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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 18:02


 

fleur.gif« La vie n’est qu’un banc d’essai, une expérience. Sinon on aurait tous un manuel d’instructions qui nous dirait où aller et comment faire. »

Chaque fois que je pense à cette phrase, elle me rappelle de ne pas prendre la vie trop au sérieux.

Quand on imagine la vie et ses défis comme un banc d’essai, ou une série d’expériences, on s’aperçoit que chaque obstacle constitue une occasion d’avancer et de mieux se connaître.

Que l’on croule sous les problèmes ou les responsabilités, que l’on se trouve devant un obstacle qui paraît insurmontable, quand on voit la vie comme un test, on a forcément toujours une chance de gagner.

Si, au contraire, on perçoit chaque nouveau défi comme une lutte à finir, on s’expose à bien des stress inutiles. On ne doit pas attendre pour être heureux que tout aille pour le mieux dans le meilleur des mondes. Les conditions idéales au bonheur n’arrivent que trop rarement.

Faites-en l’expérience en appliquant le principe du banc d’essai à un problème que vous devez surmonter, un patron difficile ou une relation compliquée, par exemple. Et voyez comment vous pouvez revoir la situation, non sous l’angle d’un problème, mais d’un essai. Qu’avez-vous à perdre ? Ainsi, au lieu de vous battre contre ce problème, essayez de voir s’il peut vous enseigner quelque chose.

Demandez-vous : « Pourquoi ce défi dans ma vie ? Que signifie-t-il et que m’en coûtera-t-il de l’affronter ? Est-ce que je pourrais envisager ce problème d’une autre façon ? Est-ce que je peux le voir comme une sorte d’essai ou d’expérience ? »

En optant pour l’essai, vous serez étonné de constater que les solutions ont changé. Si par exemple, vous êtes frustré parce que vous manquez de temps dans une journée et que vous courez pour arriver à tout faire, vous en rejetez le blâme sur votre horaire, vos responsabilités, les circonstances, ou toute autre raison.

En choisissant de voir ce problème comme un bout d’essai, vous pourriez réaliser que pour vous sentir mieux, il n’est pas nécessaire d’organiser votre vie afin d'avoir plus de temps mais plutôt pour arriver à être satisfait de vous, même si vous n’avez pas tout accompli. En d'autres termes, le vrai défi est de voir votre problème comme un bout d’essai.

Au fil des essais et des expériences, vous apprendrez à affronter vos plus grandes frustrations. Et surtout, vous arriverez plus facilement à accepter les choses comme elles sont au lieu de toujours les combattre.


– Dr Richard Carlson

 

 

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19 janvier 2011 3 19 /01 /janvier /2011 18:01

 

- Ne pas regarder en arrière. Si vous avez vécu des choses difficiles dans votre passé, il ne faut pas y penser. Votre passé est une lourde pierre dont le poids vous empêche de voler, il faut la lâcher.

- Pour ne pas surmonter nos peurs les plus profondes, notre inconscient élabore des mécanismes de défense pour ne pas que nous regardions les vrais problèmes en face. Tout le monde n’est pas prêt, chacun doit marcher à son rythme.

- N‘obligez personne à effectuer le saut de la foi. Respectez ceux qui trouvent des arguments pour ne pas avoir à le faire. Il faut un temps pour tout. En revanche, vous pouvez les mettre sur le chemin en leur parlant du saut de la foi.

- Ne parlez pas de votre plus grande peur à la légère. Si vous la surmontez, vous libérerez votre tête, mais si quelqu’un venait à la connaître, il tiendrait entre ses mains de quoi vous faire souffrir.

- J‘effectue le saut de la foi maintenant, pas demain ni la semaine prochaine. Ni quand les choses iront mieux. Je ne cherche pas une raison pour le remettre à plus tard. Aujourd’hui je suis en mesure de faire quelque chose pour vivre pleinement le saut de la foi. Alors je ne dis qu’une chose : j’y vais !

Vous pouvez vous aider de la religion pour effectuer le saut de la foi. Si vous êtes bouddhiste, vous pouvez vous dire que Bouddha est en vous. Si vous êtes catholique, que le Christ est en vous. Ne doutez pas de leur amour pour effectuer le saut de la foi car c’est pour surmonter vos peurs les plus intimes que vous êtes sur terre. Soyez simple. Soyez vous-même. Ne vous compliquez pas inutilement avec des pensées diverses. Agissez. Ne réfléchissez pas. À la limite, agissez comme un enfant, comme si c’était la première fois, sans élaborer des choses compliquées, comme si c’était le premier jour de votre vie, sans préjugés dans votre tête, sans pensées toutes faites.

