Deux chansons juste pour nous, mesdames, à faire jouer
spécialement dimanche, Journée de la femme!
M'envoyer des fleurs - Sandrine Kimberlain |
Toutes les femmes sont belles |

Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments, mes besoins, mes attentes. Je veux être respectée, écoutée, entendue. J’ai le droit de respirer, de me dire. J’ai le droit de dénoncer, de penser, de crier. J’ai le droit d’exister. |
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Pour me faire aimer... Pour me faire aimer, j’ai pris tous les blâmes sur moi, même si je n’en étais pas la cause. Mais ça n’a rien donné. Pour me faire aimer, j’ai tout accepté, même de pardonner l’impardonnable. Mais ça n’a rien donné. Pour me faire aimer, j’ai accepté de me faire blesser verbalement sans jamais riposter. J’ai saigné abondamment et j’ai léché mes plaies. Mais ça n’a rien donné. Pour me faire aimer, j’ai consenti à me faire rabaisser plus d’une fois. Mais ça n’a rien donné. Pour me faire aimer, j’ai rien dit afin de vous protéger et j’ai tout enduré. Mais ça n’a rien donné. Pour me faire aimer, je vous ai comblé de cadeaux et vous en avez largement profité. Mais ça n’a rien donné. Pour me faire aimer, je vous ai donné du temps que je n’avais pas. Mais ça n’a rien donné. Pour me faire aimer, j’ai toujours fait les premiers pas, même si vous savez pertinemment que c’était à vous de les faire. Mais ça n’a rien donné. Pour me faire aimer, j’ai essayé de vous comprendre tout en douceur, de différentes façons, mon besoin de vous, mon besoin de votre amour. Mais ça n’a rien donné. Pour me faire aimer, j’ai finalement compris après plusieurs années de travail acharné, que c’était moi que je devais tout simplement… Aimer. » |

Diaporama Coup de coeur | |
![]() | Un petit hommage à nous autres, |

La blague du blog | |
Deux hommes sont partis à la chasse dans les Pyrénées. Soudain, un gros ours surgit de derrière un rocher et commence à les poursuivre. Les deux hommes se réfugient alors dans un arbre. L'ours n'en démord pas et commence à grimper lui aussi. L'un des deux compagnons ouvre son sac à dos, sort ses chaussures de sport et les chaussent. Il se débrouille pour enlever son pantalon de toile et enfiler un short. L'autre lui demande : « Mais qu'est-ce que tu fais? Le premier répond : Lorsque l'ours sera à trois mètres, on saute de l'arbre et on court. — Tu crois vraiment que tu peux battre un ours à la course? — Non, mais ce n'est pas l'ours que je veux battre, c'est toi! » | ![]() |