Le pouvoir réside toujours dans l’instant présent. Vous n’êtes jamais coincé. C’est ici que les changements s’effectuent : ici et maintenant, dans notre propre esprit ! Peu importe depuis combien de temps nous entretenons des pensées négatives, une mauvaise santé, des relations décevantes, une situation financière précaire ou un manque d’amour pour nous-mêmes : nous pouvons amorcer un changement aujourd’hui !
Il n’est plus nécessaire que vos problèmes demeurent votre réalité. Ils peuvent disparaître comme ils sont apparus. Vous en avez le pouvoir. Souvenez-vous : vous êtes le seul maître de vos pensées et de votre esprit ! Vous possédez le pouvoir et l’autorité dans votre monde !
Vos pensées et croyances passées ont créé cet instant, et tous ceux qui l’ont précédé. Ce que vous choisissez maintenant de croire, de penser et de dire créera l’instant suivant, le jour suivant, le mois suivant, et tout votre avenir.
C’est maintenant que se déclenche le nouveau processus. Chaque instant est un nouveau commencement, c’est ici et maintenant que se produit le nouveau commencement! Cet instant est celui du pouvoir!
Arrêtez-vous un moment et prenez conscience de vos pensées. À quoi pensez-vous en cet instant ? S’il est vrai que vos pensées façonnent votre vie, désireriez-vous que cette pensée devienne réalité pour vous ? S’il s’agit d’un sentiment de crainte, d’un souci, d’un désir de vengeance, comment croyez-vous que cette pensée se répercutera en vous ?
Il serait stupide de choisir des pensées qui engendreront de la douleur ou des problèmes. C’est comme choisir de la nourriture que nous ne supportons pas. Après un ou deux essais malheureux, nous nous en abstenons. Il en va de même avec les pensées. Cessons d’utiliser les pensées qui causent problèmes et douleur.
Source : Louise L. Hay, Transformez votre vie, p. 55
La blague du blog
Un homme d'affaires rentre à la banque pour solliciter un emprunt. « Bonjour, dit-il au directeur. Il fait beau aujourd'hui, hein ? »
Tout au long de son entretien, l'homme d'affaires ne cesse de répéter : « Comme il fait beau ! » en regardant à la fenêtre. Irrité, le directeur lui demande enfin : « Pourquoi parlez-vous toujours de la température ? »
« Parce que lors de mon dernier emprunt, vous m'aviez dit : « Avant que je te prête d'autre argent, il va falloir qu'il fasse beau en maudit ! »