Vous devez agir pour donner l’occasion à la vie de vous donner ce qu’il vous manque. Si vous ne montez pas assez haut pour le chercher, ça ne viendra pas. Si vous ne descendez pas assez profondément en vous-même pour rectifier ce qui coince, ça ne marchera pas non plus. Agissez complètement. Sans le moindre doute. De manière entière.

Le saut de la foi sert à surmonter ce qui bloque la tête afin de vous rendre libre. Si vous ne réussissez pas du premier coup, recommencez. N’oubliez pas! Vous allez quitter ce site et reprendre vos occupations et peut-être oublier ce que vous venez de lire. Il va falloir vous souvenir de ce que vous avez lu pour vous rappeler que vous devez surmonter votre peur la plus profonde. Notre humanité est bloquée à cause de son inconscient et des peurs qui s’y trouvent cachées. Surmonter nos peurs fait parti de notre évolution. C’est une étape difficile mais qui n’a aucune raison de ne pas réussir.



Source : L'espace Arc-en-ciel

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 17:04



Il y a très longtemps, un roi fit placer un gros rocher sur une route. Puis, il se cacha et attendit pour voir si quelqu'un enlèverait l'énorme rocher. 

Quelques-uns des marchands et courtisans les plus riches du royaume passèrent par là et firent tout simplement le tour du rocher. Plusieurs d'entre eux en profitèrent pour accuser le roi de négliger les routes, mais aucun ne fit quoi que ce soit pour enlever le rocher du chemin.

Puis, un paysan passa par là avec une grosse caisse de légumes. En approchant du rocher, le paysan déposa son fardeau et essaya de pousser le rocher vers le fossé. Après beaucoup d'efforts, il finit pas réussir. 

Lorsqu'il se pencha pour reprendre sa caisse de légumes, il aperçut une bourse pas terre, à l'endroit même où était le rocher. La bourse contenait plusieurs pièces d'or et une note écrite par le roi, dans laquelle il disait que l'or appartenait à la personne qui avait enlevé le rocher. 

Le paysan venait d'apprendre ce que beaucoup de gens ne comprennent jamais : chaque obstacle nous donne l'occasion d'améliorer notre sort.


Auteur : Brian CAVANAUGH


 
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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 17:02

 

1) Découvrez votre valeur propre. Vous vous ouvrez à l'abondance dans la mesure où vous pensez en être digne. Jusqu'à quel point vous sentez vous prêt à assumer cela aujourd’hui ?

2) Retrouvez votre volonté. Faire ce qui doit être fait, qu'on en ait envie ou pas, c'est ce qui procure l'estime de soi. Savez-vous passer des paroles aux actes ?

3) Tonifiez votre corps. La seule chose que vous pouvez être certain de garder toute la vie est votre corps. Comment pourriez-vous prendre davantage soin de celui-ci ?

4) Sachez gérer votre argent. L'argent n'est ni bon ni mauvais en soi : il n'est qu'une forme d'énergie, une nécessité pratique. Êtes-vous parvenu à la stabilité financière ?

5) Domptez votre mental. Votre perception du monde passe par vos croyances, vos opinions, vos interprétations. Dans quelle mesure vos croyances façonnent-elles votre expérience de vie ?

6) Faites confiance à votre intuition. Votre connaissance va bien au-delà de ce que vous avez lu, entendu ou appris. Êtes-vous déjà en communication avec votre guide intérieur ?

7) Acceptez vos émotions. Les sentiments sont naturels. Vous n'avez pas à chercher à les rectifier pour vivre pleinement votre vie. Avez-vous fait la paix avec vos émotions ?

8) Faites face à vos peurs. La pratique quotidienne du courage ne relève pas du sentiment mais de l'action. Êtes-vous le serviteur ou le maître de votre peur ?

9) Faites la lumière sur vos zones d'ombre. La connaissance de soi conduit à l'authenticité, l'énergie et la compassion. Vous connaissez-vous réellement, ou seulement une image de vous-même ?

10) Intégrez votre sexualité. « Faire l'amour » est une approche fondamentale de la vie. Quelle est votre attitude concernant les plaisirs de la vie : l'ivresse, le rejet ou une célébration consciente ?

11) Éveillez votre cœur. L'amour est une action qui ouvre les portes pour atteindre, chaque jour, l'illumination. Pouvez-vous être compatissant et bienveillant sans raison ?

12) Servez l'humanité. Le dernier passage donne un nouveau sens à la vie. De quelle façon pourriez-vous contribuer au bien-être de quelqu'un aujourd’hui ?


Millman, Dan. Chaque jour l’illumination.


 

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28 avril 2010 3 28 /04 /avril /2010 17:01



 

Être vieux, c'est sérieux !

 

Dans notre monde, je parle de l'Occident, tout est nouveau, tout change ; ce qui est jeune est bon, le changement est nouveau, la nouveauté est changeante et qu'on soit humain ou grille-pain, il n'est pas recommandé de vieillir. 

