1 décembre 2010
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La leçon des hérissons Une nuit d’hiver, une famille de hérissons n'arriva pas à dormir, tant le froid était vif. Ils décidèrent donc de se serrer les uns contre les autres pour se réchauffer. Mais ils avaient oublié leurs piquants. Chaque fois qu’ils tentaient de se rapprocher, ils finissaient par se piquer douloureusement. Jamais le groupe ne parvint à rester uni. Certains tentèrent de se rapprocher à nouveau, mais chaque fois, ils se piquèrent le museau. Pourtant, il fallait absolument trouver comment se rapprocher : les oiseaux y arrivaient, les lapins, les taupes, tous les animaux aussi. Enfin, ils comprirent. Et tout doucement, petit à petit, soir après soir, ils s’approchèrent les uns des autres en rétractant leurs piquants. C’est ainsi qu'avec mille et une précautions, ils trouvèrent la bonne distance pour dormir heureux et au chaud. – D'après la parabole de Schopenhauerf (trouvé sur le site Éveilleurs d'idées) |
À l'approche des fêtes, quelle bonne idée si chacun envisageait de rétracter ses piquants... |
Les diapos « Petites douceurs » présentent... Voici un diaporama qui, par le biais d'un petit conte, vous entraînera dans la magie de Noël. En le partageant avec vos proches, vous leur transmettrez de façon originale tous les voeux classiques associés à cette période de l'année. | | |
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Témoignage de mon livre d'or MERCI de faire circuler l'Amour et la Paix par ces messages positifs, constructifs, apaisants et qui nourrissent vraiment tout notre ÊTRE. Longue vie à l'auteure et ses créations ! MERCI pour ces douceurs pour le cœur ! Louise, Sherbrooke | | |
« Party - Alcool - Automobile », voilà un trio explosif. Chaque année, des vies sont brisées ou fauchées. Un petit rappel est donc toujours approprié. |
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| | La blague du blog
« T'avais l'habitude de me tenir la main, quand nous étions jeunes », dit l'épouse à son mari. Le mari lui prend la main, puis se retourne et dort. À peine assoupi, il entend sa femme : « T'avais l'habitude aussi de m'embrasser. » Un peu irrité, il lui donne un p'tit bisou sur la joue et se retourne pour dormir. Quelques minutes plus tard, il entend : « Même que des fois, tu me mordillais le cou. » Exaspéré, le mari tasse les couvertures et se lève brusquement, très énervé. Surprise, sa femme lui demande : « Mais où est-ce-que tu vas ? » Le mari répond : « Chercher mes dents... » |
Publié par Nicole Charest
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dans
Amour-Amour de soi-Bonté