure;
Dans un monde où l'argent impose sa culture;
Dans un monde où parfois, l'indifférence isole;
Les anges existent encore : ce sont les bénévoles.
Ces gens qui, par souci du sort de leur prochain,
prennent de leur temps pour tendre la main;
Ces êtres généreux, qui s'oublient et se dévouent,
Ne les cherchez pas loin. Ils sont parmi nous.
Étant fort discrets, ils ne demandent rien
Ni merci, ni argent, ni aucun bien.
Pourtant, ce qu'ils donnent n'a pas de prix.
Rien ne peut l'acheter : c'est une partie de leur vie.
Et c'est bien grâce à eux si Noël, pour certains,
demeure un jour de magie plutôt que de chagrin!
De tout cœur, nous désirons vous remercier :
« Puissiez-vous recevoir autant que vous donnez! »
(Petites douceurs pour le cœur, p. 18)
Ne vous laissez jamais aller à penser : « Si j'aide les autres, j'accumulerai des actions positives. Je serai une personne vertueuse, ce qui me permettra d'être heureux à l'avenir. »
Ce n'est pas le but. Accomplissez des actions positives avec compassion, du plus profond de votre coeur, sans être guidé par la plus petite notion de récompense personnelle.
Hommage à Mère Teresa
Tu t'es penchée sur la misère du monde
Vers les plus pauvres des pauvres d'entre tous.
Sans hésiter devant les plaies immondes
Tu as soigné les corps en fin de course.
Petite, frêle, sans force, avec amour
Tu as tendu le bras de la bonté
Sur l'impotent, sur l'aveugle et le sourd
Tes mains bénies sans cesse se posaient.
Oui, tu fus mère, reine de la tendresse
Auprès de ceux que la vie ignorait
Des indigents, des ignorants qui naissent
Juste le temps de mourir torturés.
Mère de l'Inde, mère du monde entier
En ta présence, on se savait aimé.
Tu prodiguais plus que de la pitié
Tu rassasiais l'âme des affamés.
En te voyant, je me sentais coupable
De ne rien faire et de ne rien donner,
Alors que toi, dans la joie inusable
Tu secourais l'enfant abandonné.
Nous te devons d'avoir fait resplendir
La guérison dérobée à la mort
Cette lumière qui brille sans rien dire
Cette bonté qui rend le faible fort.
La blague du blog
Le fils : « Aujourd'hui, j'étais dans le bus avec papa. il m'a dit de laisser ma place à une dame...
La maman : — C'est très bien, fiston, tu as fait une bonne action.
Le fils : — Mais maman, j'étais sur les genoux de papa !