Le monde est né d'hier, il commence aujourd'hui et renaîtra demain. Nous parlons naturellement de prévenir les marques du temps : anti-tache, anti-rouille, anti-ride, anti-vieillesse. Sans anti, pas d'espoir. Vieux schnouk, vieux de la vieille, vieux machin, vieille chouette, la mode est à tout, sauf à l'ancien. 

Si la vieillesse est un naufrage, alors je donne ma langue au chat. La vie ne serait finalement que ce grand voyage de l'absurde où nous traversons périls et océans, déserts et continents pour mieux glisser, ridicules et impotents sur la pente irréversible de la fatalité. 

Il est vrai que l'on meurt. Il est encore plus vrai que nous nous amenuisons avec le temps rapport au fonctionnement et aux apparences de notre corps. Mais ce serait bien un comble de laisser aux émotions faciles le soin de traiter de la chose. Et pourtant, la vieillesse en a frappé plus d'un depuis la jeunesse de l'espèce. Des études récentes révèlent que lorsque nous ne mourrons pas, nous vieillissons. J'en connais, décédés un peu tôt, qui aurait tout donné pour vieillir en paix.

Toutefois sur le sujet du vieux, je ne sais pas de société plus mal barrée que la nôtre. Si nous ne sommes pas incompétents, alors nous sommes de mauvaise foi. Nous faisons tout pour dramatiser la vieillesse, tout pour la rapetisser, la rendre déplorable et la disqualifier. Oui, il se cache du « petit » dans notre regard moderne sur le vieux. « Petits vieux, petites vieilles qui font des petits dodos, des petits pipis, ils prennent des petites marches, des petites pilules, ils reçoivent de la petite visite, un petit-fils, une petite-fille, ils mangent comme des petits oiseaux et puis meurent comme des petits poulets. »

La sensibilité de la durée n'existe tout simplement pas. La valeur du temps s'annule depuis que, dans notre esprit, tout ce qui dure perd des plumes. Il pleurera à chaque ride, il maudira ses cheveux gris, il paniquera au premier mal de dos, au premier signe d'arthrite, celui pour qui la beauté se résume toute entière au look de la jeunesse. 

Nul ne sait plus assumer ses pertes de mémoire et plus personne ne sait boiter. Personne ne se vante de son grand âge, la durée n'en impose plus. Nous ne préparons pas notre vieillissement. Nous préparons notre retraite comme on prépare ses vacances mais nul n'envisage réellement sa vieillesse. Nous la nions plutôt, nous la craignons et nous renouvelons les mots pour cacher nos frayeurs : âge d'or, troisième âge et autres inepties. Comme si le mot vieillard était déjà trop vieux. 

Je ne dis pas que vieillir est agréable. Mais on meurt à tous les âges, on est malade en été comme en hiver, on déprime à n'importe quel moment de sa vie, les crétins se retrouvent fréquemment et partout dans la colonne de la vie et j'ai connu trop de vieux et de vieilles qui rebondissaient mieux que certains jeunes prématurément épuisés pour m'inquiéter sérieusement du temps qui passe. 

Je crains la maladie, je crains le gagaïsme, je crains le scandale de la souffrance et de la perte. Mais je ne crains pas mon âge et tous les âges que j'atteindrai. Je me propose d'embrasser chacune des années qui me seront données. Avec une canne en merisier que je lèverai au ciel, je clamerai mon grand âge sur tous les toits de la ville et je serai le premier responsable de ma fierté, si Dieu me prête l'amour et la santé. 

Nous devrions respecter nos vieux parce qu'ils sont vieux, un point c'est tout. Les vieux sont des pierres et des monuments, des arbres tutélaires, des âmes sculptées par le temps. Les vieux sont des témoins principaux. Ils représentent le temps passé et ce sont eux, l'histoire. À quatre-vingts ans, ma mère est si belle qu'elle donne à tous les jours un nouveau sens à la notion de dignité. 

J'espère ma vieillesse comme j'ai espéré toute ma vie. J'aurai la peau comme une écorce très ancienne, profondément ridée. Je serai honorable mais je serai armé. À la pointe du fusil, je forcerai les jeunes à écouter mes platitudes et jongleries. Et je tirerai un coup de semonce au premier qui me proposera une petite collation, un petit voyage en autobus, voire un petit n'importe quoi. Tous les vieux devraient être armés... 


Serge Bouchard, anthropologue — Texte trouvé sur le site Fun fou

 

La vieillesse offre autant de possibilités que la jeunesse mais elles prennent d'autres visages. À mesure que le soir tombe, apparaissent dans le firmament, des étoiles qu'on ne pouvait voir le jour. 

H.W. Longfellow

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 07:59





Tout engagement lucide et honnête suppose d'accepter le fait que tout engagement est un engagement à trois : toi, moi et une part d'inconnu et de mystère liée à l'évolution possible de chacun de nous. 

 

JE M'ENGAGE...

 

Je m'engage, aujourd'hui, avec ce que je suis, envers toi, avec ce que tu es. Et j'engage aussi dans cette aventure relationnelle une partie de moi en devenir, et que j'ignore encore, envers une partie de toi en devenir et que tu ignores toi aussi. Je m'engage dans la durée avec une part d'inconnu de moi et une part d'inconnu de toi, c'est-à-dire sans connaître encore l'homme ou la femme que je serai, ni celui ou celle que tu deviendras toi-même.

Dans cet engagement, nous n'embarquons pas seuls, nous ne sommes pas seuls à bord, nous embarquons avec cette part d'imprévisible incontrôlable qui peut nous lier plus fortement ou nous détacher et nous séparer.

Dans mon engagement vis-à-vis de toi, j'engage une partie de moi que je connais bien mais qui est construite sur des images, celles que je donne à voir, celles que tu veux bien voir...

Mais aussi une partie de moi, que je connais moins bien, qui appartient à mes zones d'ombre. Et à l'intérieur de ce territoire, il y a une partie de moi qui est susceptible de changer dans des directions et sous des formes que j'ignore moi-même.

Dans cet engagement, je m'engage vis-à-vis de ce que je connais de toi, vis-à-vis de ce que je sais de toi, de ce que je veux bien voir de toi. Je m'engage aussi vis-à-vis de cette part de mystère en toi, mystère pour toi, mystère pour moi, potentialité de changement que nous ne pouvons ni toi ni moi ignorer ou occulter trop longtemps.

Salomé, Jacques. Le courage d’être soi.

 

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 07:57

 

Cette petite voix est certainement très futée et experte dans l'art de vous faire sentir inadéquate... mais un simple changement d'approche vous permettra de la déjouer (note : j'ai dit simple, pas facile !).

Nous avons tous différents « parasites » dans notre esprit qui ont chacun leur salade à vendre. Il y a celui qui tente de nous protéger des échecs possibles en nous convainquant de ne rien changer ; celui qui croit qu'on ne vaut rien et qui n'aime pas être contredit ; celui qui nous conditionne à être « parfait » (plutôt qu'à être simplement NOUS). Bref, un bien beau buffet... de vieilles salades défraîchies !

Même si vous avez le sentiment de ne pas avoir de pouvoir sur ces voix négatives, vous pouvez TOUJOURS choisir de les écouter ou non. La clé, c'est de les démasquer et de vous en distancer tout doucement. Si je dis « tout doucement», c'est parce qu'une attitude de combat ou de confrontation ne fera que les nourrir.

Ainsi, observez ces voix-parasites lorsqu'elles sont à l'œuvre, mais sans mordre aux hameçons qu'elles vous tendent.

Prenez note de leurs stratagèmes et remarquez comme elles sont répétitives et prévisibles !

Par le simple fait de les observer calmement, avec un certain détachement, vous créerez une distance nouvelle entre elles et vous. C'est dans cet « espace » que vous retrouverez votre pouvoir de choisir. D'ailleurs, un moyen amusant de vous détacher encore davantage de ces parasites indésirables est de leur donner des surnoms humoristiques. Lorsqu'ils se manifesteront, vous sourirez en coin et penserez : « Ah, tiens donc, c'est XX qui essaie encore de me faire sentir coupable » ou « Encore YY qui veut me donner la trouille ! ».

Trucs de coach…

Dès qu'une pensée négative surgit dans votre esprit, dites-vous STOP ! Puis prenez 30 secondes pour vous recentrer et pour la remplacer par une affirmation positive et stimulante. Vous aurez à fournir un effort au début, mais après environ une semaine vous le ferez naturellement car vous aurez développé l'habitude d'être positive (oui, c'est vraiment d'une habitude à acquérir qu'il s’agit !)

Le but ultime de votre démarche est de reprendre la MAÎTRISE de vos pensées (bref, de pouvoir CHOISIR plutôt que d'être un pantin à la merci des « parasites »). Ainsi, vous pourrez décider, par exemple, de vivre votre culpabilité pendant quelques minutes, puis de passer à autre chose. Ce ne sera plus « tout ou rien », et vous aurez le contrôle.



Sandra Nouzille - Passion en action

 

 

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 07:56


Voici l’histoire vraie d’une étude scientifique intéressante.

Les étudiants d’une université ont pris un rat et l’ont placé dans un tube de trois pieds de profondeur rempli d’eau. Le tube a été placé dans le noir complet et le rat a cessé de nager après trois minutes. Ils ont refait la même expérience, mais en mettant de la lumière dans la pièce. Le second rat a nagé pendant 36 heures avant d’arrêter.

Les étudiants étaient très étonnés du résultat. Ils n’en revenaient pas que le second rat ait pu, pour sauver sa vie, dépenser 3 000 fois plus d’énergie que le premier. Ils ont refait la même expérience à quelques reprises et ont toujours obtenu les mêmes résultats.

Une explication plausible est que le second rat avait espoir de s’en sortir puisqu’il voyait « la lumière au bout du tunnel ».

C’est-à-dire que parce que le tube dans lequel il se trouvait était transparent, il pouvait voir le reste de la pièce. Contrairement au premier rat qui ne voyait rien du tout.

Qu’est-ce que tout cela signifie pour nous ? Si vous voulez avoir plus d’énergie, sortir d’une sensation de fatigue, il vous faut avoir de l’espoir. Souvent, il suffit de presque rien pour retrouver un peu d’espoir : aider quelqu’un, se débrancher des médias de masse qui nous programment négativement, etc.

Je veux vous transmettre aujourd’hui le message que vous pouvez faire ce que vous voulez de votre vie, mais que vous devez porter une attention particulière à vos idées, à vos mots, aux gestes que vous posez, à vos décisions et à votre langage non verbal.

Vous êtes responsable de votre propre vie. Personne d’autre ne l’est ; ni l’économie, ni les politiciens. Vous êtes là où vous vous trouvez présentement dans votre vie, que ce soit au niveau de vos finances, de votre santé ou de vos relations avec les autres, à cause des gestes que vous avez posés dans le passé. 


Olivier Magnan, site Énergie Santé



« S’il y a de l’espoir dans le futur, il y a de la puissance dans la présent. »
 

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:08




1. Tenez compte du fait que le grand amour et les grandes réussites impliquent de grands risques.

2. Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon.

3. Suivez les trois R : Respect de soi-même, Respect des autres, Responsabilité de tous vos actes.

4. Souvenez-vous que ne pas obtenir ce que vous voulez est parfois un merveilleux coup de chance.

5. Apprenez les règles pour savoir comment les transgresser correctement.

6. Ne laissez pas une petite dispute meurtrir une grande amitié.

7. Lorsque vous réalisez que vous avez commis une erreur, prenez immédiatement des mesures pour la corriger.

8. Passez un peu de temps seul chaque jour.

9. Ouvrez vos bras au changement, mais ne laissez pas s'envoler vos valeurs.

10. Rappelez vous que le silence est parfois la meilleure des réponses.

11. Vivez votre vie d'une façon bonne et honorable. Ainsi, lorsque vous vieillirez et que vous regarderez en arrière, vous en profiterez une deuxième fois.

12. Un foyer aimant est la fondation de votre vie.

13. Dans les désaccords que vous avez avec ceux que vous aimez, ne vous occupez que de la situation actuelle. Ne réveillez pas le passé.

14. Partagez votre savoir. C'est une manière d'atteindre l'immortalité.

15. Soyez tendre avec la terre.

16. Une fois par an, allez quelque part où vous n'êtes jamais allé auparavant.

17. Souvenez-vous que la meilleure des relations est celle dans laquelle l'amour que chacun porte à l'autre dépasse le besoin que vous avez de l'autre.

18. Jugez vos succès d'après ce que vous avez dû sacrifier pour les obtenir.

19. Approchez l'amour et la cuisine avec un abandon insouciant.

20. Riez au moins 1 minute par jour.

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:07



Depuis des siècles, on me consomme, on me vend, on m'offre et on me vante.

Depuis des siècles, on m'enferme dans toutes sortes de récipients et on me boit dans tous les milieux.

Depuis des siècles, je suis l'objet d'un commerce qui rapporte des milliards et pourtant, bien peu de gens peuvent se vanter de me connaître vraiment. Jamais on ne m'a permis de parler. On se sert de moi pour toutes sortes de raisons, mais on prend bien soin de ne pas me donner la parole. Pourtant ! Si on m'avait demandé mon opinion : que de choses j'aurais pu vous apprendre. C'est pourquoi, aujourd'hui, devant le mauvais usage que l'on fait de moi, je suis décidé à vous dire toute la vérité à mon sujet.

Je suis un liquide ! Ça ! Vous vous en doutiez bien... mais un liquide pas comme les autres. Autrefois, avant la découverte de l'éther, on m'employait comme anesthésique pour pratiquer toutes sortes d'opérations.

De nos jours, on me trouve partout. On change mon goût âcre en me mélangeant à des essences telles que : la menthe, l'orange, le citron, etc. Je suis hypocrite et menteur ! Je peux entrer librement partout, personne ne semble se méfier de moi. Je coule à flots à l'occasion des baptêmes, des mariages, des funérailles. Je rate rarement l'occasion de me mêler à toutes sortes de conflits ; dans presque tous les meurtres, les vols, les hécatombes routières, les troubles de ménage et à peu près tous les crimes... JE SUIS LÀ !

Depuis toujours, je fais pleurer les mères et je fais souffrir les enfants. Pendant longtemps, je m'occupais presqu'exclusivement des hommes, mais aujourd'hui, je m'occupe très activement des femmes. J'en ai un très grand nombre sous mon emprise et à tous les jours, des millions d'entre elles, à travers le monde, ont recours à mes services. Je viens plus facilement à bout de leur dignité que le diable lui-même.

Je suis extrêmement puissant, rien ne me fait peur. Sans moi, beaucoup de médecins et de thérapeutes verraient leur clientèle diminuer considérablement. Je suis leur meilleur fournisseur ! JE SUIS LE MAL DU SIÈCLE ! Pourtant très peu de gens s'occupent à me combattre efficacement. On a vaincu bon nombre de maladies, mais moi, je suis plus en forme que jamais.

Malheureusement pour vous, tant que vous me traiterez avec autant d'égards, je pourrai continuer ma tâche qui est de vous détruire en plus grand nombre. Excusez ma franchise ! SI VOUS VOULEZ VIVRE HEUREUX... Tenez-vous loin de moi !


À bon entendeur, salut!
 

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:06

 

Vous avez oublié son anniversaire? Vous vous êtes disputés? Vous avez eu une parole malheureuse? Rien n'est perdu si vous vous excusez. Encore faut-il le faire dans les règles ou, plutôt, selon la règle des 4 « R » : 

Regret : Vous devez regretter sincèrement la peine que vous avez causée. 

Responsabilité : Vous devez en accepter l'entière responsabilité, sans blâmer l'autre (ne pas dire : « Excuse-moi mais tu es susceptible aujourd'hui ») ni essayer de vous justifier (« Désolé, je ne me sens pas bien. ») 

Réparation : Vous devez réparer, de manière tangible (en remplaçant le vase brisé, par exemple) ou symbolique (en promettant de ne pas recommencer). « Je regrette de t'avoir blessé » signifie que c'est vous, et non pas l'autre, qui êtes à l'origine du problème. 

Ces 3 « R » sont un préalable essentiel au quatrième: la Réconciliation. 

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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 18:05


Mon Dieu...


Aide-moi à dire la vérité en face des forts et à ne pas mentir pour m’attirer les applaudissements des faibles.

Si Tu me donnes de l’argent, ne me prends pas mon bonheur. Et si Tu me donnes la force, ne m’enlève pas mon pouvoir de raisonner.

Si Tu me donnes le succès, ne m’ôte pas l’humilité. Si Tu me donnes l’humilité, ne m’ôte pas ma dignité.

Aide-moi à connaître l’autre aspect des choses, et ne permets pas que j’accuse mes adversaires d’être traîtres parce qu’ils ne partagent pas mon point de vue.

Enseigne-moi à aimer les autres comme je m’aime moi-même, et à me juger comme je juge les autres.

Ne me laisse pas m’enivrer par le succès si je l’atteins, ni me désespérer si j’échoue. Fais-moi plutôt me souvenir que l’échec est l’épreuve qui conduit au succès.

Enseigne-moi que la tolérance est le degré le plus élevé de la force et que le désir de vengeance est la première manifestation de la faiblesse.

Si Tu me dépouilles des richesses, laisse-moi l’espérance. Et si Tu me dépouilles du succès, laisse-moi la force de volonté pour pouvoir vaincre l’échec.

Si Tu me dépouilles du don de la santé, laisse-moi la grâce de la Foi.

Si je fais du tort à quelqu’un, et si quelqu’un me fait du tort, donne-moi la force du pardon et de la clémence.

Mon Dieu… si je T’oublie, Toi, ne m’oublie pas!

A
men!
 

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 18:27



Si je veux réussir à aider un être

 

Si je veux réussir à accompagner un être vers un but précis, je dois le chercher là où il est et commencer là, justement là. Celui qui ne sait faire cela, se trompe lui même quand il pense pouvoir aider les autres.

Pour aider un être, je dois certainement comprendre plus que lui, mais d'abord comprendre ce qu'il comprend. Si je n'y parviens pas, il ne sert à rien que je sois plus capable et plus savant que lui.

Si je désire avant tout montrer ce que je sais, c'est parce que je suis orgueilleux et cherche à être admiré de l'autre plutôt que l'aider.

Tout soutien commence avec humilité devant celui que je veux accompagner ; et c'est pourquoi je dois comprendre qu'aider n'est pas vouloir maîtriser mais vouloir servir. Si je n'y arrive pas, je ne puis aider l'autre.

 Soren Kierkegaard


Texte trouvé sur le site Les beaux textes de Marina Missier

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 18:26



J’aimerais vous partager quelques phrases de Maryse Chartrand, extraites du livre La vie est belle d’Isabelle Clément. Cette femme a fait le tour du monde pendant un an avec ses trois enfants et son conjoint. Lorsqu’ils sont revenus à Montréal son conjoint s’est suicidé, elle a fait un documentaire de ses voyages à Canal vie et a passé à l’émission Tout le monde en parle pour parler du suicide.




Samuel était aimé et il nous aimait. Et pourtant, il était mort, vidé de tout l’amour qui l’entourait. L’amour, cette force qui peut transporter des montagnes, n’avait pas pu sauver mon amoureux. « Le suicide est un tsunami qui anéantit jusqu’à vos convictions et vos valeurs les plus profondes.

Ce que nous projetions de vivre ensemble n’était pas possible. Je pensais à vieillir sans lui et j’avais mal. Je pensais à l’avenir de nos enfants, c’était pire encore.
 

J’ai eu peur de ne pas survivre à son départ. Peur que les enfants et moi soyons condamnés à être des loques humaines. Alors que cette pensée me terrorisait, je me suis rendu compte de son irréalité : je respirais. Je survivais. Je vivais. Il était mort, mais pas moi. Pas les enfants. La vie continuait. Elle pulsait dans nos veines. 

Je suis alors sortie dans la rue et j’ai regardé les arbres très attentivement. Étaient-ils différents depuis sa mort? La lumière d’automne était mordante. Les feuilles, flamboyantes. L’air vivifiant.

Hier et demain me tourmentaient. Pas le moment présent. L’ici maintenant auquel les maîtres spirituels nous convient m’était offert avec une bonhomie infinie.
 

Je me rappelle m’être trouvé privilégiée. Le seul endroit dans la quiétude était le PRÉSENT. J’ai alors entrepris de m’arrêter aussi souvent que nécessaire pour revenir dans ce lieu libre de tout tourment. Aussi, quand les enfants et moi riions autour de la table, au souper, je prenais au vol cet instant et je demandais aux enfants : « Qu’est-ce qui nous manque en ce moment? » La réponse honnête était toujours la même. Rien. Nous étions bien. LA VIE ÉTAIT BONNE.
 

Ce sont nos pensées à propos de la réalité qui causent notre SOUFFRANCE. L’existence est innocente. Dépouillée de tous nos jugements, la vie n’est que candeur. Toujours.
 

Et c’est ainsi que je me suis reconstruite. Ou plutôt, c’est ainsi que je me déconstruis, un peu plus chaque jour. Je désapprends à vouloir comprendre pour simplement M’ÉMERVEILLER. Je désapprends à JUGER pour embrasser ce qui est. Je désapprends à vouloir contrôler ma destinée pour me rendre disponible à elle. Je désapprends à me faire confiance pour être en confiance.
 

La vie est belle et hideuse, généreuse et intransigeante, sensible et cruelle, banale et grandiose. Elle est le noir et le blanc, et chaque couleur entre ces deux pôles. Elle est ce que j’y vois. Elle est sur quoi je m’attarde. Elle est la pensée que je crois.
 

Le décès de mon mari a été ma plus grande épreuve et mon plus grand cadeau. Je sais maintenant que la mort n’est pas une finalité. Samuel est plus près de moi qu’il ne l’a jamais été. Je sais aussi que rien n’est imperméable. Quand un creux de vague arrive, j’y entre de plein gré en sachant qu’il ne DURERA PAS, et lorsqu’un moment de pur bonheur me vient, j’y goûte pleinement. J’embrasse ce qui passe parce que justement cela ne fait que passer.

Je réalise que l’important n’est pas ce que la vie me donne. C’est plutôt ce que moi je lui donne. Lorsque je lui offre ma présence, elle devient exactement cela UN PRÉSENT. Du fond de mon être monte alors une prière qui ne tient qu’à un mot :
MERCI!


 

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 19:33

 


C'était la première journée d'école pour sa classe de 5e année.

Comme beaucoup d'enseignants, elle dit une demi-vérité à ses élèves. Elle les regarda et leur dit qu'elle les aimait tous de la même façon. Cependant, cela fut impossible car là, dans la première rangée, tout affaissé, était un petit garçon du nom de Teddy Stoddard.

Mme Thompson avait remarqué Teddy l'année auparavant et voyait qu'il ne jouait pas beaucoup avec les autres enfants, que ses vêtements laissaient à désirer et qu'il avait besoin d'un bon bain.

En plus, Teddy pouvait être déplaisant. C'en était venu à un point où Mme Thompson prenait un malin plaisir à corriger ses travaux avec un marqueur rouge large, à écrire des gros X à côté de ses fautes et à y inscrire un gros F en rouge comme note finale.

À cette école, elle devait faire l'analyse du dossier de chaque élève.

Elle remettait sans cesse à plus tard l'étude du dossier de Teddy. Mais lorsqu'elle le fit, elle eut toute une surprise.

L'enseignant de première année de Teddy avait écrit : « Teddy est un enfant brillant avec un rire communicatif. Il fait ses travaux avec soin et a des bonnes manières. C'est un plaisir de lui enseigner. »

Son enseignant de deuxième avait écrit : « Teddy est un élève remarquable. Les autres étudiants l'aiment tous. Cependant il est troublé car sa mère a une maladie grave et la vie chez lui doit sûrement être une épreuve. »

Son enseignante de troisième avait écrit : « La mort de sa mère l'a beaucoup ébranlé. Il essaie de faire de son mieux mais son père ne lui montre pas beaucoup d'intérêt. Sa vie familiale va l'affecter tôt ou tard si des correctifs ne sont pas apportés chez lui. »

L'enseignant de quatrième avait écrit : « Teddy est renfermé et ne montre pas beaucoup d'intérêt à l'école. Il n'a pas beaucoup d'amis et parfois il dort en classe. »

Mme Thompson comprit le problème et elle eut honte d'elle-même.

Elle se sentit encore pire lorsque ses élèves lui apportèrent des petits cadeaux de Noël enveloppés dans du beau papier tandis que Teddy lui apporta un cadeau enveloppé maladroitement dans du gros papier brun de sac d'épicerie.

Quand elle l'ouvrit, certains enfants se sont mis à rire lorsqu'elle y trouva un bracelet bon marché ayant des morceaux manquants et une bouteille de parfum remplie au quart. Mais elle a fait taire les rires des enfants lorsqu'elle dit qu'elle adorait le bracelet, l'enfila et se mit du parfum au poignet.

Teddy Stoddard est resté ce jour-là après la classe, juste assez longtemps pour dire : « Mme Thompson, aujourd'hui, vous avez senti pareil comme ma mère le faisait. »

Une fois les enfants partis, elle pleura pendant plus d'une heure. À partir de ce jour, elle arrêta d'enseigner à lire, à écrire et à calculer. À la place, elle commença à vraiment enseigner aux enfants. Elle donna une attention particulière à Teddy.

En travaillant plus avec lui, son esprit sembla s'éveiller. Plus elle l'encourageait, plus vite il répondait. À la fin de l'année, Teddy était devenu l'un des enfants les plus brillants de la classe. Malgré son mensonge qu'elle aimerait tous les enfants pareillement, Teddy était devenu son préféré.

Un an plus tard, elle trouva sous sa porte, une note avec une rose de Teddy lui disant qu'elle était la meilleure enseignante qu'il n'avait jamais eue.

Il se passa six ans avant qu'elle ne reçoive une autre note avec une rose de Teddy.

Il lui a alors écrit qu'il avait fini le secondaire, le troisième de sa classe, et qu'elle était toujours la meilleure professeure qu'il n'ait jamais eue.

Quatre ans plus tard, elle reçut une autre lettre avec une rose disant que, même si la vie était parfois dure pour lui, il était resté aux études et qu'il graduerait bientôt du cégep avec les notes les plus hautes et avec distinction.

Il lui assura qu'elle était toujours la meilleure professeure qu'il n'avait jamais eue.

Ensuite quatre autres années ont passé et une autre lettre avec une rose arriva. Cette fois il expliquait qu'il avait reçu son baccalauréat à l'Université de Montréal et qu'il décidait de continuer à étudier.

La lettre expliquait qu'elle était toujours la meilleure professeure et de loin sa préférée. Maintenant son nom était un peu plus long. Il signa : Théodore Stoddard, MD.

L'histoire ne se termine pas ici…

Il y eut une autre lettre cet hiver, toujours avec une rose. Teddy écrivit qu'il avait rencontré une fille et qu'ils allaient se marier au printemps. Il expliqua que son père était décédé il y avait de cela quelques années et il demanda si Mme Thompson voudrait bien prendre la place de sa mère lors de la noce.

Bien sûr qu'elle accepta. Et savez-vous quoi ? Elle porta le fameux bracelet et aussi le parfum que sa mère portait le dernier Noël que Teddy avait passé avec elle.

Ils s'enlacèrent et Dr. Stoddard chuchota à l'oreille de Mme Thompson : « Merci, Mme Thompson, d'avoir cru en moi. Merci énormément de m'avoir fait sentir important en me montrant que je pouvais faire une différence. »

Mme Thompson, les larmes aux yeux, chuchota à son tour : « Teddy, tu te trompes. Tu étais celui qui m'a enseigné que je pouvais faire une différence. Tu vois, je ne savais pas comment enseigner avant de te connaître. »


Texte trouvé sur le site La maison de Dédé


 

 

 

 

 

 

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  • Nicole Charest
  • Passionnée de psychologie, de spiritualité, d'écriture et de multimédia, je partage avec vous des textes de ressourcement ainsi que mes créations d'e-books et de vidéos inspirantes.
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